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(12/06/2008 14:44:02)

Symantec va utiliser Xen pour proposer Veritas Virtual Infrastructure

Symantec veut revenir sur le créneau de la virtualisation. Sous le nom de Veritas, l'éditeur va proposer son outil de gestion de stockage couplé avec l'hyperviseur Xen, désormais sous le contrôle de Citrix. Veritas Virtual Infrastructure sera disponible cet automne. Le tandem Xen / gestion de stockage permettra, selon Symantec de pouvoir continuer à exploiter tous les outils d'administration du stockage de son offre et d'y ajouter la gestion du stockage spécifique à la virtualisation (image des serveurs virtuels, stockage hétérogène et SAN multi-accès). (...)

(13/06/2008 11:26:02)

NetApp rénove son milieu de gamme

Promettant des gains de performance allant de 40 % (pour du simple service de fichiers) à presque le double (pour un serveur Exchange) par rapport à la génération antérieure, NetApp propose deux nouvelles baies de stockage (les FAS 3140 et 3170 en remplacement des FAS 3020, 3040 et 3070) et deux nouveaux contrôleurs (V3140 et 3170, en remplacement des V3020, 3040 et 3070). Ils sont basés sur le microcode Ontap 7.3 et gèrent jusqu'à 840 disques pour une capacité totale de 840 To, avec une mémoire cache par contrôleur allant jusqu'à 32 Go. Ils supportent en standard les protocoles FCP, iSCSI, NFS et CIFS, et accueillent jusqu'à 40 ports Fibre Channel 4Gb/s et 36 ports Ethernet. D'origine, le châssis mesure 6U et peut donc accueillir un ou deux contrôleurs avec un ajout « à chaud » sans arrêter la baie. Le V3140 est vendu à partir de 36524 euros, et la FAS 3140 à partir de 45 217 euros avec 7 téra-octets de stockage. Pour optimiser les performances des datacenters, NetApp propose désormais le Performance Acceleration Module. Cette carte se glisse sur la baie à la place d'un des slots d'extension. Elle y ajoute une mémoire cache de second niveau que l'administrateur peut choisir d'utiliser comme cache secondaire classique ou comme stockage des métadonnées. Les baies et les contrôleurs les plus haut de gamme pourront ainsi supporter jusqu'à 5 cartes d'extension pour une mémoire cache totale de 80 Go. Chaque carte coûte 9720 euros auxquels il faut ajouter 12 970 euros par contrôleur pour l'usage du logiciel Flexscale. Il annonce aussi des Storage Acceleration appliance, petites baies de stockage qui vont améliorer la puissance de la baie principale en la déchargeant d'une partie du dialogue avec les clients NFS. Ces offrent visent surtout les fermes de calcul ayant de gros besoins d'accès disque aussi bien en écriture qu'en lecture. Basée sur les baies de stockage FAS traditionnelles, les baies SA se déclinent en trois modèles : SA 200 (11 5000 IOPS, 2 Go de mémoire cache, 104 TO de stockage), SA 300 (34 500 IOPS, 8 Go de mémoire cache, 504 TO de stockage) et SA 600 (220 000 IOPS, 32 Go de mémoire cache et 11 76 TO de stockage). Enfin, la société annonce quelques mises à jour de ses logiciels SnapManager 5.0 pour Exchanger Server, SnapManager 5.0 pour SQLServer et SnapMailbox Recovery 5.0. Ceux-ci sont désormais compatibles avec les dernières versions d'Exchange et de SQLServer ainsi que Windows Server 2008 et supporte aussi bien les environnements physiques que virtualisés avec VMWare ou le futur HyperV. (...)

