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Open Source
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(27/03/2007 12:31:30)
Novell crée un clone Open Source de CardSpace, le sélecteur d'identités de Microsoft
Novell a présenté la semaine passée à sa conférence utilisateurs Brainshare une démonstration d'une version Open Source d'InfoCard, la technologie de sélection d'identités de Microsoft. Aucune date de commercialisation n'a encore été définie, les travaux étant toujours en cours, mais ce qui est sûr, c'est que le produit de Novell fonctionnera tant sur Linux que sur Mac. Et sera compatible avec la version de Microsoft. InfoCard a été mis au point par Microsoft afin de faciliter l'authentification d'un utilisateur sur divers sites Web. L'éditeur estime qu'un internaute dispose de plusieurs éléments identifiants, qu'il utilise différemment selon les sites auxquels il se connecte : intranet professionnel, forum d'utilisateurs d'informatique, boutique en ligne, club de jeu ou de sport, banque en ligne, etc. Un sélecteur d'identités, nommé CardSpace, accessible au travers du navigateur IE7, permet de sélectionner la carte d'identité numérique idoine. Alors que la technologie de Microsoft ne fonctionne qu'avec Windows Vista et Internet Explorer 7, la volonté de Novell est d'en faire un outil universel. Des implémentations avaient bien été réalisées ici ou là pour ouvrir InfoCard (une implémentation en Java, une extension pour Firefox...) mais c'est la première fois qu'un produit packagé et supporté devrait sortir. Contrairement à ce qu'on pourrait croire, ce développement réalisé par Novell ne résulte pas de l'accord d'interopérabilité conclu entre les deux éditeurs, puisque les travaux ont débuté en septembre, soit trois mois avant. Néanmoins, cela entre parfaitement dans le cadre de l'accord, et est fait avec la bénédiction de Microsoft. De toute façon, les technologies d'InfoCard sont couvertes par le protocole OSP (Open Specification Promise) qui garantit que les développeurs peuvent employer des technologies de services Web conçues par Microsoft sans aucun souci juridique. (...)
(26/03/2007 13:40:36)MySQL séduit 40 % des développeurs
Selon le cabinet d'études indépendant Evans Data Corporation, Oracle, IBM et les autres grands éditeurs de bases de données ont du souci à se faire. Loin d'être un jouet pour développeurs ou de se cantonner aux expérimentations pilotes, la base de données Open Source MySQL s'impose dans les entreprises. En l'espace de deux ans, sa part de marché est passée de 32 % en 2004, à 40 % en 2006. De plus, comme le nombre de développeurs utilisant des outils Open Source ne cesse de croître, cette part de marché est appelée à grandir. Et ce, d'autant plus que 69 % de ces développeurs Open Source sont satisfaits des bases de données libres disponibles actuellement. Il est à noter que l'étude Evans Data prend en compte aussi bien les projets pilotes au stade de développement, que ceux réalisés en production en entreprise. Pour John Andrews, président d'Evans Data Corporation, « dans un nombre croissant de nos catégories de classement, nous voyons les bases de données Open Source arriver au niveau des bases propriétaires, ou même les dépasser. » Selon le cabinet d'études, cette popularité de MySQL s'explique également par son rôle proéminent au sein de la plate-forme Web Open source LAMP (pour Linux, Apache, MySQL et PHP) dont l'usage se généralise également. Une popularité déjà soulignée par Anaska et Ib-Groupe Cegos dans leur Observatoire des logiciels libres, qui faisait état d'une progression de 50% en un an (2005-2006) des formations sur MySQL. Plus surprenant, nous raconte l'étude, est que "70% des stagiaires MySQL ne travaillent pas sur des projets associés au Web". La cabinet d'analystes Forrester rappelait de son côté que si MySQL restait la base de données Open Source la plus utilisée dans les projets d'entreprises, Ingres et PostgreSQL, autres bases Open Source, proposaient, quant à elles, un éventail de fonctionnalités plus complets. (...)
