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Middleware et serveurs d'application

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(21/11/2007 09:04:01)

BEA ouvrira la virtualisation pour toutes les applications en 2008

C'est avec quelques mois de retard sur sa feuille de route que BEA va lancer sa console d'administration pour les environnements virtualisés avec WebLogic, son serveur d'applications Java. WebLogic Liquid Operations Control Center « permet de voir au coeur de la machine virtuelle », résume Martin Percival, évangéliste technique de BEA pour l'Europe. L'éditeur de middleware propose en effet depuis peu une version remaniée de son serveur d'applications et de sa machine virtuelle Java, Jrockit, capable de tourner directement au-dessus d'ESX Server, la couche de virtualisation de VMWare. D'après Martin Percival, la possibilité de faire tourner plusieurs instances de WebLogic sur un même serveur et sans système d'exploitation optimise la consommation des ressources ; il cite ainsi des clients qui sont parvenus à doubler leur capacité avec les mêmes serveurs. Pour l'heure LiquidVM, cette édition spéciale de la machine virtuelle, ne sert qu'à faire tourner WebLogic. Mais rien n'empêche a priori de l'utiliser pour d'autres applications Java. Cette généralisation devrait intervenir en 2008 : « Nous ouvrirons la plateforme pour permettre aux gens de l'utiliser avec leurs propres logiciels. » De même, BEA considère l'offre de VMWare comme dominante, mais l'éditeur pourrait étudier la possibilité de tourner sur d'autres hyperviseurs, « s'il y a des opportunités commerciales ». (...)

(19/11/2007 18:00:38)

Software AG met deux produits en mode maintenance

A l'occasion d'Integration World 2007, le patron de la R&D de la division WebMethods de Software AG, Peter Kürpick, a fait la lumière sur quelques chevauchements de produits, issus de la fusion entre les deux sociétés. Ainsi, Service Orchestrator, l'ESB de Software AG, sera mis en mode maintenance pour cinq ans, et l'éditeur confirme qu'il ne fera plus évoluer le produit. L'enjeu est de taille, raconte-t-il dans une interview publié sur www.lemondeinformatique.fr, car Service Orchestrator est utilisé par une base de plus de 200 clients. Moins problématique, selon lui, est la mise au repos du produit Ajax Web 2.0 de Software AG au profit de celui de WebMethods. Ce produit sera supporté encore cinq ans, lui aussi. Mais ce dernier dispose d'une base installée moindre, l'outil étant sorti très récemment. Dans cette même interview, Peter Kürpick parle également des évolutions de la prochaine plateforme WebMethods. Lire l'interview de Peter Kürpick (...)

(16/11/2007 17:55:18)

OpenWorld : les premières pièces de Fusion Applications

C'est sur la présentation des trois premiers produits de sa nouvelle génération d'applications, Fusion Applications, que Larry Ellison, PDG d'Oracle, a clos l'édition 2007 de sa conférence utilisateurs OpenWorld (San Francisco, 11-15 novembre). Il s'agit de trois offres destinées aux équipes commerciales : Oracle Sales Prospector, Oracle Sales References et Oracle Sales Tools. Les fonctions qu'elles apportent sont complémentaires aux outils de gestion de la relation client (GRC) qui existent déjà, Siebel CRM notamment. Larry Ellison les qualifie d'outils de GRC de 2ème génération, Salesforce et Siebel constituant la 1ère génération. Oracle Sales Prospector s'appuie sur du datamining pour déterminer quels sont les produits achetés par les clients afin de leur suggérer d'autres achats, en lien avec ceux qu'ils ont déjà faits. Oracle Sales References va servir à déterminer quels clients satisfaits peuvent servir de références à présenter à de nouveaux prospects. Oracle Sales Tools, enfin, s'appuie sur un concept de réseau social pour permettre le partage de présentations commerciales. Ces produits sont attendus pour le premier semestre 2008. Ces trois nouvelles solutions ont vocation à cohabiter avec l'existant, à l'instar de tous les produits à venir dans la gamme Fusion Applications. « Il y aura une longue période de cohabition (entre les anciennes applications et les nouvelles), a rappelé Larry Ellison. On ne peut pas tout changer d'un seul coup en appuyant sur un bouton. Notre priorité n°1 est d'assurer une coexistence harmonieuse et c'est ce que permet l'architecture orientée services adoptée pour Fusion Applications. » La deuxième priorité d'Oracle, d'après Larry Ellison, c'est de livrer des outils procurant aux clients un gain véritablement mesurable (selon leur demande expresse), et la troisième, d'offrir pour chaque nouvelle application le choix entre une installation interne ou un mode « on demand », c'est-à-dire en ligne et immédiatement accessible. On le voit, les toutes premières offres de Fusion Applications apportent des outils supplémentaires. Il ne s'agit pas encore des offres existantes (e-Business Suite, PeopleSoft Enterprise, JD Edwards EnterpriseOne et World) redéveloppées pour l'architecture SOA. Celles-ci arriveront petit à petit, module par module, assure Larry Ellison. Le PDG maintient la date de 2008 pour l'arrivée des premiers éléments revisités à la sauce SOA. (...)

