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(12/04/2011 11:05:05)

Nokia annonce 5 millions de téléchargements d'apps par jour

Nokia indique que plus de 5 millions d'applications sont téléchargées chaque jour dans le monde, via sa plateforme Ovi Store, soit huit fois plus qu'en 2010. Les derniers modèles de smartphones du constructeur finlandais, les N8, C6-01, C7 et E7 représentent près de 15% de ces téléchargements quotidiens.

Selon Nokia, les quelque 200 millions d'utilisateurs d'une smartphone Nokia fonctionnant sous Symbian bénéficient d'un catalogue de plus de 40 000 applications (300 000 pour l'App Store d'Apple). Chaque semaine, environ 1 000 s'y ajoutent selon le finlandais. Le constructeur finlandais précise enfin que 158 développeurs d'applications, répartis dans 41 pays, ont désormais dépassé le seuil du million de téléchargements chacun.

Reste que l'offre de Nokia reste très fragmentée entre les différents systèmes d'exploitation mobiles Symbian et Linux qui équipent les terminaux du constructeurs. Et l'adoption prochaine de Windows Phone 7 sur les smartphones finlandais ne va pas arranger les choses. Toutes les app Symbian seront incompatibles avec les nouveaux terminaux Windows Mobile de Nokia...

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(12/04/2011 10:37:48)

Recevoir les horaires de bus sur son smartphone dans le 93

Véolia Transport Seine Saint-Denis est le premier site de l'opérateur de transports en commun à proposer un accès aux horaires de bus en temps réel aux usagers dotés de smartphones. Le STIF (Syndicat des Transports d'Ile de France) a en effet financé l'équipement des bus de l'opérateur en système de géolocalisation relié à un SI central qui permet de calculer les horaires réels de passage dans chaque arrêt des lignes concernés. Pour l'instant, le quart des véhicules est équipé.

En taguant chaque arrêt par un code barre 2D, l'opérateur facilite l'accès à l'information par les voyageurs. Une application iPhone et Blackberry permet la reconnaissance du code. Il suffit aux usagers de flasher le code avec leurs smartphones pour être dirigés vers un site web mobile donnant les informations recherchées.
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(07/04/2011 16:16:34)

Pourquoi Google a besoin d'un Android moins ouvert

L'OS Android de Google est une force mobile avec laquelle il faut désormais compter. Les smartphones sous Android ont rapidement atteint le sommet, et les tablettes sous Android deviennent un concurrent sérieux à l'iPad d'Apple. La nature «ouverte» d'Android a contribué à son succès, mais le manque de contrôle sur l'écosystème de l'OS de Google a favorisé l'installation d'un environnement déroutant pour les développeurs d'applications et pourrait, à terme, nuire à la plate-forme. 



Une enquête réalisée par Appcelerator en janvier auprès des développeurs d'applications a montré que 88 % d'entre eux estimaient qu'Android était la plate-forme mobile la plus ouverte, et 76 % pensaient qu'elle était «la mieux placée pour être intégrée à l'avenir dans un nombre important de périphériques connectés. » Près des deux tiers des personnes interrogées considèrent qu'Android est, parmi les plateformes mobiles, celle qui offre les meilleures perspectives à long terme.

Android, combien de versions ?

Cependant, une question se pose de plus en plus : « de quel Android parle-t-on? » La popularité de l'OS mobile de Google ouvre sur un marché potentiellement lucratif pour les développeurs d'applications. Mais, pour eux, le problème est de savoir pour quel Android ils développement : un smartphone sous Android ou une tablette Android ? Pour quelle version ? Est-ce que l'application sera optimisée pour fonctionner avec différents matériels exécutant un certain Android ? Quelle plate-forme distribuera l'application ? Al Hilwa, analyste chez IDC, reconnaît que la fragmentation de la plate-forme devient un problème.



La variété des appareils et les options logicielles disponibles ajoutent à la complexité pour concevoir et tester des applications. Il devient donc plus difficile de produire une application unique qui fonctionne dans tout l'écosystème Android. Mais selon l'analyste, la vraie préoccupation est ailleurs : plutôt que de faire l'effort d'optimiser une application pour tirer parti des différents scénarios matériels, les développeurs vont répondre au plus petit dénominateur commun, ce qui finira par dégrader l'expérience globale et nuira à Android en réduisant son potentiel. Selon Al Hilwa « ce n'est pas irrémédiable, mais c'est comme demander à un pétrolier de modifier sa route, il faut une intervention ferme et durable de la part de Google pour redresser la situation. »