(22/03/2007 17:16:31)Michel Rocard planche sur l'IT pour Ségolène Royal
Michel Rocard vient de se voir confier, par Ségolène Royal, une mission sur « les enjeux du numérique ». L'ancien Premier ministre aura en charge la rédaction d'un rapport dans lequel il devra fournir une série de propositions à la candidate sur les thèmes du numérique et d'Internet, des sujets pour l'heure peu évoqués dans la campagne. Entouré de neuf personnalités, dont Vincent Feltesse, le monsieur IT du PS, Aziz Ridouan, président des audionautes, François Pellegrini, fondateur les Rencontres mondiales du logiciel Libre, ou du journaliste et écrivain Frédéric Martel, Michel Rocard s'interrogera notamment sur les moyens nécessaires pour « relancer l'innovation dans le numérique et le logiciel en France et en Europe ». L'ancien maire de Conflans-Sainte-Honorine planchera également sur l'informatique comme levier de la réforme de l'Etat, une réflexion qui devrait toucher aux logiciels Libres. Rappelons que Ségolène Royal avait rencontré Richard Stallman, le président de la Free Software Foundation, en juin 2006. Une rencontre au cours de laquelle la future candidate avait rappelé son opposition à la loi Dadvsi et partagé, avec le dogmatique Stallman, son attachement aux principes du Libre. Michel Rocard, qui s'était vigoureusement opposé aux brevets logiciels lors des discussions au Parlement européen, ne disposera que de quelques jours pour rendre son devoir : Ségolène Royal ramassera les copies début avril. (...)
(22/03/2007 11:21:54)SugarCRM ajoute la gestion de projet à son offre de GRC
Depuis la création de SugarCRM, en juin 2004, le logiciel de gestion de la relation client (GRC) que l'éditeur développe en Open Source a été téléchargé un million et demi de fois (trois millions de téléchargements au total, en incluant les mises à jour et les nouveaux modules). La base installée de l'offre payante regroupe 1 200 entreprises et l'éditeur entend défier des spécialistes de la GRC, comme Salesforce.com (30 000 clients dans le monde). Clint Oram, l'un des trois fondateurs de la société, directeur général du siège européen tout juste implanté, en veut pour preuve les cinquante clients qu'il a déjà repris à cet emblématique concurrent. Pour renforcer sa solution, actuellement dotée des fonctions requises pour gérer les ventes, le marketing multicanal et l'assistance aux clients (les trois piliers de la GRC), l'éditeur vient d'annoncer un module de gestion de projets. Intégré aux autres modules, Project Management permet de suivre les actions menées sur les clients. Il assure le partage d'informations entre les collaborateurs (avec visualisation de l'historique des échanges), apporte des outils de planification, des modèles de projets pré-définis, des vues sous forme de diagrammes de Gantt (pour figurer graphiquement les différentes étapes d'un projet) et des tableaux de bord pour le contrôle d'indicateurs clés. Il est possible d'exporter ces données vers le logiciel Microsoft Project. Des versions sur site, en ligne ou packagées clé en main Le module Project Management est inclus dans l'abonnement aux versions commerciales de SugarCRM. L'éditeur propose en effet deux produits, parallèlement à Sugar Open Source, son offre gratuite allant jusqu'à cinq utilisateurs. Au-delà de cinq postes, on trouve Sugar Professional et, pour les grandes structures, Sugar Enterprise. Ces déclinaisons peuvent s'installer en interne, de façon classique (version On-Site), ou s'utiliser à partir d'une connexion Internet (version On-Demand). Sugar Professional On-Site est vendu 210 euros par utilisateur et par an, et Sugar Enterprise, 340 euros par utilisateur et par an. En mode hébergé, l'abonnement mensuel à ces versions coûte respectivement 40 ou 75 euros par utilisateur. Il est intéressant de noter que SugarCRM a également mis au point une version « clé en main » de son offre, livrée avec le matériel. Baptisée Sugar Cube, elle comprend le serveur, la base de données (MySQL ou Oracle 9i, au choix) et un outil de déploiement rapide, Sugar FastStack. A partir de cinq utilisateurs (Sugar Cube 1005) et jusqu'à 250 (Sugar Cube 3005. La communauté SugarCRM regroupe 7 000 développeurs dans le monde, dont 200 sont impliqués au quotidien sur le projet (le logiciel est entièrement développé en langage PHP). A l'instar de Salesforce.com, SugarCRM a également créé sa place de marché, SugarExchange, sur laquelle des éditeurs indépendants peuvent proposer des outils complémentaires à son offre de GRC. Parmi ces partenaires figure notamment l'éditeur de solutions décisionnelles en Open Source JasperSoft qui a également apporté des outils d'analyse à l'offre de Salesforce.com (sur le site AppExchange.com). Sur le même sujet : -GRC en Open Source : SugarCRM ouvre un siège en Europe -Forrester distingue quatre logiciels pour moyennes entreprises - SugarCRM se rapproche de JasperSoft -SugarCRM propose de nouveaux services de support -SugarCRM devrait adopter la licence Microsoft Shared Source (...)