(16/11/2007 16:32:23)

Un comité SDO au sein de l'Oasis

SDO dispose désormais de son propre comité au sein de l'Oasis. Les spécifications Service Data Objects visent à donner une vue unifiée, logique, des données, quelles que soient les sources considérées : bases de données relationnelles, fichiers XML, etc. L'organisme de standardisation estime qu'il s'agirait d'une aide appréciable dans la mise en place d'architectures orientées services (SOA). Un modèle de programmation unifié simplifierait en effet énormément la tâche des développeurs. C'est le souhait des promoteurs de SDO : Adobe, BEA Systems, IBM, Progress Software, SAP, et le Français Xcalia. Le comité technique sera affilié à la section 'OASIS Open Composite Services Architecture', qui accueille déjà les comités travaillant sur les spécifications SCA (Service component architecture), un modèle de développement unifié pour des applications conformes aux canons de la SOA. (...)

(14/11/2007 09:57:47)

OpenWorld : Oracle brandit Fusion Middleware 11g

Au deuxième jour d'OpenWorld (11-15 novembre, San Francisco), Oracle a fait le point sur Fusion Middleware 11g, prochaine évolution de sa gamme d'outils intégrés permettant de développer et déployer des applications sécurisées dans une architecture orientée services, en tirant parti des fonctions de collaboration Web 2.0 et des technologies de grid computing. Rappelons que Fusion Middleware rassemble le serveur d'application d'Oracle, son portail, ses solutions décisionnelles et ses outils de gestion de contenus et des identités. Fusion Middleware comprend aussi une suite de composants SOA : l'environnement de développement Java Jdeveloper, des outils pour définir et orchestrer les processus métiers (Business Rules, BPEL PM), pour superviser les activités métiers (BAM) et orchestrer services Web et interactions entre les applications (Web services manager), ainsi qu'un bus de service (ESB). Actuellement testées auprès de certains clients, les nouvelles versions de ces produits seront livrées en bêta à la mi-décembre. L'éditeur, qui dit enregistrer une nette progression sur les ventes de sa gamme Fusion Middleware, a fait une démonstration de force sur OpenWorld en soulignant les atouts de ses produits face à la concurrence. Il y a quelques semaines, il était pourtant tout disposé à racheter BEA Systems, l'un de ses principaux concurrents dans ce domaine, avec le serveur d'application WebLogic et la gamme de développement d'applications SOA Aqualogic. Vers l'intégration de données décisionnelles Thomas Kurian, senior vice-président d'Oracle pour les technologies serveurs, a rappelé les avancées récentes et à venir d'Oracle Fusion Middleware. Parmi celles-ci, un runtime compatible JEE 5 pour le serveur d'application, un bus de service basé sur les standards SCA (service component architecture), l'utilisation du mode ELT (extraction, chargement, transformation des données) pour intégrer les données décisionnelles, de nouveaux tableaux de bord interactifs, une meilleure intégration avec Excel, ou encore l'utilisation de Webcenter pour créer des environnements de travail dynamiques permettant d'exploiter les fonctions Web 2.0. Dans l'offre de gestion de contenus, acquise avec le rachat de Stellent, les versions 3 d'Imaging and process management 10g (intégration des images dans les processus documentaires) et d'Information rights management (sécurisation et traçabilité des documents) sont désormais disponibles. La première permet de disposer une interface web personnalisable et de fonctions optimisées de load balancing. La seconde inclut une nouvelle API web services mise à jour pour supporter le placement de filigranes dans les fichiers PDF, ainsi que l'encryptage AES 256 bit. Oracle a également ajouté des outils de diagnostic et des fonctions analytiques à sa solution de respect des procédures, Fusion Governance Risk and Compliance Intelligence. Ils permettront aux dirigeants de constituer rapports et tableaux de bord pour mieux identifier les risques. (...)

