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Open Source
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(06/02/2009 16:26:29)
Le fondateur de MySQL quitte finalement Sun
Après des mois d'hésitations, il est temps de tourner la page. Michael « Monty » Widenius, l'un des cofondateurs de MySQL, a annoncé hier sur son blog qu'il quitte son poste au sein de Sun pour fonder sa propre société, Monty Program Ab. Il faut dire que depuis le rachat de MySQL par Sun il y a un an, les relations entre les cofondateurs et leur nouvel employeur n'étaient pas au beau fixe. Ainsi, dès septembre dernier, après la sortie de MySQL 5.1, Monty Widenius avait déjà envisagé de démissionner . On sait désormais que les dirigeants de Sun l'ont convaincu de rester trois mois de plus pour assurer le développement de MySQL. Pendant ce temps, son compère David Axmark a claqué la porte de Sun en précisant : "Je déteste les règles que je dois suivre, mais je répugne également à les enfreindre. Il serait donc mieux pour moi de quitter mon poste, et de travailler avec MySQL et Sun sur une base moins formelle." Les trois mois de sursis s'étant transformés en sept mois sans changement, Monty Widenius jette aujourd'hui l'éponge. Il regrette principalement que le développement de MySQL Server n'ait pas été réellement ouvert, sans faire de différenciation entre le travail interne à Sun et celui des développeurs extérieurs. Malgré tout, il reconnaît que « Sun était le meilleur acquéreur possible pour MySQL ». Sa nouvelle société, Monty Program Ab, entend se concentrer exclusivement sur des projets Open Source. Elle se consacrera notamment au moteur de stockage transactionnel Maria. Certains développeurs ayant travaillé sur ce projet rejoindront la nouvelle société, tandis que d'autres resteront chez Sun, sans que cela freine leur collaboration. (...)
(06/02/2009 11:08:44)LMI invite ses lecteurs pour un petit-déjeuner
Afin de toujours mieux satisfaire ses lecteurs, LeMondeInformatique.fr vous invite une nouvelle fois à rencontrer la rédaction lors d'un petit-déjeuner informel, afin d'échanger sur vos besoins et votre appréciation sur le contenu et la présentation de votre site d'information. Le café et les croissants vous seront servis le 26 février, de 8h30 à 10h, dans nos locaux du 6/8 rue Jean Jaurès à Puteaux, à 5 minutes à pied du métro Esplanade de la Défense. En dehors de cette rencontre avec la rédaction, parce que vous participez aussi au monde de l'IT, nous vous invitons à vous exprimer au travers des commentaires d'articles sur le Forum, sur nos blogs Green IT et Ingénierie logicielle, ou encore sur le blog Experts. Pour plus de renseignements et pour vous inscrire, écrivez-nous : redac_weblmi@it-news-info.com (...)
(02/02/2009 17:38:09)Microsoft ouvre le code de son projet Web Sandbox
Un Web plus sûr, telle est l'ambition de Microsoft avec son Web Sandbox : un bac à sable isolant l'exécution du code des serveurs Web (mash-up, publicités, etc.) du reste de la machine. La technologie, indépendante des navigateurs Web, avait été présentée au public des développeurs Microsoft en octobre dernier. Elle est désormais accessible à tous, Microsoft ayant publié le code sous licence Open Source Apache. Encore en cours de développement, le projet Web Sandbox n'est pas encore prêt à être inclus dans des développements. Le but de cette ouverture de la part de Microsoft est surtout d'encourager des éditeurs tiers à utiliser cette technologie, afin d'en faire un standard « ouvert et interopérable », deux mots sur lesquels l'éditeur insiste beaucoup en ce moment. L'annonce de l'ouverture du code a d'ailleurs été faite par l'équipe de Sam Ramji, le grand ordonnateur de l'Open Source au sein de Microsoft. Il faut bien noter que, même s'il passe sous licence Apache, le projet reste un projet Microsoft et non un projet Apache - contrairement à Stonehenge (code pour le développement d'applications orientées services). (...)
(02/02/2009 10:44:25)Scott McNealy préconise un poste de CIO dans l'administration Obama pour favoriser l'Open Source
Scott McNealy aurait été chargé par le nouveau gouvernement américain de préparer une étude sur l'impact de l'utilisation des technologies Open Source en termes d'économies et de sécurité pour l'informatique de l'administration. Le président et cofondateur de Sun a confié la chose à nos confrères de la BBC, expliquant que « intuitivement, il est évident que l'Open Source est plus économique et plus productif que le logiciel propriétaire ». Scott McNealy a ajouté qu'il voulait s'assurer que le gouvernement ne soit pas « enfermé » dans une relation avec un éditeur spécifique, et qu'il n'ait ainsi « pas un penny à payer à Microsoft, IBM ou Oracle, ou tout autre éditeur propriétaire ». Pour mener les changements à bien, Scott McNealy recommande la création d'un nouveau poste dans l'administration, un CIO qui disposerait d'un droit de veto, « le droit d'éliminer tout matériel, logiciel ou produit réseau touchant le réseau fédéral ». Il ou elle aurait aussi le droit de gérer les ressources humaines et d'agir comme bon lui semble avec elles pour atteindre ses objectifs. En clair, conclut Scott McNealy, « c'est ce que fait chaque entreprise et que le gouvernement ne fait pas ». (...)
