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(18/09/2009 17:11:56)

Orsyp achète Sysload pour le contrôle de performance de datacenters

Le spécialiste français de l'automatisation de production Orsyp a conclu l'acquisition de la PME hexagonale Sysload le 15 septembre dernier. Celle-ci propose des outils de mesure et de contrôle de la performance des centres serveurs. Le montant de l'acquisition n'est pas communiqué mais François-Xavier Floren, PDG d'Orsyp laisse entendre qu'il se monte à près d'une année de son chiffre d'affaires(*). Le logiciel phare d'Orsyp, Dollar Universe, automatise certains traitements sur serveurs et vérifie qu'ils s'exécutent correctement en donnant toute visibilité aux opérateurs de production. Ces traitements peuvent provenir aussi bien d'applicatifs maison que de progiciels du marché comme l'ERP de SAP, Oracle Financial, Peoplesoft ou Microsoft Dynamics. « Il peut s'agir d'une tâche de chargement des données clients dans SAP ou de l'intégration des données de trafic dans la facturation pour un opérateur télécoms », détaille Jean-Michel Breul, CTO d'Orsyp. Dollar Universe s'exécute dans des environnements Unix, mainframe et Windows ainsi que, de plus en plus, dans des univers de virtualisation comme ESX de VMware ou Hyper-V de Microsoft, mais aussi ceux des Unix d'IBM ou de HP. Unijob, l'autre offre de l'éditeur, standardise et automatise les traitements liés à l'infrastructure, au niveau du système, du middleware ou du SGBD. La corrélation des informations remontées par les outils d'Orsyp et Sysload Les offres de Sysload présentent une complémentarité évidente avec celles d'Orsyp, puisqu'elles collectent des données de mesure de performance des datacenters et identifient les niveaux de saturation des serveurs. En corrélant les informations remontées par Dollar Universe et UniJob, d'une part, et de SP Analyst de Sysload, d'autre part, l'éditeur proposera par exemple à ses clients de décaler certaines tâches non prioritaires en cas de dépassement de la capacité serveurs. « On peut aussi imaginer, dans un tel cas, de demander au système de virtualisation d'affecter davantage de ressources à certains traitements », ajoute Jean-Michel Breul. Selon l'acquéreur, l'intégration des deux offres sera plutôt simple. « Les produits ont des architectures similaires qui s'appuient entre autres sur des consoles Web et des agents, détaille Jean-Michel Breul. Il s'agit d'assurer la meilleure qualité de service possible.» Par le biais de ces outils et des informations qu'ils remontent, Orsyp souhaite aussi proposer aux responsables de production de dessiner des tendances d'utilisation de l'infrastructure et de devenir force de proposition quant à l'évolution de celle-ci. Comme le note Jean-Michel Breul, c'est la virtualisation qui apporte aujourd'hui une plus grande criticité aux environnements serveurs et fait émerger le besoin d'outils plus pointus. Alors que les serveurs étaient en général occupés à 20% en moyenne, et disposaient ainsi involontairement d'une marge de manoeuvre, ils sont désormais à 70% de leurs capacités. Une entreprise détenue par ses dirigeants et forte à l'international Installé à Paris, Orsyp est présent dans huit autres pays, dont les Etats-Unis où il réalise la 2e plus importante partie de son chiffre d'affaires. De 245 personnes, l'entreprise va passer à 280 après l'absorption de Sysload (et environ 40 M€ de CA). Pour servir ces clients, l'entreprise répartit de plus en plus son activité à l'international. Elle réalise 30% de son CA hors de France et a décidé de s'implanter à Hong-Kong. Sa R&D est partagée entre la France, la Roumanie et le Canada, et le marketing sera totalement transféré aux Etats-Unis dès Noël. « Nous avons un millier de clients -aux alentours de 1 200 avec Sysload- qui sont tous de grands comptes, complète Francois-Xavier Floren, PDG. Tous ont une infrastructure IT imposante ou une activité qui en exige une. » Ces entreprises évoluent dans la finance, le commerce ou les télécoms. Il s'agit par exemple de Federal Express, Cisco, France Télécom ou PSA. « L'an dernier, pendant la crise, nous avons gagné 70 grands comptes dont ADP GSI, Warner Bros, General Electric aux US », raconte le PDG. Pour François-Xavier Floren, les raisons sont nombreuses pour que la fusion avec Sysload réussisse. « Nous sommes un éditeur indépendant qui appartient à ses dirigeants et nos choix d'investissements sont cruciaux. Nos deux entreprises sont des entreprises technologiques, et sont toutes deux des spécialistes et non des généralistes.» (*) 32 M€ en 2008 (...)

