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Middleware et serveurs d'application

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(17/10/2007 12:32:17)

TechEd : SAP se paie Yasu pour doper Netweaver au BPM

SAP poursuit ses emplettes. Après avoir annoncé le rachat du Français Business Objects le 8 octobre, le géant allemand se paie, plus modestement, le petit Indien Yasu Technlogies (120 employés), spécialiste de la gestion de règles métier (BRM - Business rules management). Une opération qui doit, selon l'Allemand, doter son environnement Netweaver de fonctions de gestion de BPM. Annoncée à l'occasion de la conférence développeur SAP TechEd (Munich, du 17 au 19 octobre), l'acquisition, dont le montant n'a pas été communiqué, doit se finaliser en octobre. Dans un communiqué, SAP indique que cette opération est en ligne avec sa stratégie de cimenter son offre. Concrètement, la technologie de Yasu doit permettre aux clients de SAP « d'appliquer des règles métier à leurs processus dans un environnement hétérogène ». Techniquement, l'offre de l'Indien, dont le produit-phare QuickRules BRMS est décliné pour .Net et Java, est focalisée sur l'automatisation ainsi que le contrôle des politiques de conformité des processus métier avec l'entreprise. SAP prévoit de fondre le système BRMS de Yasu au futur module d'intégration Process Integration de Netweaver. A l'occasion de l'édition américaine du TechEd à Las Vegas, SAP a annoncé une formule d'abonnement d'un an à Netweaver, pour permettre aux développeurs de découvrir les outils composant la plateforme. (...)

(15/10/2007 16:27:56)

Oracle/BEA : Forrester verrait bien Cisco dans l'équation

Et si la contre-proposition que BEA attend afin de se soustraire à l'offre d'Oracle venait de Cisco ? C'est l'hypothèse que formule Henry Peyret, analyste sénior chez Forrester. « John Chambers [le patron de Cisco, NDLR] dit souvent que le futur de Cisco est dans le logiciel. » Pour lui, un tel rapprochement aurait « beaucoup de sens, d'autant que Cisco cherche à intégrer des briques applicatives dans les routeurs ». Mais il souligne aussi les écueils d'un tel rachat. « On n'a jamais vu Cisco racheter une société aussi importante et continuer le business. Il y aura certes des synergies au niveau technologique, mais cela ne veut pas dire qu'il y aura automatiquement des synergies au niveau des ventes, par exemple. On ne vend pas des logiciels comme on vend des boîtes. » S'il ne croit guère aux hypothèses HP, CA ou Fujitsu en tant que chevaliers blancs (ou noirs, d'ailleurs, parce qu'aucun, a priori, ne laisserait son indépendance à BEA), Henry Peyret estime qu'IBM pourrait faire une offre, afin d'élargir sa part de marché, et compléter son portefeuille technologique. Le grand perdant, pour lui, serait SAP, dont l'offre middleware subirait un certain retard par rapport à celle de BEA. Ce serait même l'hypothèse d'un rachat de BEA par SAP qui aurait pu pousser Oracle à prendre les devants, pour Henry Peyret. Mais il voit mal SAP faire une contre-proposition aujourd'hui, dans la mesure où l'éditeur allemand doit déjà digérer le rachat de BO. (...)

(15/10/2007 16:09:53)

Oracle/BEA : BEA rejette l'offre "amicale" d'Oracle

C'est un non, poli mais ferme, qui a accueilli l'offre amicale de rachat de BEA par Oracle. BEA a même décliné une invitation à une réunion vendredi dernier ; Charles Phillips, le président d'Oracle, souhaitait cette rencontre afin de parvenir à une transaction amicale avant la réouverture des marchés financiers aujourd'hui. BEA estime de son côté que cette offre n'est pas amicale, dans la mesure où elle n'a pas été sollicitée, et où elle ne reflèterait pas la vraie valeur de l'entreprise. William Klein, vice-président de BEA, a ainsi écrit à Charles Phillips que son conseil d'administration estime que « BEA vaut beaucoup plus aux yeux d'Oracle, mais aussi d'autres [acheteurs potentiels] et, très important, de nos actionnaires, que le prix indiqué dans votre lettre ». Et d'expliquer que le marché ne peut pas estimer à sa juste valeur l'entreprise, dans la mesure où certaines informations financières doivent être actualisées (suite à un audit sur la pratique des stock-options, BEA doit republier tous ses comptes depuis l'année fiscale 1998). William Klein explique par ailleurs qu'il souhaite que cette situation ne s'éternise pas, dans la mesure où « Oracle est un compétiteur direct », et où cela serait donc préjudiciable aux activités commerciales de BEA. De fait, tous les analystes sont d'accord pour dire que l'annonce de cette offre gèle plus ou moins le marché de l'éditeur. Et l'exemple du feuilleton Oracle-Peoplesoft a montré qu'au final, la résistance s'est avérée vaine. (...)

