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(19/08/2009 12:29:57)
En hausse de 46%, Gmail talonne Hotmail qui ne progresse que de 3%
Aux Etats-Unis, Gmail, le webmail de Google, supplante celui d'AOL à la troisième place. Selon ComScore, Gmail a totalisé 36,9 millions de visiteurs uniques en juillet dernier, soit une progression de 46% par rapport à juillet 2008. Entre septembre 2007 et septembre 2008, le webmail avait cru « seulement » de 39%. Cette mesure de la fréquentation permet de se faire une meilleure idée du succès d'un webmail que celui du nombre d'inscrits puisqu'il prend en compte son activité. Hotmail de Microsoft se place toujours deuxième avec 47,1 millions de visiteurs mensuels. Mais sa fréquentation n'a crû que de 3% sur un an. Selon ComScore, si Gmail continue au rythme actuel, il devrait le dépasser d'ici le mois de février prochain. Dans le même temps, AOL a vu sa fréquentation fondre de 19% à 36,4 millions. Loin devant tous les autres avec 106,1 millions de visiteurs, Yahoo Mail enregistre aussi un taux de croissance de 22% qui lui permet de se tenir à distance de ses concurrents. ComScore explique la croissance record de Google par l'ajout régulier de fonctions qui gravitent autour de son webmail (Calendar, Docs...) (...)
(19/08/2009 12:15:05)Fracture numérique : les élus locaux se mobilisent autour du haut débit
Les élus locaux connaissent bien la fracture numérique. Ils la retrouvent dans la téléphonie mobile, la télévision numérique terrestre (TNT), le haut débit par ADSL et bientôt par fibre optique. Elle représente pour eux un danger en éloignant de certaines zones géographiques les entreprises, les touristes, les propriétaires de résidences secondaires, ou plus simplement les autochtones et surtout les plus jeunes d'entre eux. Le plan numérique 2012 du gouvernement, qui prévoit pourtant le haut débit universel en 2010, n'a pas convaincu. Si l'ambition est louable, l'absence de financement laisse les élus locaux sur leur faim. Le lancement d'un projet d'emprunt national a réveillé leurs ardeurs. Impatients de voir leurs territoires désenclavés, ils souhaitent voir cet argent également utilisé pour le très haut débit. Quatre associations sont donc montées au créneau : l'AMF (Association des maires de France, qui représentent tous les maires, surtout ceux des petites communes), l'ADF (Association des départements de France), l'ARF (Association des régions de France) et l'Avicca (Association des villes et collectivités pour les communications électroniques et l'audiovisuel). Les adhérents de l'ADF et de l'ARF sont à l'origine de la plupart des RIP, réseaux d'initiative publique (voir encadré). L'Avicca regroupait initialement les collectivités locales développant des réseaux câblés. Elle rassemble aujourd'hui toutes celles lancées dans les réseaux à haut débit (à base de câble ou pas) et, surtout, elle organise une veille juridique et économique sur ces sujets. Bref, ces quatre associations regroupent bien le pouvoir local en matière de haut débit. Une proposition de loi du sénateur Xavier Pintat Le 10 juillet dernier, ces associations ont signé une plateforme commune. Elles avancent quatre propositions : la création d'un fonds de péréquation en faveur des collectivités locales moins favorisées, la création de schémas directeurs nationaux et régionaux, l'utilisation du dividende numérique pour les territoires qui ne seraient pas fibrés rapidement et, enfin, des mesures financières pour abaisser les taux d'emprunt. Les quatre insistent beaucoup sur l'aspect financier du sujet. Un précédent fonds d'investissement pour le haut débit avait vu le jour en 2003, avant que l'argent affecté lui soit en grande partie retiré un an après. Elus échaudés craignent l'Etat froid ! Une deuxième initiative a conduit le sénateur Xavier Pintat à déposer une proposition de loi reprenant les suggestions de cette plateforme. Proposition adoptée au Sénat. Si l'Assemblée nationale et le Gouvernement le décident, cette proposition, en étant adoptée, pourrait donner le vrai coup d'envoi d'un développement équitable du haut débit en France. Plusieurs collectivités locales ont également lancé des schémas directeurs régionaux pour le haut débit. C'est le cas du département du Loiret et des régions Auvergne et Aquitaine. Le poids du haut débit en France Fin 2008, 76 collectivités locales avaient déployé des réseaux par elle-même (en exploitation totale ou partielle), 20 avaient attribué leur marché, 15 en attendaient l'attribution. 50% de ces réseaux concernent des villes, 43% des départements et 7% des régions. Ils représentent 3 670 zones d'activité raccordées, 9 377 établissements publics raccordés, 3 062 NRA (noeuds de raccordement d'abonnés) dégroupables, 32 000 kilomètres de câbles optiques. En terme financier, ces réseaux représentent 2 613 milliards d'euros, 48% provenant de financement public (source Avicca). (...)
