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Middleware et serveurs d'application

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(22/02/2008 14:12:24)
L'adoption des SOA en France va bon train, pas leur financement
Qui a dit que les entreprises françaises étaient en retard, ou hésitantes, face aux architectures orientées services (SOA) ? Selon les résultats d'une enquête menée par le pôle SOA de la SSII Solucom, « 82% des entreprises ont entamé une démarche SOA ». Pour être plus précis, sur ce nombre, 39% répondent que le sujet est encore à l'étude, mais cela laisse 16% en phase pilote, et 27% en phase de déploiement. L'étude, réalisée fin 2007 « auprès d'un échantillon de 100 décideurs du Top 500 des entreprises françaises », réjouit Mariano Boni, directeur technique de Dreamsoft qui constitue, avec Vistali, le pôle SOA du groupe Solucom. « Le résultat est très positif, dit-il. On est dans le sens de l'histoire, les gens ont bien compris la valeur et les concepts. [...] Je ne pensais pas que ce serait aussi positif. Des fois, les DSI nous surprennent, même, car certains sont très ambitieux : ils estiment que dans deux ans, 50% de leur SI sera conforme aux principes de la SOA. » Parmi les principaux facteurs amenant les entreprises à penser aux SOA, on peut citer : « aider les métiers à réagir plus rapidement aux demandes du marché », « réduire les coûts de fonctionnement », ou encore « offrir des nouvelles fonctionnalités aux métiers ». Mais visiblement, les métiers ne semblent pas vouloir payer ces intentions de retour. Car initier des projets SOA coûte cher, dans la mesure où il faut concevoir les nouvelles applications de façon à ce qu'elles soient réutilisables, et les processus réorchestrables, « et les métiers ne sont pas prêts à payer pour une réutilisabilité dont ils ne profiteront pas », commente Mariano Boni. Du coup, les DSI se financent un peu comme ils peuvent. [[page]]Une majorité estime que le financement devrait être mixte (métiers et IT), mais dans les faits, c'est le cas pour 37%, tandis que le reste se répartit diversement : 19% indiquent que les fonds viennent de budgets IT transverses, 17% de budgets dévolus aux applications métier, 17% de fonds alloués directement par la direction générale, et 10% sont en auto-financement (le premier projet devant alors générer suffisamment d'économies pour financer la suite). Du côté des difficultés - hors le sujet du financement - les décideurs interrogés nomment aussi le manque de compétences des équipes internes ainsi que le manque de support de la part des métiers ou de la direction générale. Beaucoup passent donc par un premier projet pilote, « une approche pragmatique par l'exemple », qui servira à démontrer les bénéfices. Néanmoins, précise l'étude, ils sont conscients de l'intérêt primordial d'une modélisation des processus métiers. Pour 52%, il s'agit d'une étape « préalable et nécessaire ». Pour 26%, c'est complémentaire et nécessaire. Quant à l'approche technologique retenue, les décideurs interrogés se divisent en deux camps - ce qui n'est pas sans évoquer la vision des SOA au sein de l'entreprise concernée : 40% y voient une évolution technologique des composants du SI, 53% une évolution stratégique dans la conception du SI. L'approche bottom-up, qui consiste à rationaliser les composants du SI, l'emporte avec 48% des réponses, sur l'approche top-down (31%) qui cherche plutôt à décliner les processus métiers sur l'IT. Seuls 17% des répondants indiquent vouloir mixer les deux approches, ce qui, selon Mariano Boni (voir son interview), est pourtant la seule façon de ne pas courir à la désillusion. Enfin, 4% disent ne pas avoir de stratégie. (...)
