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Mobilité
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(16/09/2008 11:54:01)
Le premier mobile équipé de Google Android pour fin septembre
Google espère beaucoup du premier téléphone équipé d'Android, son propre système d'exploitation pour mobiles. Il pourrait faire ses premiers pas le 23 septembre, à New-York, au coeur d'un terminal HTC, baptisé Dream, commercialisé par T-mobile. Dans un secteur où les acteurs sont des mastodontes (Microsoft et Windows Mobile, Nokia et Symbian, Apple...), le pantagruélique acteur du Web sait qu'il ne faudra pas se louper. « Si nous arrivons avec un produit minable, les gens s'en iront et ce sera une perte de temps » a expliqué Andy Rubin, directeur d'Android chez Google, à Reuters, [...] Nous sommes dans la phase finale et avons passé pas mal de nuits blanches ». Une stratégie singulière Google mise presque uniquement sur l'aspect logiciel. « Une fois qu'ils auront quitté le magasin avec l'appareil, [c'est ce] qui entretiendra leur bonheur » poursuit Rubin. Basé sur un noyau Open Source, Android restera « libre » même dans son développement et notamment avec une plateforme de téléchargement ouvert à toutes les créations, à l'inverse d'Apple et son App Store par exemple. Une approche économique singulière : « Nous avons pris la décision stratégique de ne pas partager des revenus avec les développeurs. Nous allons simplement nous passer des recettes potentielles des opérateurs et des développeurs » détaille le directeur du projet. Selon l'agence de presse, près de 1800 application ont déjà été conçues pour Android, grâce notamment à un concours de développeurs. Toutefois, Google entend bien garder un oeil sur l'aspect matériel et c'est en ce sens qu'il oeuvre uniquement avec HTC pour le moment. Reste à savoir comment les autres membres de l'Open Handset Alliance, le regroupement autour d'Android, adapteront le système d'exploitation. (...)
(12/09/2008 16:23:46)Paris va rebrancher ses bornes WiFi au grand dam des syndicats
Rien ne va plus entre la Ville de Paris et six syndicats, fermement opposés sur le dossier du WiFi dans les bibliothèques municipales. A la fin 2007, plusieurs agents de la ville se plaignaient de céphalées et autres malaise suite à l'installation de points d'accès à Internet sans fil dans quatre bibliothèques. En conséquence, le Comité d'hygiène et de sécurité (CHS) a décidé en novembre, la désactivation des bornes incriminées. Puis, en juin 2008, l'Hôtel de Ville a lancé une enquête pour faire la lumière sur les dangers liés aux émissions électromagnétiques des hotspots. Hier, la Mairie de Paris, se faisant l'écho des conclusions des experts, a indiqué que les relevés effectués dans les quatre bibliothèques avaient « confirmé des niveaux de 80 à 400 fois inférieurs au seuil règlementaire ». Le rapport exposant l'ensemble des observations doit être présenté, le 18 septembre prochain, au CHS. Mais cette réunion pourrait ne pas se tenir : les syndicats CGT, CFTC, FO, SUPAP-FSU et UNSA menacent en effet de boycotter l'événement pour protester contre la façon dont les expertises ont été conduites. Les syndicats accusent la Mairie de délit d'entrave Ils reprochent notamment à la Ville de n'avoir pas entendu les spécialistes qu'ils avaient eux-mêmes mandatés, et s'inquiètent de la prochaine remise en marché des bornes WiFi « sans concertation ». Fort courroucée, l'intersyndicale estime que Bertrand Delanoe « escamote la vérité » et l'accuse de « délit d'entrave ». En guise de réponse, la Mairie de Paris rappelle que c'est à l'initiative de l'édile qu'un « voeu à été voté par le Conseil de Paris en juillet 2008 pour la mise en place d'une conférence citoyenne consacrée au thème des ondes électromagnétiques ». (...)
(11/09/2008 09:12:09)Les billets de train s'installent dans une clé USB
Dans les prochaines semaines, un millier de cobayes recevront dans plusieurs régions de France, une clé USB faisant office de ticket sans contact pour leurs déplacements en TER (Trains Express Régionaux).C'est la petite société innovante Neowave qui a été retenue pour le prochain test de billet sans contact de la SNCF. La clé embarque une carte à puce afin de sécuriser les informations. Elle utilise deux modes de connexion. L'USB sert tout simplement à recharger ou à acheter son billet sur le site web de la SNCF en toute tranquillité- et d'éviter ainsi les files d'attente. Le mode sans contact, lui, permet au contrôleur de la SNCF de vérifier la validité du titre de transport installé sur la clé, en lisant celle-ci par simple passage sur son terminal. Une solution en question, à l'heure débutent les mobiles sans contact La clé USB embarque également jusqu'à 4 Go de mémoire pour les donnée personnelles, et à terme des certificats d'authentification. La RATP devrait également lancer un test pilote utilisant cette clé USB. La question se pose de la viabilité d'une telle solution à l'heure où les téléphones mobiles se mettent au sans contact tout comme les cartes bancaires, via l'intégration de composants NFC. Reste qu'il y a encore très de peu de téléphone sans contact sur le marché et qu'il faudra plusieurs années avant que le parc complet de mobiles ne soit "sans-contact". Quant aux cartes bancaires, elles ne se connectent pas aisément à un PC, puisqu'il faut disposer d'un lecteur spécifique. Ce qui laisse une fenêtre de tir pour la clé USB sans contact. Cette clé USB SNCF pourra aussi être utilisée comme titre de transport Navigo dans les transports parisiens. (...)
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