(18/09/2009 16:37:28)

Impression : HP met l'accent sur les services et étend son partenariat avec Canon

HP réorganise profondément sa division investie dans les systèmes d'impression, IPG (imaging and printing group), l'une de ses trois grandes activités mondiales avec les PC et les services. Une nouvelle structure est créée, Managed entreprise solutions (MES), qui regroupera au sein d'IPG tous les services d'impression, les MPS (Managed print services). 42% des contrats d'impression signés HP ont déjà une composante MPS, mais le constructeur veut aller beaucoup plus loin. L'idée de base est maintenant d'orienter la vente d'imprimantes vers les services, et pour cela, d'insister sur l'analyse financière des coûts d'impression. HP va donner à ses partenaires des outils d'analyse comptable des parcs d'imprimantes. Ils pourront ainsi montrer aux clients les économies réalisables sur leurs impressions. Si, au bout d'un an, le client n'a pas réalisé l'économie promise par HP et son partenaire, HP lui rembourse la différence. Ce système fonctionne déjà aux Etats-Unis. HP va également pousser ses partenaires à proposer d'abord des offres de services et à vendre aussi de nouvelles solutions logicielles, dans le workflow et la sécurisation. Ce déploiement va s'accompagner d'un programme partenaire renouvelé. Il sera annoncé en fin de mois en France. Une pré-annonce a été faite à Budapest devant quelques partenaires européens, il y a une semaine. « Nous avons couplé un important investissement en logiciels et de nouveaux avantages pour nos partenaires », souligne Antoine Vivien, directeur général d'IPG en France. Accord avec Canon dans les grands comptes Parallèlement, HP crée une division grands comptes, qui va également vendre de nouvelles solutions d'impression, mais en direct. HP va ainsi vendre des MFP Canon. Il en commercialise déjà, mais en OEM. Les nouveaux produits appartiennent au haut de gamme du MFP, ils sont proches des systèmes de reprographie. Ils seront vendus en mode contrat services coûts à la page, dans le cadre de l'offre HP MPS (Managed Print Services) par les forces de ventes directes de HP. De plus Canon et HP vont se rendre mutuellement accessibles leurs services respectifs. Chez Canon, il s'agit de deux services, d'une part Image Ware Enterprise Management Console (une application disponible sur le Web pour gérer les MFP Canon), et d'autre part, Canon MEAP (Multifunctional Embedded Application Platform) qui rend disponible des applicatifs pour intégrer le périphérique Canon dans le système d'information de l'entreprise. Côté HP, deux services sont concernés : Web Jetadmin, pour administrer les périphériques HP, et HP Open extensibility platform, un kit de développement en ligne pour intégrer les périphériques HP. Les deux partenaires insistent donc sur l'interopérabilité de leurs systèmes. C'est le point fort de ce renouvellement de partenariat. (...)

(18/09/2009 16:27:02)

Google met la main sur ReCaptcha et sa technologie de numérisation

Google a racheté la start-up ReCaptcha, jusqu'ici filiale de l'université Carnegie Mellon, pour un montant non divulgué. Ce faisant, le géant de l'Internet ne met pas seulement la main sur l'inventeur de la technologie Captcha (Completely Automated Public Turing test to tell Computers and Humans Apart) permettant de distinguer les utilisateurs humains d'un site des robots logiciels. Il s'arroge également une technologie de reconnaissance optique de caractères (OCR) particulièrement intéressante pour son projet Google Books. En effet, pour ses images Captcha de lettres que l'internaute doit recopier pour prouver qu'il est bien un humain et non un robot spammeur, ReCaptcha scanne des journaux et des livres anciens, car les robots ont du mal à déchiffrer des lettres mal encrées ou usées par le passage du temps. C'est donc un outil idéal pour une société qui ambitionne de numériser l'ensemble des ouvrages tombés dans le domaine public, d'autant que ReCaptcha a déjà fait ses preuves en aidant à l'indexation de l'ensemble des archives du New York Times. (...)

(18/09/2009 16:05:12)

TriviumSoft cède sa suite de gestion des compétences à OpenPortal

L'éditeur TriviumSoft a cédé son activité et ses solutions de gestion du capital humain à l'éditeur angevin OpenPortal Software, spécialisé dans les logiciels collaboratifs de gestion des plans de formation. En réalisant cette opération de près de 3 millions d'euros, avec le soutien de ses trois actionnaires (CDC Entreprises, Ouest Ventures et Pays de la Loire Développement), OpenPortal monte son effectif à 55 personnes et son chiffre d'affaires proforma à 5,4 M€ (CA 2008). OpenPortal reprend l'offre See-K de TriviumSoft, suite de gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC), des performances et des carrières. Cette solution permet en particulier de cartographier les emplois et compétences d'une entreprise. Déployée en mode Web, elle peut s'installer chez le client ou s'utiliser à distance, l'hébergement étant assuré par TriviumSoft ou par un partenaire. Parmi les offres reprises figure aussi le logiciel d'analyse décisionnelle appliquée aux ressources humaines, Talent Explorer, et son arbre des compétences. Destiné aux experts RH, dans les entreprises ou au sein de cabinets de conseil, cet outil permet de planifier les ressources et de simuler des recrutements et leurs impacts sur les compétences. Les collaborateurs de TriviumSoft spécialisés dans la gestion des compétences et des carrières rejoignent OpenPortal. En revanche, OpenPortal ne reprend pas le coeur technologique de TriviumSoft, c'est-à-dire le moteur de découverte qui permet de créer des cartographies de connaissances. Créée en 1992, TriviumSoft compte parmi ses fondateurs les philosophes Michel Serres et Michel Authier. Le Premier ministre d'alors, Edith Cresson, avait chargé Michel Serres d'une mission sur les rapports entre l'exclusion et la reconnaissance des savoirs. L'objectif était de réaliser un outil qui permettrait de représenter les savoirs sous la forme d'un arbre de connaissances. OpenPortal ne récupère pas non plus les produits commercialisés sous la marque Eagle (Themap et FTM -Full Text Mapper- qui permet d'analyser de l'information en texte libre et d'en réaliser une représentation cartographique). TriviumSoft continuera de développer et de commercialiser ces offres. (...)

