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(23/07/2009 15:52:54)
Google Wave, quelle application en entreprise ?
Google Wave est une application Web qui mélangera de vieilles technologies comme le mail, la messagerie instantanée et les documents en ligne en une interface unifiée. Il pourrait bien changer complètement la façon dont nous compartimentons et séparons l'information, de manière personnelle ou en entreprise. Google avait révélé l'existence de Wave lors de la 'Developer Conference' les 27 et 28 mai dernier à San Francisco, annonçant qu'une petite équipe d'ingénieurs travaillait sur le projet Wave depuis 2 ans. Google a ouvert Wave aux développeurs, qui peuvent maintenant mettre au point des outils et des applications s'y intégrant (Wave est essentiellement Open Source). Le public n'aura pas accès à l'application avant encore plusieurs mois (fin 2009), annonce Google. Wave combine les tendances Web des dernières années Les premiers commentaires ont décrit Wave comme un outil de communication et de collaboration, mais la conception de cette technologie fait penser à quelque chose de plus complet encore : Wave combine en une seule application les myriades de tendances que le Web a vu ces dernières années. Pour les utilisateurs, Wave est la réponse de Google à l'émergence des applications internet en 'flux' ou 'instantanées', notamment mise en lumière par le succès des réseaux sociaux. Le concept de 'flux' est bien illustré par une page d'accueil Twitter ou un fil d'actualité Facebook. Sur ces pages, les contenus défilent vers le bas de la page et vous n'avez qu'à les utiliser si vous le désirez. Vous pouvez commenter un contenu, le partager avec des amis, ou juste le laisser disparaître sans y toucher. Le mail comme point de départ Wave semble s'appuyer sur ce type d'interface de 'flux' en utilisant le mail et la messagerie instantanée comme point de départ. Au sein d'un affichage fluide, Wave inclut des messages courts (pensez Twitter), une communication avec des groupes plus larges (pensez facebook) et des outils de collaboration basiques pour participer au contenu (pensez mails et messagerie instantanée). L'information que vous partagez peut être quelque chose d'aussi statique qu'un message mail et que la discussion qui s'en suit, ou aussi dynamique qu'une invitation à un événement, avec une liste de vos amis qui viendront ou ne viendront pas, et une carte Google Map indiquant son emplacement. Si vous arrivez tard dans une discussion Wave, vous pouvez cliquer sur le bouton replay qui vous permettra de vous mettre à jour. A terme Google veut que Wave fonctionne avec d'autres sites Web. Wave cannibalisera-t-il les applications Webs classiques Wave n'a pas besoin que vos amis soient loyaux à un service Web spécifique, mais est conçu pour combiner des différents contenus en provenance d'internet. Parce que Wave aura son propre éditeur de texte, certains se demandent s'il cannibalisera des services web fondamentaux (même ceux de Google, Picasa et les Google Docs par exemple). Mais il est encore trop tôt pour dire si le service sera suffisamment avancé pour que les gens abandonnent ces applications. Wave sera Open Source Étant donné que Wave est Open Source, d'autres applications Web populaires (comme Twitter) pourraient s'y intégrer facilement. Au final, la plus grande force de Google pourrait bien résider dans les liens que Wave entretiendra avec l'activité principale de Google : la recherche. On peut aujourd'hui partager énormément d'information sur les réseaux sociaux type Facebook ou Twitter, mais les options de recherche dans ces services laissent à désirer. Wave pour les entreprises : Les entreprises ont désespérément besoin d'une technologie comme Wave pour aider leurs employés à collaborer de manière plus fonctionnelle. Malheureusement, la plupart des entreprises sont encore à des années de l'adoption de ce type de flux d'information, en raison de leur infrastructure technologique actuelle. Le concept de Wave n'est pas fondé sur le rangement de l'information dans des jolis petits dossiers comme sous Microsoft SharePoint, le système de gestion de documents largement adopté en entreprise. Il s'agit plutôt ici de laisser circuler librement l'information entre les utilisateurs pour qu'ils interagissent en temps réel. Il faudra du temps aux entreprises Il faudra beaucoup de temps aux entreprises, et aux logiciels conçus pour elles, pour rattraper les innovations des applications de 'flux'. Aujourd'hui, les employés doivent trier parmi les mails désordonnés de type 'répondre à tous' pour travailler en groupe sur un contenu. Si vous travaillez sur un document dans SharePoint, vous devez faire des check in/check out pour éviter les conflits, rendant difficile le travail collaboratif en temps réel. Avec des technologies de type Wave, les utilisateurs peuvent choisir des groupes ou des individus avec lesquels ils veulent partager des contenus de manière bien plus ergonomique. Et parce que les contenus sont Webs, ils peuvent être partagés en temps réel. Les vendeurs de technologies d'entreprise innovantes, comme Socialtext, ont conçu leurs applications collaborative pour incorporer les format de type 'flux', permettant d'éditer des Wikis et de partager des messages courts taille Twitter. Certaines entreprises utilisent déjà cette technologie, mais il faudra peut-être plusieurs années pour qu'une majorité des sociétés adoptent un tel paradigme. Avec le poids de Google derrière ce format d'information, cette adoption pourrait cependant être accélérée. Démontrer aux entreprises la valeur de Google Wave Google devrait essayer (et le fera probablement) d'incorporer Wave dans les Google Apps. S'il peut démontrer que les utilisateurs sont à même d'interagir en entreprise avec Wave, cela augmentera la valeur de cette solution aux yeux des entreprises. (...)
