Flux RSS

Middleware et serveurs d'application

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

541 documents trouvés, affichage des résultats 241 à 250.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(17/01/2008 13:01:48)

BEA-Oracle : Gartner conseille aux clients de différer leurs investissements

« Les clients sont dans une situation classique de 'wait and see'. Pour des entreprises déjà clientes de BEA, sur WebLogic par exemple, il n'y a pas de raison de paniquer. En revanche, ce serait risqué d'investir maintenant sur des produits récents. » Massimo Pezzini, vice-président de Gartner et analyste distingué, estime que l'acquisition de BEA par Oracle conduira à « des décisions difficiles » ; il serait donc risqué, explique l'analyste, d'investir sur des produits de BEA qui ne disposent pas déjà d'une base installée conséquente, les rendant quasiment intouchables. « Beaucoup [de produits] seront mis en mode maintenance, d'autres intégrés au sein de l'offre Oracle. Certains continueront de vivre, des produits comme WebLogic ou Tuxedo qui ont probablement des centaines de milliers de déploiements, ce serait un suicide de les arrêter. D'autres produits sont complémentaires, comme la machine virtuelle Jrockit. Et beaucoup sont en situation de recouvrement. » Dans tous les cas, explique encore Massimo Pezzini, dans un entretien avec LeMondeInformatique.fr, même si Oracle choisit de privilégier certains produits de BEA par rapport aux siens, le projet Fusion aura le dernier mot : Oracle a en effet engagé une vaste réorganisation de son offre progicielle afin de l'appuyer sur son offre middleware. (...)

(16/01/2008 14:56:10)

BEA accepte l'offre d'achat d'Oracle pour 8,5 Md$

Trois mois après avoir rejeté l'offre d'achat d'Oracle, BEA a finalement accepté de se vendre, pour un montant évalué à 8,5 Md$. Hier encore, à la conférence utilisateurs parisienne de l'éditeur, Mike Piech, responsable marketing des offres WebLogic et Tuxedo, assurait que « BEA se voit comme une société indépendante : tous les investissements et les feuilles de route produits sont faits dans cette optique ». De fait, depuis la première offre d'achat d'Oracle le 12 octobre dernier pour 6,7 Md$, BEA n'a eu de cesse d'affirmer vouloir rester indépendant. Un discours toutefois infléchi quelque temps après, suite à la fronde d'un gros actionnaire, estimant que les intérêts des actionnaires n'étaient pas pris suffisamment en compte par la direction de BEA. L'éditeur avait alors laissé entendre qu'à partir de 8,15 Md$, il pourrait accepter une offre. Oracle estimait alors que personne n'irait proposer mieux que ce qu'il avait offert. Comprendre : il faudrait être fou pour dépenser plus que 17 $ l'action. Or, l'accord intervenu aujourd'hui fixe un prix de 19,375 $ par action. (...)

(14/01/2008 17:49:54)

L'éditeur de l'ESB Open Source Mule signe en France avec Ippon Technologies

MuleSource, un des principaux éditeurs d'ESB (bus de services d'entreprise) Open Source, vient de signer avec un représentant en France : Ippon Technologies. A l'origine SSII spécialisée dans les technologies J2EE, Ippon Technologies s'est tournée vers les architectures orientées services (SOA) au fur et à mesure de ses projets menés avec son partenaire principal, BEA, et son offre Aqualogic. Mais la SSII a aussi été amenée à utiliser de l'Open Source : Liferay pour les portails, par exemple, et Mule pour les ESB. « Nous avons mis en place Mule ESB pour Cegedim, raconte Geoffray Gruel, directeur général délégué d'Ippon Technologies. Cela s'est très bien passé, dans les temps, sans heurt, avec un budget contrôlé. » L'ESB de MuleSource a été sélectionné suite à une revue de plusieurs produits, dont OpenESB de Sun, Petals d'Objectweb (OW2 Consortium), ServiceMix d'Apache et bien sûr JBoss, sur plusieurs critères : technique, communauté et feuille de route. Concernant les évolutions, justement, Geoffray Gruel explique que Mule ESB développe d'intéressantes capacités sur le monitoring en production. « Inversement, dit-il, Mule ESB n'est pas très fort en ce qui concerne le BPM. Mais Mule fonctionne très bien avec JBPM, de JBoss, et on regarde aussi du côté d'Intalio. » (...)