(18/02/2008 13:07:02)JBoss World : Red Hat veut remplacer Tuxedo
Red Hat a Tuxedo dans le collimateur. L'éditeur a annoncé sur JBoss World, conférence annuelle de ses utilisateurs de middleware, une série d'initiatives et de projets pour étoffer son offre, afin de pouvoir présenter au marché une solution Open Source complète. Red Hat veut ainsi offrir des outils de gouvernance Open Source pour les architectures orientées services (SOA). Le premier projet lié à ce thème, JBoss.org DNA, est un référentiel basé sur les actifs de Metamatrix. Red Hat veut également faire émerger des outils d'administration, et s'est associé pour cela à Hyperic pour fonder RHQ, qui jette les bases d'une plateforme d'administration commune à tous les produits JBoss. Le premier produit à en bénéficier devrait être JBoss Operations Network v2.0, attendu pour ce printemps. L'annonce la plus importante est toutefois celle du projet BlackTie, qui vise rien moins que créer un moniteur transactionnel Open Source capable de remplacer Tuxedo, la star de BEA, au pied levé. La référence à Tuxedo est d'ailleurs explicite dans la communication de Red Hat, qui explique que les langages et protocoles supportés par Tuxedo le seront par BlackTie. D'une part parce que Tuxedo est de loin le leader du secteur, et qu'il faut donc se conformer au standard de fait établi par BEA. D'autre part [[page]]parce que l'objectif est clair : il s'agit de capter une partie des clients qui pourraient désirer se libérer de l'emprise d'Oracle. Et au passage, sachant que Tuxedo représente en revenus de maintenance une vache à lait pour BEA, cela pourrait priver Oracle d'une partie de ces revenus récurrents. Dans son blog, Marc Fleury, créateur de JBoss parti quelques mois après l'avoir vendu à Red Hat, s'enthousiasme pour cette décision « intelligente, opportuniste et agressive ». Qui lui rappelle, dit-il, la façon dont JBoss se comportait à ses débuts. Red Hat a par ailleurs profité de ce JBoss World pour réaffirmer sa volonté de devenir un acteur majeur sur le marché des SOA, en ouvrant un centre de ressources, et en repackageant son offre middleware sous le nom JBoss Enterprise SOA Platform. (...)
(14/02/2008 15:21:13)JBoss World : Red Hat expose de grandes ambitions dans le middleware
Pour son premier discours public depuis son investiture, après le remplacement de Matthew Szulik en décembre dernier, Jim Whitehurst a tenu à marquer les esprits. Le CEO de Red Hat a profité de JBoss World à Orlando, la conférence annuelle des utilisateurs de son offre middleware JBoss, pour exposer de grandes ambitions. D'ici sept ans, a indiqué Jim Whitehurst, 50% des déploiements de middleware dans le monde devront se faire avec du JBoss. Craig Muzilla, vice-président de Red Hat en charge de l'offre middleware, estime que le ratio est actuellement de 30%. JBoss, racheté en avril 2006, apparaît donc comme un levier important dans la stratégie de Jim Whitehurst, qui a annoncé la semaine dernière vouloir atteindre la barre du milliard de dollars d'ici trois ans. Le défi pour Red Hat est de doubler son chiffre d'affaires. Le CA annuel publié en mars dernier était de 401 M$, en hausse de 44%. Si l'on cumule les trois premiers trimestres de l'exercice 2008, Red Hat atteint déjà 382 M$, mais la croissance est moins importante.[[page]] Aucune offre produit ne vient enrichir en particulier l'offre JBoss. Craig Muzilla a expliqué qu'il s'agissait surtout pour Red Hat de mieux faire connaître l'étendue de son offre middleware : serveur d'applications, bien sûr, mais aussi BPM, ESB, portail ou encore intégration de données grâce au rachat de Metamatrix. Au lendemain de ce rachat, Red Hat avait d'ailleurs regroupé l'offre middleware JBoss sous une bannière SOA (architectures orientées services). Deuxième volet de la stratégie de Craig Muzilla : agir afin d'augmenter le degré de confiance que les clients et les partenaires peuvent avoir en JBoss, car lorsqu'il faut déployer une solution dans un grand compte, le côté Open Source peut encore paraître comme un handicap. Pour renforcer cette confiance, Red Hat annonce l'ouverture d'un « centre de ressources » dit « Enterprise Acceleration Center » qui sera ouvert aux clients et éditeurs partenaires désirant évaluer l'offre JBoss, tester l'interopérabilité avec leurs solutions, certifier leurs propres produits, etc. (...)
