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Mobilité
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(14/05/2013 16:44:12)
Semi-conducteurs : Intel subit la crise du PC mais reste leader
Selon une étude publiée hier par IC Insights, alors qu'Intel cherche à élargir la fabrication en sous-traitance, l'activité semi-conducteurs proprement dite perd du terrain au profit de fournisseurs de processeurs qui tirent avantage du succès des appareils mobiles. En chiffre d'affaires, Intel reste le leader mondial sur le marché des semi-conducteurs, mais l'entreprise a cédé des parts de marché à Samsung et Qualcomm, qui fournissent des processeurs au design adaptés aux smartphones et aux tablettes, alors que les puces d'Intel concernent surtout le marché du PC, dont les ventes sont en baisse.
Au premier trimestre 2013, le chiffre d'affaires réalisé par Intel sur les ventes de semi-conducteurs atteignait 11,56 milliards de dollars, en baisse de 3 % par rapport aux 11,87 milliards de dollars réalisés au premier trimestre 2012. Comparativement, Samsung affichait un chiffre d'affaires de 7,95 milliards de dollars pour ses ventes de semi-conducteurs, en hausse de 13 %, grâce au coup de pouce d'Apple, qui achète ses puces pour iPhone et iPad au Sud-Coréen.
Les mobiles tirent aujourd'hui le marché des puces
Au premier trimestre 2013, les ventes globales de semi-conducteurs atteignaient 53,5 milliards de dollars, en hausse de seulement 2 % par rapport au même trimestre 2012. Mais, c'est Qualcomm qui a enregistré la croissance la plus rapide. Le chiffre d'affaires du quatrième vendeur de puces a augmenté de 28 %, à 3,9 milliards de dollars. Les puces Snapdragon de Qualcomm sont utilisées dans la plupart des smartphones récents, dont le One de HTC et certains modèles Galaxy S4 de Samsung.
L'étude réalisée par IC Insights a pris en compte les ventes de circuits intégrés et autres semi-conducteurs d'entreprises dites « sans usine » et de fabricants de puces propriétaires de leurs propres usines de fabrication. Elle n'inclut pas des entreprises comme Apple, qui conçoit des puces, mais les fait fabriquer par des sous-traitants. Des sous -traitants comme TSMC fabriquent des puces mobiles pour des entreprises « sans usine » comme Qualcomm, mais les ventes de puces réalisées par Qualcomm ne sont pas incluses dans les chiffres de TSMC. Cependant, avec des ventes en croissance de 26 % à 4,46 milliards de dollars, TSMC reste le fondeur le plus important, suivi par GlobalFoundries en seconde position, et par UMC (United Microelectronics Corp), au troisième rang.
Intel conserve toujours une nette avance technologique
Aujourd'hui, Intel possède les usines de fabrication les plus avancées technologiquement et, au début de l'année prochaine, le fondeur va commencer à fabriquer des puces utilisant le processus de gravure 14 nanomètres. TSMC et GlobalFoundries fournissent de nombreuses puces ARM aux fabricants de terminaux mobiles et ils profitent d'une demande en forte croissance. Les deux fondeurs espèrent rattraper Intel sur le processus de fabrication avec leurs premières puces à transistor 3D - également appelé FinFET - dont ils prévoient de démarrer la commercialisation l'an prochain. Mais, contrairement à ses concurrents, Intel sait réduire la taille du transistor et aura une génération d'avance sur le processus FinFET.
Sur les 20 premiers fournisseurs de semi-conducteurs, aucune entreprise japonaise n'affiche de croissance au premier trimestre 2013. Toshiba, Renesas, Sony et Fujitsu enregistrent toutes une baisse à deux chiffres de leurs revenus liés à la vente de semi-conducteurs. L'industrie des semi-conducteurs japonaise est en train de se concentrer. Au cours de ce trimestre, Micron devrait finaliser l'acquisition de Elpida pour 2,5 milliards de dollars. L'an dernier, après l'effondrement des ventes de mémoire, Toshiba a arrêté son unité de production de mémoire flash NAND. Après le tsunami et les tremblements de terre de 2011, une grande partie des capacités de production japonaise s'était déplacée vers la Chine, la Corée du Sud et Taiwan.
(...)(07/02/2012 09:22:48)Dossier : Mobilité et sécurité en entreprise, le nouveau casse-tête
La généralisation des smartphones et, dans une moindre mesure, des tablettes grand public dans les entreprises obligent ces dernières à repenser leur politique de gestion et de sécurité. Le problème est que le service informatique doit faire face à la multiplication des plateformes mobiles qui ne sont pas toutes égales en terme de sécurité. Cette diversification donne à elle seule une idée des changements nécessaires dans les entreprises qui doivent trouver les bons outils pour sécuriser les terminaux mobiles multi-OS : effacement des données à distance, verrouillage à distance, activation d'un accès par mot de passe, cryptage, authentification, mise en place d'un pare-feu, antivirus et VPN mobile. Explications. (...)
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