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(15/07/2009 09:57:39)

Les salariés grévistes de Nortel menacent de faire exploser l'entreprise (MàJ)

Le conflit entre salariés et direction s'envenime chez Nortel. En grève depuis plus d'une semaine, les employés ont annoncé qu'ils étaient prêts à faire sauter le site de Châteaufort, (Yvelines), où ils ont placé une dizaine de bouteilles de gaz. Ils réclament de meilleures conditions de départs pour les 480 salariés concernés par les suppressions de postes, suite à la mise en liquidation judiciaire de la filiale française de l'équipementier télécoms canadien. Les syndicats réclament une prime de 100 000 € par personne licenciée, selon l'AFP. Les grévistes de Nortel ne comptent pas en rester là si les administrateurs judiciaires n'interviennent pas rapidement. Ils prévoient notamment de manifester devant le siège de Bouygues Telecom (Boulogne-Billancourt), dont ils gèrent le support du réseau mobile, et de bloquer des axes routiers. Mise à jour Christian Estrosi, ministre de l'Industrie, se rendra sur place cet après-midi afin d'écouter les revendications des salariés grévistes. Ces derniers ont indiqué qu'ils avaient retiré les bonbonnes de gaz qu'ils menaçaient de faire sauter mais qui, selon l'AFP, étaient vides. (...)

(13/07/2009 19:23:24)

WPC09 : Office Web sera disponible gratuitement pour un demi-milliard d'utilisateurs

Microsoft va présenter plus en détail Office 2010, lors de la Worldwide Partner Conference qui a débuté aujourd'hui et se déroulera jusqu'au 16 juillet à la Nouvelle-Orléans. Office 2010 devrait être disponible au cours du premier semestre de l'année prochaine. La suite bureautique bénéficie de différents apports (comme l'ajout du montage vidéo dans PowerPoint), mais c'est surtout l'arrivée d'Office Web qui soulève l'intérêt. Plutôt que de laisser Google, son principal concurrent, grappiller des parts sur le marché bureautique avec ses Google Apps, fraîchement sorties de leur version bêta et toujours gratuites, l'éditeur prend le risque de cannibaliser ses propres ventes en mettant gracieusement les applications Office Web à la disposition des internautes se servant de Windows Live, soit 400 millions d'utilisateurs actifs. Office Web sera également libre d'accès pour les professionnels dans les entreprises qui auront souscrit au programme baptisé Software Assurance, comme Microsoft l'avait laissé entendre lors de sa conférence développeurs en octobre 2008. Ce programme compte déjà 90 millions d'utilisateurs selon Chris Capossela, vice-président responsable de la ligne de produits Microsoft Office. Office Web comporte des versions épurées de Word, Excel, PowerPoint et OneNote, le tout en ligne. Ces outils sont accessibles depuis n'importe quel poste de travail, via Internet Explorer, Firefox ou Safari. Plusieurs utilisateurs peuvent en outre travailler simultanément sur le même document (Office 2007 ne permet pas la collaboration en temps réel). La suite Office génère entre 15 et 20 M$ de chiffre d'affaires de Microsoft chaque année. Malgré la gratuité d'Office Web, Microsoft estime que ce revenu n'est pas en danger car la version libre d'accès ne dispose pas de toutes les fonctionnalités de la suite. « Pour un étudiant par exemple, écrire un rapport long de plusieurs pages sur un navigateur Web n'est pas aisé - pas plus que sur WordPad, lui aussi gratuit », explique Chris Capossela. Autrement dit, les consommateurs continueront à se tourner vers la version complète et payante d'Office. Microsoft a toutefois refusé de révéler à quel tarif serait commercialisée la version payante d'Office 2010. La mouture précédente était disponible à des prix compris entre 149 et 499 $. Une fois de plus, Microsoft et Google jouent sur le même terrain. La semaine dernière, le géant de Mountain View a en effet son annoncé la sortie de Chrome, son OS gratuit, pour le début de l'année prochaine, concurrent direct de Windows. (...)