(23/07/2009 15:33:18)Virtualisation, l'adoption du FCoE progresse à petits pas
Le protocole de stockage, le Fibre Channel sur Ethernet, ou FCoE, pourrait renforcer les projets de virtualisation en autorisant une plus grande mobilité des machines virtuelles, et il fait partie des plans d'un quart des grandes entreprises, selon une étude de la société de consulting TheInfoPro. Peu d'entreprises ont commencé à utiliser des produits FCoE, ce qui n'est pas une surprise, étant donné que les standards ne sont pas encore finalisés, précise Rob Stevenson, en charge de la recherche sur le stockage pour TheInfoPro. Mais, les responsables du stockage dans les grandes entreprises attendent avec intérêt les avantages que FCoE pourrait apporter aux serveurs virtualisés, poursuit Rob Stevenson. La simplification des câblages promis par le FCoE réduira la quantité de travail physique nécessaire pour déplacer une machine virtuelle d'un serveur vers un autre. « S'il y a moins de points de raccordement à une machine virtuelle, vous avez plus de mobilité " souligne Rob Stevenson. Même dans un environnement virtuel , il y a effectivement des interfaces physiques à prévoir correctement. TheInfoPro a interrogé 303 grandes entreprises, entre novembre 2008 et avril 2009. Quand on a demandé aux responsables stockage de ces entreprises quelles applications bénéficieraient du FCoE, ils ont répondu en priorité, la virtualisation des serveurs, suivie par les bases de données, les serveurs en lames, les sauvegardes, les applications Microsoft, les PRA et les Datawarehouse. Ces mêmes responsables pensent globalement que « le FCoE sera le principal protocole de stockage dans le futur. » L'adoption pour l'instant est rare, puisque 3% seulement des sondés utilisent cette technologie. Quant à 26%, ils sont en pilote, en évaluation ou prévoient de déployer à plus moins long terme le FCoE. L'absence de standardisation du protocole prive le FCoE de fonctions d'équilibrage de charge et de support du multi-liens. « FCoE est comme une voiture qui roule, mais sans air-bag ni rétroviseurs. » Bien que le standard ne soit pas encore finalisé, des équipementiers comme Cisco, Brocade, EMC et NetApp proposent des produits. Brocade a récemment présenté un commutateur et une carte réseau qui réunissent FCoE et CEE (Converged Enhanced Ethernet) sur une même plate-forme, mais Brocade ne s'attend pas à une adoption de masse avant 2011. « Les utilisateurs mentionnent généralement NetApp et Cisco comme ceux offrant les meilleurs produits FCoE » déclare Rob Stevenson. « Dans un futur prévisible, FCoE reste la technologie challenger, mais les atouts de FCoE en termes de simplification du câblage, des réductions de coûts d'infrastructure, et l'administration, positionnent FCoE comme la prochaine technologie de réseau » conclut l'étude. (...)
(23/07/2009 14:16:42)Amazon diversifie ses activités en rachetant Zappos pour 847 M$
Historiquement spécialisé dans la vente de livres, de DVD, de jeux vidéo et de produits électroniques, Amazon cherche à diversifier ses activités. Le cybermarchand a annoncé hier le rachat de l'Américain Zappos.com, pour un montant de 847 M$. Créé il y a dix ans, cette société du Nevadas emploie près de 1 300 personnes et a réalisé un chiffre d'affaires d'un milliards de dollars en 2008. Elle vend par Internet des vêtements et des chaussures. Amazon a déjà essayé d'aborder le secteur du prêt-à-porter, mais sans le succès escompté. Les directions des deux groupes ont indiqué qu'aucun licenciement n'était prévu dans le cadre de cette acquisition. Amazon a réalisé chiffre d'affaire de 19,17 Md$ en 2008, en hausse de 29%. (...)