(06/06/2008 15:22:58)

Stockage en Europe : Dell et Fujitsu-Siemens qui rient, HP qui pleure

Dell affiche une croissance de presque 50% de ses revenus en Europe (et Moyen Orient et Afrique) pour ce qui concerne la vente de baies de disques « intelligentes » (intégrant un contrôleur de disques) au premier trimestre 2008, comparé à la même période de 2007. C'est une belle performance pour le constructeur texan car le marché global pour sa part ne croît que de 15% en Europe (et de 10% dans le monde), selon les chiffres publiés ce jour par le cabinet Gartner. Dell atteint ainsi la quatrième place du classement des vendeurs en Europe. La croissance est actuellement sur les systèmes de milieu de gamme, des machines qui sont vendues entre 200 000 $ et 300 000 $. Ce segment est en croissance de 58% sur un an. Les modèles plus coûteux (500 000$) sont en recul de 12%, précise Gartner. Ce dynamisme de Dell fait suite à son rachat d'Equalogic, un fournisseur de baies iSCSI dont l'offre complète les quelques modèles de baies d'origine EMC que revend le Texan. Cette montée en puissance de Dell ne menace pas encore EMC, l'incontestable numéro un (en Europe et dans le monde) qui connaît lui-même une solide croissance (16%, sans compter les systèmes revendus par ses OEM Dell et Fujitsu-Siemens). Mais Dell a désormais dépassé en revenus le vieux routier NetApp (128 millions de dollars pour Dell contre 125 millions pour NetApp). Coup de frein chez HP [[page]]A la deuxième et troisième place du marché européen, on trouve respectivement HP et IBM, avec des ventes respectives de 227 millions de dollars et 187 millions. Si IBM est en croissance (+18%), en revanche HP est nettement freiné et voit ses revenus décroître (-0,6%). Mauvais signe pour ce leader traditionnel du stockage de milieu de gamme. Ceci dit, HDS, présent à la 8e place des constructeurs, vit un recul encore plus brutal de son chiffre d'affaires (-28%) [Mise à jour du 16/06/08 : Gartner est revenu sur ce chiffre ; le CA de HDS aurait au contraire bondi de près de 43%, voir le rectificatif]. La percée de Fujitu Siemens Reste le cas de Fujitsu Siemens, qui affiche une croissance extraordinaire de 162% - il a donc quasiment triplé ses revenus du premier trimestre sur le Vieux Continent comparé à 2007. Cela est dû à l'introduction de nouvelles marques en Europe, explique Gartner. Et ses revenus globaux ne sont pas très éloignés de ceux de NetApp ou de Dell. (...)

(06/05/2008 18:10:30)

HP fait entrer 820 To dans une 'appliance' géante

HP annonce une offre de stockage pour des entreprises dont l'activité nécessite de l'évolutivité, comme cela peut être le cas pour des entreprises de gestion et d'impression de photos en ligne. « Ce sont des secteurs au rythme annuel plutôt stable à l'exception de quelques pics au moment de Noël ou d'Halloween, par exemple, explique Ian Duncan, directeur marketing pour la division NAS entreprise chez HP. » Pour HP, l'ExDS9100 est en quelque sorte une appliance géante puisque l'offre regroupe matériel et logiciel. Un choix délibéré du constructeur qui croit au couplage étroit du matériel et du logiciel pour ce type d'environnements. L'ExDS9100 est le plus dense des matériels jamais livré par HP. Le rack concerné comprend jusqu'à 16 lames (un total de 128 coeurs) sous Linux et jusqu'à 10 blocs de stockage d'un total de 820 To (en raid 6). Chaque bloc est constitué de disques Sata connectés à des contrôleurs SAS. Enfin, HP a équipé son nouveau bébé du système de gestion de fichiers en cluster Polyserve qu'il a acheté il y a un an. Ce dernier permet à l'ensemble des noeuds du cluster d'accéder de façon transparente à l'ensemble des ressources de stockage. Le prix du gigaoctet affiché par l'ExDS9100 se révèle particulièrement bas, selon le Californien, puisqu'il ne dépasse pas les 2 dollars. Mais il n'est pas inutile de rappeler que la configuration minimale démarre à 246 To, soit quelque 492 000 dollars... HP destine donc ces machines à trois secteurs principalement : les environnements de calcul intensif comme l'imagerie médicale ou la génomique par exemple, les entreprises du Web 2.0, et les médias numériques. L'un des premiers clients français pourrait d'ailleurs être le studio d'animation 3D Sparx qui finit actuellement la réalisation du long métrage 'Igor', bientôt présenté au Festival de Cannes. Ce type de film ne nécessite pas moins d'une centaine de téraoctets pour traiter les centaines de milliers d'images et de scènes qu'il représente. (...)

