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Middleware et serveurs d'application

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(08/04/2008 04:00:18)

Impact 2008 : IBM entame sa conférence SOA avec du 'business event processing'

C'est dans la grande salle de spectacle de l'un des grands hôtels-casinos de Las Vegas qu'IBM a donné lundi le coup d'envoi d'Impact 2008, un cycle de conférences d'une semaine réunissant 6000 utilisateurs et partenaires pour parler de SOA (architectures orientées services). Ou plutôt de « Smart SOA », comme IBM a choisi d'appeler son offre, afin, comme l'a dit l'humoriste invité par IBM pour animer la conférence d'introduction, « de se distinguer des concurrents qui vendent probablement de la SOA stupide ». Après plusieurs saynètes allant du ridicule au sublime, donc tout à fait dans le ton de ce qui se pratique à Las Vegas, une brochette de dirigeants d'IBM Software se sont succédé afin de présenter la logique derrière ce « smart » et ce que les clients peuvent attendre dans les prochains mois. Des modules fonctionnels et verticaux pour accélérer les SOA Robert Leblanc, directeur général de la branche Global consulting services, a par exemple insisté sur la prise en compte des spécificités des entreprises. Cela se traduit par l'introduction de deux « key agility indicators », ou indicateurs clés d'agilité, censés aider à mesurer son degré d'agilité dans un domaine particulier. Ces indicateurs ont été élaborés à partir d'enquêtes menées auprès des clients : 400 répartis dans 31 pays pour le KAI sur la gestion des ressources humaines, 9 000 répartis dans 71 pays pour le KAI sur la gestion de la chaîne logistique. Autre module vertical lancé aujourd'hui, un « customer care and insight framework » destiné aux établissements financiers, pour mettre en place une vue unifiée du client. Tom Rosamilia, directeur général IBM Websphere (qui avait justement annoncé le concept de Smart SOA lors de notre dernier SOA Forum), s'est octroyé le beau rôle en apportant, pour les 10 ans de Websphere, deux cadeaux : BPM Suite et Websphere Business Events. [[page]]Le premier constitue, pour reprendre la rhétorique d'IBM, deux points d'entrée dans les Smart SOA, selon que l'on parle de gestion de processus applicatifs s'appuyant sur la plateforme Websphere, ou de gestion de processus liés à du contenu, s'appuyant cette fois sur la plateforme FileNet. IBM veut mettre la gestion des événements dans les mains des utilisateurs Le module de gestion des événements, Websphere Business Events, est plus novateur : il s'agit cette fois d'introduire les technologies héritées d'AptSoft dans un outil plutôt destiné à des utilisateurs métier. « C'est la grande différence avec ce que pratiquent les concurrents », nous a confié par la suite Jerry Cuomo, vice-président et directeur technique Websphere. Oracle, Tibco ou Progress (qui a racheté Apama dans ce domaine) parlent depuis longtemps de gestion des événements complexes (CEP, complex event processing), une technologie qui permet de déclencher des processus en fonction de règles, à partir de l'analyse des flux d'informations et des transactions. AptSoft, justement, mettait cette technologie au service des banques pour repérer les tentatives de fraude, mais aussi pour améliorer leur relation client. « IBM, explique Jerry Cuomo, va au-delà, en permettant aux non informaticiens d'écrire les règles métier. C'est une autre façon d'aligner le métier et l'informatique. » Du coup, IBM parle plutôt de Business Event Processing. Plus classiquement, Steve Mills, vice-président senior d'IBM Software, a rappelé qu'un des grands éléments différentiateurs de l'offre SOA d'IBM est sa capacité à assurer l'intégrité de forts volumes de transactions. Mais il ne craint pas le grand écart, et assure aussi que la simplicité est prise en compte : une annonce en ce sens est programmée pour le deuxième jour de la conférence. (...)

(08/04/2008 11:04:54)

Impact 2008 : Wintergreen crédite IBM de 64% du marché des middlewares SOA

L'étude « Services Oriented Architecture (SOA) Infrastructure Market Shares Strategies, and Forecasts, 2008 to 2014 » de Wintergreen Research est tombée à point nommé pour IBM : dévoilée quelques jours avant le lancement de la conférence utilisateurs Impact à Las Vegas, elle crédite IBM d'une part de marché de 64%, alors qu'aucun des concurrents éditeurs de middleware ne dépasse les 8% ! Même avec l'absorption de BEA, Oracle n'arrive ainsi, selon Wintergreen, qu'à 7%, au même niveau que Tibco. Trois acteurs atteignent ensuite les 4% : Software AG, Microsoft et Progress Software (voir le tableau ci-dessous). 64%, c'est « 11 points de mieux que l'année dernière », a remarqué Sandy Carter, vice-présidente d'IBM SOA et Websphere, qui ne s'est pas privée d'évoquer cette étude lors de son discours d'introduction. Elle a également précisé que l'offre SOA d'IBM comptait maintenant 6 550 clients, un nombre en augmentation de 46% par rapport à l'édition 2007 d'Impact. (...)

