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(28/09/2009 17:15:39)
Nvidia et Microsoft vont promouvoir ensemble leurs outils de HPC
La fête du calcul haute performance continue. Après l'annonce d'un supercalculateur de bureau chez SGI et du rachat d'un éditeur spécialisé par Microsoft la semaine dernière, l'éditeur de Windows s'allie aujourd'hui à Nvidia dans ce domaine. Les deux entreprises - qui collaboraient déjà ensemble sur ces thématiques- vont tout simplement promouvoir ensemble le couple Tesla-Windows HPC Server 2008. Ces deux produits sont respectivement un processeur graphique et un système d'exploitation adaptés aux environnements parallèles du calcul haute performance. Windows HPC Server 2008 est la version de l'OS de Microsoft adaptée au clustering. Tesla est un processeur graphique haut de gamme destiné à soulager les processeurs classiques des calculs les plus lourds. Nvidia équipe cette architecture de son outil CUDA de répartition des traitements entre CPU et GPU. (...)
(28/09/2009 16:57:44)Gartner voit 20% des foyers raccordés au haut débit à fin 2009
A la fin de l'année 2009, 1 foyer sur 5 dans le monde devrait être équipé d'une connexion internet haut débit. Si pour la France, la progression s'annonce lente, le nombre de connexions mondiales va considérablement augmenter dans les prochaines années, précise l'analyste Gartner dans une étude publiée ce lundi 28 septembre. Fin 2009, ce seront donc 422 millions de foyers qui devraient être équipés, contre 382 millions en 2008. "De nombreuses raisons laissent penser que l'augmentation des connexions haut débit devrait encore continuer, explique Amanda Sabia, analyste chez Gartner. Cette croissance est due aux ordinateurs qui deviennent plus abordables, aux fournisseurs internet qui réduisent leurs prix, aux communications téléphoniques qui passent par le Net, mais également au développement économique de certains pays..." Fin 2008, seuls 21 pays recensaient une connexion haut débit dans au moins 50% de leurs foyers. Le pays le mieux équipé était la Corée du Sud, avec 86% de taux de pénétration. A l'opposé, seul 1 foyer indonésien sur 100 était doté du haut débit. Mais la croissance des marchés émergents (Chine, Inde, Indonésie, Malaisie, Philippines, Thaïlande, Amérique Latine, Europe de l'Est, Moyen-Orient, Afrique) est telle que l'écart avec le reste du monde devrait rapidement se réduire. En l'espace de cinq ans, Gartner prévoit 135 millions de nouvelles connexions venues de ces pays, contre seulement 62 millions pour les marchés "matures". A elle toute seule, la Chine pourrait voir 62 millions de ses foyers se connecter en haut débit. De son côté, la France risque de connaître une progression plutôt faible d'ici à 2013. En 2008, elle se trouvait dans le Top 10 mondial (9ème) avec 63% des foyers équipés de connexions haut débit. Dans quatre ans, Gartner ne prévoit que 65% de consommateurs. (...)