(28/04/2008 16:46:49)

HDS se lance à son tour dans la course au datacenter vert

Depuis quelques semaines, le monde du datacenter joue à qui sera le plus vert. Après IBM, HP et autres Sun, c'est au tour du spécialiste japonais du stockage Hitachi Data Systems (HDS) d'entrer dans la danse. Il affirme ainsi avoir construit la salle de serveur la plus verte du monde à Yokohama. Celui-ci n'entrera en production qu'en juillet 2009 mais devrait atteindre 1,6 sur l'échelle Pue (Power usage effectiveness) du Green Grid. Le Pue mesure le ratio entre la dépense énergétique totale d'un bâtiment (alimentation des serveurs et des baies, climatisation et ventilation de l'ensemble, alimentation des connexion réseau, éclairage, etc.) et la dépense énergétique propre des appareils informatiques qu'il contient. Ce nouveau centre dépenserait donc 1,6 watt d'énergie totale pour chaque watt réellement affecté à l'informatique. Hu Yoshida, directeur informatique de HDS, rappelle que « la plupart des datacenters en utilisent plutôt trois. » Pour obtenir ce résultat, le constructeur a installé des équipements (serveurs, baies de stockage et connexion réseau) de dernière génération particulièrement économes en énergie et pense ainsi réduire les émissions de CO2 de 20 % par rapport aux salles de serveurs à la puissance équivalente. Il s'appuiera sur des techniques de virtualisation et sur le « thin provisionning », un moyen de répartir au mieux les taches sur l'ensemble des ressources matérielles de l'ensemble. Le projet s'intègre dans le plan général de HDS pour réduire ses émissions de carbone de 50 % d'ici cinq ans. (...)

(11/04/2008 17:37:07)

SNW 2008 : le stockage doit passer au vert

D'après un sondage réalisé auprès des participants du salon Storage Networking World, qui se déroulait cette semaine à Orlando, 51% d'entre eux reconnaissent que la réduction des coûts est la raison numéro un qui les poussent à freiner leur consommation d'énergie. Ce que Mark Showers, DSI de Monsanto, résume simplement : « Pour une approche durable de la protection de l'environnement, il doit y avoir un incitatif financier. » L'accroissement de la consolidation de données et de la virtualisation répondent à cette nécessité, mais selon Hu Yoshida, directeur technique d'Hitachi Data Systems, ils ne suffisent pas face à la pénurie d'énergie qui menace : « Il y a des risques, nous manquons d'énergie. Il est probable que des coupures se produiront. » Notant que la plupart des systèmes n'utilisent que 20 à 30% de leur capacité de stockage, il recommande un meilleur usage des capacités de stockage actuelles avec des techniques comme le 'thin provisionning', une réservation plus fine des ressources. Le CTO de HDS recommande aussi un audit serré des données de l'entreprise, pour éliminer celles qui sont en double et mettre les plus anciennes sur des supports moins gourmands en énergie. En effet, une donnée vieille de plus de 60 jours n'a plus que 7% de chances d'être réutilisée, selon Hu Yoshida. A l'heure actuelle, d'après le cabinet d'études Gartner, seules 3% des entreprises ont réalisé un tel audit et savent exactement quelle est leur dépense énergétique. Pour celles-ci, Mark Showers a une solution assez simple : « Il y a plein de fruits un peu blets. vous n'avez pas besoin de connaître tous les détails. Si vous débrancher un appareil, vous consommerez moins d'énergie. » (...)