(15/10/2007 15:10:23)

Oracle annonce 51 rustines pour la semaine prochaine

Administrateurs, prévoyez pour la semaine prochaine quelques heures à consacrer à vos consoles. Oracle annonce pour jeudi prochain la mise à disposition de cinquante et une rustines de sécurité. Parmi les vingt-sept qui concernent le SGBD maison dans ses différentes versions, cinq sont qualifiées de critiques au motif qu'elles peuvent être "exploitées au travers d'un réseau sans identifiant ni mot de passe"... Les autres rustines s'adressent à Oracle Application Server (onze), à la suite e-Business (huit) et à Entreprise Manager. Trois rustines touchent les logiciels de PeopleSoft. Aucun patch n'est prévu pour les produits originaires de JD Edwards et pour Collaboration Suite. La prochaine série de rustines est annoncée par le 15 janvier prochain. (...)

(12/10/2007 16:47:56)

Oracle/BEA : Gartner décrit un acte préventif

Pour Massimo Pezzini, analyste vice-président de Gartner, la proposition d'achat d'Oracle faite à BEA relève plus de la stratégie commerciale que de l'intérêt technologique. « Je crois, nous a-t-il expliqué, qu'Oracle veut prévenir un éventuel rachat de BEA par quelqu'un d'autre (HP ? Fujitsu ?) qui deviendrait alors un remarquable concurrent. » Car BEA propose peu ou prou la même offre middleware, et présente même quelques avantages par rapport au portfolio d'Oracle. Ainsi, dit-il, « WebLogic est nettement supérieur au serveur d'applications d'Oracle, il est déjà conforme JEE 5, a une base installée bien plus conséquente et bénéficie d'un large support de la part des éditeurs de logiciels. D'autres produits resteraient parce qu'ils sont meilleurs ou n'ont pas vraiment d'équivalent, comme la machine virtuelle Jrockit, probablement l'offre de BPM et celle de gestion des métadonnées (issue de Flashline). » Dans le même temps, Oracle réaliserait une belle opération en termes de revenus récurrents : « Oracle se paie ainsi un chiffre d'affaires régulier lié à la maintenance, et une base installée importante, tant d'un point de vue géographique que sectoriel : BEA a de gros clients dans les télécoms, la finance, le secteur public... » La nouvelle, conclut-il, n'est pas très bonne pour les clients, qui devront s'attendre, si la transaction a lieu, à « une rationalisation massive » et une intégration des lignes de produits qui pourrait prendre « des mois, peut-être des années ». Ceux qui devraient en profiter sont les acteurs plus petits du secteur. Pour Massimo Pezzini, ces acteurs ont une carte à jouer, du fait de la dépendance accrue des clients à quelques gros fournisseurs. « Des acteurs comme JBoss, Tibco, Software AG ou Progress devraient en profiter », pense l'analyste de Gartner. (...)

(12/10/2007 13:54:32)

Oracle propose de racheter BEA pour 6,66 Md$

(mise à jour) Oracle vient d'annoncer qu'il proposait 6,66 Md$ pour le rachat de BEA Systems, fournisseur américain de solutions d'infrastructure logicielle (serveur d'applications, outils d'intégration interapplicatifs...). BEA est notamment très impliqué dans les architectures orientées services (SOA), problématique désormais au coeur de tous les grands projets applicatifs, en particulier des déploiements de progiciels de gestion intégrés (PGI, en anglais ERP). Oracle, fournisseur de base de données, d'infrastructure logicielle et de progiciels applicatifs, dispose d'un catalogue particulièrement fourni. Ces dernières années, il a engagé, avec son initiative Fusion, un énorme chantier d'intégration entre ses multiples offres. Il dispose déjà, en interne, de la plupart des outils que développe BEA. Si ce rachat a lieu, ce sera le plus important effectué cette année par Oracle (PeopleSoft lui avait coûté 10,3 Md$ en 2004 et Siebel, 5,85 Md$ en 2005). Le montant proposé est deux fois plus élevé que celui engagé (3,3 Md$) pour racheter Hyperion, spécialisé dans les outils de gestion de la performance, en mars dernier. A cette date, sa boulimie d'acquisitions avait déjà fait dépenser à Oracle plus de 20 Md$ pour s'emparer de certains concurrents stratégiques ou ajouter à son catalogue des briques métiers ou technologiques reconnues sur le marché. C'est la deuxième opération de grande envergure cette semaine, après l'annonce de l'offre amicale de rachat faite par SAP sur Business Objects dimanche dernier, 07 octobre. Avec sa proposition, Oracle débourse à peine moins que le numéro un des progiciels intégrés (PGI) qui, rappelons-le, va verser 6,78 Md$ en numéraire pour s'offrir le Français spécialiste de l'analyse décisionnelle. Au cours du dernier semestre, Oracle a poursuivi sa croissance externe, mais avec des rachats de moindre importance, jusqu'à l'annonce de ce matin. (...)

