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(24/06/2009 10:53:17)

Microsoft retire son connecteur Oracle de .Net

Microsoft retire le connecteur OracleClient d'ADO.Net (ActiveX Data Object). System.Data.OracleClient, de son nom complet, est une interface d'accès aux données pour les applications .Net connectées à un SGBD Oracle. Les réactions des développeurs sont plutôt négatives. Mais Microsoft assure qu'une "part importante" de ses clients utilisent déjà d'autres solutions. L'éditeur de Redmond continuera d'assurer la maintenance d'OracleClient pour son .Net Framework version 4.0. Parmi les solutions de rechange figurent Oracle Data Provider for .NET (ODP.NET) ainsi que des produits de DataDirect Technologies et de Devart (ex-Core Lab). Ce retrait s'inscrit dans la politique d'économie de l'éditeur qui a fait disparaître plus d'une douzaine de logiciels de son catalogue. (...)

(24/06/2009 10:56:22)

France Télécom formalise le télétravail

France Télécom et les organisations syndicales du groupe (CFDT, CFE-CGC, CFTC et FO) ont signé hier un accord sur le télétravail. Ce dernier repose sur trois principes : le volontariat, la possibilité de retourner à une position classique dans des délais raisonnables et le maintien du lien social (par la formation ou par une présence dans les locaux de l'entreprise deux jours par semaine). De son côté, le salarié demandeur doit être autonome et exercer une activité quantifiable et contrôlable à tout moment. En France, le groupe compte près d'un millier de télétravailleurs (à domicile ou dans un bureau au sein de l'entreprise, mais autre que le lieu habituel), soit moins de 1% de ses effectifs. A travers cet accord, il souhaite encadrer un mode de fonctionnement qui existe donc déjà, mais aussi se donner davantage de moyens techniques pour permettre aux salariés d'effectuer tout ou partie de leur travail à distance. Le groupe leur fournira un bouquet de technologies à cet effet (xDSL, Business Everywhere, Internet Everywhere , la 3G, le WiFi...). Au début du mois de juin, les députés français ont adopté une proposition de loi visant à consacrer l'entrée du télétravail dans le Code du travail. L'Hexagone est en retard à ce sujet. Seuls 7% des salariés bénéficient d'un tel type d'aménagement des conditions de travail, contre 13% dans l'ensemble de l'Union européenne. (...)

(23/06/2009 17:03:14)

Sun sort une bêta de de sa VirtualBox 3

Sun lève le voile sur la version bêta de VirtualBox 3.0, son hyperviseur de type 2 pour le poste client. Techniquement importante, la portée de cette annonce est obérée par le mystère entretenu par Oracle sur l'avenir de cette technologie après la finalisation de son rachat de Sun. Hier, on apprenait que Virtual Iron, racheté par Oracle il y a un mois, disparaissait complètement. Sur la liste des caractéristiques de cette bêta, figure en tête la capacité a supporter 32 processeurs virtuels sur des machines dotées de processeurs avec les extensions de virtualisation matérielle VT-x d'Intel et AMD-V du constructeur éponyme. Juste après, on trouve le support d'openGL 2.0 destiné à l'accélération 3D pour les OS Windows, Linux et Solaris. A titre expérimental, cette bêta supporte aussi Direct3D 8 et 9 sous Windows. VirtualBox s'installe au dessus de Windows, Linux, MacOS, OS/2 et OpenSolaris. Il supporte des machines virtuelles sous Windows (de 2000 à Windows 7), Linux, Solaris, OpenBSD et MacOS. Originellement développé par la société allemande Innotek, VirtualBox fait partie de Sun xVM, l'offre de virtualisation du constructeur qui inclut aussi xVM Server (hyperviseur de type 1 -natif- d'origine Xen pour processeurs Solaris et x86-64), xVM Ops Center (outils d'administration pour datacenter virtualisé) et Sun VDI (Virtual Desktop Infrastructure), un connexion broker pour virtualiser les postes de travail à distance. (...)

(23/06/2009 15:56:55)

