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Middleware et serveurs d'application
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(30/08/2006 18:20:31)
WebObjects bascule dans l'open source
Après dix ans d'existence, WebObjects, premier serveur d'applications orienté web racheté -et porté sur Java- par Apple à NeXT, devrait basculer dans l'open source dès sa prochaine version 5.4 (prévue pour l'année prochaine). L'équipe de développeurs travaillant sur le projet a affirmé sur une mailing-list qu'Apple se bornera désormais à faire évoluer l'environnement d'exécution (Runtime), et non plus le framework, alors livré à la communauté open source. Selon eux, en offrant WebObjects à l'open source, Apple compte s'appuyer sur les méthodes communautaires pour accélérer les développements du serveur d'applications, en proie à la stagnation chez Apple. Selon des sources proches, seule une petite équipe s'attelait au projet chez l'éditeur. En décembre 2005, WebObjects était 10e du classement annuel des serveurs d'applications réalisé par BZ Research, avec une part de marché de 1,8% (à comparer aux 37% d'IBM et de JBoss et aux 27% de BEA et Oracle). Apple compte collaborer avec la communauté en leur fournissant notamment le support technique ainsi que les spécifications. (...)
(28/08/2006 18:13:59)Oracle doit encore réaliser plus de la moitié du développement de Fusion
Lorsque les responsables d'Oracle ont, en janvier dernier, décrit comme achevé à 50 % le développement d'une nouvelle suite d'applications d'entreprise baptisée Fusion, ils faisaient en fait allusion à la partie middleware de l'offre d'Oracle et non pas à la composante applicative de l'offre d'Oracle, dont l'objectif est de fusionner le meilleur des applications d'Oracle, PeopleSoft et Siebel au sein d'une suite unifiée. "En fait nous n'en sommes pas tout à fait encore à la moitié du chemin", a expliqué la semaine passée John Wookey à nos confrères d'IDG News Service. Wookey a toutefois été prudent en indiquant que les travaux réalisés sur la suite de Middleware Fusion seront une composante essentielle de Fusion, la suite applicative. Pour Oracle, l'enjeu de Fusion est de se hisser à la hauteur du numéro un mondial des progiciels, l'Allemand SAP. Selon l'éditeur, la première mouture de Fusion devrait voir le jour en 2008 et s'appuiera sur le middleware J2EE de la firme et sur une architecture orientée services (SOA), permettant une réutilisation optimale des composants applicatifs. Pour l'instant, Fusion reste un grand chantier qui implique des milliers de développeurs Oracle. L'enjeu, il est vrai, est de taille. Oracle espère que la "grande majorité de ses clients" migreront vers Fusion, au fur et à mesure qu'il se désengageront de leurs applications historiques (que l'éditeur s'est par ailleurs engagé à maintenir et à faire évoluer). Dans ce gigantesque chantier, Wookey estime qu'une des réussites clés d'Oracle est d'être parvenu à conserver près de 90% des équipes de développement et de support de PeopleSoft et Siebel. "Il y a eu mésentente lorsque nous avons dit que Fusion serait bâtie sur E-Business Suite (la suite applicative actuelle d'Oracle, NDLR). En fait, nous l'avons utilisée comme base de départ". Selon Wookey, Oracle Fusion s'appuiera sur les meilleures idées glanées dans E-Business Suite, PeopleSoft et Siebel CRM : "Sur la partie gestion de la relation client, par exemple, C'est Siebel qui sert de base de travail au développement des futurs composants CRM, même si la technologie et les réflexions de Peoplesoft sont utilisées en matière d'interface utilisateur". D'ici à la fin de l'année, Oracle devrait avoir terminé son chantier d'architecture et de conception sur Fusion. 2007 sera l'année où s'effectuera l'essentiel des développements clés pour concrétiser la vision de l'éditeur. Avec China Martens, notre correspondant d'IDG News Service à Boston Titre de l'encadré: (...)