(14/01/2008 14:56:49)

Les extensions humaines de BPEL ont leur comité à l'Oasis

Neuf mois après l'approbation de la version 2.0 du standard BPEL par l'Oasis, voilà que se profile à l'horizon l'extension pour les tâches humaines. BPEL, ou Business Process Execution Language, est un langage destiné à écrire les enchaînements de services formant des processus. Il n'a pas pour but de gérer des interactions avec les utilisateurs. En revanche, des travaux sur cet aspect de BPEL, appelés BPEL4People, existent depuis longtemps. Active Endpoints, Adobe, BEA, IBM, Oracle et SAP ont ainsi élaboré les spécifications WS-BPEL Extension for People et WS-HumanTask. Co-président du comité BPEL de l'Oasis (Organization for the Advancement of Structured Information Standards, qui gère un grand nombre de standards ouverts liés à XML et aux services Web) depuis sa création en 1993, John Evdemon, de Microsoft, vient d'annoncer que l'Oasis créait un sous-comité pour étudier ces spécifications, et permettre à terme d'inclure ces tâches humaines au sein des processus et de les exposer en tant que services Web. (...)

(31/12/2007 13:12:24)

En 2008, les DSI ont les moyens de briser le joug financier des éditeurs

Dans la lutte entre éditeurs de logiciels et utilisateurs, la roue pourrait tourner dans le bon sens en 2008. Tous en coeur, des analystes du Gartner Group, de Forrester Research et de PricewaterhouseCoopers s'accordent à distinguer une conjonction de facteurs favorables à une baisse des prix. On aurait pu croire que la vague de concentration et de retraits de la cote boursière allait avoir pour effet de renforcer les positions des éditeurs de logiciels dominants. Si des géants comme Oracle ou Microsoft continuent d'accroître leurs parts de marché, ce dernier est soumis à la concurrence de nouvelles façons d'utiliser les logiciels. Les logiciels en ligne (SaaS, Software as a service) arrivent en tête de cette nouvelle donne. Avec SalesForce.com en figure de proue, qui attire les regards sur la gestion de la relation client (GRC, CRM), ils vont profondément modifier le paysage. Il convient aussi de se tourner vers la bureautique en ligne. La vache à lait de Microsoft Office est trop grasse pour laisser indifférents les DSI. Sur ce créneau, c'est Google, avec Google Documents, qui occupe l'espace médiatique. Mais il ne faut pas oublier que les communautés du logiciel libre proposent une alternative aux logiciels surfacturés par Microsoft. Toutefois, la bureautique ne figure pas dans le coeur de cible des partisans du logiciel libre. Leur domaine de prédilection demeure l'infrastructure. Là, le succès de Linux estompe ceux obtenus sur les créneaux des SGBD et du middleware. A eux tous, les logiciels à code ouvert mettent sous pression les fournisseurs traditionnels. Ces derniers sont aussi mis sur la sellette avec l'émergence d'une véritable industrie de la tierce maintenance applicative. Pouvoir obtenir du support pour un logiciel auprès d'un autre que le fournisseur de ce dernier fait s'effondrer tout un pan du mur d'enceinte de la prison dans laquelle les clients s'étaient fait enfermer. Enfin, la virtualisation fait aussi souffler un vent de liberté là où l'on s'y attendait le moins : au coeur même des serveurs. Au couple processeur - application, par essence monogame et que l'on croyait indéfectible, succède un esprit libertaire qui préside à une cohabitation communautaire et hétérogène. Une douzaine de machines virtuelles qui se partagent un seul serveur est en passe de devenir monnaie courante. Même s'ils font tout pour verrouiller leurs contrats de licence, les éditeurs sont bien obligés de prendre en compte cette nouvelle souplesse. L'antithèse du carcan dans lequel ils cherchent à enfermer leurs clients. (...)

(03/12/2007 17:49:52)

Accenture craint la stagnation des projets SOA... pour mieux vendre BEA

Dans leur grande majorité, les promesses des architectures orientées services (SOA) ne se sont pas encore concrétisées. La faute reposant en partie sur le fossé qui existe entre directions métier et directions informatiques. Voilà, en résumé, les propos tenus par Donald Rippert, directeur technique d'Accenture, lors d'un séminaire chez BEA à l'occasion de l'ouverture du « Accenture Innovation Center for BEA ». Ce centre d'innovation, sis au siège de l'éditeur, a justement pour but d'aider les entreprises à combler ce fossé. Et cela doit être fait dans les 18 mois, a prévenu Donald Rippert, pour que les SOA ne connaissent pas le destin éphémère du hula hoop. Alfred Chuang, le PDG de BEA, a souligné de son côté avoir recherché cette association avec Accenture, car « de toute évidence, personne n'a conduit autant de changements technologiques qu'Accenture ». Le CTO d'Accenture fonde son analyse sur une vision de l'implémentation des SOA en quatre phases : commencer par écrire les interfaces à l'aide de XML, puis exposer l'existant sous forme de services Web, ensuite connecter ces services avec un ESB (Enterprise service bus), et enfin recourir au langage BPEL (Business process execution language for Web services) afin de pouvoir modifier le comportement d'une application sans entrer dans le code. Et pour Donald Rippert, les projets SOA sont aujourd'hui coincés à la phase deux. Difficile de contredire Donald Rippert quand il explique que les retours d'expérience en SOA ne sont pas encore légion, ou que toutes les promesses n'ont pas été tenues. Néanmoins, on pourra objecter que sa vision est extrêmement réductrice : des SOA sans XML, services Web ou ESB peuvent exister ; de même, baser systématiquement un projet SOA sur l'existant n'est pas forcément une bonne idée. Comme le préconisait le directeur du conseil d'Orchestra Networks lors de notre SOA Forum, il vaut mieux partir sur un projet avec l'idée de tout refondre à terme, car la valeur d'une SOA dépend de la valeur de l'existant informatique - si on se base dessus. Or, soulignait l'organisateur du symposium architectes de Capgemini il y a quelques jours, construire un système à partir des transactions existantes est un non-sens qui risque de mener les projets dans une impasse. (...)