(08/04/2008 10:57:41)

Impact 2008 : IBM lance un réseau social des spécialistes SOA

Qui a dit que Web 2.0 et SOA n'allaient pas ensemble ? Pas IBM qui a profité du lancement de sa conférence Impact 2008 pour annoncer l'ouverture prochaine d'un réseau social SOA. IBM souhaite en effet s'appuyer sur les outils existants, de type Facebook, Twitter ou Second Life, pour rassembler les diverses communautés ayant les architectures orientées services comme point commun. « Nous avons une population de 120 000 développeurs et architectes, 134 universités enseignant les SOA, et plus de 5 000 partenaires », a rappelé Sandy Carter, vice-présidente d'IBM SOA et Websphere. Ces communautés sont désormais invitées à entrer en contact, pour échanger conseils et bonnes pratiques. Autre intérêt, explique Sandy Carter, cela permettra d'inclure d'autres types de profils, tels que des experts métier. Chaque participant devra en effet définir son rôle, et des rôles non techniques sont prévus. Les SOA sont, il est vrai, autant affaire de technique que de changements organisationnels. En attendant l'ouverture du réseau social, les participants à Impact présents à Las Vegas, mais aussi tous les clients et partenaires IBM dans le monde, sont invités à une session de discussions en ligne, un « Smart SOA jam ». (...)

(03/04/2008 17:37:24)

Xcalia passe dans le giron du groupe Progress

Editeur français de produits de connectivité des données, Xcalia a accepté une proposition de rachat de la part de Datadirect, une des divisions du groupe Progress Software. Close en février dernier, la transaction a été rendue publique il y a quelques jours. Pierre Violo, ancien PDG et actionnaire de Xcalia, explique que les discussions duraient depuis l'été 2007 : « Progress voulait s'engager plus avant dans SDO [Service data objects, spécifications de l'Oasis pour un modèle de programmation unifiée fournissant une couche d'abstraction pour l'accès aux données, NDLR]. En faisant leurs études, ils ont jugé que Xcalia avait la meilleure solution, et ils nous ont approchés. » Eric Samson et l'équipe de développement restent en place Pierre Violo est resté actif environ deux mois avant de passer définitivement la main. « Je ne voyais pas quel rôle j'aurais pu jouer, dit-il, l'activité française devenant un pôle de R&D. » L'ancien PDG explique que l'éditeur avait justement pris la décision de lever le pied sur le développement à l'international pour favoriser la R&D. La quinzaine de collaborateurs, « essentiellement en R&D », continuera de travailler pour Datadirect, et devrait être rejointe par d'autres personnes. D'ailleurs Eric Samson, cofondateur de Xcalia en 2000 (sous le nom Libelis, la société proposait alors une implémentation de JDO, standard Java d'accès aux données), rejoint Datadirect au poste de directeur technique pour les services de données. Comme le souligne Charles Gold, vice-président marketing de Datadirect, « nous avons été impressionnés par la technologie de Xcalia mais aussi par les développeurs et les architectes ». [[page]] Comme il se doit, Pierre Violo considère que ce rachat par un éditeur d'envergure mondiale est une bonne chose pour les employés, les clients et la technologie. Seul hic, alors que Xcalia propose une plateforme d'intermédiation des données adaptable avec tout middleware, la solution risque de perdre en neutralité, dans la mesure où Progress est lui-même un vendeur de middleware, concurrent de Tibco, Oracle, BEA. « Absolument pas, répond Charles Gold. C'est tout l'héritage de Datadirect, nous travaillons en toute autonomie par rapport à Progress. Regardez notre pilote ODBC, il n'a aucune extension propriétaire. Si vous êtes un Business Objects et que vous voulez que votre solution fonctionne avec toutes les bases de données, vous choisirez notre logiciel. Trois cents éditeurs embarquent nos pilotes de connexion aux bases de données. Et vous verrez que tous les produits que nous proposerons respecteront cette neutralité. » Charles Gold souligne par ailleurs la proximité culturelle entre Datadirect et Xcalia, les deux sociétés étant extrêmement présentes dans les instances de normalisation ; Xcalia participait ainsi aux comités travaillant sur SDO et SCA. Les solutions Xcalia seront progressivement introduites dans l'offre logicielle globale, et prendront à terme le nom Datadirect. Xcalia était l'un des éditeurs du programme Idées de Microsoft. Le montant du rachat n'a pas été communiqué, Xcalia étant majoritairement détenu par des fonds d'investissement (notamment Innovacom, Iris Capital, I-Source et Cap Decisif). (...)