(08/10/2007 15:10:22)

Sur Windows, Oracle est enlacé aux produits Microsoft

Quand le SGBD le plus important au monde a rendez-vous avec le système d'exploitation le plus répandu : le cabinet Ovum s'est penché sur les utilisateurs d'Oracle tournant au dessus de Windows Server. Le cabinet, soutenu financièrement par Oracle pour l'occasion, souligne la qualité de l'intégration du SGBD Oracle dans l'environnement Microsoft, dont le premier portage sur Windows NT remonte à 1994. La mise au point n'est pas inutile au moment où Oracle fournit un effort tout particulier en environnement Linux. Là, il propose désormais sa propre distribution, copie conforme de celle de Red Hat dont l'association avec MySQL et l'intégration de JBoss lui déplait de toute évidence. Même si Oracle se refuse à détailler son parc installé par système d'exploitation, le fait que Microsoft SQL Server soit devenu en quelques années un concurrent direct justifie à lui seul l'intérêt que la société de Larry Ellison porte à venir affronter Microsoft sur son propre terrain, l'environnement Windows. Y choisir Oracle plutôt que SQL Server n'aurait aucune conséquence sur la cohésion de l'ensemble du système d'information et apporte, bien sûr, de meilleures performances. Et Ovum d'étayer son message en passant en revue la (trop ?) discrète collaboration d'Oracle avec Microsoft. Sont ainsi montrés en exemple l'utilisation d'Active Directory par Oracle pour gérer l'accès à son SGBD, le travail conjoint des deux éditeurs sur les services Web XML et le support d'Office comme outils de consultation d'Oracle. Sur ce dernier point, Ovum n'ose tout de même pas se lancer dans une comparaison avec Duet, intégration d'Office à SAP avec la bénédiction ostensible de Microsoft. Oracle n'est pas en reste non plus côté outils de développement avec des outils pour Visual Studio qui permettent d'exploiter pleinement .NET. Pour finir, l'étude souligne que Fusion, le middleware d'Oracle (en cours de développement), viendra encore parfaire cette cohabitation. De plus, Enterprise Manager, le framework d'administration d'Oracle, permet d'administrer des produits Microsoft. (...)

(08/10/2007 08:58:43)

BMC a racheté Emprisa Networks, spécialisé dans la configuration de réseaux

Le Texan BMC, éditeur de solutions d'optimisation de la production informatique, devrait annoncer le rachat d'Emprisa Networks et de ses solutions d'automatisation des configurations de réseaux. Le montant de la transaction n'a pas été précisé. Le produit phare d'Emprisa, E-NetAware, vise à simplifier la gestion et la modification des configurations réseau. Il conserve l'historique et permet, par exemple, de remettre en place une précédente configuration. Cette solution vient renforcer la stratégie BSM (Business Service Management) qui réussit à BMC en apportant à ce dernier une meilleure vue sur le réseau. Le BSM vise à superviser le système d'information en fonction des priorités métier et des applications sensibles d'une entreprise. (...)

(05/10/2007 17:29:17)

Forum SOA 2007 : Méthode et gouvernance au même rang que les technologies

Lemondeinformatique.fr et cio-online.com ont animé hier à Paris la seconde édition du Forum SOA, qui a réuni environ 300 personnes, DSI, architectes, urbanistes, chefs de projet... D'après les premiers retours que nous avons pu avoir du public présent, le message global autour des architectures orientées services commence à passer. De fait, depuis le début, nous avons insisté sur le fait que les SOA étaient avant tout une collection de principes qui concernent non seulement les technologies, mais aussi la méthodologie, la gouvernance informatique, ou encore la réorganisation des processus au sein de l'entreprise. Alors que l'édition précédente du Forum SOA était plutôt axée sur les bénéfices des SOA, les témoignages clients et les interventions en session plénière cette année se sont plutôt attachés à explorer des aspects concrets de la mise en oeuvre, depuis la définition des processus dans des cercles larges, jusqu'à la supervision de l'activité métier. Les vidéos des tables rondes seront disponibles sur un site que nous avons spécialement créé pour la communauté des acteurs concernés par les SOA : www.forumsoa.fr (...)

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