(28/08/2006 17:49:37)Services hébergés: Google marque Microsoft à la culotte
Google dégaine sa réponse à Office Live. Le pharaonique moteur de recherche inaugure aujourd'hui, lundi 28 août, une version de test de "Google Apps for Your Domain", un ensemble de services hébergés gratuits destiné notamment aux PME et aux universités. Une version payante est à l'étude pour les grands comptes. L'offre compile quatre services de la marque : une messagerie email basé le service Gmail, un calendrier en ligne (Calendar), un client de messagerie instantanée et de téléphonie sur Internet (GTalk), et enfin un outil de publication et d'hébergement de pages Web (Page Creator). Outre la possibilité de renforcer leur présence sur Internet, les abonnés pourront utiliser leur propre nom de domaine sur Gmail, transformant l'outil en une messagerie disposant de 2 Go de stockage. Goggle Apps for Your Domain sera à terme décliné en deux versions. Une première gratuite, mais sponsorisée par le système de publicité contextualisée de la marque. Seul Gmail embarquera les liens commerciaux, indique Google. Une seconde baptisée Premium (et donc payante, sans publicité) que l'éditeur compte formater aux besoins des grands comptes en lui ajoutant d'autres applications, sans en préciser la nature. Google SpreadSheet et Writely, respectivement tableur et traitement de texte en ligne, sont toutefois subodorés. En février 2006, Google avait débuté les tests de "Gmail for your domain", en réponse à un service identique de Microsoft, "Windows Live Custom Domain". Dans la guerre des services hébergés, "Google Apps for your domain" arrive en frontal contre l'offre Basic de Microsoft Office Live. Cette dernière, encore en bêta, devrait fournir des services identiques. (...)
(24/08/2006 18:08:34)BEA commence à s'émanciper de Systinet
Dans un monde dominé par les concepts des architectures orientées services (SOA), il est normal de penser qu'au coeur du dispositif figure un référentiel de ces services, afin de pouvoir s'y retrouver. Ces dispositifs sont pourtant seulement en train d'émerger, comme le témoigne le rachat par BEA de Flashline, éditeur d'un outil de gestion des actifs logiciels basé sur les métadonnées. Le produit, « Flashline for SOA », sera intégré au référentiel inclus dans la ligne de produits Aqualogic, la suite middleware de BEA qui doit servir de fondation à une SOA. Il s'agit de faciliter les déploiements à travers toute l'entreprise, explique le directeur technique de BEA, Rob Levy. De tels référentiels permettent de tenir à jour la liste et la nature des logiciels et des services déployés dans une entreprise, ainsi que leurs interrelations et les règles qui les gouvernent. C'est cette gestion des règles que BEA recherche en rachetant Flashline. Cela permettra, indique l'éditeur, de gérer le cycle de vie complet des applications déployées en SOA : analyser les interdépendances, les plates-formes, les versions, les règles de gestion, et recueillir les métriques sur le fonctionnement des services, le tout depuis un point central unique. Du travail pour délimiter les zones de recouvrement Jusqu'alors, l'offre de référentiel d'Aqualogic reposait uniquement sur Systinet, qui s'est fait racheter par Mercury en janvier dernier, lequel vient lui-même d'être absorbé par HP. Sachant qu'IBM est en train de développer son offre, et qu'un concurrent comme WebMethods vient de racheter Cerebra, il devenait urgent pour BEA de disposer d'une offre en propre. Pour l'heure, souligne Jess Thompson, vice-président de la recherche à Gartner, BEA va avoir du pain sur la planche pour définir les aires de compétences de chaque produit : « Il y a des zones de recouvrement, en terme de métadonnées sur les règles de gestion ; dans ce cas, où doivent-elles être stockées ? Dans l'annuaire, dans le référentiel ou dans les deux ? » Pas assez complet pour se passer de Systinet Ensuite, il s'agira probablement de couper définitivement le cordon avec Systinet, ce qui demandera soit d'améliorer l'offre, soit de procéder à un autre achat, dans la mesure où, commente Ronald Schmelzer, analyste senior de Zapthink, le produit de Flashline ne remplit pas toutes les fonctions : « D'autres éditeurs comme Infravio ou LogicLibrary ont une offre plus complète en matière de référentiel, de management des métadonnées et de gouvernance de la SOA. BEA devra donc se mettre au niveau de ces capacités, ou bien conserver ses relations avec Systinet. » Dans tous les cas, poursuit Jess Thompson, de Gartner, cette annonce montre bien que les jours des fournisseurs indépendants de référentiels sont comptés. L'heure de se revendre a sonné. (...)
(22/08/2006 11:04:29)WebMethods s'offre un référentiel sémantique
WebMethods a acquis les actifs majeurs d'un de ses fournisseurs OEM, Cerebra, pour inclure sa technologie dans Fabric, son offre d'intégration de services et de gestion des processus métier. Conforme aux spécifications du W3C sur le Web sémantique (Resource description framework et Web ontology language - voir l'encadré ci-dessous), la technologie de Cerebra doit faciliter la création d'un référentiel sémantique, capable donc de « comprendre » les métadonnées des actifs et des services qu'il contient. Cerebra capture automatiquement les métadonnées et établit les interrelations. Pour Marc Breissinger, directeur technique de WebMethods, « cela rend la réutilisation beaucoup plus simple ». De même, l'identification des interdépendances devrait simplifier la gestion du changement. (...)
