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Middleware et serveurs d'application

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(04/10/2007 18:05:53)

BEAWorld 2007 : BEA prépare Tuxedo à la SOA

A l'occasion de BEAWorld 2007 (à Barcelone), BEA a livré la version 10 de Tuxedo, le moniteur transactionnel historique de l'éditeur. Cette mouture doit notamment redonner des couleurs au produit en le dopant à la SOA, désormais fer de lance de BEA. Ainsi, cette version 10 supporte désormais les standards reconnus de sécurité liés au cryptage de messages, notamment le SSL (Secure Sockets Layer). Selon BEA, les versions précédentes ne reposent que sur un cryptage propriétaire. Toujours dans la famille Tuxedo, BEA annonce la version 2.0 de SALT (Services architecture leveraging Tuxedo), qui supporte désormais les services Web bi-directionnels. L'éditeur affirme que cette mouture supporte également WS-Security. Enfin, BEA dévoile TSAM 1.1 (Tuxedo System and application Monitor), application de monitoring de transaction de services et de contrôle de SLA (Service Level Agreement). (...)

(04/10/2007 18:04:59)

BEAWorld 2007 : BEA prône les processus tournés vers les utilisateurs

L'heure est au Web 2.0. Alfred Chuang, fondateur et PDG de BEA dans son discours d'inauguration de BEAWorld 2007 à Barcelone, a déclaré que dans le contexte IT actuel, tout était mashup. Et que BEA, en tant que fournisseur d'infrastructure, avait des réponses à apporter. C'est devant un parterre de quelque 2000 partenaires et clients de l'éditeur que le PDG a livré assez laconiquement, les orientations et les ambitions de sa société. Au programme, les applications dynamiques (Dynamic business application) conjuguant SOA, BPM et, plus surprenant, le social computing ou Web 2.0. Un nouveaux concept d'applications qui s'adossera à une plateforme de développement baptisée Genesis. Pour Alfred Chuang, le postulat de base est simple : primo, l'industrie connaît une révolution avec le social computing et le Web 2.0, qui place l'utilisateur au centre de la manipulation de données. Et secundo, l'innovation par les applications packagées est révolue. "Passer cinq ans et dépenser des millions de dollars à développer une application, c'est du passé". Place ainsi aux applications composites, à la SOA, coeur de métier de l'éditeur. Ce changement quasi-culturel - selon BEA - dans l'industrie informatique pousse ainsi Alfred Chuang à fusionner le meilleur des mondes. Son concept : rapprocher des utilisateurs les processus métier et leur manipulation. « Des applications reposant sur l'humain façonnées pour ses méthodes de travail. » A partir de services et de processus métier pré-conçus, l'utilisateur, au travers de mashup, manipulera les tâches et les données dont il a la charge, en fonction de son rôle (commercial, marketing, comptabilité, etc...). Wiki, Blog, RSS apporteront un côté collaboratif à l'ensemble. Genesis pour soutenir le concept Alfred Chuang a ensuite présenté le Projet Genesis, plateforme qui se composera d'une série de modules, dont la nature reste pour l'heure peu commentée. On parle notamment d'un socle de services et de processus métier, qui pourront être fédérés à des fins de mashup. A l'occasion de l'édition américaine de BEAWorld 2007 à San Francisco (du 10 au 12 septembre), Alfred Chuang a également ajouté que Genesis intégrera des possibilités de SaaS et de facturation à l'utilisateur. Workspace 360 servira d'environnement de développement. (...)