(23/07/2009 11:23:30)Europe de l'Ouest : pas de ralentissement des dépenses IT dans les entreprises
La diminution des investissements globaux des entreprises est une réalité. Mais le secteur IT semble être relativement épargné. C'est en tous cas ce qui ressort d'une étude de Siemens Financial Services réalisée en avril dernier auprès d'un échantillon de directeurs financiers de 1500 sociétés réparties entre l'Allemagne, la France et le Royaume-Uni. « Les entreprises semblent bien décidées à maintenir leurs calendriers de remplacement des équipements informatiques et bureautiques », indique le document publié par la société de financement. Elle en veut pour preuve que le rythme moyen des renouvellements reste le même que celui constaté durant ces trois dernières années, à savoir 38 mois en France, 37 mois en Allemagne et 34 mois au Royaume-Uni. Pour Siemens Financial Services, cela explique que face aux analystes qui prévoient un effondrement sans précédent du marché de l'IT professionnel, d'autres de leurs homologuent parient quant à eux sur sa stabilité. D'après l'étude, outre le besoin de remplacer des équipements en fin de vie, on peut citer deux autres raisons principales qui poussent les entreprises à poursuivre leurs investissements dans l'informatique et la bureautique : L'augmentation des capacités et des fonctionnalités des produits, et l'amélioration de la productivité. Les sociétés françaises et britanniques de taille moyenne (250 à 2499 salariés) placent l'amélioration de la qualité de services en deuxième position, devant l'amélioration de la productivité. Las, regrette Siemens Financial Services, qui prêche pour sa paroisse, seules 24% des entreprises européennes interrogées utilisent le crédit locatif pour financer leur investissements TIC. En France, elles sont 20,4% à privilégier la location et le crédit bail. Plus précisément, 20% y recourent pour leurs achats de matériels, 12% pour leurs logiciels, et 30% pour leurs équipements de bureau. Les taux sont même supérieurs si l'on isole les sociétés françaises de 250 à 2 499 salariés : 33% pour le matériel informatique, 31% pour les logiciels et 47% pour les équipements de bureau. Sans remettre en cause les modalités de l'étude de Siemens Financial Services, il faut toutefois noter que d'autres enquêtes ne débouchent pas sur les mêmes conclusions. A titre d'exemple, Gartner note une baisse des ventes de PC avoisinant les 5% en Allemagne et en France au deuxième trimestre 2009. Le même cabinet d'études prévoit en outre une baisse de XXX% sur le marché de l'impression en Europe de l'Ouest en 2009. Les prévisions du cabinet IDC rejoignent en revanche les prévisions de Siemens Financial Services pour la France. En mai dernier, entre 70 et 80% des entreprises qu'il a sondé prévoyaient de maintenir ou d'augmenter leur budget IT. (...)
(22/07/2009 16:08:28)Les actionnaires de Vignette approuvent le rachat par Open Text
Les actionnaires de Vignette ont voté hier en faveur de l'acquisition de la société par Open Text pour un montant de 321 M$. L'acheteur canadien, spécialiste de solutions de gestion de contenu (ECM), continuera à soutenir les logiciels conçus par l'éditeur américain, y compris les anciennes versions de Vignette Content Management, mais n'a pas stipulé s'il souhaitait développer de nouvelles gammes sous ce nom. Même interrogation en ce qui concerne les « produits combinés » qu'Open Text proposera désormais à ses clients. Le groupe n'a pas précisé comment il intégrerait les logiciels Vignette dans sa propre offre, se contentant d'expliquer qu'il offrira de nouvelles fonctionnalités e-business orientées Web, pour « répondre aux nouvelles exigences sociales et aux médias numériques », a explique John Shackleton, PDG d'Open Text. Suite au rachat de Vignette, Open Text prévoit une restructuration du groupe. Les modalités de réorganisation ainsi que d'éventuelles conséquences sur les effectifs seront dévoilées le 27 juillet prochain. (...)
(22/07/2009 14:31:53)Trimestriels : Yahoo se maintient avec peine et relifte son portail
Yahoo a publié hier ses résultats pour le deuxième trimestre de l'année. Le chiffre d'affaires perd une nouvelle fois 13% pour s'établir à 1,57 Md$. Le portail explique cette baisse par le ralentissement du marché de la publicité en ligne (-13% également) ainsi que celui des services payants comme le téléchargement en ligne (-8%). Le bénéfice net en revanche retrouve de légères couleurs puisqu'il grimpe de 8% à 141 M$ alors que le portail avait démarré l'année avec un résultat net en chute de 78%. Sur le semestre en revanche, les résultats sont catastrophiques (CA en baisse de 13%, bénéfice en chute de 69%) et contrastent étrangement avec l'optimisme de Carol Bartz, PDG de Yahoo: « Compte tenu de l'environnement économique, je suis satisfaite de ses résultats », a-t-elle en effet déclaré. Yahoo indique que son bénéfice net aurait pu atteindre les 229 M$ s'il n'avait pas été touché par divers frais de restructuration engendrés par les licenciements de 700 personnes (65 M$), soit 5% des effectifs, et par la revente de Kelkoo pour le quart de son prix d'achat (moins de 100 M€) en novembre 2008. En excluant ces éléments, le chiffre d'affaires du groupe n'aurait du baisser « que » de 6%. Yahoo relooke son portail à la sauce Web 2.0 Yahoo reste sous pression pour redonner un souffle à ses sites, fortement écrasés par la concurrence de l'hégémonique Google que rien n'arrête, pas même la crise économique. Yahoo a d'ailleurs profité de la publication de ses résultats pour présenter une version relookée de son portail. La nouvelle page est personnalisable par l'internaute, sur PC comme sur mobile. Elle comporte une série de favoris sur la gauche de l'écran, comme les incontournables Facebook, eBay et autres MySpace. Pour le prochain trimestre, Yahoo table sur un CA compris entre 1,45 et 1,55 Md$. Une acquisition par une partie ou l'intégralité du portail par Microsoft reste une voie de secours pour Yahoo, selon les analystes. (...)
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