(21/03/2007 17:09:52)Ellison : Unbreakable Linux va bien
"Notre programme de support de Red Hat Entreprise Linux connaît un très bon départ", a déclaré Larry Ellison, à l'occasion d'une conférence entre analystes financiers. Ellison a inauguré son offre Unbreakable Linux 2.0 en octobre à l'occasion d'OpenWorld à San Francisco et, depuis, s'était refusé à commenter sa progression ainsi que le nombre d'utilisateurs intéressés. Unbreakable Linux propose une version recompilée de l'OS de Red Hat ainsi qu'une offre de support associée pour un prix inférieur à celui proposé par Red Hat. "Et ce n'est qu'un début. Nous n'allons pas bâtir un marché Linux du jour au lendemain, mais [assurément, ndlr], nous y parviendrons. Nous sommes déterminés à offrir le meilleur support au monde ", martèle-t-il. Puis d'avancer quelques exemples. Yahoo, présent à OpenWorld, a déjà basculé et pris Oracle comme fournisseur de support pour Red Hat. Et de citer aussi Dell et HP, présents au travers d'enregistrements vidéos, qui pourraient redistribuer l'offre d'Oracle. Sans citer d'autres grands comptes, Ellison souligne que certains contrats de supports Linux signés par Oracle avoisineraient les 500 000$. (...)
(20/03/2007 17:33:42)Sun TechDays : Simon Phipps, pas de GPL pour OpenSolaris, pour le moment
C'est à l'occasion des Sun TechDays (19 au 21 mars) de Paris que Simon Phipps, gourou de l'Open Source chez Sun, venu faire l'éloge du modèle de développement participatif et communautaire, a expliqué, pendant le sempiternel jeu des questions-réponses, pourquoi OpenSolaris n'était pas complètement ouvert. Pas totalement Open Source. Ironie du sort, après un long exposé vantant les mérites du "cercle vertueux de l'Open Source" et de son écosystème, Simon Phipps a déclaré qu'"il existait dans OpenSolaris des binaires fermés, notamment des drivers vidéos", qui sont la propriété de constructeurs. "La raison est que le code source de ces lignes est breveté et que le constructeur ne nous laissera jamais la liberté de le livrer", poursuit-il. Et de relancer : "il existe deux solutions : soit le récrire, soit travailler avec d'autres constructeurs qui font moins de discriminations dans l'Open Source. Une autre difficulté est que nous employons en interne des gens qui connaissent les technologies brevetées et ne sont pas ainsi "qualifiés" pour développer un composant alternatif". Pas sous GPL 2 ni 3 pour le moment C'est pour ces raisons que le code d'OpenSolaris ne pourra pas être partagé avec la communauté Linux. Du moins en l'état. Si Sun admet avoir considéré un rapprochement avec la communauté Linux, il reconnaît que les fragments de code dit fermé d'OpenSolaris lui ont également fermé la porte de la GPL2. "Il faut donc créer une exception à la GPL2, mais malheureusement cette exception ne pourra pas être étendue à nos clients. Si nous utilisons la GPL2, la seule société qui pourra faire fonctionner OpenSolaris est Sun." "Et ce sera également le cas avec la GPL3", rajoute-t-il. "Je suis vraiment désolé, mais c'est ce qui se passe dans une période de transition entre des modèles fermés vers des modèles ouverts", conclut-il. Et pour finir sur une note d'optimisme: "Avec de moins en moins de binaires [fermés, ndlr] cela deviendra plus facile et on pourra utiliser CDDL [la licence Open Source de Sun, ndlr] à côté de la GPL. Et nous allons y parvenir avec les contributions de la communauté". Notons au passage que Ian Murdock, l'un des principaux fondateurs de Debian, a rejoint Sun ce 20 mars. Sa tâche sera, selon Simon Phipps, de " construire une nouvelle stratégie pour faire évoluer à la fois Solaris et GNU/Linux au sein de l'entreprise". (...)
