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Mobilité
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(20/06/2007 09:53:17)
Gartner juge l'iPhone inapproprié pour les professionnels
« L'iPhone n'est pas une option viable pour les services informatiques d'entreprise, estime Gartner. Par exemple, ses fonctions de pushmail, de sécurité ou d'administration ne sont pas équivalentes à celles d'un Blackberry, toutefois les responsables informatiques devraient s'attendre à voir les utilisateurs d'iPhone réclamer du support. » Alors que le téléphone d'Apple est attendu pour le 29 juin aux Etats-Unis et espéré en Europe pour la fin de l'année 2007, Gartner s'est penché sur ses facteurs de succès. Si les analystes du cabinet jugent l'iPhone inapproprié pour les utilisateurs professionnels, ils ne doutent pas de sa future réussite. Cela ne tiendra pas à la partie matérielle. Sur ce point, l'iPhone affiche en effet des caractéristiques honorables mais un peu en retard sur la concurrence. Le terminal n'est pas 3G pour le moment, mais il est quadribande, Edge, et est doté du Wifi. Il intègre une caméra 2 Mégapixels (certains terminaux sont déjà passés à 5 Mpx) et ne possède pas de GPS, valeur très en vogue sur les mobiles (fin 2007, Gartner estime que plus de 60% des terminaux vendus aux Etats-Unis intégreront le GPS). Un objectif de 10 millions de terminaux vendus en 2008 En revanche, Gartner estime qu'Apple a le potentiel pour redéfinir le marché des téléphones cellulaires, répliquant ainsi le succès du couple iPod/iTunes, grâce à son approche unique, focalisée sur le logiciel et l'usage. Les facteurs réels de différenciation sont l'interface utilisateur, le design et... la marque ! Bien qu'HTC, LG et Sony Ericsson proposent des smartphones à écrans tactiles, la conception de l'iPhone est unique. Il est quasiment sans bouton (à part une touche 'Home'), très fin, et arbore un design minimaliste. Allié à iTunes, il dispose d'un positionnement unique. Côté technologie d'interface, on attend de voir, mais plusieurs rumeurs évoquent une possible utilisation d'AIR, Adobe Integrated Runtime. AIR, nom officiel d'Apollo, permet de mixer les contenus Flash, PDF, HTML... Gartner croit donc fermement au succès de l'iPhone et estime que l'objectif de 10 millions de terminaux vendus en 2008 est certes ambitieux mais atteignable. (...)
(18/06/2007 18:33:10)Bouygues Télécom et Completel envisageraient une joint-venture
Voilà plusieurs mois qu'ils discutent, Bouygues Telecom et Completel ont décidé d'officialiser leur partenariat dans un communiqué laconique : les deux acteurs coopèrent sur le marché du fixe-mobile. Selon nos sources, il s'agirait toutefois de bien plus qu'une simple coopération, les deux opérateurs étudieraient en effet la possibilité de placer leurs forces en commun dans une joint-venture. Or, qui dit co-entreprise, dit moyens financiers communs, développements techniques coordonnés et commercialisation conjointe. (...)
(18/06/2007 12:46:18)Un prototype de transmission sans fil à 1 Gbit/s chez Toshiba
Toshiba vient titiller la bande des 60 GHz pour parvenir à transmettre plus d'un Gbit/s. Rappelons qu'un réseau WiFi à la norme 802.11g n'atteint que 50Mbit/s. Certes, il ne peut s'agir que d'un réseau très local puisque la portée des ondes ultra-courtes est limitée à quelques mètres. Pour Toshiba, c'est toutefois suffisant dans le cadre d'un réseau domestique, en particulier pour partager un signal de télévision HD sur plusieurs écrans. Toshiba est parvenu à mettre au point un récepteur de 1,1x2,4 mm en technologie CMOS. Le Japonais affirme que sa technologie permet d'atteindre des performances proches de celles obtenues en utilisant de l'arséniure de gallium, mais à moindre coût. (...)
(15/06/2007 15:50:13)29% des réseaux WiFi parisiens ne sont pas sûrs, alarme RSA
En matière de sécurisation des réseaux WiFi, « la France est à la traîne », dénonce Bernard Montel, directeur technique pour la France et Israël de RSA, la division sécurité d'EMC. Selon la dernière étude sur la sécurité des réseaux sans fil des grandes villes réalisée par RSA, le nombre de réseaux WiFi détectés à Paris a en effet augmenté de 44% entre 2006 et 2007. RSA recense ainsi 566 points d'accès sécurisés, 93 hotspots et 145 points d'accès non sécurisés. Globalement, le nombre de réseau non sécurisés augmente de 35% par rapport à 2006. Toutefois, alors qu'ils représentaient 31% des réseaux en 2006, ce taux tombe à 29% cette année. Selon RSA, les hotspots publics sont également vulnérables. « Les collaborateurs nomades s'appuient sur des hospots fournis par des opérateurs ou établissements offrant un accès à Internet. Ces réseaux peuvent être sources de menaces importantes », assure Bernard Montel. RSA indique dans son rapport que, souvent, ces hotspots n'utilisent aucun système de sécurité. Aucune technologie ne serait aujourd'hui capable de garantir l'identité du fournisseur du point d'accès. Certains hotspots frauduleux sont tagués avec des noms de fournisseurs connus et de confiance. Pourtant, ils sont contrôlés par des pirates qui s'en servent pour soutirer des informations personnelles (numéros de cartes de crédit, login, mot de passe, etc.) aux utilisateurs connectés. Ce procédé est connu sous le nom de 'man in the middle'. Pour s'assurer de la sécurité d'un réseau WiFi, RSA recommande de mettre en place un VPN SSL ou IPSec, des processus d'authentification par mots de passe et certificats « et surtout d'adopter des règles de bon usage », énumère Bernard Montel. A Paris, même si le taux de réseaux sûrs atteint 71%, « il reste encore beaucoup d'entreprises pour lesquelles il y a beaucoup à faire ». Entre 20 et 25% des réseaux WiFi d'entreprise sont sans protection, à Paris comme à New York et Londres. La capitale française est cependant légèrement en retard en matière d'adoption de systèmes évolués de cryptage. Seuls 41% des réseaux sécurisés utilisent les normes 802.11i ou WPA. (...)
(14/06/2007 15:07:22)WWDC : Les développeurs pour iPhone mécontents de la limitation au Web
Si des développeurs indépendants veulent écrire des applications pour l'iPhone, ils devront passer par le Web. En effet, lors de sa WWDC (WorldWide Developer Conférence), Apple a annoncé qu'il n'y aurait pas de kit de développement (SDK) pour l'iPhone. Les développeurs devront passer par le navigateur Safari. Une annonce qui ne convainc pas. Pour Austin Sarner, créateur de Disco et d'Appzapper : « Sans possibilité d'écrire du code avec un SDK et d'en tirer une application, ce n'est rien de plus qu'une page Web. » John Casasanta, président d'Inventive Software, a lui l'impression d'être un citoyen de seconde zone : « Les applications ressemblent plus à des Widgets, avec un peu plus de restrictions. En l'état, il ne sera même pas possible d'intégrer ses applications en page d'accueil ! » Steve Jobs a précisé que cette situation n'était que temporaire, et un kit de développement pourrait être disponible une fois que l'iPhone sera bien implanté. En attendant, les développeurs se contenteront d'extensions ou de porter sur l'iPhone des applications déjà existantes. « Je ne ferai aucun programme purement iPhone, précise Austin Sarner. Je garderai l'esprit ouvert et verrai comment les choses vont progresser. » (...)
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