(13/02/2008 15:35:33)Tibco regroupe son offre SOA autour de la v2 d'ActiveMatrix
Il y a autant d'approches des SOA (architectures orientées services) que d'entreprises intéressées. Avec l'évolution d'ActiveMatrix, Tibco s'adresse à une catégorie particulière d'entreprises, celles qui ont commencé à exposer des services issus d'applications diverses à l'aide de technologies hétérogènes. ActiveMatrix intervient alors pour intégrer ces services, composer de nouvelles applications et les superviser. Au besoin en s'appuyant sur d'autres outils middleware de Tibco, comme le bus BusinessWorks. ActiveMatrix devient donc de fait la plateforme SOA de Tibco. Le concept d'ActiveMatrix est de fournir des conteneurs pour héberger les services et des outils techniques pour les exploiter. Cela peut être comparé à une couche de virtualisation, masquant l'origine et la nature des services applicatifs, et permettant de les orchestrer. Un des buts est donc de masquer la complexité. Ainsi, ActiveMatrix supporte SCA (Service component architecture), modèle de référence pour écrire des services (essentiellement en Java), commun aux principaux acteurs du secteur. Il est vrai, précise Rob Meyer, directeur marketing de Tibco, que l'implémentation de SCA ne constitue pas une demande spécifique de la part des clients. Néanmoins, la simplification du développement apportée par SCA est essentielle. Pour lui, « les clients en ont besoin, mais ne doivent pas avoir à s'en préoccuper ». La première version d'ActiveMatrix date de décembre 2006. Rob Meyer compte moins d'une centaine de clients pour cette offre - contre 1300 pour l'offre BusinessWorks (le nom de la plateforme d'intégration « historique » de Tibco) - dont des grands comptes, comme Delta Airlines. (...)
(12/02/2008 17:59:36)TechDays : Entity Framework au niveau des autres ORM, pour Evaluant
Encore en bêta, la solution de correspondance relationnel-objet de Microsoft, Entity Framework, serait déjà au niveau des solutions du marché, en termes de performances. Les TechDays, événement gratuit de Microsoft France rassemblant à Paris plusieurs milliers de développeurs, ingénieurs réseaux et systèmes, hébergent un « Symposium DotNetGuru », animé par les experts, non-Microsoft, de la communauté DotNetGuru. Parmi eux, Sébastien Ros, d'Evaluant, qui a présenté un comparatif sur les performances brutes de plusieurs ORM (Object-relational mappers). Une exclusivité mondiale, précise Sami Jaber, animateur de la communauté. Un ORM vient s'intercaler entre les sources de données, généralement relationnelles, et le code, plutôt habitué à manipuler des objets. Il fournit ainsi une couche d'abstraction qui a plusieurs mérites : cela découple les éléments, ce qui simplifie les évolutions futures, et le code généré est - théoriquement - optimisé. En environnement .Net, plusieurs solutions existent déjà.[[page]] Sébastien Ros, cofondateur d'Evaluant et membre de DotNetGuru, a distingué : Nhibernate (portage d'Hibernate, solution Java à la base), LLBLGen, Genome et Euss (réalisé par Evaluant). Microsoft travaille de son côté sur ADO.Net Entity Framework. Pour reprendre la définition donnée lors des TechDays, Entity Framework « n'est pas un outil de mapping relationnel objet », mais peut en assumer le rôle dans la mesure où il s'agit d'« un ensemble de technologies supportant le développement d'applications orientées données et autorisant le développeur à utiliser des modèles logiques associés à des sources de données physiques ». Au terme d'une batterie d'essais, Sébastien Ros a montré qu'au niveau des performances pures (temps d'accès aux données dans différentes conditions), Entity Framework faisait jeu égal avec Nhibernate. Les deux sont devancés de peu par Euss et LLBLGen, mais sont deux fois plus rapides que Genome. (...)