(02/10/2007 11:41:05)

Web 2.0 : attention aux risques liés à Ajax, préviennent les experts

A l'occasion de l'AjaxWorld 2007 Conference & Expo qui s'est tenue fin septembre à Santa Clara (Californie), certains experts sont revenus sur les avantages mais également les risques liés à l'utilisation d'Ajax dans le cadre des applications de type Web 2.0. Ils reconnaissent en effet que la méthode de développement Ajax (Asynchronous JavaScript And XML) permet de concevoir des applications Web plus ergonomiques, car plus interactives, et qui s'exécutent plus rapidement puisque tous les traitements sont effectués sur le poste de travail sans les allers-retours avec les serveurs toujours synonymes de délais d'attente. Mais, ces mêmes experts, issus d'IBM, Oracle, Sun ou encore de sociétés spécialisées dans la création de sites Web, rappellent que les applications Ajax sont loin d'offrir la fiabilité, la richesse fonctionnelle et tout particulièrement la sécurité d'applications s'appuyant sur un serveur. Ted Farrell, architecte en chef et vice-président outils et middleware d'Oracle, rappelle déjà qu'en raison de la jeunesse des technologies, les entreprises doivent être prudentes quand au choix de leur solution : il y a deux grands frameworks sur le marché, et entre Microsoft et Adobe, il vaut mieux qu'elles ne se trompent pas car elles risqueraient alors de se retrouver coincées pour des années. Pour sa part, Danny Allan, expert d'IBM en sécurité, s'inquiète davantage de l'utilisation de sections de code fournies par les frameworks Ajax : les développeurs insèrent dans les programmes sophistiqués des entreprises des portions de codes qu'ils ne maîtrisent pas. En d'autres termes, ils perdent le contrôle de leurs développements. Pour autant les experts se veulent rassurants, l'idée n'étant pas de bannir Ajax des applications des entreprises mais plutôt de l'utiliser en bonne connaissance de cause, en commençant par clairement identifier ce qui « doit rester sur le serveur et ce qui doit aller sur le client » pour tirer le meilleur de Web 2.0, estime Robert Brewin, CTO de l'entité Software group de Sun. (...)

(20/09/2007 15:08:02)

Canonical met Ubuntu au coeur d'appliances virtuelles sous VMWare

Canonical, bras commercial de la communauté Linux Ubuntu, a mis au point une version minimale de son OS pour l'installer avec ESX, l'hyperviseur de VMWare, sur des "appliances virtuelles". Baptisée Ubuntu JeOS (pour Just Enough Operating System), cette version n'occupe plus que 215 Mo en mémoire au lieu des 700 Mo de la version complète d'Ubuntu. JeOS a été débarrassé d'éléments comme le noyau du SGBD MySQL, le serveur mail Postfix, le module d'impression et la couche LDAP. Si l'on ajoute à JeOS un hyperviseur ESX issu de la version 3i, qui ne pèse plus que 32 Mo, on voit bien se dessiner les contours de l'appliance virtuelle : un ensemble applicatif directement opérationnel sur un serveur virtualisé. VMWare, qui annonce en parallèle son Virtual Application Developement Kit, précise que JeOS fonctionne aussi avec l'ancienne version d'ESX, celle qui pèse 2 Go. Il est prévu que JeOS, qui sera disponible en environnement VMWare d'ici octobre prochain, soit aussi adapté aux hyperviseurs Xen et KVM. Rappelons que VMWare compte aussi rPath parmi ses partenaires, un des pionniers des appliances virtuelles fondé par des anciens de Red Hat. Sur le même sujet VMWare lance ESX Server 3i, hyperviseur embarqué (...)

(18/09/2007 12:32:03)