(29/11/2007 17:02:16)

Capgemini ouvre son symposium aux autres architectes

Capgemini a tenu hier et aujourd'hui son douzième symposium d'architecture. C'est la troisième année que la conférence s'ouvre à des partenaires, et la première fois que du public est invité à y participer. C'est aussi la troisième année que le Symposium a pour thème les SOA (architectures orientées services), « une tendance de fond ». Les deux jours ont donc abordé les SOA sous différents angles, « en privilégiant les retours d'expérience », précise Hyacinthe Choury, 'architecte leader' de Capgemini et auteur du programme. Lui-même a présenté la façon dont Capgemini est intervenu et intervient encore pour le compte du PMU. D'abord afin de refondre l'architecture du système de prise de paris sur Internet, pour lui permettre de monter en charge. « Le PMU a réalisé un chiffre d'affaires de 7,6 MdE en 2005, sur lequel Internet représentait moins de 10%, mais consommait 70% des ressources », indique Hyacinthe Choury. Les chiffres plus récents du PMU indiquent pour leur part un CA de 8,1 MdE, et « avec 329,6 millions d'euros, les paris sur Internet ont représenté 4,1% des sommes jouées ». Quoi qu'il en soit, sachant que le canal Internet croît de 30% par an, « il devenait urgent, crucial, de s'en occuper ». Le programme mainframe a été analysé et réécrit au besoin selon des préceptes orientés services, « ce qui a permis de diviser par deux les ressources ». L'autre objectif pour le PMU était de rendre l'architecture capable de supporter de futures évolutions liées aux changements réglementaires - l'ouverture du monopole à la concurrence. Capgemini a défini une structure de BPM (gestion des processus métier), remplaçant ainsi des programmes par un socle de gestion des flux, soutenu par un bus de services, l'ESB de Tibco. Premier bénéfice, les services exposés ainsi peuvent être utilisés par des partenaires extérieurs. Second bénéfice, « cela permet de gagner énormément en maintenance », argumente Hyacinthe Choury, puisqu'il ne peut plus y avoir d'erreur de programmation : le seul code généré l'est au sein de Tibco, le développeur n'intervient que sur le paramétrage. Les SOA coûtent cher, dit-on souvent, à juste titre. Mais la maintenance représente la majeure part du budget informatique des entreprises, il y a donc de l'argent à prendre de ce côté. C'est exactement ce qu'a fait Capgemini avec le PMU, explique l'architecte de la SSII. « Les dépenses de mise en oeuvre ont été financées par les économies en maintenance, c'était un engagement contractuel. » (...)

(22/11/2007 15:25:25)