(18/08/2009 16:02:53)Linux comble des failles déjà exploitées dans les noyaux 2.4 et 2.6
Deux versions du noyau de Linux, qui comblent des failles critiques, sont mises à disposition. Ces noyaux 2.6.27.31 et 2.6.30.5 réparent des bugs qui se trouvent dans le noyau des versions 2.4 et 2.6. Autrement dit, tous les noyaux depuis 2001 sont exposés. Déjà exploitées, ces failles permettent à un utilisateur aux droits limités d'obtenir des droits au niveau racine. Le monde Debian a déjà intégré ces nouvelles versions dans Debian 5.0 et 4.0. Fedora a fait de même pour les versions 10 et 11. Ubuntu et OpenSuse devraient suivre. (...)
(18/08/2009 15:31:38)La BNF s'en remettrait finalement à Google pour numériser ses livres
Fontaine, je ne boirai pas de ton eau... La Bibliothèque Nationale de France (BNF) l'avait juré : elle n'aurait jamais recours à Google pour numériser ses ouvrages. Aujourd'hui pourtant, selon nos confrères de la Tribune, c'est bien ce qu'elle s'apprête à faire. Denis Bruckmann, directeur général adjoint et directeur des collections de la BNF, a confié au quotidien qu'il était en négociation avec le numéro un mondial des moteurs de recherche. En 2005, la BNF avait pourtant mis en branle le projet de bibliothèque numérique Europeana, finalement ouverte, non sans difficulté, fin 2008. Mais les coûts de la numérisation de livres souvent rares, précieux et difficiles à manipuler, auront sans doute raison de cette initiative d'irréductibles gaulois. Le budget annuel de 5 millions d'euros de la BNF ne suffira pas, loin de là, à une opération qui devrait représenter plusieurs dizaines, voire centaines de millions d'euros. Mais ce n'est pas tout. Dans le monde, 29 grandes bibliothèques ont déjà fait appel à Google. Et la polémique règne dans nombre de pays où le géant américain est intervenu pour transformer les livres en patrimoine numérique. Pour commencer, l'Américain a bel et bien l'intention de commercialiser les ouvrages une fois numérisés et non de les laisser en accès libre dans le seul but d'offrir la culture à tous. Aux Etats-Unis, des actions collectives en justice (class actions) ont déjà été menées contre Google qui se passe régulièrement de l'autorisation des auteurs (et du versement de droits, par la même occasion) avant de mettre en ligne leurs publications. Depuis, les différentes parties ont trouvé un accord. L'an dernier, la ville de Lyon avait, elle aussi, signé avec Google qui doit numériser le patrimoine de la bibliothèque municipale et verser quelque 60 millions d'euros en échange d'une autorisation de l'exploitation de la copie numérique des ouvrages. (...)