(13/11/2007 17:09:55)

Integration World 2007 : quelques évolutions stratégiques de la plateforme SOA de WebMethods

A l'occasion d'Integration World 2007, Subbash Ramachadran, directeur de la ligne ESB et intégration de Software AG, et Jignesh Shah, directeur marketing de l'Allemand, ont levé le voile sur les évolutions possibles de la plateforme SOA WebMethods. La valeur d'usage et facilité d'utilisation ("usability" en VO) sera ainsi une des priorités. "Il ne s'agit pas uniquement de rassembler les composants pour les faire fonctionner, mais également du degré de facilité que je possède pour construire quelque chose en production", commente Subbash Ramachadran. Un des leviers peut alors venir d'une meilleure "collaboration entre architecte et développeurs pour construire des services efficaces à valeur ajoutée", ajoute Jignesh Shah. Subbash Ramachadran a ensuite expliqué que d'un point de vue technologique, la plateforme était en ligne notamment en termes de standards, mais l'un des enjeux est "de la faire évoluer vers tout ce dont les utilisateurs ont besoin". Parmi les demandes des utilisateurs, Jignesh Shah pointe notamment la possibilité de rendre les choses plus faciles à déployer et plus de visibilité sur la méthodologie de management, comme la gouvernance SOA. "La véritable raison de ce besoin est qu'ils veulent de mieux en mieux collaborer". Une des requêtes d'utilisateurs est également un désir d'ouverture des composants de la suite à d'autres environnements applicatifs. Et Subbash Ramachadran de citer notamment l'exemple de composants de SAP. Une idée que reprend Jignesh Shah en expliquant prévoir d'ici deux à trois ans une demande quant à la capacité à mieux fédérer. Un point actuellement étudié par le groupe. Les deux spécialistes ont enfin mis en avant les éléments qui différencient l'approche WebMethods de ses concurrents : tandis que Jignesh Shah mise quant à lui sur une "synergie et une complémentarité au sein du portefeuille", de la qualité de l'ESB et de Centrasite (gouvernance SOA), Subbash Ramachadran souligne le côté "standalone" de la plateforme et l'architecture globale qui restera - après le rachat de Software AG - un exemple de stabilité et de fiabilité, notamment dans les secteurs critiques (comme la banque). (...)

(07/11/2007 10:50:00)

MS TechEd 07 : un Popfly pour entreprise n'est pas impossible

Popfly est résolument un outil destiné aux non-programmeurs. Mais non-programmeur ne signifie pas forcément utilisateur individuel : cet atelier en ligne de création de mashups (combinaisons de services applicatifs) pourrait bien faire son entrée dans les entreprises à destination des utilisateurs « avancés ». S'exprimant en marge du TechEd, la conférence développeurs européenne de Microsoft, qui se tient toute la semaine à Barcelone, Prashant Sridharan, manager au sein de la division développeurs de Microsoft, nous a confirmé que les entreprises avaient exprimé beaucoup d'intérêt pour une utilisation en interne de Popfly. Des éditeurs comme Tibco ou BEA ont commencé à introduire dans leurs offres des modules laissant une certaine latitude aux utilisateurs avancés. Chez BEA, les développeurs peuvent exposer des services et réglementer leur utilisation, à l'intention des utilisateurs métier qui pourront combiner ces services de façon graphique pour répondre au mieux à leurs besoins. Tibco propose le même type de fonctionnalité pour personnaliser un workflow : des « utilisateurs avec privilèges », typiquement des chefs d'équipe, peuvent ainsi altérer ou créer des processus. Microsoft ne propose rien de tel jusqu'à présent. Entre les macros et les scripts d'Office et ce que propose Visual Studio, il y a un vide, reconnaît Prashant Sridharan. Et à la question « Microsoft propose-t-il un outil du même type que ceux de Tibco et BEA », la réponse est : « pas encore ». Un Popfly pour entreprises n'est donc pas impossible, mais Prashant Sridharan exprime une certaine prudence sur le sujet : « Les outils de mashup sont formidables, c'est vraiment par là que va le Web, il n'y a rien à redire à cela. En revanche, je me demande quelle valeur cela pourra vraiment avoir pour les entreprises. Les mashups ne sont pas la panacée, or il y a toujours un risque que ce soit perçu comme tel. Il faut à mon avis plusieurs types d'outils de développement pour résoudre les différentes problématiques d'une entreprise. » (...)