(31/03/2008 17:20:31)

Annuels Red Hat : le support dope les revenus

Résultats exercice 2008 Chiffre d'affaires : 523 M$ (+31%) Résultat net : 76,6 M$ (+28%) Pour sa première présentation de résultats annuels en tant que PDG de Red Hat, James Whitehurst a fait état des bonnes performances réalisées au cours de l'exercice par le groupe qu'il dirige depuis le mois de janvier. Le spécialiste des OS et du middleware Open Source affiche ainsi des revenus en hausse de 31% sur un an, à 523 M$. La très grande majorité de cette somme est issue des contrats de support, dont le chiffre d'affaires bondit dans les mêmes proportions (+32%, à 449,8 M$). Le groupe se félicite d'avoir fait croître ses dépenses de R&D de 37% au cours de l'exercice, à 97,4 M$. Progression également à deux chiffres pour le résultat net, qui s'envole de 28%, à 76,6 M$. Pour l'exercice 2009, Red Hat table sur un chiffre d'affaires compris dans une fourchette de 665 M$ à 680 M$, soit une progression en ligne avec celle réalisée cette année (entre 27% et 30%). Ce rythme de croissance, s'il reste constant au cours des exercices à venir, devrait permettre au groupe d'atteindre l'objectif fixé par James Whitehurst lors de sa prise de fonction en janvier : faire franchir à Red Hat le cap du milliard de dollars de revenus à l'horizon 2011. (...)

(27/03/2008 16:14:37)

Sun annonce une offre MySQL-Glassfish

Quinze jours à peine après la finalisation du rachat de MySQL, Sun annonce une distribution du serveur d'application Java EE Open Source GlassFish associée à la base de données MySQL. Le 14 mars dernier, Jonathan Schwartz, PDG de Sun, avait déclaré sur son blog que les équipes R&D de la société, composées de plus de 10 000 personnes, s'étaient lancées dans de multiples projets. Il semble donc que les travaux aient bien avancé. Mise en ligne aujourd'hui, la distribution GlassFish-MySQL fait moins de 150 Mo dans sa version complète. Disponible pour les plateformes Solaris, Linux, Windows et Mac, elle comprend la V2 du serveur d'application, MySQL Community Server 5.0 et le pilote JDBC MySQL 5.1.6. Cette initiative s'inscrit dans les objectifs que Jonathan Schwartz s'était fixé lorsqu'il déclarait sur son blog : « À partir d'aujourd'hui, nous lançons au niveau mondial des programmes visant à promouvoir MySQL dans les entreprises afin qu'il soit adopté à plus grande échelle ». (...)

(04/03/2008 17:08:03)

Serena lance trois gammes de logiciels en mode SaaS

L'éditeur américain Serena s'apprête à proposer un accès en mode hébergé à ses trois gammes de logiciels. En mai dernier, ce spécialiste de la gestion du cycle de vie des applicatifs (ALM, application lifecycle management) a étendu son offre vers la gestion de projet avec le produit Serena Mariner, issu du rachat de Pacific Edge. Plus récemment, en septembre, il a annoncé un éditeur de mashups, services applicatifs permettant d'agréger différentes fonctionnalités. Aujourd'hui, l'éditeur annonce qu'il va progressivement fournir ces trois catégories de logiciels sous la forme de services accessibles en ligne (modèle SaaS, software as a service). Le premier à être disponible sous cette forme, en avril prochain, sera Serena Mariner, la solution de gestion de portefeuilles de projets (PPM, project and portfolio management). L'abonnement à ce logiciel sera proposé à partir de 18 dollars par utilisateur et par mois. (...)

(28/02/2008 16:12:17)