Sun hisse son serveur d'applications Open Source au niveau entreprise

GlassFish sort du giron des développeurs pour tenter sa chance dans les déploiements d'entreprise. La deuxième version du serveur d'applications Open Source de Sun, lancée cette semaine, propose en effet des fonctions attendues pour déployer des applications d'envergure, telles que la réplication de données ou l'administration centralisée de clusters. Un pas a également été fait en direction des technologies Microsoft, sous la forme d'une pile de services Web, le 'Metro Project', destinée à favoriser l'interopérabilité entre Java et .Net. GlassFish, dont la version commerciale, supportée, de la v2 se nomme Sun Java System Application Server 9.1, ne compte pas encore de référence significative en France, admet Alexis Moussine-Pouchkine, architecte Java chez Sun France. Mais il ajoute aussitôt que « sur les dix grands clients Sun participant au programme bêta, quatre sont français ». Il explique également devoir former en interne pour répondre à la demande. « En résumé, j'ai plus de prospects qu'on n'a jamais eu de clients [sur ce segment logiciel]. » 10% de mieux que WebLogic au SPECjAppServer2004 Alexis Moussine-Pouchkine explique cet engouement par le bond en fonctionnalités et en performances du serveur d'applications. « Les entreprises réfléchissent à un serveur d'applications Open Source mais ne veulent perdre ni en fonctionnalités ni en performances. Aujourd'hui, on n'est plus obligé de choisir. » Et de citer les résultats du benchmark SPECjAppServer2004, où GlassFish obtient un score de 10% plus élevé que BEA Weblogic, « et 30% de plus qu'IBM Websphere », note Alexis Moussine-Pouchkine. De fait, si cela ne démontre pas une supériorité écrasante, cela signifie du moins que GlassFish est dans la course. Malheureusement, la comparaison avec le leader du secteur en Open Source, JBoss, n'est pas permise, la filiale de Red Hat ne publiant pas ses résultats. A noter que GlassFish v2 formera le socle de l'offre SOA de Sun, Java Caps (pour Composite application platform suite), dont la prochaine version sortira vers le printemps 2008. (...)

(17/09/2007 17:35:09)

Coda développe une offre de gestion sur Force.com

Le Britannique Coda va développer une solution comptable qu'il proposera comme un service en ligne. Ce qui fait la particularité de cette annonce, c'est le choix de la plateforme de développement Force.com de Salesforce pour la conception de ce logiciel, baptisé Coda 2go. Une plateforme que Salesforce vient tout juste de présenter à sa conférence Dreamforce (San Francisco, 16-19 septembre). Coda fait donc partie des premiers éditeurs à se lancer dans le développement d'applications construites nativement sur Force.com. Elargissant sa cible traditionnelle constituée des moyennes et grandes entreprises (2 600 clients dans le monde), le logiciel Coda 2go répondra cette fois aux « besoins financiers de tous types d'organisations », des petites structures de 10 salariés jusqu'aux groupes comptant des dizaines de milliers de collaborateurs. Cette offre « à la demande » sera commercialisée par domaines fonctionnels dans le courant de l'année 2008. La première livraison concernera la gestion commerciale, couvrant le processus allant de la commande client jusqu'à l'encaissement. Viendront ensuite le suivi des achats, puis l'ensemble de la gestion comptable et financière. L'éditeur précise que l'offre reprendra les éléments phares de ses produits traditionnels, notamment « le grand livre unifié ». Cette annonce conjointe de Coda et Salesforce d'une future solution de gestion en ligne intervient deux petits jours avant la présentation attendue de l'offre « à la demande » de SAP, en cours de développement depuis plusieurs mois. (...)

(14/09/2007 11:47:39)

Serena se lance dans le business des mashups

Virage stratégique pour Serena Software, annoncé lors de sa conférence utilisateurs à Chicago. L'éditeur spécialisé dans les outils de gestion du cycle de vie des applications compte lancer d'ici à la fin de l'année un éditeur de mashups, ces services applicatifs composites agrégeant diverses fonctionnalités. Serena cite en exemple la possibilité de transférer un devis réalisé dans Salesforce vers SAP, ou de déclencher un processus de workflow dans Documentum suite à une requête dans Remedy. Serena Mashup Composer sera gratuit, et son lancement sera accompagné de celui d'un site d'échange, « une place de marché en ligne où les 'mashers' pourront trouver, acheter et vendre des mashups prépackagés, des services Web et des services professionnels conçus pour résoudre une myriade de problèmes professionnels pour des entreprises de toute taille ». Dans son descriptif, Serena prend soin de ne pas céder à la tentation facile d'opposer la simplicité des mashups et la complexité des SOA (architectures orientées services). La solution est plutôt présentée comme un moyen « d'étendre la valeur des SOA ». Serena présente son offre comme « le premier environnement drag-and-drop permettant à des 'mashers' de créer des mashups professionnels basés sur des processus et tirant tous les bénéfices des SOA et des services Web, sans écrire le moindre code ». A noter que l'offre est pilotée par René Bonvanie, ancien de BO, Oracle et SAP, et qui gérait encore au printemps dernier l'offre AppExchange de Salesforce. (...)

