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(16/07/2009 14:49:16)
Twitter à nouveau piraté, les informations dérobées exposées sur le Web
Décidément, Twitter n'en finit plus d'attirer les pirates. Cette fois, ce ne sont pas les comptes de ses utilisateurs qui ont été victimes d'une attaque, mais certains documents confidentiels qui se sont retrouvés à la vue de tous sur le Web. À l'origine de cet exploit, un pirate, Hacker Croll, a trouvé le mot de passe d'un employé administratif de Twitter. Il a alors pu accéder à l'ensemble des données conservées par le réseau de micro-blogging sur Google Apps, y compris des renseignements hautement sensibles comme les informations relatives aux noms de domaines appartenant à Twitter, des numéros de cartes bancaires, des contrats ou les contacts de personnalités. Plutôt que de conserver toutes ces données à l'intérieur de ses propres systèmes informatiques, Twitter s'est laissé séduire par le cloud computing, mais a négligé la sécurité. Ses employés, dont Evan Williams, le directeur exécutif, ont allègrement mélangé outils privés et outils professionnels, permettant ainsi à Hacker Croll de profiter d'une brèche dans l'un des secteurs pour accéder aux informations de l'autre. Bien qu'il n'ait rendu son exploit public que depuis quelques jours, le pirate a réalisé son coup d'éclat en mai dernier. Depuis, tous les employées de Twitter ont dû changer leurs mots de passe de sécurité. Et Biz Stone, le PDG, va une nouvelle fois renforcer la sécurité informatique de sa société. (...)
(16/07/2009 14:10:18)Les CEO sous-estiment les risques informatiques
Les CEO sont les cadres qui sous-estiment et méconnaissent le plus les risques informatiques en entreprise, selon une étude publiée par l'Institut Ponemon. Réalisée aux Etas-Unis auprès de 213 personnes, dont des chefs d'entreprises (14%), des CIO ou encore des directeurs généraux des opérations (COO), cette étude montre que 48% des PDG pensent que les piratages de réseau d'entreprise par des hackers restent du domaine anecdotique et que les violations de données sont facilement évitables. Parmi les autres sondés, 53% sont convaincus que les systèmes d'information subissent des tentatives d'intrusion au quotidien, voire toutes les heures. L'enquête révèle en outre que les dirigeants sont beaucoup moins au courant des incidents de sécurité qui affectent le système d'information. L'Institut Ponemon a relevé dans un tableau les actions jugées importantes par les personnes interrogées pour renforcer la sécurité informatique. Parmi les CEO, 63% pensent que l'éducation des salariés est primordiale, contre 72% pour les autres personnes. La divergence de réponse entre les deux catégories de personnes vient des critères utilisés pour évaluer les risques, selon Ponemon. Pour les dirigeants, la rentabilité et le retour sur investissement (difficilement quantifiable, à leurs yeux) comptent avant tout. Tant que l'entreprise n'est pas financièrement affectée par des défaillances en provenance du service informatique, la prise de conscience peine à se faire. Ils s'inquiètent surtout des vols (31%) et des pertes (24%) de matériels (portables, clés USB...) alors que seuls 3% d'entre eux considèrent le cyber crime comme une réalité. La grande majorité des personnes interrogées s'accordent cependant sur un point, celui de la responsabilité. 85% d'entre eux estiment en effet qu'ils ne sont pas directement concernés si l'entreprise est victime d'une violation de donnée. Les CEO pointent du doigt les DSI dans 53% des cas (contre 24% pour les autres sondés). (...)