(06/11/2007 15:37:15)

MS TechEd 07 : Microsoft veut synchroniser toutes les données

Ce sont les développeurs, éditeurs indépendants, et les partenaires de Microsoft qui décideront du sort de Sync Framework. Lancé hier en version CTP (Community technology preview), Microsoft Sync Framework (MSF) fournit un ensemble d'outils facilitant la mise en oeuvre de solutions de synchronisation des données entre diverses sources. Toutefois, MSF ne sera vraiment alléchant que lorsque le Sync Framework Runtime, le moteur d'exécution, aura été porté sur d'autres plateformes que celles de Microsoft, en particulier sur les smartphones. Microsoft encourage donc son écosystème présent toute cette semaine au TechEd de Barcelone à s'emparer de son offre. « Le Sync Framework est la glu pour le logiciel plus services », explique Philip Vaughn, responsable du groupe réplication et synchronisation de données chez Microsoft, faisant allusion à la stratégie S+S de l'éditeur. L'idée de MSF est en effet de pouvoir accéder à ses données partout, depuis n'importe quel appareil ou service. Pour parvenir à ce résultat, il faut des connecteurs spécifiques à chaque source de données (Microsoft les appelle des « providers ») et au moins un agent effectuant les opérations de synchronisation. Parmi ces opérations, il y a la prise en charge du réseau et de ses topologies, l'évaluation des données à synchroniser, ou encore la détection et éventuellement la résolution de conflits. Microsoft promet une faible empreinte réseau En revanche, MSF ne se préoccupe pas de sécuriser les échanges. En la matière, Philip Vaughn recourt à une image très utilisée outre-Atlantique : « Nous nous tenons sur les épaules des géants ». En d'autres termes, il appartient à d'autres équipes de mettre en place des protocoles sécurisés ou des outils d'authentification auxquels les 'providers' se conformeront. De même, aucune compression spécifique n'est utilisée, car Microsoft souhaite que sa solution puisse être utilisée quelque soit le protocole employé. Mais Philip Vaughn explique que le recours à des métadonnées sur les données à synchroniser permet de ne faire transiter par le réseau que ce qui est strictement nécessaire. Microsoft cite deux grands scénarios d'utilisation de MSF. D'abord les applications occasionnellement connectées : le Sync Framework fournit alors des outils permettant aux développeurs de recréer simplement le lien qui peut exister entre Outlook et Exchange (en l'occurrence pour les emails) pour tout autre duo d'applicatifs. Ensuite, la collaboration pair à pair, lorsque deux appareils vont échanger des données sans qu'une application serveur, centralisée, ne soit impliquée. Il faut alors que le runtime soit embarqué sur au moins un des clients. Les développeurs appelés à multiplier le nombre de connecteurs Le Sync Framework devrait ainsi remplacer à terme tous les mécanismes de réplication qui existent aujourd'hui, sur les smartphones Windows, par exemple, ou dans Vista. Au cours d'une session technique, Philip Vaughn a montré avec quelle simplicité on pouvait synchroniser deux répertoires. La réplication de fichiers et de dossiers, ainsi que le support des partitions FAT et NTFS, et celui des mémoires flash font en effet partie des capacités initiales du Sync Framework. MSF supporte deux autres modes de connexion aux données : ADO.Net, le mode d'exposition des données par une base SQL Server, et SSE (Simple sharing extensions), qui permet d'utiliser le protocole RSS pour diffuser des données depuis un site Web. D'autres 'providers' devraient être réalisés par les équipes de Microsoft et placés sur MSDN à la disposition des développeurs, mais Philip Vaughn espère que ces derniers multiplieront les connecteurs. Côté produits, le runtime tourne sur la majorité des plateformes Windows, via .Net... en attendant que des partenaires annoncent l'avoir porté sur d'autres plateformes. (...)

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