(17/08/2006 14:45:29)LinuxWorld : ActiveGrid rallie Eclipse
ActiveGrid, spécialiste des applications web 2.0, rejoindra la fondation Eclipse et prévoit de mettre à disposition ses outils dans le cadre de l'environnement open source Eclipse. Spécialiste des développements MySQL, Perl et PHP, la société a finalement franchi le pas suite à l'annonce du support de PHP par IBM. Selon Peter Yared, fondateur et PDG, c'est cette décision qui a permis à Eclipse de devenir "Lamp(*) friendly". ActiveGrid développe des outils permettant le déploiements d'applications web 2.0 à partir d'architecture en grille. La société ne sait pas encore à quel niveau elle intégrera Eclipse, communauté particulièrement hiérarchisée allant des membres stratégiques aux membres associés. (*) Pour les architectures Linux Apache MySQL Perl/Python PHP (...)
(17/08/2006 14:44:13)JBoss adapte jBPM à la v1.1 de BPEL
A la course à l'expertise SOA comme l'ensemble de ses congénères, JBoss s'apprête à améliorer son outil de Java Business Process Management (jBPM, moteur de gestion de processus métier) afin qu'il supporte les versions 1.1 et 2.0 des technologies BPEL. Prévue depuis près d'un an dans le cadre de la stratégie SOA de l'éditeur, cette mise à jour s'accompagnera dans la semaine du lancement d'une version bêta de son bus ESB. Selon Pierre Fricke - chef de produits chez JBoss - jBPM a connu un engouement cette année avec plus de 20 000 téléchargements mensuels, soit trois plus qu'en 2005. La version 1.1 de BPEL devrait être intégrée en septembre tandis que la 2.0 - réputée plus flexible et qui devrait être celle certifiée par l'Oasis - attendra un peu. (...)
(17/08/2006 11:27:21)LinuxWorld : IBM concocte un Sametime à la sauce Linux
A la mi-septembre, IBM commercialisera une version Linux de son logiciel de messagerie instantanée Sametime : 7.5. Cette édition est actuellement en bêta-test. Cependant, la brique serveur sera lancée lors du premier semestre 2007, a précisé David Marshak, directeur des programmes et chef produits temps réel senior, chez IBM. L'industriel ne sait pas quel pourcentage de ses clients déploiera Sametime 7.5, relève David Marshak. Toutefois, l'intérêt est fort dans l'éducation, les instances gouvernementales, ainsi que parmi les PME. Selon Jim Murphy, directeur de recherche chez AMR Research, porter Sametime sur Linux est une véritable claque qu'IBM inflige à Microsoft, son premier concurrent. En effet, Live Communications Server n'évolue pas sous Linux. Avec Sametime 7.5, IBM offre une alternative bon marché à Vista, précise-t-il. Il y a quelques mois, il a annoncé que son logiciel de messagerie instantanée serait compatibles avec les applications Outlook, Office et SharePoint de Microsoft, à l'exclusion de MSN Messenger. En revanche, Sametime 7.5 sera interopérable avec les messageries instantanées d'AOL, Yahoo et Google. (...)
(16/08/2006 14:59:06)Java toujours plus près de l'open source
Après Solaris, Java devrait à son tour passer dans l'open source. Sun prend cependant son temps et teste un peu la communauté. Texte: Nouvel épisode dans le feuilleton de le probable passage à l'Open Source de l'environnement Java par Sun, son concepteur originel. Le californien lance un portail communautaire sur le sujet accessible sur http://community.java.net/jdk/opensource/. Le site détaille les premiers pas du passage vers l'open source du Java Development Kit (JDK) selon Simon Phipps, en charge du programme Open Source de Sun. L'objectif semble être de ne partir qu'à coup sûr. Simon Phipps explique ainsi - humblement et habilement - que les équipes de Sun manquent cruellement d'expérience dans la matière et souhaitent donc prendre conseil auprès de la communauté avant de s'investir plus loin. La stratégie open source du californien et l'une des pierre angulaire de l'après Scott McNealy, dirigeant historique remplacé en avril dernier par Jonathan Schwartz. Déjà à l'actif de la nouvelle équipe, la transformation de son OS Solaris en OpenSolaris. Sun espère imposer - et développer - plus facilement sa plate-forme en l'ouvrant à l'ensemble de la communauté open source en sus de la communauté Java (Java Community Process) déjà très active et qui devrait subsister quoiqu'il advienne selon Simon Phipps. (...)
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