(13/07/2009 18:59:02)

Annuels Lawson Software : ventes de licences en baisse en Europe

Lawson Software a achevé son année fiscale le 31 mai 2009 sur un chiffre d'affaires de 757,3 M$, en recul de 11% par rapport à l'an dernier (chiffres non audités). L'éditeur américain de progiciels de gestion (ERP) a subi sur son dernier trimestre une baisse de 20% de son chiffre d'affaires. Il dit avoir souffert des variations de taux de change. A taux constant, son chiffre d'affaires annuel aurait reculé de 6% et celui du quatrième trimestre, de 12%. Les revenus générés par les licences ne pèsent que 14,5% du chiffre d'affaires annuel, contre 46,2% pour ceux de la maintenance et 39,2% pour ceux du conseil et des services. Lawson enregistre sur ses ventes de licences une baisse de 17% sur l'année, à 109,68 M$, et de 19% sur le dernier trimestre, à 33,6 M$ (-12% à taux de change constant). Il invoque une baisse des ventes auprès des industries de fabrication sur la zone EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique). Rappelons que l'Américain Lawson a racheté en juin 2005 l'éditeur suédois Intentia et son ERP Movex, rebaptisé ensuite Lawson M3, bien implanté en Europe et en France, en particulier dans l'industrie, l'agro-alimentaire et la mode. Sur ses revenus issus de la maintenance, Lawson fait état d'une baisse de 4% au dernier trimestre, à 85 M$. Ceux du conseil et des services chutent de 34%, à 67,9 M$. Toutefois, Lawson affiche un bénéfice net de 9,8 M$ sur le trimestre, contre 3,7 M$ l'an passé, en raison notamment de la révision à la baisse d'une provision pour dépréciation, d'une réduction de ses dépenses opérationnelles (marketing, administratives, R&D...) et d'une hausse de sa marge brute de 2 points, à 55%. La marge opérationnelle tourne autour de 6%. D'ici fin août, sur le premier trimestre de son nouvel exercice, l'éditeur prévoit un chiffre d'affaires situé entre 160 et 165 M$. L'éditeur a déjà procédé à deux vagues de réductions de postes depuis le début de la crise économique, 200 en novembre 2008 et 150 en mai dernier. (...)

(13/07/2009 16:02:19)

F-Secure rachète le Français Steek pour se renforcer dans le SaaS

F-Secure vient de racheter Steek, un éditeur bordelais spécialisé dans le stockage de fichiers en ligne et de solutions de gestion de données pour les opérateurs de téléphonie mobile. Cette transaction, d'un montant de 27,5 M€ (auquel se rajouteront 2,5 M€, en fonction des résultats de la société) permet à au Finlandais, spécialisé dans la sécurité, d'asseoir sa position de fournisseur de services en mode SaaS. L'acquisition sera finalisée avant la fin du mois. Steek compte parmi ses clients des sociétés comme SFR, Virgin Media ou encore Terra (en Espagne). Créée en 2002, la société a réalisé un CA de 2,5 M€ en 2008 (en hausse de 300%) mais a essuyé une perte nette de 700 000 €. Elle emploie une cinquantaine de personnes. (...)

(13/07/2009 15:43:54)