(16/07/2009 14:56:19)Les patrons de l'IT face à la crise #8 : Didier Lamouche, PDG du groupe Bull
Pour clore notre série d'entretiens vidéos "les patrons de l'IT française face à la crise", nous avons rencontré Didier Lamouche, PDG du groupe Bull. Malgré une histoire plus que chaotique, le constructeur national traverse aujourd'hui la crise économique et financière avec une certaine sérénité et des résultats plutôt satisfaisants depuis un an (près de 250 M€ de CA, en croissance de 6,5% au 1er trimestre). Le patron du géant français de l'informatique explique au MondeInformatique.fr comment la transformation engagée il y a quatre ans lui donne les moyens de tenir le cap aujourd'hui. Ainsi, la répartition géographique du CA entre pays occidentaux et pays émergeants, avec une France qui continue de jouer le vaisseau amiral, et l'accent mis sur des marchés de niche en forte croissance comme le calcul haute performance sont devenus de vrais atouts pour le groupe. C'est dans ce type de technologies qu'il continue d'ailleurs de recruter. Enfin, Didier Lamouche a souhaité partager avec nos lecteurs sa déception face à l'absence des TIC dans le plan de relance gouvernemental mais aussi ses espoirs de voir la trajectoire corrigée à l'occasion du lancement de l'emprunt national. Ce dernier entretien de notre série est aussi l'occasion pour LeMondeInformatique.fr de remercier toutes les entreprises françaises qui ont accepté de nous répondre (et que vous retrouverez ci-dessous) sur leur façon de traverser ces temps difficiles. Voici la liste de nos 7 précédents entretiens : - Viviane Ribeiro, présidente de Lefebvre Software. - Rafi Haladjian, patron et cofondateur de Violet. - Bertrand Diard, CEO et cofondateur de Talend. - Jean-Louis Henriot, PDG et fondateur de Lascom. - Hervé Obed, PDG et fondateur de ProConsultant Informatique. - Jean Ferré, président de Sinequa. - Jean-Michel Planche, PDG de Witbe. L'interview vidéo de Didier Lamouche est à voir ici. (...)
(16/07/2009 12:05:23)Le marché mondial du CRM en croissance à deux chiffres
Le marché des logiciels de gestion de la relation client (CRM) n'est, pour l'heure, guère affecté par la crise. En témoignent les chiffres dévoilés par le cabinet Gartner, selon lequel les revenus issus du marché mondial du CRM ont atteint 9,15 Md$ en 2008, soit 12,5% de plus que l'année précédente. « En dépit de la volatilité du marché financier, note Sharon Mertz, directrice de recherche pour le Gartner, le marché mondial du CRM enregistre sa cinquième année consécutive de croissance à deux chiffres, profitant de ce que les entreprises ont continué à investir dans des solutions pour tous les segments d'activité. » Les revenus globaux de la gestion de la relation client reposent pour une large part sur des applications diffusées sur le mode Saas (Software as a service, services applicatifs accessibles en ligne). Elles représentent désormais 20% du marché total, contre 15% en 2007. Au palmarès des éditeurs, SAP reste campé sur la plus haute marche, avec 22,5% de parts de marché. L'éditeur allemand devance Oracle (16,1%), Salesforce (10,6%), qui s'appuie exclusivement sur le Saas, Microsoft et Amdocs. Si le Gartner table sur une évolution globale du marché qui restera positive en 2009, il anticipe néanmoins une progression moins fulgurante avec un taux de croissance ramené à un chiffre « en raison de l'incertitude économique persistante ». (...)
(15/07/2009 17:12:00)Les sites en .tel ont un moteur de recherche, Qwista
Apex Ltd, une startup londonienne qui propose des outils de marketing en ligne, a lancé Qwista, un moteur de recherche uniquement réservé aux sites ou pages Web dont le nom de domaine se termine .tel. Qwista pioche dans sa propre base de données en se servant d'un algorithme conçu par Apex Ltd, capable d'effectuer des recherches dans n'importe quelle langue. Les résultats de recherche se présentent sous la forme de fiches avec une liste de renseignements qui varie en fonction de la requête : site Web, adresse, numéro de téléphone, mots-clés (informations commerciales), brève description ou même code d'accès pour se connecter à une page Internet officielle. Petit plus : en bas à droite on trouve un onglet vCard qui permet d'ouvrir et d'enregistrer la fiche du contact directement dans son carnet d'adresses, avec l'ensemble des renseignements qui y figurent. Qwista se targue de fournir à l'internaute des résultats plus précis et plus immédiats, sans l'obliger à visionner une dizaine de pages avant de trouver le contact qu'il cherche. Dans les faits, le moteur de recherche est assez brouillon et plutôt fastidieux. Qwista propose certes moins de pages que Google mais elles ne sont pas forcément beaucoup plus pertinentes. Beaucoup de sociétés ne sont pas référencées dans Qwista, l'extension .tel étant commercialisée seulement depuis le mois d'avril dernier. A titre comparatif, en tapant la recherche site:.tel sur Google, on obtient seulement 380 000 réponses contre 20,1 milliards pour le .com et près de 500 millions pour le .fr. (...)