Une fragmentation sur plusieurs niveaux

Scott Schwarzhoff, vice-président du marketing chez Appcelerator, souligne qu'il existe plusieurs niveaux de fragmentation pour les développeurs d'applications en général. Un développeur doit faire face à la fragmentation au niveau de l'OS - Android vs iOS vs Windows Phone 7, plus la fragmentation des différentes versions d'Android en fonction de la plate-forme matérielle et du fabricant ; au niveau des compétences lors de la programmation - Java vs Objective-C vs .Net; au niveau du périphérique - smartphone vs tablette ; et au niveau de la distribution - App Store vs Android Market vs MarketPlace sans parler des plates-formes alternatives de vente d'applications Android (Amazon par exempe). « Dans ce contexte, le risque pour le développement mobile est extrêmement élevé, si un développeur ne s'arrange pas pour mieux organiser et optimiser ses équipes et pour construire une architecture mobile intégrée capable d'évoluer pour répondre aux problèmes de fragmentation évoqués, » explique-t-il.

Google a déjà plus ou moins admis que le terme «ouvert» est plus un buzz marketing qu'une culture pour Android. Il est «ouvert» par rapport à iOS d'Apple, mais ne s'ouvre pas dans le vrai sens d'un projet open source, ouvert aux ajouts de développeurs tous azimuts. Google continue d'ailleurs de contrôler le code source, comme il décide de la sortie et de la distribution des nouvelles versions. Cependant, Google doit travailler plus étroitement avec les fournisseurs de terminaux tournant sous Android et établir des contraintes matérielles minimales pour les appareils. Il doit inciter aussi à une plus grande cohérence dans la livraison des mises à jour de l'OS, de sorte que les développeurs d'applications Android n'aient pas à subir cette multiplicité d'options possibles, très déroutantes pour eux.

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(07/04/2011 09:38:12)

Observatoire de l'Internet : 51% des abonnés mobiles disposent d'un forfait data

L'augmentation du nombre de forfait données dans le secteur du mobile se double d'une augmentation du parc de smartphones. Ces téléphones multimédia représentent 38% des mobiles français, un score en hausse de 20 points comparativement à 2010. Au total, 63% des 16-65 ans possèdent un terminal téléphonique, smartphone ou non, capable d'avoir accès à Internet. Les jeunes âgés de 16 à 24 ans sont particulièrement friands de l'Internet mobile. 86% des jeunes abonnés disposent ainsi d'un smartphone et un tiers surfe chaque jour.

En 2011, les connexions se font principalement dans les transports (61%) et le travail (59%). Encore premier l'an dernier, le domicile termine troisième avec 55%. Question contenus, les internautes mobiles privilégient les sites d'informations (+9 points). Les sites pratiques enregistrent une hausse de cinq points, identiques à celle des sites d'informations spécialisées. La vidéo connaît un large usage avec 81% des mobinautes l'utilisant.

20,6 apps en moyenne par utilisateur

Les applications s'installent dans les usages avec une moyenne de 20,6 en 2011 contre 11,2 l'année précédente. Les applications dédiées à des médias sont considérées comme essentielles pour 17% des personnes interrogées. Elles précèdent celles consacrées à la météo et au trafic (16%) et les réseaux sociaux (13%). La géo-localisation est acceptée, sous condition d'être averti.

Les achats via téléphones portables se développent, eux aussi, avec un quart des sondés (25%) ayant effectué un achat de ce type. La musique domine avec 38%, devant le jeu vidéo (36%).

L'Observatoire de l'Internet mobile a été réalisé du 20 au 25 janvier dernier auprès de 1 007 personnes âgées de 16 à 65 ans.

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(07/04/2011 10:39:50)

Truffle 100 France 2011 : les éditeurs de logiciels redressent la barre

Pour sa septième édition, le Truffle 100 des éditeurs français de logiciels repart enfin à la hausse de façon significative, après s'être vu ravir depuis 2006 quelques-unes de ses plus belles réussites (Business Objects, GL Trade, Ilog, Viveo). En 2010, ce Top 100 a enregistré une progression de 17,5% du chiffre d'affaires lié à l'édition de logiciels, à 4,7 milliards d'euros (contre 4 Md€ un an plus tôt). Le chiffre d'affaires total du Truffle 100 atteint 6,6 milliards, soit 10% de plus qu'en 2009.

« C'est une année de post-crise, on repasse enfin au-dessus de 2006 qui avait été jusqu'à présent la meilleure année [4,2 Md€] », commente Bernard-Louis Roques, directeur général et co-fondateur de Truffle Capital, en soulignant néanmoins que c'est normal pour cette industrie en croissance. Le bénéfice de ces sociétés reprend lui aussi des couleurs, en valeurs absolue et relative. Le résultat net du Top 100 s'est élevé à 543 M€ en 2010 contre 254 M€ en 2009. Et il a représenté en moyenne 6,6% du chiffre d'affaires du Truffle 100 contre 4,3% l'an dernier. « Mais, on ne retrouve pas le niveau des années 2004 à 2007, fait remarquer Bernard-Louis Roques. On en est encore loin, il n'y a pas lieu de crier victoire. » En 2007, le résultat net représentait en moyenne 11,4% du CA total.

