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(13/02/2009 17:08:51)

JBoss Mass, une communauté pour faciliter la migration de middleware

Red Hat met en place le projet Open Source JBoss Mass (pour Migration ASSistance) destiné à faciliter les migrations vers son middleware. Il s'organise autour d'une communauté d'experts dont les ressources humaines proviennent de partenaires tels que Amentra (désormais filiale de Red Hat), CityTech, Consilium1, Exadel, Freedom OSS, RivetLogic, Unisys et Vizuri. D'ici six mois, promet Red Hat, arriveront des outils pour faciliter les migrations à partir de serveurs d'applications Java tiers comme Weblogic d'Oracle ou Webshepre d'IBM. La communauté travaille aussi à collecter les meilleures expériences. Red Hat en profite pour souligner que la facturation de JBoss Enterprise Middeware, qui repose sur un abonnement, serait jusqu'à dix fois plus économique que celle d'autres middlewares dont les tarifs s'incrémentent en fonction du nombre de processeurs des serveurs et de la présence d'une couche de virtualisation. Chez Red Hat, on reconnaît que l'activité middleware croît deux fois plus vite que celle autour de Linux. Le lancement de trois éditions spécifiques fondées sur la version 5.0 du serveur d'applications de JBoss est prévu en cours d'année. JBoss Application Server 5.0 permet cette modularité grâce à sa conformité avec le système de composants OSGI. L'éditeur souhaite ainsi pouvoir répondre plus précisément à des besoins spécifiques. Ces éditions seront ainsi prépackagées et testées, et fourniront des interfaces particulières. Red Hat travaille ainsi au support des API de Flex d'Adobe, de WebToolKit de Google et d'Hibernate. (...)

(11/02/2009 17:31:05)

TechDays'09 : Microsoft insiste sur les notions de choix et d'ouverture

« C'est une grande première », a souligné Marc Jalabert, en désignant l'un des transparents de sa présentation : une diapositive n'affichant que des noms de partenaires, qui plus est éditeurs Open Source ou actifs dans le Libre, tels que Novell/Suse, Xandros, Sun, OpenOffice.org... Récemment nommé directeur du marketing et des opérations de Microsoft France, Marc Jalabert entretient depuis longtemps de bons rapports avec les communautés techniques, et a contribué - avant que Sam Ramji n'entre en scène - à une normalisation des rapports entre Microsoft et le monde de l'Open Source. En ouvrant la deuxième journée des Techdays, conférence parisienne accessible gratuitement aux utilisateurs des technologies Microsoft, Marc Jalabert n'a donc pas manqué de rappeler les efforts de Microsoft en faveur de l'interopérabilité et de l'ouverture, et nombre de démonstrations qui ont émaillé le discours d'ouverture - consacré aujourd'hui aux outils systèmes et progiciels - se sont efforcées de l'illustrer. L'édition R2 d'Office Communications Server, par exemple, peut être utilisée pour monter une conférence téléphonique directement depuis Outlook. Mais Microsoft a montré qu'il était possible pour un participant distant de s'y inscrire, pour se faire rappeler, en utilisant Firefox sur un système Suse Linux. Toujours côté Linux, Microsoft a montré comment un serveur Suse peut être administré depuis la console Systems Operations Center. Azure s'ouvrira aux langages dynamiques Plus tard dans la journée, lors d'une session consacrée à Azure, « un système d'exploitation dans le nuage », pour reprendre l'expression de Stève Sfartz, architecte chez Microsoft France, Microsoft a expliqué que la plateforme s'ouvrirait à des langages tiers, PHP, Python, Ruby, Java, tandis que le protocole OpenID permettra d'échanger des informations d'accréditation sur un mode standard. D'ores et déjà, les applications déployées sur Azure peuvent faire appel à des services écrits dans tout langage. Et toujours dans le domaine de l'interopérabilité et de l'ouverture, une session était consacrée aujourd'hui à « l'Agility Center », qui, comme son nom ne l'indique pas, est le fruit d'une initiative conjointe entre les filiales françaises d'IBM et de Microsoft. Ce serveur associe trois lames biprocesseurs dans un châssis BladeCenter S avec la solution de virtualisation de Microsoft, ainsi que les outils d'administration adéquats, pour 55 000 euros environ. L'idée, explique Marc Jalabert, est d'accélérer l'adoption de la virtualisation dans les PME, « sous-informatisées en France ». (...)

