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Mobilité
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(04/03/2010 09:22:18)
39% des Français utilisent l'Internet mobile
Que ce soit depuis leur téléphone mobile ou grâce à une clé 3G, 39% des Français de 15 ans et plus ont un accès à l'Internet mobile. L'usage d'ordinateurs portables et de la connexion Wifi sont en nette progression, respectivement +10 points et +11 points, selon le Baromètre de la Consommation Numérique, publié par TNS Sofres ce mardi 2 mars. Ces internautes mobiles consomment de plus en plus de medias (TV, radio et presse). La radio connaît le plus fort succès, avec une hausse de 9%. Cette étude a été menée par téléphone du 13 novembre au 1er décembre 2009. (...)
(04/03/2010 09:22:15)HTC est attaquée par Apple pour contrefaçon de brevets
La guerre des brevets fait toujours rage dans le monde des smartphones. Apple porte plainte contre HTC pour contrefaçon de brevets. Le litige porte sur une vingtaine de brevets dédiés à l'iPhone, concernant notamment son interface, son architecture et le matériel. rappelons que la firme à la pomme a fait l'objet d'une annonce en janvier dernier de poursuites judiciaires par Kodak, pour avoir contrefait des brevets sur la technique de visualisation des photos. (...)
(02/03/2010 11:29:46)T-Mobile et Orange UK autorisées à s'unir
La co-entreprise va constituer un opérateur mobile sur le marché britannique gérant 29,5 millions de clients, ce qui le positionne en première position sur ce point. Les maison-mères déclarent que les engagements pris n'auront pas d'impact sur les clients ni sur les synergies envisagées. Tim Höttges, directeur financier de Deutsche Telekom, annonce ainsi qu'il s'agit de créer « un réseau haut débit mobile de premier rang dans l'un des marchés les plus compétitifs d'Europe ». Face aux exigences de la Commission européenne, Deutsche Telekom et France Télécom ont proposé de céder 2 fois 15 MHz de spectre dans la bande conjointe GSM des 1800 MHz d'ici fin 2011. Sur cette partie du spectre, 2 fois 10 MHz doivent être libérés d'ici le 30 septembre 2013 au plus tard et les 2 fois 5 MHz supplémentaires d'ici le 30 septembre 2015 au plus tard. De surcroit, l'accord existant de partage de réseau avec l'opérateur "3" en Grande Bretagne, propriété de Hutchison Whampoa basé à Hong Kong, a été renforcé. Synergies attendues et direction dévoilée France Télécom indique que comme souligné en septembre dernier, la nouvelle co-entreprise devrait générer des « synergies » (entendre des économies) de plus de 4 milliards d'euros en valeur nette actualisée. L'opérateur ajoute que sur la base des données 2009 publiées, le chiffre d'affaires et l'Ebitda de la nouvelle co-entreprise auraient été respectivement en 2009 d'environ 8,5 milliards d'euros et 1,6 milliards d'euros. Tim Höttges, directeur financier de Deutsche Telekom, assurera les fonctions de président non-exécutif pour une durée de deux ans de la co-entreprise. Passé ce délai, ces fonctions seront assurées par Gervais Pellissier directeur général adjoint, directeur financier de France Télécom pour une nouvelle durée de deux ans. L'équipe dirigeante sera menée par l'actuel Président d'Orange UK, Tom Alexander, en tant que Chief Executive Officer tandis que Richard Moat, actuellement Président de T-Mobile UK, assurera la fonction de Chief Operating Officer. Les deux marques T-Mobile et Orange seront maintenues au Royaume-Uni pour une période d'au moins 18 mois à l'issue de la réalisation de l'opération. Le nouvel opérateur se promet d'assurer une couverture élargie du territoire et un renforcement de la qualité du réseau pour offrir des services 2G et 3G de qualité. La proximité avec le client devra également être renforcée grâce à un réseau de boutiques détenues en propre. Photo : Tom Alexander, nouveau patron de la co-entreprise entre T-Mobile UK et Orange UK, et ancien président d'Orange UK (D.R.) (...)