(18/09/2009 15:19:08)

Les foyers français ont augmenté leurs dépenses Internet de 22% en un an

Les Français consacrent plus d'argent dans le multimédia, selon une étude publiée jeudi 17 septembre par l'institut Médiamétrie. En mai 2009, les foyers avaient dépensé en moyenne 2324 € sur le multimédia et les médias (hors redevance audiovisuelle) au cours des douze mois précédents, soit une hausse de 4,3% par rapport à la même période un an plus tôt. Le poste Internet se classe en tête des augmentations des dépenses médias/multimédias, avec une progression de 22% par rapport à 2008. Cette hausse est en grande partie liée aux dépenses d'équipements PC, et plus particulièrement des netbooks, conçus pour faciliter l'accès à Internet. Le montant dépensé sur les abonnements Internet est également en hausse (+11%). Les dépenses pour l'audiovisuel (TV, radio, vidéo, etc.) sont également en augmentation. Une progression que Médiamétrie explique par la volonté des foyers de s'équiper en matériel numérique, comme les TV à écran plat, après l'annonce de l'arrêt de la diffusion analogique terrestre dans deux ans. La téléphonie (fixe et mobile) demeure le premier poste de dépenses médias/multimédias des foyers, et représente plus d'un tiers de ces dépenses (en hausse de 3%). En téléphonie mobile, l'étude note que les Français consacrent plus de budget à l'abonnement et aux services associés qu'aux équipements. Le poste de dépenses jeux vidéo/consoles progresse également (+4%), mais les foyers dépensent moins pour les jeux vidéo qu'avant. La seule baisse concerne en fait l'argent que les Français consacrent à la musique, et notamment à l'achat de disques. L'Observatoire des dépenses médias et multimédias de Médiamétrie a été réalisé en avril-mai 2009 auprès de 1735 foyers en France. (...)

(18/09/2009 14:55:40)

BonitaSoft lève 2 millions d'euros pour son BPM Open Source

Les choses sérieuses commencent pour Bonita. Née au sein de l'Inria en 2001, cette offre de BPM en Open Source a passé ses jeunes années dans le consortium ObjectWeb (fondé par l'Inria, France Telecom et Bull, devenu OW2 depuis), et son adolescence chez Bull, qui l'a fait connaître au niveau international. Les parents de Bonita ont depuis décidé de le lancer dans le grand bain : partis de Bull en mai dernier, Miguel Valdès-Faura, Charles Souillard et Rodrigue Le Gall ont fondé BonitaSoft le mois suivant, et viennent d'annoncer avoir levé 2 M€ auprès de Ventech et Auriga Partners.

Dans sa version 4.1.1, le logiciel de gestion des processus métier remplit toutes les fonctions de base, estime Miguel Valdès-Faura, CEO de BonitaSoft, sans présenter la complexité des offres propriétaires : « Les clients demandent une solution simple, ne remettant pas en cause leurs choix techniques. »

Les projets critiques des grands comptes

Par rapport à ceux qu'il considère comme ses grands concurrents (Lombardi, Pegasystems, Tibco, Oracle, IBM... plutôt que JBoss), Miguel Valdès-Faura n'a guère de complexe. Il explique que dès le début, il s'agissait pour Bonita de viser les projets critiques des grands comptes. Depuis la création de la société, dit-il, deux grandes entreprises ont signé, une au Brésil et l'autre en Espagne. Miguel Valdès-Faura reconnaît en revanche un fossé au niveau de la partie graphique, qui devrait disparaître avec cette levée de fonds.

Ce sont aujourd'hui 12 personnes qui travaillent chez BonitaSoft, mais la société dit pouvoir compter sur « plus de 300 contributeurs, qu'il s'agisse de feedback ou de fonctionnalités ». La start-up peut aussi compter sur Bertrand Diard. Le patron et fondateur de Talend (qui édite avec succès un ETL en Open Source) s'est intéressé à Bonita dans la mesure où des clients lui demandaient s'il connaissait un outil de BPM à intégrer avec son propre produit, explique Miguel Valdès-Faura. Au final, Bertrand Diard s'est vu attribuer des actions de la start-up, et siège désormais à son conseil d'administration. (...)

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