(08/02/2008 17:02:01)Microsoft attend 10 000 personnes à ses TechDays
Les TechDays organisés par Microsoft France à Paris de lundi à mercredi prochains s'annoncent encore plus imposants que ceux de 2007. Avec plus de 15 000 inscrits ce vendredi, les organisateurs attendent plus de 10 000 visiteurs uniques sur les trois jours, en se référant au succès de l'an dernier. Marc Jalabert, responsable de la division Plateforme et Ecosystème de Microsoft France, cite ainsi les statistiques de la première édition : « 8 000 visiteurs uniques pour 13 000 inscrits ». Le nombre de sessions passe à près de 300, dont près de la moitié seront animées par des experts travaillant pour des laboratoires ou des partenaires de Microsoft. Cette deuxième édition de l'événement, qui fait jeu égal avec les conférences européennes - payantes et en anglais - reste gratuite pour les visiteurs. Selon Marc Jalabert, le financement vient pour la moitié environ des partenaires, dont le nombre a été augmenté. Il y en a une centaine cette année, à tel point que l'événement tient désormais salon sur deux étages du Palais des congrès de la Porte Maillot. Parmi les partenaires, on note la présence de « coopétiteurs » comme Sun, IBM ou EMC, et dans l'Open Source celle de Talend, récemment admis dans le laboratoire Open Source de Microsoft, mais pas celle de JBoss, pourtant lié à Microsoft par un accord spécifique - dont on voit décidément mal la concrétisation sur le terrain. Fait étonnant pour un événement parisien, d'autant que toutes les sessions seront disponibles en vidéo, « 35 à 40% des inscrits viennent de province », précise Marc Jalabert. Toutefois, même si la tournée en province des DevDays n'existe plus, Marc Jalabert promet qu'il y aura « des sessions TechNet et MSDN avec des partenaires dans cinq ou six grandes villes ». (...)
(01/02/2008 10:45:06)Premières assises du développement de SI durables
Le Marriott des Champs-Elysées a accueilli hier les premières Assises des systèmes d'information durables. Initiée par Pierre Bonnet, Dominique Vauquier et Jean-Michel Detavernier, auteurs de l'ouvrage « Le système d'information durable », la communauté Sustainable IT Architecture (S-IT-A) vise à réfléchir aux moyens et aux étapes de refondre les systèmes d'information pour les rendre à la fois agiles et pérennes. Plus de deux cents personnes ont répondu à l'appel, décideurs en entreprise, consultants et éditeurs. (LeMondeInformatique.fr avait lui aussi choisi de s'associer à cet événement.) Les membres de S-IT-A ont pu exposer leur vision de l'évolution des SI, vers une architecture orientée services (SOA) étendue. En effet, si les SOA sont explicitement citées comme l'architecture de référence, S-IT-A distingue plusieurs étapes dans l'application de ses concepts (voir l'illustration). De la SOA de surface à la SOA de refonte Le premier niveau serait la SOA de surface, autrement dit l'ajout de technologies estampillées SOA au-dessus de l'existant. Pour Pierre Bonnet, directeur du conseil chez Orchestra Networks, il s'agit d'une étape nécessaire pour une évolution progressive, mais pas durable. Des témoignages utilisateurs ont confirmé cette vision des choses : à plus ou moins long terme, il faut envisager une refonte. Mais pour que cette SOA de refonte ne soit pas chaotique, les promoteurs de S-IT-A préconisent la mise en oeuvre d'« une chaîne d'agilité » (ACMS, Agility chain management system), extériorisant les données de référence dans un MDM (Master data management), les règles métier dans un BRMS (Business rules management system) et les processus dans un BPMS (Business process management system). Plusieurs éditeurs du secteur, sponsors de cette communauté qui prend à rebrousse-poil le discours des éditeurs majeurs du secteur, étaient là pour confirmer cette vision. Ilog, fournisseur d'un outil de BRMS et cofondateur de cette communauté, a expliqué notamment [[page]] qu'il faut identifier les règles susceptibles d'évoluer le plus rapidement, voire d'être gérées directement par les gens du métier, et choisir d'extérioriser celles-ci pour « créer des points de flexibilité ». Mais quelle que soit l'importance des ces technologies, a insisté de son côté Mario Moreno, responsable qualité et méthodes chez Generali Assurances, le plus important est de gérer le changement du sein de l'entreprise, en sensibilisant et en formant les