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Mobilité

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(15/07/2008 10:30:49)

Les outils de BI de Pentaho et Oracle adaptés à l'iPhone 2.0

Désormais en version 3G, l'iPhone a tout ou presque pour devenir le nouveau chouchou des cadres en entreprise. Le nouveau téléphone d'Apple, équipé de la version 2.0 du logiciel d'exploitation, a déjà été vendu à plus d'un million d'exemplaires durant le week-end suivant son lancement (il sera disponible en France le 17 juillet). Rien d'étonnant donc à ce que les éditeurs de progiciels le prennent en compte. Parmi les premiers à dégainer, Pentaho et Oracle proposent des logiciels clients pour leurs offres décisionnelles. L'iPhone BI Extension de Pentaho est un prolongement de l'offre Pentaho Open BI Suite 1.7, permettant de naviguer parmi les rapports et tableaux de bord de l'application décisionnelle Open Source. Le code de l'extension elle-même est aussi en Open Source. L'extension d'Oracle, dite Oracle Business Indicators, est une extension gratuite pour les utilisateurs de la suite décisionnelle de l'éditeur. Elle donne là aussi la possibilité d'interagir avec le progiciel, avec moins de souplesse toutefois que depuis un poste traditionnel, puisqu'au lieu du Flash, interdit sur l'iPhone, il faut se contenter d'images Jpeg. Oracle a indiqué que d'autres clients pour iPhone suivraient, pour son progiciel intégré et son offre de gestion de la relation client. (...)

(11/07/2008 11:27:41)

Apple propose aux entreprises un utilitaire de configuration pour iPhone

Apple propose de quoi déculpabiliser les cadres qui voudraient utiliser l'iPhone comme smartphone : un utilitaire de configuration. Compatible avec la version 2.0 du logiciel de l'iPhone, l'iPhone Configuration Utility donne la possibilité au service informatique d'une entreprise de créer un fichier de configuration, au format XML, et de le déployer simplement dans les smartphones d'Apple. Plusieurs éléments peuvent être configurés : - les informations nécessaires pour se connecter à l'utilitaire de synchronisation de Microsoft, Exchange ActiveSync ; - les informations de connexion aux réseaux sans fil de l'entreprise, ainsi qu'aux réseaux privés virtuels ; - les éléments d'authentification pour le serveur de courriels ; - la politique de sécurité (gestion des mots de passe), les certificats et les signatures électroniques... Une fois réalisé, le fichier peut être hébergé sur un site sécurisé - il suffit alors de s'y rendre avec le navigateur de l'iPhone et de lancer la procédure d'installation - ou bien envoyé par courriel aux utilisateurs, qui devront alors accepté l'installation. Le logiciel est disponible en versions MacOS X et Windows, mais aussi utilisable en version Web. (...)

(09/07/2008 12:54:57)

97% des téléphones mobiles ne sont pas recyclés

Selon une étude publiée par Nokia, la majorité des téléphones portables prennent leur retraite au fond d'un tiroir (44%). Réalisée auprès de 6500 personnes dans 13 pays (dont la France ne fait pas partie), le rapport révèle que seuls 3% des mobiles sont recyclés. Pour le reste, 25% sont donnés à la famille ou aux amis, 16% sont revendus (notamment sur Internet) et 4% finissent leurs jours dans la poubelle puis dans les décharges publiques (un moindre mal). Selon Susan Allsopp, porte-parole de Nokia, ces chiffres s'expliquent essentiellement par le manque d'information des consommateurs : 74% d'entre eux admettent tout simplement ne pas avoir y pensé, et la moitié d'entre eux ignore même qu'il est possible de recycler leur téléphone portable, et ne savent pas comment s'y prendre. Des initiatives de sensibilisation existent pourtant. En décembre dernier, Motorola a par exemple renouvelé pour la troisième fois son programme de collecte et de recyclage des mobiles inutilisés, en association avec le Téléthon. Quant à Nokia, il propose désormais des enveloppes préaffranchies dans lesquels on peut renvoyer son vieux téléphone. Une double bonne action puisque, pour chaque téléphone reçu, le finlandais donnera 5 euros au WWF (World wildlife fund). Un recyclage bénéfique pour l'environnement... et pour les constructeurs Les bénéfices du recyclage des téléphones portables sur l'environnement pourraient être considérables. Selon Nokia, si chacun des trois milliards d'utilisateurs de mobiles prenait la peine de confier son portable usagé à un organisme de recyclage, ce sont quelque 240 000 tonnes de matières premières qui pourraient être récupérées. Toujours d'après Nokia, entre 65 et 80% des matériaux composants un mobile sont recyclables. Et leur seconde vie est parfois surprenante : ils peuvent par exemple servir à fabriquer des ustensiles de cuisine, des bancs de parc, des instruments de musique et même des plombages dentaires ! D'autres sont broyés sous forme de copeaux et intégrés dans des matériaux de construction de bâtiments ou de routes. Une incitation à acheter des mobiles flambant neufs Nokia possède 5000 centres de récupération de portables dans 85 pays. Si les intentions écologiques du constructeur finlandais sont louables, elles lui sont aussi profitables. Annette Zimmermann, analyste senior chez Gartner, souligne en effet que tous ces téléphones ne sont pas rénovés en l'état, ni revendus, ce qui incite les gens à acheter plus de téléphones flambants neufs, plus chers qu'un portable utilisant des matériaux recyclés. (...)