(01/03/2010 15:00:56)Quel avenir pour la plate-forme Windows Mobile ?
(Source EuroTMT ) Une semaine après la présentation officielle à Barcelone de Windows Phone 7 - successeur rebaptisé de Windows mobile 6.5 -, Microsoft est au centre de nouvelles rumeurs sur l'avenir de son activité mobile. Les analystes avaient pourtant plutôt bien accueilli la nouvelle version du système d'exploitation du géant du logiciel, d'autant que quelques grands opérateurs apportaient leur soutien. Mais une fois le soufflet médiatique retombé il semble bien que la situation ne se soit pas véritablement améliorée pour Microsoft. A l'origine des difficultés du groupe dans la téléphonie mobile, on trouve son erreur d'analyse sur ce marché. Il a cru pouvoir rééditer son succès dans l'informatique en imposant d'abord son système d'exploitation et ensuite ses suites logicielles. Dans l'informatique le choix des entreprises (cornaquées par IBM, le partenaire historique de Microsoft) s'est ensuite imposé au grand public. Or, dans la téléphonie mobile, c'est l'individu qui choisit son mobile. Un vrai retard par rapport aux attentes des utilisateurs Et tous les directeurs informatiques qui ont essayé d'imposer dans leur entreprise un smartphone « Microsoft » savent que les cadres contournent la consigne en utilisant un deuxième terminal personnel différent. Non seulement la réputation de l'éditeur l'a desservie (expliquant son échec face à Nokia et à Symbian), mais le groupe a aussi pris beaucoup de retard dans l'évolution de son système d'exploitation mobile pour l'adapter aux nouvelles normes imposées par Apple : écran tactile, navigation Internet facilitée, large choix d'applications mobiles proposées par des tiers et aisées à télécharger. Avec l'arrivée de Google et de son système Androïd, la situation de Microsoft s'est un peu plus compliquée, le géant de la recherche en ligne cherchant à faire du mobile un terminal Internet comme un autre, où le moteur de recherche (et donc le placement publicitaire) occupe une place centrale. De plus, Google a opté pour la gratuité de son système d'exploitation, là où Microsoft ferait payer, selon des analystes, entre 7 et 25 dollars sa licence. Photo : Steve Ballmer, PDG de Microsoft s'est exprimé lors du salon mondial du mobile (MWC) de Barcelone. [[page]] Le marché des smartphones devrait voir l'émergence d'une nouvelle gamme de terminaux à moins de 100 $. Nul doute que les fabricants sur ce nouveau segment se fourniront prioritairement auprès des logiciels du monde libre. Autre élément souligné par des analystes : cette version du système d'exploitation de Microsoft ne sera réellement disponible qu'à partir de cet été, alors que ses concurrents vont continuer à faire évoluer les leurs. En clair : il n'est pas évident que Microsoft puisse combler son retard. S'il faudra attendre une bonne année pour juger du résultat, les spécialistes ne s'attendent pas à une remontée rapide de la part de marché de Microsoft dans les systèmes d'exploitation mobiles. Elles sont tombées à 8,7 % fin 2009, contre 11,8 % un an plus tôt, selon l'institut Gartner. D'où les nouvelles rumeurs qui circulent sur une possible acquisition de Microsoft dans les mobiles. Proposer ses services sur d'autres plates-formes mobiles Selon un analyste de Morningstar, Microsoft aurait en effet discuté en interne d'une possibilité d'acquérir RIM ou Nokia ! Le groupe canadien RIM est évalué à environ 39 milliards de dollars, alors que le finnois vaut au moins 51 milliards. Une annonce qui a fait réagir d'autres analystes plutôt sceptiques de l'intérêt d'une telle opération, notamment en raison de ses possibles répercussions négatives auprès des autres fabricants de mobiles. En revanche, une autre option demeure possible pour Microsoft : faire en sorte que tous les abonnés mobiles, quel que soit leurs smartphones, puissent avoir accès aux services proposés par Microsoft (Outloook, Windows Live, Excel, etc. ). Un choix qui s'imposera certainement dans un délai relativement court à Microsoft. (...)