(11/02/2009 12:23:20)

La saisine électronique du Conseil d'Etat désormais possible, mais uniquement sur logiciels propriétaires

Le Conseil d'Etat vient d'être autorisé par le ministère de la Justice à être saisi de manière dématérialisée dans certains litiges relatifs aux militaires. Le domaine de cette extension de la e-administration est certes restreint mais marque le progrès des procédures dématérialisées en matière judiciaire. Cependant, deux articles de cet arrêté provoqueront indubitablement l'ire de ceux qui tiennent au respect des standards ouverts pour garantir l'indépendance de l'administration vis-à-vis des fournisseurs, ainsi que des juristes pointilleux. L'article 6 dispose ainsi que l'utilisateur du service doit disposer « d'un navigateur Internet Explorer, version 5.5 ou supérieure, ou bien Netscape, version 7 ou supérieure, ainsi que du logiciel Adobe Reader, version 6 ou ultérieure ». En principe, il est donc interdit d'utiliser Mozilla Firefox, Opera ou un lecteur de fichiers PDF non réalisé par Adobe, alors même que le format PDF est aujourd'hui une norme internationale reconnue par l'ISO. Le plus extraordinaire reste l'article suivant. L'usage du fichier PDF est globalement imposé, ce qui est conforme au principe de respect des standards ouverts non liés à un fournisseur donné. Mais les fichiers produits par Microsoft Word « .doc » sont également, sous réserve de ne pas comporter de macros, acceptés... et transformés en PDF par les services du Conseil d'Etat. Autrement dit : d'un côté les formats OpenXML et OpenDocument des suites bureautiques récentes ne sont pas acceptés, de l'autre le Conseil d'Etat modifie les pièces qui lui sont remises et c'est cette version modifiée qui fera foi. Le moindre bogue dans le processus de conversion risque d'entrainer quelques litiges. Ce genre d'errements techniques aurait été évité par le respect des règles prévues dans le projet de Référentiel Général d'Interopérabilité (RGI), mis au réfrigérateur depuis deux ans. (...)

(09/02/2009 18:29:28)

Après les fondateurs, l'ex-PDG de MySQL quitte Sun

Décidément, Sun ne réussit pas aux dirigeants de MySQL. Un peu plus d'un an après son rachat par Sun, les départs se succèdent chez l'éditeur de base de données. Moins d'une semaine après la démission de Michael « Monty » Widenius, c'est ainsi au tour de l'ex-PDG, Marten Mickos de tirer sa révérence. En octobre dernier, David Axmark avait été le premier à s'échapper. Si Marten Mickos n'avait fait aucun commentaire au moment de sa décision pour l'expliquer, il aurait fait part depuis plusieurs semaines de sa frustration vis-à-vis de l'approche trop bureaucratique de Sun à l'égard de l'Open source. Comme les deux fondateurs de MySQL, il se serait senti mal à l'aise chez Sun où il était pourtant vice-président senior en charge des bases de données depuis le rachat de sa société. Porte-parole officiel de Sun, Dana Lengkeek explique que le rôle de Marten Mickos était en quelque sorte rendu caduc par la nouvelle organisation mise en place. Le constructeur « combine son organisation Logiciels d'infrastructure avec l'entité Base de données pour former un groupe produits Open Source unifié sous la responsabilité de Karen Tegan Padir, vice-présidente MySQL & Software Infrastructure ». Cette ancienne de Red Hat aura ainsi la responsabilité tant de MySQL que des offres de gestion des identités ou de serveur d'applications Java. Elle dirigeait jusqu'à présent le groupe Plateformes Java d'entreprise. Les secteurs qu'elle couvrira sont considérés comme clé par Sun puisque, selon Jonathan Schwartz, PDG, l'activité a cru de 55 % au second trimestre par rapport à l'année précédente. Il souligne que "la réduction des coûts liés à l'adoption de l'Open source est devenue un enjeu majeur pour les décideurs mondiaux." Avec cette réorganisation, Sun remet MySQL dans son giron logiciel et ressert les liens avec ses autres gammes de produits. Il n'y a plus de place pour des électrons libres. Même si officiellement, Marten Mickos restera consultant pour la stratégie open source de Sun pendant encore deux mois. (...)