(09/04/2008 10:33:33)

EMC croque Iomega pour 213 M$

[mise à jour] Le spécialiste américain du stockage EMC a, comme prévu, scellé le rachat de son compatriote Iomega, ce qui lui permettra d'étendre son offre sur le marché des petites entreprises et des particuliers. La transaction s'est effectuée en numéraire pour un montant de 213 millions de dollars. EMC souligne l'intérêt d'accueillir une marque qui dispose d'une belle notoriété et de bénéficier de la connaissance du marché grand public acquise par Iomega. Ce dernier constituera le coeur d'une nouvelle division centrée sur les produits grand public et PME/TPE, une entité qui vendra aussi ses logiciels Retrospect et LifeLine pour la sauvegarde des données et la gestion du stockage. Iomega est surtout connu pour ses périphériques de stockage Zip et Rev. Il commercialise également des serveurs de stockage et des services en ligne. Mi-mars, EMC avait manifesté son intérêt pour le fournisseur en proposant 3,25 dollars par action, offre qu'il avait ensuite relevée à 3,75dollars. Le montant définitif sur lequel les deux entreprises se sont mis d'accord valorise l'action à 3,85 dollars. L'acquisition devrait être finalisée au deuxième trimestre. Iomega abandonne le rachat d'ExcelStor Jonathan Huberman, PDG de Iomega, voit dans ce rachat l'opportunité de mieux diffuser ses produits sur le marché professionnel. L'entreprise qu'il dirige emploie 250 personnes. Elle conservera ses locaux de San Diego (Californie). Il est encore trop tôt pour parler des licenciements qui pourraient résulter de la transaction, précise Jonathan Huberman, tout en ajoutant que le nombre de personnes travaillant sur les produits Iomega pourrait, à terme, augmenter. En acceptant le rachat d'EMC, Iomega abandonne le projet d'acquisition de son partenaire chinois ExcelStor Great Wall Technology. Ce dernier, fondé en 2001 par des cadres de Seagate et Counter Peripherals, a fabriqué depuis 2004 certains disques durs externes de Iomega, ainsi que les produits Rev, et vend également ses propres produits de stockage. « Iomega ne peut s'engager que dans une seule transaction et l'offre faite par EMC va dans le sens des intérêts de nos actionnaires », indique John Huberman. L'abandon de ce projet a conduit Iomega à verser 7,5 M$ à ExcelStor. (...)

(17/03/2008 15:57:44)

IDC pense que la création de données numériques va dépasser nos capacités de stockage

Comment en arrive-t-on à annoncer qu'il y a plus d'informations numériques que de supports pour les accueillir ? Evidemment par un élégant exercice de communication, mais aussi par des constats qui ne laissent aucun doute. IDC vient ainsi de prédire qu'on va bientôt manquer de ressources pour stocker toutes les données qu'on produit. Selon le cabinet d'études, les informations multimédias (photos, télévision numérique, enregistrements de surveillance.), le "cloud computing" et le développement des réseaux sociaux contribuent tous à saturer les capacités de stockage disponibles. Plus significatif encore, IDC prédit que, d'ici à 2011, autrement dit demain, la quantité de données numériques à stocker sera 10 fois celle qui l'était en 2006. C'est cette explosion qui se traduira par un manque de ressources pour stocker toutes ces données. 281 exaoctets produits en 2007, 1800 en 2011 Avec un univers numérique de 281 exaoctets (le chiffre officiel donné par IDC est de 2,25 x 10 puissance 21 bits, soit 281 exaoctets ou 281 milliards de gigaoctets), 2007 devrait rester dans les mémoires humaines comme la première année où il fut impossible de stocker (de façon permanente, s'entend) toutes les données numériques produites. En 2011, avec 1800 exaoctets produits, la moitié des données numériques n'aura pas d'espace de stockage permanent. Et il ne s'agit pas seulement d'une augmentation vertigineuse des volumes auquel on assiste, mais aussi à un accroissement encore plus rapide du nombre "d'unités", ce qu'IDC appelle des "containers", autrement dit du nombre d'unités d'information (fichiers, image, paquets, etc). Là, la croissance est 50% plus rapide que celle déjà impressionnante du volume d'information. En 2011, IDC table sur 20 quadrillions (20 millions de milliards de milliards) de ces unités informationnelles. Autre élément d'information à savoir : l'activité de chacun, qu'elle soit professionnelle ou individuelle, ne génère que la moitié de la production numérique. Le reste, appelé "l'ombre numérique", résulte de sa traçabilité : films de caméra de surveillance, historiques divers, journaux de transactions, listes de diffusion, etc. Si les individus restent responsables de la création de 70% de l'univers numérique, il faut savoir que ce sont les systèmes d'information des entreprises qui ont en charge la conservation, la sécurité, la conformité et la confidentialité de 85% de l'univers numérique. A noter : l'étude est sponsorisée par EMC, fournisseur de systèmes de stockage pour entreprises. (...)