(15/07/2009 16:13:09)Moins de PC vendus en 2009 que l'année dernière
Du jamais vu depuis l'éclatement de la bulle Internet en 2001. C'est ce que prédit l'institut iSuppli pour le marché des PC cette année, avec un nombre d'unités vendues inférieur à celui de l'an passé. La faute à l'effondrement des ventes de PC de bureau et au fort ralentissement des investissements IT dans les entreprises. Alors que iSuppli tablait avec optimisme sur une progression des ventes de PC faible, certes, mais positive (à 0,7%), le cabinet prédit désormais un recul de 4% des volumes écoulés, à 287,3 millions d'unités. Un coup de tonnerre dans un secteur habitué à une croissance sans interruption depuis le début du siècle. « Un recul annuel en volume est inhabituel sur le marché des PC, commente Matthew Wilkins, analyste chez iSuppli. Même lors des pires années, les ventes continuent d'enregistrer des croissances à un chiffre. » Outre le ralentissement des investissements IT par les entreprises cette année, iSuppli explique sa sombre prédiction par l'effondrement de la demande de PC de bureau. Les ventes de ces machines devraient en effet chuter de 18%, à 124,4 millions d'unités, permettant ainsi aux PC nomades, avec 156 millions d'exemplaires écoulés (+12%), de devenir pour la première fois les ordinateurs les plus vendus. (...)
(15/07/2009 12:58:43)Software AG veut racheter IDS Scheer pour environ 487 M€
De la couche d'exécution des processus à celle de leur conception, il n'y a qu'un pas, que Software AG s'apprête à franchir. L'éditeur allemand d'outils middleware offre 15€ par action d'IDS Scheer, sachant qu'il a déjà convaincu les deux fondateurs de l'éditeur allemand d'outils de conception et d'analyse des processus de lui verser leurs parts, soit 48% des actions. La transaction représenterait au final quelque 487 M€, alors qu'IDS Scheer avait réalisé en 2008 un chiffre d'affaires de 399 M€. De son côté, Software AG a terminé l'année 2008 sur un CA de près de 721 M€, et son PDG, Karl-Heinz Streibich, ne cachait pas ses ambitions d'atteindre le milliard d'euros avant 2011, par croissance organique mais aussi externe. Software AG, 40 ans cette année, s'est réorientée vers les SOA (Architectures orientées services), notamment grâce au rachat de WebMethods, finalisé en juin 2007. Mais l'Allemand avait déjà développé ses propres outils, et conclu dès 2005 un partenariat technologique avec IDS Scheer. Tous les éditeurs de middleware travaillent en effet sur le chaînon manquant, entre la définition des processus par des analystes métier dans des outils de type Aris (le produit phare d'IDS Scheer), Mega ou Casewise, et leur mise en oeuvre dans les plateformes d'exécution. Oracle et SAP avaient d'ailleurs des liens technologiques assez forts avec IDS Scheer de ce point de vue, ce qui augure d'une certaine 'coopétition', à moins qu'Oracle, comme à son habitude, ne décide de racheter un éditeur pour combler ce manque dans sa gamme SOA. Du côté de SAP, l'offre SOA étant plutôt orientée vers les clients du progiciel, cette nouvelle donne ne devrait pas changer grand-chose. Software AG pense qu'il aura le feu vert des autorités de régulation de la concurrence sous peu, ce qui lui permettrait de clore son offre d'achat d'ici à fin septembre. (...)