gens. Autre élément essentiel selon lui, il faut mettre en place une gouvernance opérationnelle, et s'appuyer sur un cadre méthodologique rigoureux, « tel que Praxeme ; d'ailleurs je n'en connais pas d'autre à ce niveau ». Pour lui, la modélisation sémantique en amont, préconisée par Praxeme, la méthode publique initiée par Dominique Vauquier, est essentielle. D'abord pour guider les investissements en SOA dans les métiers qui en ont besoin, et ensuite pour éviter de se retrouver avec des systèmes jetables car mal conçus au départ. Obtenir des financements pour refondre l'architecture Les autres témoignages utilisateurs ont aussi mis en évidence des menaces qui guettent les projets SOA, en-dehors des « SOA de surface ». Pour Jean-Pierre Latour, qui travaille sur le portail de la sécurité sociale belge, il faut par exemple faire attention à n'introduire de la flexibilité que là où c'est nécessaire, car ces technologies offrant de l'agilité augmentent les coûts de développement, induisent de la fragilité de par leur complexité, et posent éventuellement des problèmes de performance. Autre question abordée lors de cette conférence, la façon d'obtenir des financements, ou au minimum du soutien, de la part de sa direction générale pour des projets de refonte qui, dans un premier temps pour la plupart, n'apportent rien en termes de fonctionnalités. De la même façon qu'il est impossible de déterminer une stratégie unique pour commencer un projet SOA, ce type de relation avec la direction générale dépend trop du contexte pour qu'on puisse établir une tactique gagnante à tous les coups. Restent quelques exemples. Ainsi, Jean-Michel Detavernier, DSI adjoint de SMABTP, a financé ses nouveaux projets grâce aux économies réalisées avec la suppression des anciens systèmes. Jean-Pierre Latour a lancé un fonds de roulement qui sert à financer des développements réutilisables, et s'alimente en facturant des équipes projet réutilisant des composants existants. (...)
(24/01/2008 09:41:16)IBM s'offre la solution de gestion d'événements d'AptSoft
IBM a annoncé l'acquisition d'AptSoft, éditeur d'une solution de gestion des événements en temps réel. La gamme WebSphere se complètera ainsi d'une solution pour surveiller les flux d'informations et corréler les événements, afin d'agir dessus au plus vite. AptSoft est en effet un des pionniers du marché du CEP, ou Complex event processing (aussi appelé ESP, Event streaming processing), aux côtés de Streambase, Aleri ou Apama. Son offre Director for CEP a d'abord été conçue pour détecter les fraudes et optimiser les ventes. Un logiciel de CEP analyse des flux d'informations en temps réel et les compare à une base de règles. Il peut ainsi détecter lorsque des anomalies surviennent, même si elle a lieu au sein d'une multitude d'événements, comme des ordres de Bourse ou des lectures d'étiquettes RFID. Associé à un logiciel de BPM (Business process management, gestion des processus métier), cela permet de déclencher des processus dès qu'un seuil est franchi ou une anomalie détectée. Oracle, Sun ou Tibco communiquent régulièrement sur ce sujet, estimant qu'il s'agit d'une évolution naturelle des SOA (architectures orientées services), tandis qu'IBM ne disposait jusqu'à présent que d'un simple courtier de messages, Wepsphere event broker. (...)
(18/01/2008 15:31:46)27 correctifs Oracle pour ce mois-ci
Le tout dernier lot de correctifs d'Oracle (ou Critical patch update, CPU) totalise 27 rustines, donc 8 colmatant des défauts de la base de données, et 6 concernant le serveur d'applications. Les trous de sécurités les plus importants concernent de sérieux risques d'attaques par injection SQL et par exploitation d'inconsistances dans XML DB (le danger pouvant provenir des stations « clientes »). Coté serveur d'application, Oracle précise que 5 des défauts sont potentiellement exploitables à distance. Rappelons à cette occasion l'étude publiée par Sentrigo qui laissait apparaître que 67% des utilisateurs d'Oracle, sur un échantillonnage de 300 installations, n'avaient jamais appliqué un CPU, chiffre qui démontre non pas « l'inconscience » des administrateurs Oracle, mais la difficulté et les risques supposés liés à l'application d'un code - correctif ou non - sur une application aussi stratégique qu'un SGBD ou qu'un outil métier. (...)
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