(17/03/2008 09:00:03)

Les disques loin d'être les seuls points faibles des systèmes de stockage

Dans les systèmes de stockage, les problèmes de disque ne sont pas les seules causes de leurs défaillances. Les problèmes d'interconnexion s'avèrent même aussi fréquents que ceux qui affectent les disques. Avec le soutien de Net App, une équipe d'universitaires de l'Illinois a observé pendant plus de trois ans et demi le comportement de 39 000 systèmes de stockage. Ce qui donne 1,8 million de disques en fonctionnement dans 155 000 tiroirs. L'étude a porté sur différents types de systèmes, de l'entrée au haut de gamme et en y incluant ceux dédiés à la sauvegarde. Certes, les disques défaillants sont impliqués dans 22% à 55% des problèmes rencontrés, mais les problèmes d'interconnexion interviennent dans 27% à 68%. Le logiciel n'est pas non plus exempt de faiblesse : dans 5 à 10%, des problèmes de protocole sont à incriminer. Des sous-éléments redondants pour plus de sécurité, qui l'eut cru ? Parmi les conclusions des chercheurs, on notera celle qui souligne que ne s'attacher qu'aux faiblesses des disques comme l'avait fait l'étude de Google (cf. ci-dessous) restreint par trop le champ des investigations et limite la portée des conclusions. Mais leur principal message porte sur l'importance de la redondance des sous-éléments. La mise en Raid, si elle permet d'échapper aux conséquences d'une défaillance disque, ne dispense pas d'un doublement d'autres éléments. Ceci dit, il ne faut pas être universitaire dans l'Illinois pour savoir que des systèmes redondants et plus chers sont plus fiables que ceux qui ne le sont pas. (...)

(07/03/2008 16:31:59)

EMC règne sur un marché où le iSCSI progresse le plus vite

2007 restera comme une bonne année pour l'industrie du stockage sur disques. Grosso modo, le chiffre d'affaires des ventes de sous-systèmes disques progresse deux fois plus vite que celui des ventes de serveurs. Selon IDC, en 2007, il a progressé de 6,6% pour atteindre 26,3 Md$. Dans le même temps, les "volumes" ont explosé. Sur le seul quatrième trimestre, 1645 peta-octets ont été livrés, soit une augmentation de 56,3% ! Augmentation "naturelle" des volumes, besoin de duplication, contraintes légales, tout pousse à cette augmentation vertigineuse des besoins. Si l'on considère le marché dans son ensemble, IBM et HP décrochent les premières places du marché. Ils doivent cet honneur à leurs ventes d'équipement de stockage sur leurs serveurs. Dès lors que l'on s'intéresse au marché ouvert, EMC sort nettement renforcé dans sa position de leader et IBM y conforte sa deuxième place. Les deux creusent l'écart avec le troisième, HP, qui a nettement perdu du terrain. EMC s'arroge toujours un cinquième de ce marché des systèmes de stockage externe à lui seul. Encore loin derrière, les challengers que sont Dell, Hitachi et Network Appliance progressent toutefois à vitesse V, autrement nettement plus vite que les leaders et que le marché lui-même. Les performances de Network Appliances (+19,2%) et de Dell (+17%) sont tout à fait remarquables. Cette poussée des outsiders s'accompagne d'une nette progression de la technologie iSCSI au détriment des autres. Cette technologie a connu une hausse de 70% de son CA en 2007. On comprend mieux dans ce contexte pourquoi Dell s'est fendu de 1,4 Md$ pour acheter EqualLogic, spécialiste de cette technologie. (...)

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