(20/03/2007 13:43:05)Le père de Debian s'installe chez Sun
« C'est avec regret que je quitte la Linux Foundation, mais si vous ne l'avez pas encore compris Sun est une entreprise que j'ai toujours aimée, et en faire partie est une occasion que je ne pouvais pas rater. » En ces termes, Ian Murdock, l'un des pères de la distribution Debian, a annoncé sur son site Web son arrivée chez Sun Microsystems en tant que responsable de la stratégie pour les systèmes d'exploitation. Un emploi plutôt vague sur lequel il ne donne guère plus d'explication. « Vous pouvez deviner, d'après mon passé, que je défendrais l'idée que Solaris doit se rapprocher de Linux pour rester compétitif. Et que si je pense que Solaris doit évoluer, je crois aussi profondément à la rétro-compatibilité, et même en mettant Solaris en première position, Linux doit jouer un rôle plus clair dans la stratégie plateforme de Sun. » Des déclarations qui apportent de l'eau aux moulins de ceux qui prédisent une distribution Linux estampillée Sun pour bientôt. D'autant que Simon Phipps, responsable Open Source chez Sun, a précisé sur son site personnel, que Ian Murdock « devra construire une nouvelle stratégie pour faire évoluer à la fois Solaris et GNU/Linux au sein de l'entreprise. » En effet, si Sun vend son propre Unix commercial Solaris, il en fournit également une version Open Source gratuite et ses serveurs et stations de travail sont également compatibles avec plusieurs distributions commerciales de Linux. (...)
(16/03/2007 16:30:46)Du temps de calcul pour faire avancer la recherche médicale
Après l'échec des expériences de type SETI@Home ayant dissuadé quelques généreux possesseurs d'ordinateur de partager la puissance de leurs processeurs, la grille de calcul humanitaire a bien trouvé une application : la recherche médicale. Ainsi, le World Humanity Grid, lancé en 2004 par IBM, permet aux chercheurs de simuler de nouveaux traitements contre le Sida. 265 000 membres, 530 000 appareils connectés et l'équivalent de 78 000 heures de recherche plus tard, les chercheurs ont déjà vérifié plus de 60 millions d'équations. Aux Etats-Unis, le projet Help Defeat Cancer est une base de données publique rassemblant des échantillons de tissus de patients atteints du cancer et des informations sur leur traitement. Les médecins peuvent comparer les biopsies de leurs patients à celles de cette base de données pour trouver le meilleur traitement applicable au cas par cas. Le project Fight AIDS@Home existe depuis novembre 2005 et est entrée en avril 2006 dans la seconde phase de ses recherches pour empêcher le VIH de se former dans le corps. S'ils avaient dû utiliser un super-ordinateur, les responsables du projet estime que la première phase seule aurait demandé au moins 10 ans de travail. Sur le même sujet : Bruxelles finance 23 nouveaux projets de grid (...)
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