(28/09/2009 16:49:47)Avob s'attaque à la consommation électrique des parcs informatiques
La jeune société Avob a décidé de s'attaquer à la consommation électrique des parcs informatiques avec un outil d'analyse, d'audit et d'optimisation de celle-ci. Des agents logiciels sont installés sur les postes de travail de l'entreprise pour en surveiller le comportement en matière de consommation électrique. De cette façon, chaque poste renvoie au logiciel serveur Energy Viewer ses paramètres de consommation électrique en mode actif et en mode veille, son état à l'instant où l'information est récoltée (en veille, en activité, taux d'utilisation de la puissance), etc. Cet outil s'appuie aussi sur les données Energy Star dans le cas où la machine est labellisée. Avob obtient ensuite une carte énergétique des postes avec un suivi quasiment en temps réel puisque, comme l'explique Pierre Duchesne, président-fondateur d'Avob, le logiciel scanne les machines toutes les 30 secondes. Une console permet aux administrateurs de surveiller les mesures et leur évolution en temps réel. Entre 10 et 15 jours sont nécessaires pour remonter une quantité d'informations suffisante à la réalisation d'un état des lieux énergétique actualisé du parc. L'analyse est faite sur plusieurs jours afin d'identifier d'éventuels pics ou chutes périodiques de la consommation. « En sortie d'audit, on peut définir des profils d'utilisateurs relatifs à la consommation énergétique, ajoute Pierre Duchesne. » Un audit du parc et des scénarios d'optimisation Avob propose ensuite l'intervention d'un de ses consultants durant deux à quatre semaines afin d'analyser l'ensemble des informations et de proposer plusieurs scénarios d'optimisation de la consommation énergétique (l'outil pourra agir directement, par exemple, sur la politique de mise en veille ou la gestion des processeurs, par exemple). Avob a ainsi promis une baisse de 75% de la consommation électrique de ses 2000 PC au Ministère de la culture. L'éditeur a mis en place ses outils sur ce parc qui engloutit sur une année quelque 1,1 GWh et 100 000 € de consommation électrique (et émet, de ce fait, 83 T de CO2). Résultat : il s'est aperçu que 70% des PC n'étaient pas éteints la nuit et la moitié le week-end. 90% des postes ont, par ailleurs, un temps de mise en veille d'écran supérieur à 20 minutes. Les contrats entre Avob et ses clients sont établis sur la base du ROI attendu et d'un taux de réduction de la consommation électrique sur lequel Avob s'engage financièrement. « Si nous promettons 70% de moins d'émissions de carbone à une entreprise et qu'elle n'atteint que 50%, nous subissons des pénalités », insiste Pierre Duchesne. Pour un parc de 1 000 à 5 000 PC, l'éditeur propose ses licences pour 25€ par PC et par an (avec un engagement sur un an) en garantissant un ROI inférieur à 6 mois. Créé au mois d'avril, Avob comptera bientôt 11 employés et dispose déjà d'un réseau d'une dizaine d'intégrateurs. Dès le départ, la jeune pousse a été accompagnée par trois professionnels présents sur le secteur IT depuis une vingtaine d'années. Les trois mentors ont également investi dans la société qui fait par ailleurs partie du programme BizSpark de Microsoft. (...)
(28/09/2009 16:35:28)3Com fait une crise d'identité pour ses 30 ans
Trente ans après sa naissance, et après un gros passage à vide, 3Com semble être de retour pour de bon. L'équipementier a juste un épineux problème à résoudre : sous quel nom se présenter. Six mois environ après son entrée en fonction, le directeur général France du fabricant a en effet réuni quelques journalistes pour faire un point sur la société, et a distribué selon les cas des cartes de visite estampillées du logo 3Com ou du logo H3C. « Mais au dos, ajoutait-il, elles portent les trois logos : H3C, 3Com et TippingPoint ! » 3Com a clos fin mai son exercice fiscal sur un chiffre d'affaires en légère hausse (+1,7%) à 1,317 Md$, et a surtout arrêté de perdre de l'argent. Un rétablissement que le fabricant doit à son aventure chinoise, puisque, comme l'explique Jérôme Larchet, avoir son centre de recherche et développement en Chine permet d'une part de tirer les prix vers le bas, d'autre part d'être réactif quand les clients demandent des adaptations. C'est un sérieux plus, dit-il, lorsqu'on veut