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Mobilité
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(17/06/2008 11:18:20)
Update décline son logiciel de CRM pour l'iPhone en français
L'éditeur autrichien Update (42 clients en France) est parmi les premiers à fournir une version iPhone de son logiciel de gestion de la relation client (CRM). L'offre, déjà adoptée par les directions générales ou commerciales de plusieurs de ses clients outre-Rhin, est livrée en français et convient aussi à l'iPodTouch d'Apple. Ses premiers adoptants sont des utilisateurs déjà convertis aux smartphones (des Blackberry généralement), l'accès en ligne permis par ces terminaux réduisant les contraintes de synchronisation répétées avec le PC (contrairement aux assistants numériques). Composée d'un produit serveur et d'un logiciel client, l'offre update.seven Touch s'utilise donc en mode connecté en donnant accès à toutes les fonctions de l'application de CRM d'Update : gestion des contacts et des rendez-vous, contrats de services, rapports d'intervention, etc. Hors connexion, le mode d'utilisation est toutefois plus restreint. L'utilisateur se contente, pour l'instant, de consulter ses rapports de visite et, éventuellement, de les remplir par le biais de cases à cocher si l'application le prévoit. La tarification pour l'offre update.seven Touch est fixée à 5 000 euros pour la partie serveur et à 350 euros par utilisateur. Update compte 1 300 clients dans le monde, principalement en Europe (5% seulement aux Etats-Unis). Son offre de CRM est verticalisée pour six secteurs d'activité : le BTP, le secteur industriel (machines outils), les médias, la pharmacie, les fournisseurs de la grande distribution et le secteur financier. En France, son logiciel est utilisé par les laboratoires Boehringer, les industriels Cryostar, De Dietrich Thermique ou encore Karcher. (...)
(16/06/2008 11:15:53)20 scientifiques lancent une alerte face aux dangers du téléphone portable
Le Dr David Servan-Schreiber a lancé hier sur son site Guerir.fr et dans le Journal du Dimanche un appel à considérer sérieusement les dangers que représenteraient les téléphones portables. Dix-neuf autres scientifiques, dont plusieurs cancérologues, estiment que les ondes électromagnétiques de nos mobiles pourraient avoir des effets indésirables sur nos cerveaux. S'ensuivent dix recommandations pour utiliser systématiquement ces téléphones avec le haut parleur ou le kit main libre, mais aussi d'éviter de les utiliser quand le signal est faible ou bien en déplacement (train, voiture). Surtout, ces scientifiques conseillent fortement aux parents qui ne l'auraient pas encore fait, d'interdire le mobile à leurs enfants de moins de douze ans. Ils estiment que nous sommes face à un danger équivalent à ceux de l'amiante ou du tabac, mais restent prudents. Leur appel ne s'appuie en effet sur aucune nouvelle étude épidémiologique et sur son site, David Servan-Schreiber rappelle d'ailleurs qu'aucune étude ne permet aujourd'hui de conclure, dans un sens ou dans l'autre, quant à la menace que les mobiles représenteraient pour notre santé. Et pour cause. [[page]]Leur usage massif date de 10 ans tout juste, or il a fallu plusieurs décennies pour prouver la nocivité de l'amiante et du tabac. Ces chercheurs et médecins tiennent donc simplement à rappeler qu'il risque d'être trop tard si l'on attend aussi longtemps pour le téléphone mobile. Le principe de précaution, en particulier pour les enfants L'appel des vingt scientifiques précise néanmoins que certains effets biologiques ont déjà été prouvés. C'est le cas de la pénétration des ondes électromagnétiques dans le cerveau et de la plus grande importance de son intensité chez les enfants. Autre effet identifié, les champs électromagnétiques des téléphones portables augmentent la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique et une synthèse accrue des protéines de stress. Et ce, même lorsque le DAS (Débit d'Absorption Spécifique) du mobile reste inférieur aux 2 W/kg pour 10g de tissu imposés par les normes européennes. En somme, en particulier avec les enfants, mieux vaut adopter le principe de précaution, en attendant les premières études qui donneront des conclusions exploitables. (...)
(13/06/2008 15:32:42)Enième consultation de l'ARCEP sur l'attribution de la 4e licence 3G
Suite à l'appel à candidatures infructueux de mars 2007 pour l'attribution de la 4e licence 3G dans la bande des 2,1 GHz, l'Arcep consulte avant le lancement d'une nouvelle procédure. Les résultats seront disponibles au 30 septembre prochain. Le nouvel appel à candidatures pourra être lancé une fois les modalités de redevance fixées par le gouvernement, après le débat parlementaire. La consultation de l'Autorité de régulation des télécoms vise à recueillir l'avis des acteurs sur les différents schémas d'attribution des fréquences encore disponibles dans la bande des 2,1 GHz. L'attribution de ces fréquences est associée pour un nouvel entrant à un accès aux fréquences de la bande 900 MHz. Il s'agit d'un enjeu stratégique car il y a pénurie de ces fréquences basses qui sont mieux adaptées au déploiement de services radio. Trois types de procédure sont envisagés : attribution de toutes les fréquences à un nouvel entrant selon des modalités comparables au troisième appel à candidatures ; attribution en plusieurs lots, dont certains réservés en priorité aux nouveaux entrants et d'autres ouverts aux nouveaux entrants et aux opérateurs existants ; attribution en plusieurs lots ouverts à tout opérateur. Les acteurs sont invités à fournir leur analyse comparée de ces trois types de procédure. (...)
(12/06/2008 10:07:23)Orange va proposer Sage 30 comptabilité en ASP aux PME
Sage explore un nouveau canal de distribution, celui des opérateurs. Son logiciel Sage 30 Comptabilité sera proposé à partir du 11 juin aux PME par les 11 agences entreprises d'Orange Business Services (OBS). En pratique, l'application devient la première brique métier, optionnelle, du forfait informatique lancé par Orange en avril dernier. La formule de base de ce service de fourniture d'applications en ASP comprend un accès au pack Office de Microsoft et à la messagerie Exchange. Il en coûte 99 €ht par mois et par utilisateur aux PME qui devront s'acquitter de 35 € de plus (toujours par mois et par utilisateur) pour accéder à Sage 30. Ce prix comprend les mises à jour et le support qui sera directement assuré par Sage. «L'accès à Sage 30 est ouvert à 4 utilisateurs maximum chargés de la comptabilité par entreprise. Ce qui signifie que nous pouvons cibler jusqu'aux sociétés dotées d'une quarantaine de collaborateurs au total », indique Benoît Delanoë, le responsable du forfait informatique chez OBS. Pas de problème de concurrence avec les revendeurs, selon Sage [[page]] Pour Sage, l'arrivée d'Orange dans son réseau de distribution ne constitue pas une menace pour ses revendeurs traditionnels. « Leurs efforts commerciaux se portent beaucoup plus sur Sage 100, notre ERP pour PME, que sur Sage 30, argue Caroline Nicon, la chef de marché PME de Sage. En outre, Sage 30 cible potentiellement 600 000 entreprises en France, ce qui laisse de la place à chacun ». A court terme en tous cas, les ambitions d'Orange autour de Sage 30 sont modestes. L'opérateur s'estimerait satisfait s'il vendait de 20 à 30 forfaits informatiques incluant l'option Sage 30 d'ici la fin de l'année. A plus long terme, en revanche, il n'est pas exclut qu'il devienne un partenaire important pour Sage s'il met à profit l'efficacité commerciale qu'on lui connaît dans la téléphonie. D'autant que si la commercialisation de Sage 30 comptabilité porte ses fruits, l'opérateur se verrait bien intégrer Sage 100 dans son offre. Une éventualité à laquelle Sage ne se déclare pas fermé. Mais cette montée en gamme demanderait à Orange de fournir des services de paramétrages poussés à ses clients. Or, « nous voulons rester des experts de l'infrastructure, sans volonté de développer des compétences autour des application métiers », assure Benoît Delanoë. Un dicours qui, au moins en théorie, laisse la place à l'ouverture ultérieur de partenariats avec des revendeurs si le catalogue du Forfait Informatique s'étoffe. (...)
(11/06/2008 17:55:46)Wimax en France : des résultats très loin des objectifs fixés, mais le moral reste bon
L'Arcep publiera le 30 juin prochain le bilan des déploiements Wimax en France et ce qu'il en est du respect des engagements de couverture du territoire par les opérateurs détenteurs d'une licence. Pour l'Avicca (Association des villes et collectivités pour les communications électroniques et l'audiovisuel), le résultat est sans surprise très loin des objectifs fixés. L'Avicca estime que les procédures de sélection des opérateurs Wimax ont été inadaptées. De même, la mesure des engagements de couverture est mal ficelée. Les capacités de sanction de l'Arcep par rapport aux manquements des opérateurs sont également mal dimensionnées. Selon l'Avicca, les opérateurs privés (Free, Altitude, SHD, Bolloré, HDRR) n'ont pratiquement pas investi en l'absence de financements publics. Les déploiements en cours ou effectués sont le fait des collectivités, surtout dans les départements. Les glissements de calendrier des équipementiers n'expliquent pas tout. L'Avicca exhorte l'Arcep à être ferme sur les retards de déploiement des opérateurs, voudrait que la bande des 2,5 Ghz devienne utilisable car elle est mieux adaptée aux transmissions radio, et que l'on s'assure de la taille réelle de la bande passante. Un frein important au Wimax vient des stratégies des FAI et de leur très forte concentration. Un offreur de gros se trouvera en position très défavorable auprès des grands FAI afin de couvrir les zones blanches, qui ne sont qu'une niche. En France, les zones blanches de l'ADSL représentent environ 550 000 lignes, soit moins de 300 000 clients potentiels. C'est une goutte d'eau pour les FAI nationaux. On ne peut pas compter sur France Telecom dans cette équation car l'opérateur a mis en place sa propre stratégie de desserte en boucle locale (les NRA ZO). Il ne reste donc que les FAI alternatifs pour couvrir ce marché. [[page]]L'Avicca souligne que le Wimax est une véritable technologie d'opérateurs. Mais qu'elle a comme inconvénients d'être sensible au relief et à la végétation et de se situer en France dans une bande de fréquences (3,5 Ghz) non optimale avec une bande passante réduite, alors qu'aux Etats Unis les déploiements ont lieu en 2,5 GHz, nettement plus favorables aux ondes radio. En outre, le Wimax n'est pas encore mature. Ceci dit, l'Avicca pense que la débâcle de la BLR (Boucle Locale Radio) ne devrait pas se reproduire notamment grâce au coup d'accélérateur apporté par le lancement de l'opérateur Wimax ClearWire aux Etats Unis. L'Avicca poursuit en indiquant que des retards ont été constatés en 2007 et début de 2008 par rapport aux prévisions de montée en charge aussi bien sur la normalisation que sur la livraison des équipements. La normalisation du Wimax version 802.16 e est attendue pour début de l'année prochaine, en 3,5 GHz. Il est difficile de s'assurer que les premiers réseaux déployés en 802.16 d soient compatibles avec les réseaux 802.16 e. La France est l'un des premiers pays au monde à déployer dans la bande des 3,5 Ghz en 802. 16 e et la fabrication industrielle de masse n'est pas engagée. Les équipements demeurent chers, en particulier chez les particuliers. Ceci dit, l'Avicca estime que le glissement de planning du Wimax s'est stabilisé aujourd'hui. Reste que les composants sont d'abord fabriqués pour le 2,5 Ghz. Il y aura selon l'Avicca, un an de retard entre les bénéfices apportés aux produits en 2,5 Ghz avant qu'ils n'arrivent en 3,5 Ghz. Par ailleurs, les retours d'expérience indiquent que le Wimax a une portée de dix à douze kilomètres, pour obtenir un débit de 2 Mbit/s. (...)
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