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(17/07/2009 16:09:36)

Trimestriels Google : bénéfice net en hausse de 19%

Google continue de surprendre en publiant des résultats trimestriels dépassant les attentes des analystes. Le chiffre d'affaires progresse certes très modestement (+3%) pour atteindre 5,52 Md$, mais le bénéfice net grimpe de 19 points par rapport à la même période de l'année dernière, à 1,48 Md$. En soustrayant les commissions et autres frais que Google paie à ses partenaires publicitaires et distributeurs, le CA s'élève à 4,07 Md$, soit 0,01 point de plus que les prévisions. Le bénéfice de l'action est passé de 4,63 $ à 5,36 $ en un an, alors que les analystes tablaient sur une valeur n'excédant pas les 5,05 $. « Ces bons résultats prouvent l'endurance de notre modèle économique et met en lumière les efforts réalisés pour diminuer les dépenses », a expliqué Eric Schmidt, PDG du groupe. Google est en effet parvenu à faire baisser ses coûts de fonctionnement en les faisant passer de 1,64 Md$ à 1,54 Md$. En mars dernier, Google a notamment supprimé 200 postes en ventes/marketing afin de rationnaliser les ressources. Eric Schmidt s'est montré confiant pour l'avenir, « nous sommes en bonne position pour [appréhender] la reprise économique », a-t-il commenté. Dans le détail, les sites mêmes de Google génèrent 66% du CA du groupe, soit 3% de plus que l'année dernière. Pour le reste, ce sont essentiellement les sites partenaires - via le programme AdSense - qui contribuent à alimenter les revenus du moteur de recherche (1,68 Md$, en hausse de 2% par rapport à 2008). Plus de la moitié du chiffre d'affaires de Google est réalisée en dehors des Etats-Unis, essentiellement en Grande-Bretagne (13%). (...)

(17/07/2009 12:57:12)

Enquête SUG : les méthodes agiles satisfont utilisateurs et développeurs

Le club des agilistes français (French Scrum User Group, ou SUG) a produit la première enquête sur les retours d'expérience des méthodes agiles dans les entreprises françaises. Principalement Scrum et XP, qui instaurent un mode de développement bien éloigné du traditionnel cycle en V. Et si tout n'est pas rose, le bilan apparaît plus que satisfaisant. D'abord en ce qui concerne le taux d'adoption. Luc Legardeur, qui a fondé le SUG français en février dernier, voit dans les résultats de l'enquête « un véritable engouement : on est passé de la phase 'early adopters' à une phase de large adoption ». De fait, les représentants de 150 entreprises - « dont la moitié d'entreprises utilisatrices », complète Luc Legardeur - ont bien voulu répondre sur leur expérience avec les méthodes agiles. Dans 51% d'entre elles, les méthodes agiles sont « en cours de généralisation ». On note également une grande diversité dans la taille des entreprises, « alors que l'idée reçue veut que cela ne concerne que les petites structures ». Ainsi, 31% des répondants sont dans des organisations de plus de 1000 personnes. Des livraisons qui suivent le rythme des directions métier « L'autre bonne nouvelle, commente Luc Legardeur, c'est l'implication du management. Avant, c'était quelque chose d'un peu clandestin. Là, on constate une implication des plus hautes strates de la hiérarchie, on sent que les entreprises ont compris qu'il s'agit d'un enjeu stratégique. » De fait, dans la mesure où les méthodes agiles préconisent des livraisons fréquentes, cela coïncide avec les demandes des directions métier qui exigent des cycles de développement beaucoup plus courts. La capacité à s'adapter au changement figure d'ailleurs au premier rang des motivations pour la généralisation des méthodes agiles, avec 78% de réponses, et les livraisons plus fréquentes emportent 49% des suffrages. Motiver les équipes de réalisation est également cité dans 61% des cas. « C'est une bonne nouvelle, explique Luc Legardeur, cela montre que les DSI se soucient de la motivation de leurs équipes. » C'est aussi bon pour les directions informatiques, puisque la productivité augmente (sensiblement dans 41% des cas, légèrement dans 37% des cas), et que les délais se réduisent (sensiblement dans 40% des cas, légèrement dans 30% des cas). Les méthodes agiles s'inscrivent dans une démarche globale d'amélioration de la qualité [[page]] Dans tous les cas, faire partie d'un projet agile apparaît gratifiant. Dans 62% des cas, les répondants à l'enquête notent que l'amélioration de la qualité des développements est une motivation forte. Ce qui est en phase avec une autre question de l'enquête, où 76% des gens disent avoir adopté la démarche CMMI pour l'amélioration de la qualité. Et dans les faits, cela se vérifie : « plus des trois quarts des personnes interrogées constatent une amélioration de la qualité » (sensible pour 57%, légère pour 26%). Pour le SUG, cette amélioration est due à l'intégration des tests dans les itérations, ainsi qu'à la collecte des avis des utilisateurs à chaque itération. Logiquement, la satisfaction des utilisateurs est donc au rendez-vous : l'amélioration est sensible dans 56% des cas, légère dans 20%. « La cohabitation est difficile avec les entités non agiles » Les difficultés se retrouvent donc surtout au niveau de l'intégration des projets agiles dans le fonctionnement normal des entreprises. Avec 53% de réponses, « l'interaction avec les entités non agiles » est citée au premier rang des soucis expérimentés. De fait, un projet agile ne peut exister en vase clos. Il faut trouver un « product owner », un responsable au sein des directions métier, qui devra être formé à l'agilité. Il faut aussi pouvoir communiquer avec d'autres équipes de développement, qui ne suivent pas les mêmes cycles. Or, constate Luc Legardeur, « la cohabitation est difficile », et du coup « il n'est pas évident, du moins au début, de faire de bonnes estimations sur les délais et le calendrier ». Même s'il est dépeint par des gens a priori adeptes des méthodes agiles, le bilan est donc clairement encourageant. Ce qui n'empêche pas Luc Legardeur de vivre avec la hantise « de voir des échecs, une contre-référence majeure ». Cela arrivera certainement, mais il n'est pas sûr que cela handicape la généralisation des méthodes agiles, dans la mesure où des éditeurs de poids les ont massivement adoptées. IBM et SAP, par exemple, emploient chacun plusieurs centaines de personnes dans des équipes de développement agile. (...)

