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(02/10/2008 12:00:19)

Le principe de précaution force Bouygues Télécom à démonter une antenne-relais

Entre fantasme et danger réel, les antennes-relais installées par les opérateurs de téléphonie mobile suscitent doutes et inquiétudes au point que certains administrés se tournent vers la justice pour les voir disparaître du pas de leur porte. C'est ce qu'ont fait trois couples de Tassin la Demi-Lune, une commune du Rhône, excédés par la présence d'un émetteur installé par Bouygues Télécom à proximité de leur domicile. Le tribunal de grande instance de Nanterre, saisi de l'affaire, a suivi les doléances des plaignants - qui avançaient souffrir d'exéma et de troubles du sommeil - et prononcé une injonction contraignant l'opérateur à démonter l'antenne incriminée. Nulle expertise médicale, aucun avis émanant d'un spécialiste des champs électromagnétique ne vient pourtant attester de la nocivité de l'engin honni. La cour s'est en effet basée sur le seul principe de précaution, estimant que « le risque certain » induit par l'antenne caractérise un trouble du voisinage. « L'exposition à un risque sanitaire » que Bouygues Télécom a contribué à mettre en place devra donc cesser : l'opérateur dispose de quatre mois pour remiser le relais et rassurer les râlants. Au-delà, une astreinte de 100 € par jour de retard alourdira d'autant la sanction. Bouygues Télécom devrait interjeter appel de cette décision. Pas de risque avéré, explique le ministère de la Santé Le concurrent de SFR et d'Orange pourra, pour sa défense, s'appuyer sur une jurisprudence certes peu fournie mais qui joue en sa faveur. Ainsi, après que le TGI de Toulon eut ordonné, en 2006, le démontage d'une antenne, cette décision fut annulée par la Cour d'appel d'Aix en Provence deux ans plus tard. En dépit des risques dénoncés par de nombreuses associations, la justice semble donc partager l'avis de la ministre de la Santé, tel qu'elle l'a exposé en réponse à un député : « S'agissant des stations de base de la téléphonie mobile, l'expertise nationale et internationale est convergente et a conclu qu'en l'état actuel des connaissances scientifiques, et compte tenu des faibles niveaux d'exposition aux champs électromagnétiques autour des stations relais, l'hypothèse d'un risque pour la santé des populations vivant à proximité de ces stations ne pouvait être retenue. » (...)

(01/10/2008 16:06:51)

4e licence 3G : la décision du gouvernement attendue début 2009

La décision d'attribuer une quatrième licence 3G devrait être prise dans les premiers jours de 2009. C'est François Fillon qui l'affirme, ce matin, dans les colonnes de nos confrères des Echos. Cette information fait suite à la publication par l'Arcep, la semaine dernière, des résultats de sa consultation publique sur l'attribution de licences 3G dans la bande 2,1 GHz. Les contributeurs (au nombre de 23) penchent tous pour la réservation de fréquences à un nouvel entrant. On trouve dans cette liste les futurs concurrents du nouvel entrant (Orange, SFR et Bouygues Telecom) ainsi qu'Iliad, la maison mère de Free, candidat malheureux au dernier appel à candidatures. Sont donc mises en avant des procédures conservant une priorité sur tout ou partie des fréquences à un nouvel entrant, selon des modalités analogues aux précédents appels à candidatures. En avril 2008, l'échec de l'appel à candidatures avait été entériné par le gouvernement pour l'attribution des fréquences encore disponibles dans la bande 2,1 GHz. Selon le Premier ministre, la décision de permettre à un nouvel opérateur d'acquérir une licence 3G devra répondre à trois objectifs : favoriser la concurrence pour faire baisser les prix, ne pas brader les intérêts de l'Etat et assurer une couverture maximale du territoire. (...)

(30/09/2008 16:12:33)

Un groupe d'opérateurs et de constructeurs s'allient autour de l'accès 3G à Internet

Plusieurs opérateurs et fabricants de PC portables et de chipsets ont décidé de s'unir, à l'initiative de la GSMA (GSM Association) pour favoriser le développement de l'accès à Internet par la téléphonie 3G depuis un PC. Parmi les participants, on trouve 3Group, Asus, Dell, Ericsson, Lenovo, LG, Microsoft, Orange, Qualcomm, Telefónica Europe, Telecom Italia, TeliaSonera, T-Mobile, Toshiba et Vodafone. Ensemble, ils créent la marque Mobile Broadband qui, apposée sur un laptop, signalera que celui-ci est capable d'une telle connexion Internet en 3G. La machine devra intégrer une carte adaptée avec un débit minimum théorique de 3,6 Mbps et un débit réel d'au moins 1 Mbps. Le but de cette initiative est d'abord, selon les membres, de faciliter pour les consommateurs, l'achat d'ordinateurs qui supportent nativement la 3G. « Bluetooth, Wi-Fi, tout le monde avait une marque sauf le haut débit mobile », constate Ton Brand, à la tête de la GSMA. Eva Sparr, directrice marketing de l'unité haut débit mobile chez Ericsson ajoute quant à elle qu'un de ses clients avait insisté, à l'occasion d'une conférence, sur les efforts faits par l'industrie des télécoms pour compliquer les choses : « Nous parlons de 3G, de Turbo 3G, de HSDPA et WCDMA, et cela perturbe les clients », regrette-t-elle. Une tentative pour concurrencer les hotspots Wi-Fi [[page]]Autre objectif de Mobile Broadband, tenter de concurrencer les hotspots Wi-Fi. Reste que l'avantage de ces derniers réside, la plupart du temps, dans leur gratuité ou leur faible coût de connexion. « Un roaming international moins cher est essentiel, ajoute ainsi Christian Salbaing, directeur de 3 Group en Europe. Sinon, la 3G sur PC ne décollera jamais. » Il ajoute que le tarif proposé par l'Union Européenne, selon lui de 1 euro par Mo en gros (ce que les opérateurs paient entre eux) reste trop élevé. « Il faudrait fixer un prix aux alentours de 0,25 euro, voire plus bas car le coût réel, lui, est bien plus bas. » (...)

(26/09/2008 12:40:28)

La bourse déçue par les bons résultats de RIM (Blackberry)

Le Canadien RIM (Research in Motion) a vendu 6,1 millions de BlackBerry au cours des trois derniers mois. La vente de terminaux représente 82% du CA de RIM. Mais les analystes en attendaient encore un peu plus et ils n'ont pas apprécié l'annonce, par la direction du groupe, de prévisions prudentes. Du coup, le titre a chuté. Il faut dire que RIM pourrait devoir investir beaucoup pour imposer son modèle Bold sur le marché grand public. Vedette chez les professionnels, RIM est un outsider peu connu du grand public face à Apple. Pourtant, RIM revendique 2,6 millions de nouveaux clients. Ce qui porte sa base installée à 19 millions d'utilisateurs environ. (...)

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