affronter l'acteur archidominant du secteur, Cisco. Le patron de l'entité chinoise prend la tête de la société en 2008 3Com revient de loin. Créé en 1979 par Robert Metcalfe, l'inventeur d'Ethernet, le fabricant atteint son apogée en 1999. Il vend alors des PDA (les Palm), des modems (US Robotics) et des routeurs (CoreBuilder), et affiche 5,7 Md$ de revenus. Entre erreurs de management et retournement du marché, la chute est ensuite violente et continue, le chiffre d'affaires passant sous la barre du milliard de dollars en 2003. A cette époque, 3Com revient sur sa décision de se séparer de l'activité routeurs d'entreprise, qu'il jugeait pas assez rentable. L'Américain se rapproche alors de Huawei, créant une coentreprise lui permettant de revendre les équipements réseau du Chinois. Deux ans après, il acquiert TippingPoint, un spécialiste de la sécurité. En 2006, quelques mois après avoir annoncé un chiffre d'affaires 2005 à 651 M$, 3Com parvient à monter dans le capital de la coentreprise H3C, passant de 49% à 51%. Un certain Robert Mao est alors débauché de Nortel pour diriger les opérations en Chine, et si possible monter dans le capital de H3C. Ce sera chose faite en 2007 : 3Com prend le contrôle de tous les actifs, et son chiffre d'affaires se redresse à 1,267 Md$. Aujourd'hui, 3Com joue donc sur ses trois identités : 3Com quand il s'adresse aux PME, TippingPoint pour le marché de la sécurité, et H3C pour les routeurs. Cette dernière activité étant celle qui a sauvé le groupe, peut-être prendra-t-elle le pas sur les autres, du moins en termes d'image. En tout cas, on peut noter que le CEO de l'entreprise vient de ce secteur, puisqu'il s'agit de Robert Mao, nommé à ce poste en avril 2008. (...)
(28/09/2009 16:35:01)Apple affiche en détail son empreinte carbone
Apple monte le son autour de sa stratégie de développement durable. Le fabricant du MacBook et de l'iPhone vient de rénover l'espace qu'il consacre à ces questions sur son site Web. Il y livre notamment un rapport qui détaille les émissions de carbone de sa société, évaluées à 10,2 millions de tonnes. Les calculs d'Apple incluent les émissions provenant de la production de ses produits, de leur transport, de leur utilisation et de leur recyclage. Ils comprennent également les émissions produites par les implantations d'Apple (bureaux, boutiques, datacenters...) et les déplacements de ses collaborateurs. C'est l'utilisation des produits qui pèse le plus lourd : 53% des émissions de carbone. Derrière, 38% des émissions sont imputables à la production, 5% au transport, 3% aux implantations et 1% au recyclage. Apple fait remarquer que des constructeurs comme Dell et HP insistent beaucoup, dans leur communication, sur les actions qu'ils mènent dans leurs implantations (pour réduire l'éclairage ou mener des actions de recyclage dans les bureaux) et sur la production, alors que c'est l'utilisation des produits qui représentent l'impact le plus important (plus de 95%). Steve Jobs a écouté Al Gore qui siège au conseil d'administration d'Apple Epinglé à de nombreuses reprises par Greenpeace dans le passé (même s'il a aussi récolté quelques bons points, par exemple pour son MacBook Air), Apple souhaite grimper dans le classement publié chaque semestre par l'organisation dans son guide pour une électronique plus verte. Dans une interview à BusinessWeek, Steve Jobs, co-fondateur et patron d'Apple, reconnaît que les critiques de Greenpeace ont joué un rôle dans sa décision d'afficher davantage les actions de développement durable menées par sa société. Quand l'organisation a pointé l'utilisation de composantes toxiques dans ses produits, il s'est tourné vers Al Gore, prix Nobel de la paix pour son action de sensibilisation sur les changements climatiques. L'ancien vice-président des Etats-Unis, qui siège en effet au conseil d'administration d'Apple, lui aurait alors indiqué différents axes de communication. Egalement interrogé par BusinessWeek, Tim Cook, directeur général d'Apple, estime lui aussi que les entreprises se focalisent sur de faux problèmes. Pour réduire l'empreinte carbone, il faut se concentrer sur les produits. Or, concevoir et fabriquer des produits plus propres requiert de considérables efforts d'innovation. (...)
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