Microsoft lance officiellement sa famille de serveurs 2008

Habitué aux lancements de produits tonitruants, Microsoft n'a pas dérogé à la règle en rassemblant développeurs et administrateurs systèmes pour un grand show à Los Angeles, à l'occasion du lancement de SQL Server 2008, Visual Studio 2008 et Windows Server 2008. Mais Steve Ballmer, CEO de Microsoft, a bien pris soin de mettre en avant non pas ces produits eux-mêmes, mais leurs utilisateurs, qu'il a appelés « le coeur et l'âme de l'industrie informatique ». Le show était d'ailleurs sous-titrés « heroes happen here », et des vidéos un tantinet larmoyantes ont émaillé le lancement, afin de montrer comment des utilisateurs pouvaient devenir des héros en recourant aux technologies Microsoft. Côté produit, il faut préciser que ce lancement simultané est surtout symbolique : il s'agit de montrer que Microsoft franchit une étape dans l'informatique d'entreprise. Car ce lancement a aussi quelque chose de fictif, dans la mesure où seul l'atelier de développement Visual Studio est véritablement disponible. Il manque en effet à Windows Server une pièce essentielle, à l'heure où la virtualisation constitue un argument de poids, justement, dans la décision de déployer un système d'exploitation serveur : l'hyperviseur Hyper-V n'arrivera que dans quelques mois. Steve Ballmer lui-même a insisté sur l'importance de cet élément, en expliquant que Microsoft s'engageait à « démocratiser la virtualisation ». Pour le CEO de Microsoft, la virtualisation devrait pouvoir être adoptée « par 90 à 100% des serveurs, et non 5 à 7% comme actuellement ». Quant à l'évolution de la base de données, on ne l'attend que cet automne. Les détails des produits eux-mêmes ayant été largement dévoilés, les démonstrations sur scène étaient presque superflues. Surtout pour le public français, qui a eu droit à un lancement en avant-première lors des TechDays. Dans un entretien vidéo exclusif avec LeMondeInformatique.fr, Steve Ballmer estime que les ventes de Windows Server 2008 pourraient dépasser celles de Windows Server 2003 d'ici un an ou deux. (...)

(26/02/2008 15:45:18)

Les dépenses en SOA augmentent, les risques aussi, note AMR Research

Bonne nouvelle pour les architectures orientées services : le nombre d'entreprises ayant investi en SOA a doublé en un an, d'après AMR Research. Le cabinet souligne qu'à fin 2007, 53% des grandes entreprises (comptant plus de 500 personnes) étaient engagées dans des projets SOA, pour une dépense moyenne de 1,4 M$ par an. La mauvaise nouvelle, c'est qu'une grande part de cet argent sera dépensée en vain, juge AMR Research. L'étude, intitulée "The SOA Spending Report 2007-2008", a été réalisée auprès de 405 entreprises, aux Etats-Unis, en Allemagne et en Chine. Elle montre une adoption relativement large des SOA dans plusieurs secteurs d'activité. Les acteurs du commerce de détail auraient à 59% adopté les SOA pour au moins un projet, ceux des télécoms à 54% et ceux de la finance à 42%, ces derniers dépensant toutefois plus. Alors que 45% des entreprises ayant un projet de SOA auraient dépensé plus de 500 000 dollars en logiciels et services pour ce projet en 2007, 63% des acteurs de la finance ont eux dépensé plus d'un million de dollars pour leur projet SOA. Le problème, souligne Ian Findley, directeur de recherches chez AMR, est que cet argent risque d'être gâché. Interrogées sur les critères décisifs pour adopter les architectures orientées services, les entreprises ont fourni de multiples raisons, comme si chaque porteur de projet se servait des SOA comme d'une ombrelle pour justifier des dépenses supplémentaires. Auquel cas, il faudrait prendre ce ralliement autour du concept des SOA avec des pincettes, avertit Ian Findley. [[page]] En effet, d'après l'étude d'AMR Research, 16% des entreprises adoptent les SOA afin de développer une nouvelle compétence technologique, 18% parce que ce serait le meilleur moyen pour répondre aux besoins d'un projet en particulier, 17% dans le but de diminuer les coûts grâce à la réutilisation, 22% pour gagner en agilité et 14% pour moderniser leur architecture. Pour Ian Findley, cela signifie que les bénéfices liés aux architectures orientées services ne sont pas clairs et, partant, que les SOA pourraient ne pas dépasser le cadre des 'early adopters', les entreprises pionnières. « D'autres suivraient si on pouvait cristalliser les bénéfices clés », estime-t-il. Conscient que ces bénéfices pourraient être très différents selon le point de vue (du DSI, du directeur financier, du développeur, etc.), il explique : « il ne faut pas nécessairement un bénéfice commun, mais il faut que les avantages individuels soient reliés entre eux. » Autre risque de désillusion, l'enquête montre que le principal bénéfice vendu par les fournisseurs, la réutilisabilité des services applicatifs, n'est pas celui que les pionniers ont obtenu, le code écrit pour un projet n'étant pas forcément pertinent pour un autre. Du coup, les métriques utilisées pour mesurer le retour sur investissement ne seraient pas les bonnes. Le bénéfice clé, beaucoup plus délicat à mesurer, poursuit Ian Findley, est lié à l'agilité, à la capacité de répondre plus rapidement aux exigences du métier. Mais, conclut-il, la plupart constatent un gain certain, et « très peu estiment que cela n'en valait pas la peine ». (...)

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