(09/02/2009 17:09:03)

Ubuntu Server mûr pour le système d'information

Canonical, bras commercial de la distribution Linux Ubuntu, diffuse une photographie des utilisateurs de la Server Edition (Ubuntu 8.xx LTS, Long Term Support). Elle tend à montrer qu'Ubuntu, malgré sa jeunesse, s'est hissé à un niveau suffisant pour revendiquer un rôle au coeur du système d'information. 6 800 sociétés, dont 55% Européennes, ont spontanément répondu à un sondage coproduit par la société d'étude Redmonk. Leurs réponses ne sont donc pas "représentatives" dans l'acception habituelle du terme, mais constituent un intéressant point de vue de la part d'entreprises équipées pour la majorité d'entre elles d'une cinquantaine de serveurs et, étant donné le type de produits en cause, disposant d'une DSI d'un bon niveau technique. D'ailleurs, plus de la moitié des entreprises répondantes sont actives dans le domaine des technologies numériques. Un quart des réponses proviennent d'entités de moins de dix personnes. Plus d'un tiers comptent entre onze et cent salariés. Rapprocher ces effectifs du nombre moyen de serveurs sous Linux installés (50 environ) montre l'ampleur de leur taux d'équipement. Les serveurs sous Ubuntu servent à des usages classiques pour Linux : serveur Web, bases de données (majoritairement Oracle), FTP et serveur mail. La majorité des entreprises font tourner une à cinq applications "critiques" sur leurs serveurs sous Ubuntu. Il n'y a donc rien d'étonnant à ce qu'elles jugent Ubuntu prêt pour une utilisation avec des applications critiques. Les utilisateurs fondent leur choix en priorité sur la sécurité du code et, juste après, sur la facilité et la qualité des mises à jour. Dans la perspective d'une virtualisation de leur environnement, les sondés choisissent en premier lieu VMware, puis Xen et, enfin, KVM. En revanche, ils sont une écrasante majorité à rejeter l'idée d'adopter une informatique en cloud, bien qu'ils la considèrent comme suffisamment mature pour y déployer des applications critiques. (...)

(09/02/2009 12:17:42)

VMware propose l'essentiel de son client virtualisé en open source

VMware propose désormais en open source le code destiné à son client virtuel. Issu de VMware View, View Open Client est proposé sous la licence GPL 2.1 et hébergé sur Google Code. Le numéro un de la virtualisation ne donne pas l'intégralité des fonctions de son client. Manquent ainsi par exemple, la gestion des ports USB, la redirection des fichiers multimédias et la gestion de cessions multiples. En revanche, VMware laisse des éléments liés à la sécurité : encryptage SSL et authentification avec SecurID de RSA. View Open Client a pour vocation de faciliter le travail de développeurs qui veulent créer un client virtualisé compatible avec l'infrastructure VDI. Cela vise en particulier les clients légers sous Linux et les clients mobiles. Les développeurs n'ont plus à demander une autorisation préalable à VMware et ils peuvent diffuser le fruit de leurs développements sans avoir à obtenir une certification de l'éditeur. Celle-ci ne s'impose que si le support du client développé par VMware est jugé nécessaire. La politique de VMware lâche petit à petit des pans propriétaires Cette annonce s'inscrit dans la politique de VMware qui lâche petit à petit des pans de son univers propriétaire afin d'éviter que la concurrence ne profite de la fermeture de sa logithèque et de ses tarifs élevés pour lui prendre rapidement des parts de marché. Appliqué à la virtualisation, l'open source présente de nombreux avantages dont la "gratuité" est le moindre puisqu'un logiciel propriétaire peut aussi être offert. VMware et Microsoft le font d'ailleurs tous les deux avec leur hyperviseur. En matière de virtualisation, la notion d'ouverture prend une ampleur à la taille des datacenters. Virtualiser, c'est rompre les liens qui lient plateformes matérielles et logicielles. Le faire avec du code open source apporte la garantie de ne pas retomber dans une autre dépendance avec l'éditeur des logiciels de virtualisation. Le hic, c'est que l'on assiste à une mutation de la virtualisation open source. On glisse du modèle originel vers un autre qui tend à lui succéder partout. Les éditeurs mettent la main sur les projets open source (Xen chez Citrix, KVM chez Red Hat) et recréent ensuite des communautés vassales. L'économie de ce schéma rejoint celui des communautés satellites créées de toutes pièces par les éditeurs et celui de celles directement subventionnées par une poignée d'acteurs voire un seul. On retrouve dans ce Landerneau "Open source" la plupart des communautés majeures Ecplise - IBM, Mozilla - Google, Fedora - Red Hat, OpenOffice.org -IBM - Sun. On l'aura compris, ce mouvement open source de deuxième génération vise surtout à standardiser des plateformes sur lesquelles se greffent des solutions propriétaires. (...)

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