Les entreprises américaines ne sont pas pressées d'adopter Windows 7

Le lancement de Windows 7 le 22 octobre prochain amène les entreprises à réfléchir sur l'opportunité de faire migrer leurs parcs informatique vers le nouvel OS de Microsoft. A en croire le sondage réalisé par SciptLogic, un éditeur de logiciels d'administration de systèmes, auquel ont répondu 1000 entreprises américaines, nombre d'entre elles résisteront aux sirènes de l'éditeur à plus ou moins long terme. Plus précisément, 59,3% des répondants indiquent ne pas avoir planifié de déploiement de Windows 7. Ils sont 34% à penser mener l'opération à la fin de l'année 2010 et seulement 5,4% à l'envisager d'ici la fin 2009. Pour 42,7% des entreprises, le manque de ressources constitue la première barrière à l'adoption de Windows 7. Pas étonnant lorsque l'on sait qu'environ 21% d'entre elles ont réduit leurs équipes informatique ou retardé leurs embauches. Mais que l'on ne s'y trompe pas, les problématiques techniques directement portées par le système d'exploitation sont aussi en cause. 39,1% des entreprises craignent des problèmes de compatibilité de leurs applications avec Windows 7. Ce qui tombe mal puisque le gel des dépenses dédiées aux mise à jour logicielles est le principal moyen utilisé par les services informatiques des entreprises pour réduire leurs dépenses. Sans remettre fondamentalement en cause la tendance qu'ils dessinent, les résultats du sondage de ScriptLogic doivent être pris avec des pincettes. Le nombre de répondants, 1 100 sociétés, ne représentent en effet que 5,3% des 20 650 entreprises américaines auxquelles a été envoyé le questionnaire. On peut dès lors espérer que la réalité sera moins noire que prévu pour Microsoft. (...)

(13/07/2009 13:59:00)

HP / EDS : Les salariés votent en faveur du projet de restructuration

Les salariés d'HP et d'EDS ont majoritairement voté en faveur du plan de restructuration de la société, peaufiné depuis plusieurs semaines par les syndicats et la direction. Sur les 5 575 salariés appelés vendredi 10 juillet à donner leur avis, 3 548 ont participé (64%) et les deux tiers se sont prononcés en faveur du 'oui'. Cinq organisations syndicales (la CFTC, FO, la CFE-CGC, la CGT et Sud) ont approuvé ce protocole qui définit trois volets : les futures caractéristiques d' HP France, les conditions du transfert des salariés HP vers EDS ainsi que les modalités des licenciements annoncés par le groupe. Seule la CFDT a refusé de le signer, estimant que les dispositions concernant le plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) n'étaient pas suffisantes. Un entêtement que les autres syndicats ne comprennent pas, la direction d'HP France s'étant engagée à faire baisser le nombre de postes supprimés (moins de 800, contre les 1 050 initialement prévus ). Sur le blog de l'intersyndicale, les salariés manifestent également leur mécontentement, dénonçant une série de mails contradictoires envoyés par le syndicat. Selon eux, la CFDT aurait d'abord demandé la consultation des salariés avant d'appeler à ne pas participer au referendum puis en les encourageant à voter non. Les syndicats et la direction d'HP devaient se réunir cette semaine pour signer le protocole approuvé par les salariés. Cette réunion a été repoussée à la semaine prochaine et pourrait tourner court, la direction ayant fait savoir qu'elle ne signerait que si l'ensemble des syndicats se mettaient d'accord. Les transferts des premiers salariés HP vers EDS et l'ouverture au volontariat pourraient être bloqués si la CFDT refuse toujours d'adhérer au plan. (...)

(13/07/2009 10:29:07)

Steven Sinofsky prend la tête de la division Windows de Microsoft

Quelques mois avant la sortie officielle de Windows 7 (prévue le 22 octobre prochain), Microsoft vient de nommer un nouveau président pour sa division Windows, Steven Sinofsky. Présent dans la société depuis vingt ans, Steven Sinofsky a exercé les fonctions de vice-président du groupe d'ingénierie de Windows avant de superviser la ligne Microsoft Office. Il a contribué au développement de Windows 7 et a participé à « E7 », le blog officiel du futur OS de Microsoft. Il a également été assistant technique de Bill Gates, une place réputée pour servir de tremplin au sein de Microsoft. Dans la foulée de cette nomination, Microsoft annonce également la promotion de Tami Reller au poste de directrice du marketing Windows, une fonction qu'elle conjuguera avec celle de directrice des finances (CFO). Elle remplace Bill Veghte, dont les nouvelles responsabilités n'ont pas encore été définies. (...)