(15/07/2009 11:57:49)Trimestriels : les résultats d'Intel dans le rouge après l'amende de Bruxelles
L'amende infligée à Intel par la Commission européenne se ressent sur les résultats du deuxième trimestre du fondeur. En mai, Bruxelles a condamné Intel à payer 1,06 Md€ (1,44 Md€) pour avoir abusé de sa position dominante sur le marché des microprocesseurs. Conséquence de cette charge, le résultat net du groupe s'effondre et bascule dans le rouge à -398 M$, soit environ 2Md$ de moins qu'il y a un an. Sans ce lourd poste de dépense, Intel indique qu'il aurait enregistré un bénéfice de 1 Md$. Le chiffre d'affaires affiche lui aussi un sérieux coup d'arrêt, avec un recul de 15% par rapport à la même période de l'année dernière, à 8 Md$. Le groupe tient néanmoins à présenter les choses d'une manière positive en soulignant une progression séquentielle du CA. Mieux, selon le PDG Paul Ottelini, ce deuxième trimestre « reflète l'amélioration des conditions sur le marché des PC avec la plus forte croissance entre les 1er et 2e trimestres depuis 1988 et de grands espoirs pour le second semestre ». C'est essentiellement la demande émanant du grand public qui a dopé la production d'Intel au T2, les commandes des entreprises restant faibles. Celles-ci devraient rebondir l'an prochain, si l'on en croit Paul Otellini, à la faveur de renouvellement de parcs et d'un fort intérêt pour les processeurs basés sur l'architecture Nehalem. La version 8 coeurs du Nehalem-EX devrait voir le jour en 2010 et, selon une source proche d'Intel, une nouvelle déclinaison du Xeon devrait apparaître le mois prochain pour les serveurs. Le groupe table sur un chiffre d'affaires de 8,5 Md$ au 3e trimestre. (...)
(15/07/2009 12:01:04)WPC 09 : Azure gratuit jusqu'en novembre, puis à partir de quelques cents de l'heure
Azure est désormais pourvu d'une tarification. L'offre de cloud computing de Microsoft reste gratuite jusqu'en novembre, dans sa version CTP (Community technology preview). Son lancement officiel interviendra à l'occasion de la PDC 2009 (Professional developers conference) et là, il faudra sortir la calculette - et pas seulement pour comparer la conversion dollars/euros par rapport au taux de change international. La facturation sera en effet assez complexe, d'abord parce que l'offre d'informatique en ligne de Microsoft se décompose en trois grandes familles : les capacités de traitement et de stockage (Windows Azure), la base de données relationnelle en ligne (SQL Azure), et les fonctionnalités en ligne de type middleware et développement (.Net Services). Pour Windows Azure, les tarifs seront de 12 cents de l'heure pour la capacité de calcul, de 15 cents par gigaoctet et par mois de stockage et de 1 cent pour 10 000 requêtes effectuées dans la base. Pour SQL Azure, une 'Web Edition' donnera droit à 1 Go pour 9,99 $, tandis qu'une 'Business Edition' offrira 10 Go pour 99,99 $. Les .Net Services seront facturés 15 cents pour 100 000 messages échangés. A tout cela s'ajoutent les frais de bande passante, calculés sur la quantité de données entrant et sortant d'Azure sur une période de 30 jours, à raison de 10 cents par gigaoctet entrant, et 15 cents par gigaoctet sortant. Une offre spécialement étudiée pour séduire les partenaires Vu la savante complexité de cette facturation à l'usage, et partant le caractère assez imprédictible de la facture finale, Microsoft explique qu'il exposera lors du lancement commercial un mode forfaitaire. Autrement dit, un bon vieux retour à la Software Assurance, avec « des ristournes reflétant le niveau d'engagement » du client. Il est vrai qu'un des intérêts du cloud pour une entreprise, par rapport à de l'outsourcing notamment, c'est de pouvoir arrêter un engagement n'importe quand. Si le client est engagé dans une relation forfaitaire, cette incertitude - pour le fournisseur, en l'occurrence Microsoft - disparaîtra. A noter aussi que les abonnés à la formule MSDN Premium bénéficieront d'avantages pour assurer leurs développements sur Azure, et les partenaires de Microsoft auront pour leur part un rabais de 5%. Des intégrateurs pourraient ainsi avoir un certain intérêt à mutaliser leurs développements, en s'appuyant sur Azure pour la partie infrastructure, et en proposant leurs logiciels en ligne aux entreprises, en mode Saas (Software as a service). En présentant l'offre mardi, à l'occasion de la WPC (Worldwide partners conference de La Nouvelle Orléans), Bob Muglia, président de la division Serveur et outils de Microsoft, a d'ailleurs clairement expliqué que le caractère différentiateur de cette offre résidait dans la capacité de Microsoft à aider ses partenaires à bâtir leurs offres. (...)
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