(26/02/2010 14:03:05)Un App Store pour développeurs sur PayPal
PayPal va ouvrir dès cette année une boutique d'applications en ligne pour mobile où les développeurs pourront proposer leurs logiciels. La mise en place de cet App Store est la dernière étape dans la stratégie agressive menée par PayPal pour attirer les développeurs externes après l'ouverture en fin d'année dernière de sa plate-forme de paiements x.com (http://www.x.com). « Cela pourrait être une application de facturation écrite pour un commerçant ou une application de gestion du quotidien développé pour les consommateurs, » a ajouté Oussama Bédier, vice-président de la plate-forme Business et Technologies émergentes. L'an dernier, eBay avait proposé quelque chose de similaire, en transformant sa suite d'outils de vente du Selling Manager en vitrine pour les applications développées par des tiers. «Nous sommes très attentifs à étendre nos synergies avec les développeurs. Ce sont nos clients, au même titre que les consommateurs et les commerçants, » a déclaré le responsable au cours d'un séminaire où il répondait à une communauté de développeurs venus assister à la Future of Web Apps Conference (FOWA) qui se tient à Miami, signalant que sa société participerait à plus de 110 événements réunissant des développeurs cette année. « Ce n'est pas seulement pour leur dire « voilà nos outils, venez les utiliser. » Nous voulons les aider à réussir et pour cela nous devons être actifs dans leur communauté » a t-il déclaré. «Je veux que les développeurs pensent « Paypal d'abord » à chaque fois qu'ils entendent le mot« paiement » et je dois savoir ce qu'il faut faire pour y arriver. Nous sommes prêts à innover et à expérimenter en leur nom et nous voulons demander leur avis pour cela », a t-il ajouté. Un moyen de développer le paiement sur mobile La filiale d'Ebay, qui, pendant des années, a profité des liens mis en place entre son système de paiement et des sites web externes, apportant une fonctionnalité pour passer commande, considère aujourd'hui que ce n'est plus suffisant. L'entreprise de paiement veut étendre son activité au-delà du commerce en ligne classique. Lors de son discours à la conférence américaine, Oussama Bédier a fait remarquer que les transactions liées au commerce électronique ne représentaient que 4 % des dépenses de détail aux Etats-Unis. « l'entreprise voit, avec les smartphones, une manière d'étendre son système de paiement pour payer au drugstore, chez le teinturier, à la station-service, ou encore pour régler son loyer ou le parcmètre, » a t-il expliqué. «Voilà pourquoi cette opportunité est tellement importante. C'est une chance de sortir l'e-commerce de sa coquille. » Le groupe effectue actuellement un bêta test de sa bibliothèque de paiement mobile qui permet aux développeurs d'ajouter des fonctionnalités de transaction à des applications iPhone, bibliothèque qui sera ensuite étendue à d'autres plateformes pour smartphone. Lors de la présentation à Miami, un porte-parole a montré comment un bouton PayPal pouvait être ajouté à un compte Flickr pour acheter des tirages photo. « Nous voulons laisser à tout développeur la possibilité d'ajouter quelques lignes de code en quelques minutes, pour intégrer un système de paiements au coeur des applications. » souligne Mr Bédier et d'ajouter «si nous parvenons à créer un système simple et facile à utiliser, nous pourrons résoudre un problème important. Devoir saisir son numéro de carte de crédit sur un terminal est vraiment la pire des expériences en matière d'achat. » Les sujet est d'importance, car le site de paiement voit les transactions sur téléphone mobile augmenter rapidement sur sa plate-forme, même lorsque les utilisateurs doivent quitter l'application et revenir payer sur PayPal via un navigateur mobile. Et les concurrents ne manquent pas dans ce domaine. De Google à Amazon.com en passant par les groupements interbancaires et les entreprises de télécommunications mobiles, tous voient des opportunités dans les systèmes paiements en ligne et ne sont pas inactifs. (...)
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