(01/07/2008 14:53:46)

Microsoft publie la v1.0 de sa documentation technique

Comme promis en février dernier, lorsque Microsoft a lancé sa grande campagne de séduction des autorités européennes, l'éditeur propose aujourd'hui la première version finalisée de sa documentation technique des protocoles utilisés par Office 2007, Sharepoint 2007 et Exchange 2007. Le but de cette documentation est de permettre à des éditeurs tiers ou des développeurs de bâtir des ponts avec les fonctions des produits de bureautique et de collaboration de Microsoft. La version 1.0 de ces documents sur les protocoles techniques s'accompagne d'une liste des brevets qui y sont rattachés, et des conditions d'exploitation de ces derniers. Microsoft a aussi mis en ligne « près de 5 000 pages de nouvelle documentation technique sur les formats de fichiers binaires Microsoft Office pour Word, Excel et PowerPoint (doc, .xls, .xlsb et .ppt) », afin de permettre à des tiers de développer des convertisseurs. Côté convertisseurs toujours, Microsoft lance un projet sur Codeplex (son portail consacré aux projets Open Source - du moins selon la définition que Microsoft en a), dont le but est de pouvoir lire des fichiers Office Open XML (OOXML) à l'aide d'un simple navigateur HTML. Un autre projet Codeplex vise à doter Powershell, l'interface de script utilisée par les administrateurs de Windows Server, de fonctions pour manipuler des documents OOXML. (...)

(01/07/2008 11:18:18)