Les éditeurs modèrent leurs dépenses R&D

Le secteur continue de créer des emplois qualifiés : un millier de plus sur ses activités de R&D en 2010, portant ses effectifs à 11 460 personnes sur ces fonctions. Au total, le Truffle 100 employait 57 490 personnes l'an dernier, soit presque 3 560 de plus qu'en 2009. « Toutefois, ce n'est pas massif compte tenu de la croissance, note Bernard-Louis Roques. Les éditeurs de logiciels ont été une industrie résiliente en période de crise. Mais, ils sont maintenant soucieux de ne pas accélérer les investissements en R&D ». Ces dépenses n'ont augmenté que de 1%. Le co-fondateur de la société de capital risque Truffle Capital fait remarquer que ces éditeurs ne se sentent pas vraiment soutenus par les hommes politiques.

Le Small Business Act (SBA) « à la française » appelé de leurs voeux depuis des années n'a toujours pas avancé [cela permettrait de réserver une partie des appels d'offres aux PME]. « Sur ce sujet, un Framework a été fait au niveau européen, mais c'est une coquille vide ». Il y a eu des débats sur le CIR (crédit impôt recherche) début 2010, puis à la fin de l'année, la réforme du statut de la JEI est venue pénaliser ces jeunes entreprises innovantes, ce qui ne favorisera pas les dépenses R&D. « Les éditeurs ne se sont pas sentis véritablement aidés. L'absence de débat sur un SBA qui existe depuis 1953 aux Etats-Unis, le fait que l'on parle d'un plan de relance mais que l'essentiel du grand emprunt ne soit pas facilement accessible aux PME... C'est hallucinant, alors qu'année après année, ils créent des emplois. »

Une industrie centralisée en Ile-de-France


Autre caractéristique de ce Truffle 100 français : 63 éditeurs se trouvent en Ile-de-France contre 59 en 2009. Derrière, la région Rhône-Alpes se maintient, mais avec 12 éditeurs seulement, dont le numéro 4, Cegid.

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Une industrie centralisée en Ile-de-France


Les éditeurs qui entrent en bout de classement sont franciliens, pointe Bernard-Louis Roques en rappelant par ailleurs que les petits éditeurs croissent plus vite que les gros. « Si notion de cluster il y a, elle tend à démontrer que le cluster français est viable au niveau international ». Pourtant, Londres a dépassé l'Ile-de-France dans cette course. Les gros éditeurs croissent faiblement alors que d'autres en Europe sont beaucoup plus agressifs. « Au niveau européen, il y a en Allemagne un software cluster, le seul à être reconnu comme tel, ayant vocation à aider l'industrie locale du software », souligne Bernard-Louis Roques. « Il est soutenu par des fonds publics et privés : 80 millions d'euros de financement public auxquels s'ajoutent des financements privés avec des initiatives venant de SAP et de Software AG. Dans la région de Londres, il y a également les initiatives annoncées, en particulier la création d'une Silicon Valley. En France, il y a les pôles de compétitivité. Chacun veut avoir son pôle, mais seule l'Ile-de-France peut se battre au niveau international. »

Rachat par des Américains : accalmie temporaire


Cette année, la consolidation s'est stabilisée dans le haut du classement. Les rachats d'éditeurs français par des groupes étrangers ont été moins importants. Au total, le poids des rachats a pesé 45 M€ contre 55 M€ en 2009 et 371 M€ en 2008. Le numéro 19 du classement, EmailVision, a tout de même été racheté par le fonds américain Fransisco Partners. Mais Exalead, en revanche, a rejoint le Français Dassault Systèmes, ce qui a consolidé le Truffle 100. Il y a eu par ailleurs onze acquisitions. « Cette année d'accalmie, c'est très positif pour les éditeurs mais ce n'est pas une tendance, considère Bernard-Louis Roques. Cela peut reprendre car les éditeurs américains sont riches, ils ont beaucoup de cash. »

La part du progiciel métier reste prépondérante dans ce Top 100, mais les solutions technologiques prennent plus de place. « Le SaaS est encore embryonnaire en France, estime le co-fondateur de Truffle Capital qui voit en revanche, « en tant que venture capitalist, un « deal flow » [flux de dossiers présentés aux investisseurs] absolument phénoménal sur le mobile. Toutes les sociétés qui sont sous le radar évoluent dans la mobilité, les médias sociaux et sont des pure players SaaS. Il y a toute une vague qui progresse. Nous constatons une très forte différence entre cette année et l'an dernier, un nombre de projets beaucoup plus importants », confirme-t-il. (...)

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