(26/01/2009 13:13:55)Bernard Liautaud entre au conseil d'administration de Talend
Sur fond de crise économique, l'éditeur français Talend réalise la prouesse de boucler un troisième tour de table. La start-up fondée par Bertrand Diard et Fabrice Bonan vient de lever 12 M$ auprès de son actionnaire historique AGF et du fonds britannique de capital risque Balderton Capital. Lequel compte parmi ses associés Bernard Liautaud, fondateur de Business Objects. Mieux encore, l'emblématique patron de BO, qui a revendu sa société à SAP en septembre 2007, fait son entrée au conseil d'administration de Talend. Il s'est dit séduit par l'offre d'intégration de données développée par l'équipe française et par le parcours que la start-up a effectué depuis son premier tour de table, au printemps 2006. Aujourd'hui, Open Studio, le logiciel d'ETL (extraction, transformation et chargement de données) proposé par Talend en Open Source, a été téléchargé 3,3 millions de fois dans le monde et Bertrand Diard évalue à 200 000 le nombre des utilisateurs du produit. Au-dessus du coeur gratuit Open Studio, l'offre de Talend comporte des briques complémentaires fournies sous forme d'abonnement, avec support avancé. C'est sur ces offres à valeur ajoutée que Talend a bâti son modèle économique. En 2007, après un trimestre d'exercice, la start-up avait déjà engrangé plus d'un million de dollars de chiffre d'affaires. Un revenu qu'elle a multiplié par six sur l'année écoulée. De trente collaborateurs, début 2008, la société est passée à cent personnes douze mois plus tard, et compte 150 partenaires intégrateurs dans le monde. Une tarification très concurrentielle En moins de trois ans d'existence, l'éditeur français a su gagner la confiance de nombreuses grandes entreprises ; des clients qui, en outre, le dispensent souvent de la démarche d'approche commerciale puisqu'ils le contactent régulièrement eux-mêmes après avoir déjà téléchargé et essayé son ETL. C'est en partie ce qui permet à Talend de proposer des tarifs très concurrentiels - pouvant descendre jusqu'à 30% de certaines offres, face à ses concurrents directs, aux cycles commerciaux plus lourds (les Informatica, IBM avec son offre Datastage héritée du rachat d'Ascential, ou encore Oracle avec l'offre rachetée à Sunopsis). Son tarif n'est pas basé sur le nombre de serveurs, ni sur le nombre de bases cibles et sources (comme chez Oracle), mais sur le nombre de développeurs. « Nous avons gagné 350 nouveaux clients en 2008 », comptabilise Bertrand Diard. Dans le portefeuille de Talend figurent, en France, des entreprises comme SFR, Orange, Virgin Mobile, cdiscount, Eurofins Scientifique ou Boloré. Et aux Etats-Unis, région qui génère 30% des revenus de l'éditeur, Open Studio a été choisi par des groupes tels que US Cellular, Yahoo, eBay, Sony et DuPont de Nemours. Tous clients qui ont recours à l'outil d'intégration de Talend pour traiter de très gros volumes de données. Chez SFR, notamment, il est utilisé pour la génération des factures clients. Bertrand Diard promeut l'Open Source à l'Afdel Sur son marché, Talend participe par ailleurs aux initiatives menées pour développer l'industrie française du logiciel. A la fin de l'année dernière, son PDG Bertrand Diard, a pris la tête, dans le cadre de l'Afdel (association française des éditeurs de logiciels), d'une commission sur l'édition en environnement Open Source. Si l'année 2009 se joue dans un contexte économique compliqué, Bertrand Diard table sur le fait que sa solution va permettre aux DSI d'accompagner leurs réductions des coûts. Sans compter l'incontestable crédibilité qu'apporte l'arrivée de Bernard Liautaud au conseil d'administration de la société. Balderton Capital, le fonds de capital risque qu'il représente, fut l'un des tout premiers à investir dans la société suédoise MySQL, qui s'est revendue en janvier 2008 à Sun pour un milliard de dollars. Son intérêt pour Talend (il a apporté 9 M$ et AGF 3 M$ de plus) semble donc de fort bon augure. (...)
(22/01/2009 16:46:04)Microsoft livre du code à un projet SOA de la fondation Apache
Microsoft a, pour la première fois, contribué à un projet Open Source Apache sous forme de code. L'équipe 'interopérabilité' de l'éditeur, sous la direction de Sam Ramji, avait déjà exprimé son soutien au projet Stonehenge en novembre, lors du dernier ApacheCon, la conférence utilisateurs de la fondation Apache. Stonehenge vise à démontrer les possibilités d'interopérabilité d'applications SOA (conçues selon les préceptes des architectures orientées services) conformes aux standards du W3C et de l'Oasis, lorsqu'elles sont implémentées dans des technologies différentes et exécutées sur des plateformes différentes. Microsoft a travaillé sur un projet d'application de démonstration, StockTrader, logiciel de gestion d'un portefeuille boursier. Développé en .Net et recourant aux services Web, il est notamment compatible avec une implémentation Java réalisée par IBM. Microsoft a également travaillé avec WSO2, éditeur de middleware Open Source, qui avait déjà fourni le code de son application StockTrader. Cette fois, c'est Microsoft qui a livré sa propre implémentation, et qui engage trois personnes de son équipe dans le processus. Cet investissement dans la communauté Apache avait commencé en juillet dernier, lorsque Microsoft a décidé de devenir l'un des sponsors de la fondation, au niveau Platinum - soit le niveau de soutien financier maximum, de 100 000 dollars. L'ensemble de ces actions porte l'empreinte de Sam Ramji, qui expliquait lors d'un récent point presse avec des journalistes français que la politique d'ouverture qu'il mène porte ses fruits, mais que cela prendra des années avant que Microsoft ait une attitude totalement apaisée à l'égard de l'Open Source. (...)
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