Une étude confirme l'ampleur croissante d'Oracle

Pas de doute, Oracle prend chaque jour une place plus importante dans les entreprises. Au-delà de ses résultats en forte croissance qui attestent visiblement sa progression, sur le terrain, les analystes prennent concrètement la mesure de l'adhésion des décideurs à son offre, qu'il s'agisse de sa base de données, de ses outils de middleware ou de ses applications. En octobre, l'enquête menée par le cabinet américain ChangeWave Investing sur les prévisions d'investissement en logiciel et sur les solutions installées, auprès de 1 780 membres de son réseau (constitué de 13 000 professionnels et experts issus de différents secteurs industriels), fait apparaître qu'Oracle est le seul fournisseur à gagner des parts dans plusieurs domaines. Principalement sur les applications décisionnelles (ou Business Intelligence, BI), la gestion de la relation client (GRC, en anglais CRM) et les progiciels de gestion intégrés (PGI, en anglais ERP). Par rapport à sa précédente enquête, conduite en juillet 2007, ChangeWave Investing ne note pas de changement dans les prévisions globales d'investissement pour les trois mois à venir : 18% des responsables interrogés prévoient de dépenser davantage sur leur poste « logiciel » et 14 % pensent plutôt débourser moins. En revanche, ce qui frappe le cabinet d'analyse, c'est la proportion croissante d'entreprises prévoyant d'investir dans des solutions éditées par Oracle. Actuellement, dans le domaine du décisionnel, Oracle arrive en tête des logiciels utilisés avec 36% de parts de marché, progressant ainsi de 8 points par rapport à l'enquête de juillet dernier. Microsoft le suit de près avec 35%. Un zoom sur les solutions Hyperion permet de constater une augmentation de cinq points, à 19 %. Le rapprochement opéré entre les sociétés semble donc leur profiter à toutes les deux, rassurant sans doute sur la pérennité des offres. Sur le marché de la GRC, Oracle conserve son leadership (gagné avec le rachat de Siebel). Comme en juillet, 36% des professionnels sondés ont déclaré utiliser une solution vendue par Oracle. SAP, en revanche, perd deux points, à 17%, et Salesforce en perd 4, à 15%. Microsoft, lui, ne bouge pas, à 16 %. Le plus fort potentiel Sur le marché des PGI, ChangeWave Investing note une progression d'Oracle et de Microsoft sur les autres fournisseurs. Evidemment, SAP tient toujours la corde, mais il a perdu huit points depuis l'enquête de juillet, à 38%. Derrière, Oracle gagne deux points, à 32%. Toutefois, sur ce terrain, c'est Microsoft qui réalise la meilleure performance, prenant jusqu'à quinze points de plus, à 29%. Le cabinet d'analyse a également mesuré les tendances dans les domaines du stockage de données et des logiciels d'administration. Là, Microsoft est clairement en tête avec 30%, suivi de Symantec, avec 20%, et d'Oracle et EMC, avec 17% chacun. Mais ce qui surprend le plus ChangeWave Investing, [[page]]ce sont les intentions d'achats à 90 jours des entreprises interrogées. Alors que l'échantillon proposé n'était pas assez large pour englober tous les fournisseurs de solutions verticales pressentis, le cumul des choix désignait clairement Oracle comme l'éditeur ayant le plus fort potentiel, au détriment de Microsoft. Les positions de SAP, elles, ne bougeaient pas par rapport à l'enquête de juillet 2007. La technologie tire les applications et vice-versa Il apparaît nettement que la société de Larry Ellison reprend de la vitesse sur tous les terrains, alors qu'elle avait pu un temps se laisser distancer. Et son fondateur n'entend certes pas en rester là. Ses récentes annonces, à l'occasion de sa conférence OpenWorld (San Francisco, 11-15 novembre) l'ont confirmé : livraison d'une solution de virtualisation de serveurs, Oracle VM, renforcement des solutions middleware, présentation de la nouvelle génération d'applications (Fusion). Parallèlement, Oracle a également indiqué avoir gagné 1 500 clients en un an sur son offre de support autour des systèmes d'exploitation en Open Source Red Hat Enterprise Linux et Oracle Enterprise Linux. « Nous avons dépassé nos prévisions dans toutes les catégories de produits et nous n'avons pas l'intention de nous arrêter là », déclarait Safra Catz, vice-présidente et directrice financière d'Oracle, devant un parterre d'analystes financiers, à l'issue d'OpenWorld. « La technologie tire les applications et les applications tirent la technologie », a-t-elle rappelé pour expliquer comment les différentes gammes d'Oracle autogénéraient des ventes. Et pour justifier la succession des rachats opérés par l'éditeur et qui n'est sans doute pas près de s'arrêter, notamment sur les applications métiers : « Ce que nous faisons est très évident. Nous recherchons ce que nos clients souhaitent que nous prenions en charge pour eux. Et ce qui nous paraît financièrement possible et utile pour eux, nous le faisons. » Ce qui a conduit, notamment, au récent rachat d'Agile, acteur du PLM (gestion du cycle de vie des produits). Ce qui dirige, aussi, les prises de position sur les marchés verticaux avec les rachats de Portal Software, pour les opérateurs de télécommunications, ou d'i-flex, pour les banques. Des produits qui, estampillés Oracle, acquièrent une nouvelle visibilité. En retour, les acheteurs de produits métiers Oracle seront plus enclins à s'intéresser à sa base de données, à ses offres middleware, à sa déclinaison de Linux ou à sa solution de virtualisation. Le 'sondage flash' en cours sur notre site montre toutefois que les entreprises clientes ne sont pas forcément enclines à tout acheter chez le même acteur. Alors s'agit-il vraiment d'un cercle vertueux ? Larry Ellison en est persuadé. Devant le même parterre d'analystes la semaine dernière, il a déclaré ne craindre ni une récession, ni une baisse des prix. « Si les prix baissent, nous nous en sortirons très bien et si l'économie se porte mal, je pense, qu'au pire, nos performances seront étales. » (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >