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Mobilité
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(26/06/2008 13:17:11)
L'Esigelec ouvre ses portes aux lycéens des quartiers sensibles
En rejoignant le Cercle passeport télécoms, l'école d'ingénieurs généralistes Esigelec s'engage à aider des jeunes issus de milieux modestes. Grâce à cette initiative, les lycéens des classes préparatoires technologiques situés en Zones urbaines sensibles (ZUS) peuvent bénéficier de l'accompagnement de tuteurs salariés d'une des entreprises partenaires du Cercle, tout au long de leurs études, jusqu'à l'obtention de leur diplôme. Créée sous l'impulsion de l'opérateur SFR, le Cercle passeport télécoms regroupe actuellement huit entreprises des télécommunications (Alcatel-Lucent, Ericsson, Motorola, Nokia, Nokia Siemens Network, Orange, SFR et Siemens), l'Etat, des lycées et des grandes écoles. En 2007 et 2008, 370 tuteurs se sont mobilisés au sein du Cercle pour accompagner les étudiants grâce à des tutorats collectifs ou individuels mettant en relation des collaborateurs des entreprises partenaires et des étudiants. Les tuteurs informent les élèves sur les réalités du monde de l'entreprise et son fonctionnement, et sur la diversité des métiers, les possibilités de stages ou de contrats d'alternance. Outre la préparation aux oraux, les jeunes peuvent aussi compter sur un accompagnement dans leurs démarches d'accès à l'emploi (rédaction de CV, préparation des entretiens de recrutement, etc.). Des partenariats spécifiques ont été mis en place pour faire face aux problématiques de financement des études. (...)
(26/06/2008 12:52:22)Une université belge teste les ondes GSM sur des rats
Après l'appel de 20 scientifiques, le 16 juin dernier, à rester prudent dans l'utilisation des téléphones mobiles, c'est au tour d'une expérience de l'Université de Louvain en Belgique d'inquiéter sur le même sujet. Si dans ce dernier cas, une étude existe bel et bien, on ne peut pas davantage tirer de conclusions (positives ou négatives) qu'après l'avertissement des médecins français. Une partie de la presse, en Belgique entre autres, a joué la sensation en expliquant que l'expérience aurait conclu à «un doublement de la mortalité parmi une population de rats exposés pendant 21 mois, deux heures par jour, à des ondes GSM et WiFi ». Que nenni. En réalité, l'étude conduite par Dirk Adang, chercheur à l'Université de Louvain, pour sa thèse, reposait sur un protocole très précis : trois générateurs d'onde ont été mis en place. Deux ont émis « à la fréquence du GSM - 970 MHz », l'un en onde continue et l'autre par impulsion. Le troisième, « à la demande de l'armée » émettait en onde continue à la fréquence des 10 GHz. Il ne peut donc être question de WiFi (2,4 GHz). Finalement, toujours aucun résultat probant Finalement, aucun document officiel sur l'expérience n'est encore consultable. Et la certitude d'un taux de mortalité effectivement élevée ne débouche encore sur aucune explication scientifique. (...)
(25/06/2008 10:54:54)Nokia renforce sa stratégie de contenu sur mobile en rachetant Plazes
Nokia absorbe Plazes, une start-up allemande qui a créé un réseau social qui s'appuie sur la géolocalisation. Située à Berlin, la société de 13 personnes propose aux utilisateurs de définir leur position sur une carte, d'y ajouter commentaires et photos, et d'entrer en contact avec d'autres, présents au même endroit. L'outil peut servir de GPS, en indiquant par exemple la position de bornes WiFi, de restaurants, de gares... La start-up a récemment développé son application pour l'iPhone et a déjà levé 3,7 M€ en deux tours de table. Le GPS embarqué, fer de lance de Nokia Le finlandais complète ainsi une offre de localisation et de partage de contenu sur portables mises en place par rachats successifs depuis deux ans. Ainsi, en 2006, avait-il déjà mis la main sur Gate 5, un éditeur allemand de solutions de navigation, pour un montant de 250 M$. En juillet 2007, il rachetait Twango, pour l'hébergement de photos, de vidéos et de fichiers audio, pour 100 M$. Les deux sociétés ont rapidement lancé Mosh (contraction de « mobile » et « sharing »), un site de partage de contenus sur mobiles. En octobre 2007 enfin, Nokia n'avait pas hésité à débourser 5,7 Md€ pour Navteq, un éditeur spécialisé dans la cartographie numérique. Le groupe avait alors créé Nokia Maps 2.0, une équipe dédiée au développement d'API de géolocalisation. Le rachat de Plazes par Nokia devrait être finalisé avant la fin du troisième trimestre. Le montant de la transaction n'a pas été communiqué. (...)
(24/06/2008 12:22:10)Nokia se paye la totalité de Symbian
Nokia annonce aujourd'hui son intention d'acquérir la totalité des parts de Symbian, l'éditeur du célèbre OS pour téléphone mobile. Le constructeur finlandais, qui possède déjà 48% de Symbian, devrait débourser 264 M€ pour mettre la main sur le reste du capital. Selon un communiqué, Sony Ericsson, Panasonic Mobile Communications et Siemens, auraient d'ores et déjà donné leur accord pour céder leur participation dans Symbian, soit environ 91% des parts n'appartenant pas encore à Nokia. Seul Samsung ne s'est pas encore prononcé. Cette annonce du géant de la mobilité n'est pas une surprise pour les observateurs du secteur. « Nokia a versé plus de 160 M€ de redevance à Symbian l'année dernière, il paraît donc cohérent de dépenser 264 M€ pour acquérir l'éditeur plutôt que de continuer à subventionner les autres actionnaires », explique ainsi Geoff Blaber, analyste pour CSS Insight. Au-delà de cette seule explication pécuniaire, Nokia pourrait vouloir renforcer la position concurrentielle de l'OS, sur un marché où d'autres prétendants montrent leurs dents. C'est notamment le cas de la plateforme Android de Google ou des projets Open Source menés par la LiMo Foundation. Parallèlement, et ceci confirme le point précédent, le Finlandais vient de créer la Symbian Foundation, aux côtés de Sony Ericsson, Motorola, NTT DoCoMo, AT&T, LG, Samsung, ST Micro, Texas Instruments et Vodafone. Tous pourront désormais utiliser le système d'exploitation mobile après avoir simplement versé une cotisation, et donc sans acquitter de redevance. Une partie du code de l'OS devrait passer sous licence Open Source et les efforts des participants viseront à bâtir une plateforme logicielle mobile ouverte. (...)
(23/06/2008 11:47:01)Greenzer s'auto-baptise portail de l'éco-consommation
Allier shopping et écologie, voici l'ambition de Greenzer. Le site, qui se définit comme « le portail de l'éco-consommation », ressemble à tous les comparateurs de prix sur Internet, répertoriant matériels informatiques, outillage, vêtements, etc. Sa touche personnelle est une note - le Greenzer score - attribuée en fonctions de 4 critères : - la présence d'écolabels ou de certifications, de type Energy Star, NF Environnement, etc. - les « attributs verts » des produits, donc les qualités liées à leur conception ou à leur fonctionnement. Greenzer cite ainsi « énergie solaire, sans substances chimiques, biodégradables, 100% recyclés, coton bio, économies d'énergie »... - l'impact de la consommation du produit sur l'environnement ; les ampoules basse consommation ou les batteries rechargeables seront ainsi mieux notées. - l'attitude éco-responsable des fabricants. Comme tous les critères « verts », certains prêtent évidemment à controverse et d'autres sont obligatoires. C'est ainsi le cas du label Energy Star pour les matériels achetés par des organismes publics en Europe qui est devenu un standard de facto pour toute la bureautique. Les informations seraient automatiquement récupérées chez les fournisseurs Mais le plus étonnant est la façon dont le « greenzer score » est calculé. Les fondateurs du site, Nicolas Ollier et David Nadzela, expliquent qu'il n'y a « aucune intervention humaine quant à la détermination de la note ». A les entendre, les données seraient récupérées automatiquement et fournies à leur algorithme, « avec bien sûr des pondérations selon la valeur du label ». Pour Nicolas Ollier et David Nadzela, « la valeur ajoutée d'une personne se situe plutôt sur la partie éditoriale ». En effet, le site met en avant certains produits, tant sur la première page du site que sur le blog attenant. Là est le biais principal : Greenzer est avant tout un comparateur de prix, qui réalise son chiffre d'affaires en envoyant du trafic qualifié vers les sites marchands. Vraies préoccupations écologiques ou green washing ? Les fondateurs de Greenzer expliquent que, quel que soit le produit mis en avant, il est de toute façon « sélectionné en amont », et répond donc à des impératifs écologiques. « Notre objectif est d'apporter un vrai service plutôt que de répondre à une démarche commerciale. » Dans le cas contraire, il ne s'agirait que de 'green-washing', une couche de peinture verte passée sur un comparateur de prix. Cela se révélera à l'usage, selon les produits sélectionnés. D'ores et déjà, Greenzer revendique 5000 produits dans sa base. Il est vrai qu'en l'absence d'un organisme de notation du développement durable ne se contentant pas seulement des déclarations des fournisseurs, Greenzer offre au moins une alternative éco-citoyenne (...)
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