(18/08/2009 15:29:00)Trois éditeurs de BI se mettent en cloud avec Rightscale
Talend, Jaspersoft et Vertica viennent d'annoncer une offre décisionnelle combinée, à exploiter dans le cloud EC2 d'Amazon, avec la solution d'administration de RightScale conçue pour ce type de plateforme. Le Français Talend et le Californien Jaspersoft, deux éditeurs investis dans les logiciels en Open Source, y apportent respectivement leurs outils d'intégration (pour le premier), d'analyse de données et de reporting (pour le deuxième). Quant à Vertica (Massachussetts), la société fondée par Michael Stonebraker, qui fut le co-développeur de la base de données Ingres, elle fournit son entrepôt de données qui se distingue par son mode de stockage en colonnes. Les outils d'administration de RightScale sont utilisés pour installer des instances de Talend, Vertica et Jaspersoft sur le cloud EC2. Les données sources sont transférées sur le cloud avec les fonctions ETL de Talend et chargées dans le datawarehouse de Vertica. L'analyse et la restitution des données s'effectuent ensuite avec la suite de Jaspersoft. Pour créer un prototype d'application décisionnelle Les quatre éditeurs suggèrent plusieurs scénarios d'applications autour de cette offre commune. Elle pourrait, par exemple, permettre à une entreprise de déporter certains traitements lourds risquant de surcharger le datawarehouse interne ou de requérir une mise à jour coûteuse. Elle pourrait aussi servir à tester un prototype d'applications BI sans nécessiter la mise en place d'une infrastructure, ou encore être utilisée ponctuellement pour créer des applications analytiques à la demande afin de réagir rapidement à un brusque changement du marché. Ou tout simplement, elle pourrait être exploitée telle quelle, comme une offre de BI dans le cloud. Pour Curt Monash, du cabinet Monash Research, interrogé par nos confrères d'IDG News Service, cette offre peut notamment intéresser les entreprises, des PME par exemple, qui n'ont pas encore déployé de solutions décisionnelles ou qui s'appuient sur les outils de reporting intégrés aux applications qu'elles utilisent. Dans le même ordre d'idée, l'analyste considère que cette solution de BI dans le cloud pourrait intéresser des revendeurs ou des consultants qui s'adressent justement à ces PME. Une offre BI facturée à l'usage par chaque éditeur Brian Gentile, PDG de l'éditeur Jaspersoft, et Michael Crandell, PDG de RightScale, ont déjà eu l'occasion de présenter cette offre combinée lors du salon CloudWorld Expo qui s'est tenu les 12 et 13 août au Moscone Center de San Francisco. Une version d'essai gratuite de trente jours est déjà proposée sur le site de Rightscale. Si les quatre éditeurs se sont entendus pour livrer la solution dans un même mouvement et faciliter le processus global de vente des différents produits, en revanche, chacun d'eux assurera indépendamment le support de ses logiciels et nouera ses propres engagements contractuels avec les clients intéressés. C'est ce qu'a précisé Yves de Montcheuil, vice président marketing de Talend, à IDG News Service. Le paiement se fera sur le mode de facturation 'à l'usage' propre au cloud. (...)
(18/08/2009 14:03:57)Les distributions Linux pour mobiles s'ignorent superbement entre elles
Les distributions Linux se bousculent sur le marché, mais ne se ressemblent pas. Moblin (soutenu par Intel sur son processeur Atom), Android (conçu par Google), Maemo (Motorola), WebOS (de Palm pour son Pre); LiMo (Linux Mobile, sponsorisé par Motorola, NEC, NTT DoCoMo, Panasonic, Samsung et Vodafone), sans oublier Mobilinux (MontaVista sur ARM) et, enfin, Openmoko Linux, le plus libre et de tous, ont en commun d'utiliser du code ouvert Linux. Mais le point commun s'arrête là. Chaque plateforme travaille au développement de sa logithèque en prenant soin de ne pas s'intéresser à ceux qui travaillent pourtant à partir du même noyau. Pendant ce temps, Apple, champion des architectures propriétaires, fait un malheur avec son iPhone sur le marché des smartphones. (...)
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