(17/07/2009 12:29:48)

62% des actionnaires de Sun disent oui à Oracle

Réunis en assemblée exceptionnelle hier, les actionnaires de Sun se sont prononcés en faveur du rachat de la société par Oracle, pour un montant de 7,4 Md$. Le oui a récolté 62% des voix, un résultat moyen - certains actionnaires ayant décidé de s'opposer à l'opération, la jugeant « injuste » - mais suffisant pour faire passer le vote. Oracle souhaite conclure l'acquisition avant la fin de l'été. Il doit néanmoins attendre l'aval des autorités américaines et européennes avant de pouvoir inclure Sun dans ses comptes. Fin juin, le DOJ (département de la Justice aux Etats-Unis) s'est accordé un délai supplémentaire pour examiner le dossier, qui devait initialement être bouclé le 26 juin, à l'issue d'une période d'examen de 30 jours. Ce n'est que partie remise, selon Michael Cote, analyste chez RedMonk, pour qui le rachat est désormais considéré comme « un fait accompli ». (...)

(16/07/2009 16:54:10)

Sogeti ouvre un centre d'évaluation de la sécurité avec le CEA-Leti

Sogeti, la SSII française filiale de Capgemini, a signé un partenariat avec le CEA-Leti (le Laboratoire d'électronique et des technologies de l'information dédié au Commissariat à l'énergie atomique) pour créer un centre d'évaluation de Sécurité des systèmes informatiques (SSI). Sogeti, et plus particulièrement son pôle High Tech, inauguré en novembre 2008, vise le statut de CESTI (centre d'évaluation de la sécurité des technologies de l'information). Les deux labels - SSI et CESTI - sont délivrés par l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI), créée la semaine dernière à la place de la DCSSI. L'offre proposée par Sogeti repose sur trois expertises. La première vient du laboratoire de R&D en électronique du CEA, situé à Grenoble. La seconde comprend les compétences en logiciels embarqués et en systèmes complexes du pôle High Tech de la SSII, basé à Issy-les-Moulineaux. La troisième s'appuie sur les six types de prestations proposées par l'ESEC, le centre européen dédié à la sécurité appartenant à Sogeti : audit, gouvernance sécurité, continuité d'activité, solutions de sécurité (analyse de code, stratégie de sourcing...), formations et évaluation. (...)

(16/07/2009 15:07:05)

La crise profite aux sites de recherche d'emploi

La fréquentation des sites de recherche d'emploi a franchi en France la barre des 11,5 millions de personnes en mai 2009, soit une augmentation de 45% sur un an, selon un rapport publié mercredi par le cabinet comScore. Ce dernier explique cette affluence par l'impact de la crise économique. Avec près de 3,9 millions de visiteurs en mai, Pole-emploi.fr arrive en tête des sites de recherche d'emploi les plus consultés. Parmi les 11,5 millions d'internautes français qui ont eu recours à ce type de services en mai 2009, 33,5% (3,9 millions de personnes) sont passés par l'organisme étatique, issu de la fusion entre l'ANPE et l'Assedic. Le groupe Vocatis arrive en deuxième position avec 1,3 million de visiteurs, suivi par Trovit France Jobs (1,1 million de visiteurs) et le portail Keljob.fr (1 million). "En conséquence de la crise financière mondiale, des millions de personnes se retrouvent sur le marché de l'emploi et ceux qui ont encore un travail se préparent au pire, explique Delphine Gatignol, responsable comScore pour la France. Les sites de recherche d'emploi représentent une ressource inestimable en cette période de crise." La fréquentation des sites de recherche d'emploi avait atteint un pic record de 12,6 millions de visiteurs en avril 2008. (...)

(16/07/2009 15:00:46)

Près de 200 000 tonnes de déchets électroniques collectées en France en 2008

L'éco-organisme Eco-systèmes annonce dans son rapport annuel, paru le 15 juillet, avoir collecté 192 808 tonnes de déchets d'équipements électriques et électroniques (DEEE) en 2008. L'an dernier, le public a ramené 16 millions d'appareils électriques et électroniques usagés dans les points de collecte. Le dépôt des matériels usagés a permis l'économie de 113 021 tonnes de CO2. Eco-systèmes se félicite de ce résultat soulignant avoir dépassé son objectif de 4 kg de DEEE collecté par habitant et par an. Pour 2009, l'éco-organisme espère collecter 250 000 tonnes de déchets électriques et électroniques, soit l'équivalent de 5,4 kg par habitant et par an. (...)

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