(10/07/2009 17:21:51)

Les salariés de Nortel Networks SA poursuivent leur grève

Depuis quatre jours, un collectif de salariés de Nortel Networks SA France conduit un mouvement de grève sur le site de Châteaufort (Yvelines) de la société. La filiale de l'équipementier télécom canadien, dont la mise en liquidation judiciaire a été acceptée fin mai, va supprimer 480 postes en France, sur les 700 salariés que compte NNSA, entité axée sur les réseaux mobiles aux normes GSM/GPRS/UMTS (la filiale commerciale, Nortel Networks France échappe pour l'instant à la restructuration). Cette première vague de licenciements pourrait être suivie d'autres suppressions de postes d'ici la fin de l'année, selon les délégués syndicaux CFTC. Indépendamment du rôle consultatif joué par le comité d'entreprise de la filiale, les grévistes, soutenus par la CFTC, entendent peser de tout leurs poids dans les négociations en cours avec les administrateurs nommés pour restructurer le groupe canadien. Complexe, le système qui a été mis en place, contraint l'administrateur français nommé en mai dernier à consulter régulièrement les administrateurs britanniques (Ernst & Young). Les négociations bloquent sur l'indemnité d'aide au départ Les salariés veulent obtenir pour les collaborateurs touchés par les licenciements de bien meilleures conditions de départ que celles qui sont pour l'instant proposées. Selon un communiqué diffusé ce matin par les collaborateurs de Nortel Networks SA en grève, les propositions de la direction se sont jusqu'à présent limitées aux indemnités conventionnelles minimum, complétées d'une indemnité d'aide au départ « conditionnée à la vente des activités du groupe Nortel en démantèlement ». Or, rien n'est garanti, puisqu'il faudrait attendre que toutes les ventes prévues au niveau mondial soient réalisées pour toucher ces indemnités, commente un délégué syndical en résumant : « C'est un marché de dupes ». Les salariés de Nortel Networks SA (NNSA) demandent donc qu'une partie de ces indemnités supplémentaires leur soit versée d'emblée, sans attendre que les ventes des activités soient effectuées. Cette revendication constitue pour l'instant le principal point de blocage des revendications. La direction a suggéré le télétravail à ses salariés Jeudi 9 juillet, à midi, 320 grévistes étaient rassemblés sur le site de Nortel Networks, soit une centaine de plus que les jours précédents, selon les délégués syndicaux CFTC. Ces derniers rappellent que la direction a demandé dès le premier jour aux salariés de ne pas se déplacer sur le site. Les salariés grévistes comptaient poursuivre leur action pendant le week-end. Contactée hier, la direction de Nortel indique que les structures de Nortel en France et à l'étranger au service des clients restent opérationnelles. « Bien qu'un certain nombre de nos employés au sein de NNSA soit en grève, l'administrateur français de la procédure secondaire est en négociation avec le Comité d'entreprise dans le cadre des discussions requises en vue de l'établissement d'un PSE conforme au droit français ». La direction confirme par ailleurs à la rédaction du MondeInformatique.fr qu'elle a encouragé « les employés qui désirent poursuivre leur activité à se connecter et travailler de chez eux ». Elle précise qu'elle a depuis plusieurs années déjà mis à leur disposition ses propres outils multimédia de travail collaboratifs et à distance. Lettre ouverte du CE aux administrateurs britanniques Ce matin, le Comité d'entreprise de Nortel Networks SA a adressé une lettre ouverte au cabinet Ernst & Young, administrateur du groupe Nortel en Europe, mandaté par décision de justice britannique en janvier pour restructurer les activités européennes de l'équipementier. Il rappelle dans ce courrier que la faillite de Nortel est gérée en France dans le cadre d'une procédure de liquidation secondaire qui ne bénéficie « d'aucun soutien financier du groupe, contrairement à Nortel UK et Nortel Canada ». Des fonds dont le liquidateur français « a cruellement besoin pour financer la continuation de l'exploitation et le plan social », souligne avec insistance les représentants des salariés. Une centaine de collaborateurs de NNSA sont allés manifester aujourd'hui, vendredi 10 juillet, devant le siège d'Ernst & Young de la Défense. Une rencontre pourrait avoir lieu, lundi, entre les représentants du personnel de NNSA France et les administrateurs britanniques du groupe. (...)

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