Goojet propose des widgets pour mobiles

Le Web mobile est promis à un bel avenir... à condition de simplifier son usage. Tel est le constat de Goojet, un éditeur toulousain comptant une petite vingtaine de personnes, qui propose un mécanisme pour utiliser des 'widgets' sur les téléphones mobiles. Les 'widgets' sont des services applicatifs, fournissant le plus souvent du contenu (comme ceux proposés par Netvibes), parfois un service technique. Environ trois semaines après l'ouverture du service en bêta - et après une phase de bêta privée - Goojet compterait « plusieurs milliers d'utilisateurs », selon Sylvain Wallez, directeur technique. Les utilisateurs de Goojet peuvent gérer leur compte sur le Web, en rassemblant par exemple un ensemble de 'widgets', appelés ici 'goojets', qu'ils pourront utiliser sur leur téléphone mobile. Une logique de réseau social Parmi les services disponibles ou imaginables, Sylvain Wallez donne « des exemples de collaboration sur des micro-groupes », comme un service de téléconférence - pour mettre plusieurs personnes en relation, réécouter la conversation, etc. - ou la liste de courses à effectuer - qui donne la possibilité à quelqu'un de compléter la liste pendant que le porteur du mobile est au magasin. Ces outils de collaboration donnent ainsi un petit air de réseau social à Goojet. Toutefois, l'éditeur se défend de vouloir recréer un réseau communautaire de toutes pièces. « Il y a une dimension sociale, reconnaît Sylvain Wallez, mais plutôt sur l'échange de services. Il est logique de penser que les gens de votre carnet d'adresses puissent partager vos centres d'intérêt. Donc, l'idée est que si on trouve un service intéressant, on puisse le proposer à ses amis. » Goojet réfléchit actuellement au portage de l'API OpenSocial (pour échanger entre réseaux sociaux) sur les mobiles, et travaille à une procédure d'import des carnets d'adresses. Bientôt un client spécifique de Goojet pour les iPhone [[page]] Côté technique, il a fallu développer des navigateurs HTML en Java, pour la grande majorité des téléphones, « notamment parce que beaucoup de services ne sont pas accessibles à des navigateurs classiques, explique Sylvain Wallez. Enregistrer des photos, accéder à la localisation etc. » En ce qui concerne les smartphones, l'accès à Internet est déjà plus ergonomique, toutefois de nombreux services restent là aussi inaccessibles. Des développements sont donc en cours : « Nous proposerons bientôt un ajout au navigateur de l'iPhone, et à terme une application native. Nous prévoyons aussi un autre client spécifique pour Symbian. » Trois modes de financement Certains services seront payants, mais la majorité des 'widgets' devrait être utilisable gratuitement. Le financement proviendra alors de deux sources : des accords avec des éditeurs de contenu pour utilisateurs mobiles dont Goojet accroîtra l'audience, et de la publicité ciblée, à partir de l'analyse des actions des utilisateurs. Sylvain Wallez a en effet travaillé pour Joost, qui recourait à ce principe. A noter que Sylvain Wallez a aussi travaillé chez Anyware Technologies, dont le PDG était Ludovic Le Moan, un des fondateurs de Goojet. L'autre fondateur, Marc Rougier, vient d'un tout autre monde : il avait fondé un éditeur spécialisé dans les environnements de haute disponibilité, Meiosys, qu'il a vendu à IBM il y a trois ans. (...)

(01/07/2008 11:27:19)

Greenpeace serre la vis aux industriels high-tech

Le « guide pour une électronique plus verte » de Greenpeace, huitième édition, est paru. Et une fois encore, la plupart des acteurs du marché se retrouvent sous la moyenne (5 sur 10). Seuls Sony Ericsson et Sony se placent tout juste au dessus, avec une note égale à 5,1 pour le premier! Il faut dire que le classement de l'association se fait désormais plus sévère. Greenpeace a renforcé le critère concernant la présence de produits chimiques toxiques et a ajouté des éléments liés à la consommation énergétique globale du processus de production de l'entreprise. En resserrant ses exigences, l'association tient les industriels sous la moyenne et maintient ainsi la pression. Et ce, même si tous - ou presque - font des progrès. «Beaucoup d'industriels ont déjà pris les mesures idoines sur les PVC et les retardateurs de flammes bromés, avoue volontiers Zeina Al Hadjj, responsable de la campagne sur les produits toxiques pour Greenpeace International et en charge du guide. Nous leur demandons maintenant d'établir un vrai programme d'élimination d'autres types de produits toxiques comme le beryllium ou les phtalates. » Ces derniers sont respectivement un élément isolant et des plastifiants du PVC. Du côté de l'énergie, les exigences de Greenpeace sont imposantes. L'association ne contente plus du label Energy Star pour les produits des industriels mais réclame qu'ils communiquent la consommation énergétique de tous leurs processus de production... Pas simple. »Les industriels doivent mesurer la consommation de tous leurs processus de production « Est-ce qu'ils connaissent leur consommation énergétique dans la production ? La réponse est non pour la plupart d'entre eux, confirme Zeina Al Hadjj. Ces chiffres n'existent tout simplement pas. Notre stratégie consiste donc à pousser les industriels à les compiler. C'est la responsabilité des entreprises de commencer à s'engager. C'est une responsabilité légale, mais aussi une démarche essentielle pour leur image ! » La porte-parole de Greenpeace explique que pour une industrie vraiment propre, il faut une approche globale, et non partielle, du cycle de vie des produits : substances chimiques, énergie, responsabilité au niveau des déchets, etc. Coté résultat, Sony emporte donc la palme. Mais il aurait pu faire mieux. Bien que son Vaio ait été élu produit électronique le plus vert par Greenpeace au printemps, Sony est sanctionné car il n'applique pas sa surveillance environnementale à l'ensemble de ses produits. HP, pris la main dans le sac dans un des précédents rapports, avec un retardateur de flamme bromé dans un de ses produits, est remonté dans l'estime de l'association. Quant à Nokia, bien que globalement très bon élève, il a perdu un point à cause de certaines pratiques peu claires de retrait pratiquées en Inde. Le fabricant de la Wii se joue des mises à l'index de Greenpeace [[page]]Mais le bonnet d'âne revient à l'irréductible nippon Nintendo. L'industriel semble rester imperméable aux mises à l'index répétées de Greenpeace. Heureux fournisseur de la Wii et de la DS, il nargue l'association en ne faisant quasiment aucun cas de ses classements calamiteux dans le guide. Le Japonais reste bon dernier en ce mois de juin avec une note minable de 0,8, juste derrière Microsoft évalué à 2,2. Plus de contact en face à face avec Nintendo « Depuis que nous publions notre rapport, Nintendo a tout de même publié quelques messages sur son site dédié à l'environnement », se défend Zeina Al Hadjj. Selon la porte-parole, qui en rit presque, Nintendo estime avoir fait des efforts en recyclant ses propres déchets au sein de son siège social. « C'est un minimum pour une entreprise aujourd'hui ! Mais ce n'est surement pas ce que nous voulons : ils doivent éliminer les déchets chimiques. Ils ont près de la moitié du marché des consoles, ils ont une responsabilité. » Mais avec une telle part de marché et les succès réunis de la DS et de la Wii, Nintendo n'a que peu de raisons purement économiques de rendre ses produits plus verts... « Nintendo est la seule des 18 sociétés que nous étudions avec laquelle nous n'avons plus de contact en face à face, depuis près d'un an, malgré nos messages, nos mails, confirme d'ailleurs Zeina Al Hadjj. » Les engagements ne sont pas des promesses à Greenpeace Pour Nintendo comme pour tous les autres, Greenpeace établit ses rapport trimestriels à partir des informations rendues publiques par les fournisseurs. L'association scrute les documents électroniques à la recherche des engagements vis à vis des émissions de gaz à effets de serre ou des calculs de consommation électrique. « Leurs engagements ne sont pas des promesses faites à Greenpeace, rappelle Zeina Al Hadjj. Il doit s'agir d'informations rendues volontairement publiques. » Quand c'est possible, l'organisation croise certaines de ces données avec des études indépendantes, mais elle réalise aussi des tests. « Nous avons une équipe qui « détruit » toutes ces machines, s'amuse Zeina Al Hadjj. Nous avons démonté un iPhone, un Sony Vaio, une Wii, un Lattitude de Dell, une Xbox de Microsoft, etc. » Greenpeace soupçonne Apple de ne pas avoir « dépollué » son iPhone 3G [[page]]A propos d'iPhone, Greenpeace n'a pas encore démonté le modèle tout récent 3G. « Quand Apple a des informations à communiquer, il le fait. Souvenons-nous du lancement du MacBook Air. Et là, nous n'avons toujours aucune donnée environnementale sur ce produit, s'étonne Zeita Al Hadjj. Nous soupçonnons Apple d'avoir laissé dans ces nouvelles versions les mêmes produits chimiques toxiques que dans son premier modèle. Mais nous attendrons patiemment la fin de l'année pour vérifier. » Et pour cause. Steve Jobs en personne a fait une promesse qui intéresse beaucoup Greenpeace : plus aucun produit de la firme ne devrait contenir de phtalates, ni de retardateurs de flamme bromés ou autre substance dangereuse, d'ici la fin de l'année. Chez Greenpeace, tournevis en mains, les militants piaffent d'impatience en attendant la prochaine Saint-Sylvestre... (...)

(27/06/2008 17:23:40)

Microsoft va racheter MobiComp pour enrichir son offre mobile

Microsoft a annoncé son intention de racheter MobiComp, éditeur portugais de logiciels utilitaires pour les smartphones. Parmi l'offre de MobiComp, on trouve ainsi la possibilité de poster des données vers les réseaux sociaux, tels que Facebook dans lequel Microsoft a investi 240 M$. Les logiciels de MobiComp procurent d'autres services de synchronisation entre téléphone et Web, ainsi que des services de sauvegarde. Le montant de la transaction n'a pas été dévoilé. (...)

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