Le Nouveau Centre rédige sa Déclaration des droits fondamentaux numériques

Le Nouveau Centre, en partenariat avec la Fondation pour l'innovation politique, vient de dévoiler sa Déclaration des droits fondamentaux numériques. Composée de dix articles précédés d'un préambule, elle se veut calquée sur les grandes déclarations des droits, comme celles de 1789 ou de 1948. Cette initiative répond au constat que « les TIC constituent les leviers d'une profonde mutation du monde et redessinent les rapports au politique, aux autres et à soi-même », explique Dominique Reynié, le directeur général de la Fondation. Dans cette perspective, un groupe de travail a été constitué, qui rassemble des universitaires, juristes et autres spécialistes de l'IT, pour que l'avènement des TIC en général, et d'Internet en particulier, s'accompagne de plusieurs garanties pour les citoyens-utilisateurs. « On peut établir une corrélation avec le marché, indique Hervé Morin, le président du Nouveau Centre. Une pensée unique se base sur la certitude que pour générer de la croissance, il faut un maximum de dérégulation. Sur Internet, on a parfois l'impression que cette même pensée unique est une règle de base. Nous pensons au contraire que pour que la liberté puisse s'épanouir, il faut la concilier avec les libertés fondamentales de la République. » Les huit articles de la Déclaration visent donc à introduire une dose de régulation dans l'univers numérique, pour penser le bien public de l'Internet et montrer aux jeunes générations « qui sont nées dans le chaudron numérique et qui voient dans Internet une sorte d'opérateur de confiance, de grand ami, comme l'explique le professeur en sciences de l'information Jacques Perriault, qu'il peut aussi y avoir des règles du jeu ». Les internautes invités à débattre du texte Le premier article donne le ton en disposant que « toute personne a le droit d'accéder et d'utiliser librement le réseau Internet, neutre et ouvert, sous réserve de ne pas porter atteinte à l'ordre public et aux droits d'autrui ». Il s'agit, selon Hervé Morin, de garantir un droit d'accès à un service public numérique universel en s'opposant à toute forme de filtrage. On relèvera néanmoins, et comme l'a fait Jeremy Zimmermann, le fondateur de la Quadrature du Net, que la Déclaration ne proclame pas une supériorité de la liberté d'expression (via Internet) sur le droit d'auteur. C'est pourtant ce qu'a fait récemment le Conseil constitutionnel en censurant partiellement la loi Création et Internet. Cette réflexion sur l'universalité du droit d'accès au Web, ainsi que celles relatives aux autres dispositions de la Déclaration (sur le respect de la vie privée numérique, de la dignité, du droit à l'oubli ou de l'anonymat), pourront être exprimées en ligne. Les internautes ont en effet la possibilité de commenter ou de proposer leurs modifications aux huit articles du texte sur droits-numériques.org. Une version anglophone du site sera mise en ligne dans les jours qui arrivent, pour élargir le débat au plus grand nombre. L'idée des initiateurs du projet est d'imaginer une régulation du Web qui dépasse les expressions juridiques nationales, jugées insuffisantes. « Il faut que la communauté des internautes s'en empare pour que ça devienne au moins un enjeu européen. Si l'Europe s'en saisit, on peut imagine que ça dépasse ce cadre pour intéresser toute la planète », conclut Hervé Morin. (...)

(23/06/2009 15:45:03)

Altran pousse 500 salariés vers la sortie

Les actionnaires d'Altran Technologies se réunissent aujourd'hui, mardi 23 juin, en assemblée générale, notamment pour parler du plan de départ de 500 personnes, un plan exclusivement basé sur le volontariat. « Cette formulation est une manière de maquiller des licenciements purs et simples, dénonce Williams Osters, délégué syndical CFE CGC. La direction culpabilise les salariés en inter-contrat, ayant quinze ou vingt ans de maison, avant de les pousser gentiment vers la sortie. » Les syndicats redoutent que ne se reproduise, à grande échelle, ce qui s'est passé pour Altran CIS (consulting and information services), la branche conseil de la SSII. « Une trentaine de postes ont été supprimés sous couvert de volontariat au cours des derniers mois », selon Williams Osters. Les syndicats dénoncent également les orientations prises par le groupe, comme la mise en place de formation « bidons, conçues pour leur prise en charge avantageuse par les fonds mutualisés », plutôt que de recourir à des formations qualifiantes et certifiantes. Les suppressions de postes concernent essentiellement les consultants qui travaillent pour des clients dans le secteur automobile. En raison de la crise économiques qui a fortement marqué ce marché, Altran a enregistré en 2008 un bénéfice net en recul de 47%, à 11,4 M€. Lors de la publication de ses résultats, le groupe indiquait qu'il « ne s'interdisait pas d'appliquer des mesures similaires à d'autres pays et d'autres secteurs si ces derniers subissent une forte dégradation tout au long de l'année 2009 ». Autrement dit, Altran envisageait de faire appel aux départs volontaires et au chômage partiel. La mise en oeuvre de ce programme sera débattue avec les représentants du personnel le 26 juin à Paris et le 29 juin à Toulouse. Les syndicats pourraient de leur côté manifester leur inquiétude et leur mécontentement dès aujourd'hui, au pied de la Tour Libertis qui abrite le siège social d'Altran à Levallois-Perret. (...)

(23/06/2009 08:42:08)

Tribune : le concept de bases de données épaisses, pour en finir avec la lourdeur et la lenteur