(12/09/2007 09:35:18)

Le fondateur de DotNetGuru se lance en solo

Sami Jaber, médiatique directeur technique de Valtech, et largement connu dans la communauté des développeurs pour ses efforts liés au site DotNetGuru, a décidé de se lancer en solo. Sami Jaber a fondé DNG Consulting, pour intervenir en conseil et formation auprès des entreprises sur des problématiques liées à la technologie .Net mais aussi à Java - d'où un DNG « qui signifie plutôt Design New Guides que Dot Net Guru », souligne-t-il dans son blog. Cette décision s'explique en partie par la volonté de Sami Jaber de se donner plus de liberté, afin de pouvoir, nous dit-il par exemple, « aider davantage les sites communautaires ou multiplier les séminaires sans aspect commercial comme les rencontres GWT » [NDLR : consacrées à Google Web Toolkit, et co-organisées avec Didier Girard, directeur technique de Sfeir]. Les relations semblent plutôt bonnes en tout cas avec son ancien employeur, puisque la SSII lui a confié « la sous-traitance d'un gros projet sensible », qui devrait assurer une bonne partie de son chiffre d'affaires d'ici à fin 2008. (...)

(20/08/2007 17:14:50)

Serveur Web : Apache perd du terrain face à IIS

Apache sur le déclin ? Alors que l'Open Source gagne de plus en plus de terrain dans les entreprises, tant sur le bureau que sur les infrastructures serveurs, deux études pointent du doigt la baisse de popularité d'Apache sur le segment des serveurs Web, au profit de son concurrent Microsoft IIS. Un segment sur lequel l'application Open Source avait pourtant gagné ses lettres de noblesse. Dans son étude annuelle qui répertorie les technologies d'hébergement de sites Web des entreprises du Fortune 1000, Port80 Software - un spécialiste du développement sur IIS - souligne la nette progression (+9,5%) de la version 6 du serveur Web de Microsoft depuis août 2006, dépassant ainsi pour la première fois le sacro-saint couple II5 / Windows 2000. Mais plus révélateur encore, les versions 4 à 7 d'IIS trusteraient quelque 55% des plateformes d'hébergement des sites de ces entreprises. Apache, de son côté, ne motoriserait qu'un petit 25% des sites de plus riches sociétés américaines. Pour Port80 Software, cette hausse de popularité reposerait principalement sur l'adoption, par 51,5% de ces sociétés, d'environnement Microsoft ASP.Net. Depuis 2005, indique l'étude, la technologie de l'éditeur de Redmond - intimement lié à IIS - a progressé de 7,9%. Java, PHP et ColdFusion n'étant utilisé que par 24% du Fortune 1000. Ce pavé dans la mare intervient alors que Netcraft a démontré dans son dernier observatoire que les parts de marché d'Apache fondaient comme neige au soleil face à un IIS en pleine ascension au niveau mondial. Si Apache a conservé la tête du classement avec 48,4% du marché en 2006, il a cependant perdu un million d'utilisateurs sur la période. Une diminution amorcée au profit d'IIS qui se hisse, quant à lui, à 36,2 % du marché. Et ce ne serait qu'un début, semble poursuivre l'étude de Port80 Software : « Si la tendance des précédentes études se confirme, IIS 7 devrait devenir le premier serveur Web des sociétés du Fortune 1000, d'ici à 2011.» (...)

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