Et si la réponse au problème de compétences dans le développement informatique passait par une utilisation plus optimale des bases de données ? Dans une tribune publiée dans le Blog Experts de LeMondeInformatique.fr, Frédéric Brouard, spécialiste en bases de données relationnelles, met en avant le concept de développement en bases de données épaisses comme remède à bien des maux actuels. Le concept de SGBD épais vise à inclure davantage de traitements au sein même de la base. Les avantages, écrit Frédéric Brouard, sont nombreux : vitesse de traitement améliorée, langage de développement stable, possibilités étonnantes du SQL réduisant sensiblement le temps de développement. Et de citer quelques statistiques : « Réduction par un facteur 3 à 4 des lignes de code client, donc réduction potentielle par ce même facteur des bugs non encore découverts, division par un facteur 10 à 100 des temps de réponse du système, réduction par un facteur 2 à 3 du temps global de développement. » Frédéric Brouard relève aussi l'inconvénient majeur de cette approche : « Il convient que tous les acteurs d'un tel projet maîtrisent les techniques des bases de données relationnelles, ce qui est rarement le cas ! » A la place, dénonce l'auteur, les développeurs requièrent à des lignes et des lignes de code, ou bien se reposent sur les derniers frameworks à la mode, au risque que quelques années après, plus personne ne sache les maîtriser et donc maintenir l'application. A toutes fins utiles, en enseignant qu'il est aussi (au Cnam, à l'Isen Toulon et à Toulouse le Mirail), Frédéric Brouard donne les conseils et techniques pour déterminer où placer son code métier et quelles fonctions utiliser dans SQL. En passant, l'auteur égratigne aussi les ORM (outils de correspondance relationnel-objet), qui se sont imposés pour simplifier le dialogue entre le code applicatif objet et les SGBD relationnels. Pour lui, avec de tels outils, « le nivellement se fait par le bas », à la fois en termes de possibilités fonctionnelles et de performances. « Il est vrai, écrit-il avec une ironie féroce, qu'en SQL on ne dispose que de quelques instructions pour faire la même chose avec la performance en plus. » Au final, estime Frédéric Brouard, il faudrait améliorer la connaissance du SQL parmi la population de développeurs. Un voeu pieux ? Retrouvez la tribune de Frédéric Brouard sur le Blog Experts de LeMondeInformatique.fr. (...)

(23/06/2009 08:07:09)

Dassault Systèmes investit 3 millions d'euros dans Bluekiwi

BlueKiwi Software, éditeur d'une plateforme de réseaux sociaux d'entreprise, réalise une levée de fonds de 4,7 millions d'euros. Sofinnova Partners, investisseur de la première heure dans la startup avec 5,3 millions de dollars à sa création il y a 3 ans, continue de faire confiance à Bluekiwi, cette fois-ci à hauteur de 1,7 millions d'euros. Par ailleurs, le numéro un français du logiciel, Dassault Systèmes, participe pour 3 millions d'euros dans cette levée de fonds. Carlos Diaz et Christophe Routhieau, les deux fondateurs de la jeune pousse, demeurent majoritaires. Les liens entre Bluekiwi et Dassault Systèmes ne sont pas nouveaux. L'éditeur de PLM (Product lifecycle management) a en effet été le premier client de la startup. Dès 2006, avant même la disponibilité de l'offre de réseau social de cette dernière, le directeur général des ventes de Dassault Systèmes, Arnaud Poujardieu, avait décidé d'adopter le concept pour ses équipes. En octobre 2008, il a finalement rejoint Bluekiwi en tant que DG... En plus de sa participation au capital de la jeune pousse, Dassault Systèmes signe aussi un partenariat technologique et commercial avec celle-ci. Comme précisé par le géant du logiciel français, Bluekiwi « bénéficiera de la technologie de Dassault Systèmes et de sa présence à l'international. » (...)

(23/06/2009 08:07:32)

L'administration publique ouvre un portail personnalisable

Après le portail du Sénat fin mai et celui du gouvernement au début du mois de juin, c'est au tour des services administratifs en ligne de s'offrir un relooking. Jeudi dernier, Eric Woerth, ministre du Budget, des Comptes et de la Fonction publique, et la direction générale de la modernisation de l'Etat ont officiellement lancé Mon.service-public.fr, un portail pour effectuer ses démarches administratives. Déclinaison personnalisable du site général « service-public.fr », cette page permet à l'internaute de s'authentifier une fois pour toute (avec un identifiant et un mot de passe qu'il aura choisis) et de naviguer d'une administration à l'autre (pôle emploi, retraite, allocations familiales, sécurité sociale, logement, justice...). Il doit remplir une série de champs concernant ses informations personnelles (état civil, adresse...). Chaque catégorie se divise en trois parties : services en ligne, actualités et guide des droits et démarches. L'accès aux télé-services de l'Administration via ce portail reste toutefois facultatif. Du côté des administrations, l'adhésion des autorités partenaires au télé-service est tributaire de l'envoi préalable d'une « déclaration de conformité à un acte réglementaire » à la CNIL. Le site comporte également un espace confidentiel de 20 Mo où les usagers peuvent stocker des pièces justificatives ou des documents reçus de la part des services en ligne dans le cadre de démarches administratives. Avec l'onglet « ma communauté », cet espace personnel prend des allures de réseau social : il est possible d'inviter des amis ou des membres de sa famille dans ses contacts et de leur transférer des documents en un clic. Pour sécuriser l'environnement, les données sont chiffrées et les accès ainsi que les transmissions d'informations sont traçables car sauvegardés dans un historique. L'usager reste libre de rectifier ou de supprimer ses données. Elles sont automatiquement conservées pendant une durée de 36 mois. Au-delà de ce délai et après deux mails d'avertissement, le compte est supprimé et les informations sont détruites. (...)

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