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(29/05/2009 18:36:06)

Futur en Seine passe Paris en numérique pendant toute une semaine

Urbadeus, Le Cube (Issy-les-Moulineaux) Spécialement conçu à l'occasion de la première de "Futur en Seine", Urbadeus entraînera les visiteurs dans une exploration du territoire d'Issy-les-Moulineaux axée sur les thèmes de l'urbanisme et du partage. Muni de leur téléphone mobile, les participants seront invités à enregistrer un parcours numérique via des photos, vidéos et autres sons, capturés au fil de leur cheminement. Toutes ces données seront alors intégrées en temps réel sur une maquette 3D de la ville qui sera diffusée sur écran géant au Cube. Une soirée "Rencontre" sera organisée pour l'occasion, mardi 2 juin. Parcours en accès libre du 30 mai au 6 juin. La Montre verte Futur en Seine n'a pas non plus oublié le green IT et les capacités des TIC à équiper la ville pour la rendre durable. Un des exemples phare est la montre verte dont l'objectif est d'équiper tout un chacun avec des capteurs pour multiplier les mesures environnementales (Paris ne compte par exemple qu'une dizaine de capteurs pour sa qualité de l'air !). Cette montre écolo est équipée d'un capteur pour l'ozone et d'un autre pour le bruit, d'une puce GPS et d'une puce Bluetooth. Elle embarque aussi une application java développée par SFR, pour visualiser les niveaux de bruit et d'ozone mesurés qu'elle transmet à intervalles réguliers via le téléphone mobile de son heureux propriétaire à la plateforme Citypulse. Pour Futur en Seine, des collégiens et lycéens de Montreuil, des chercheurs de la Cité des sciences et les visiteurs de la wikiplaza (place de la Bastille) pourront tester quelques prototypes. Les données qu'ils auront récoltées donneront naissance à des cartographies consultables en ligne sur le site LaMontreVerte.org. Imaginé dans le cadre du programme Villes 2.0 de la Fing (Fédération Internet nouvelle génération), la « montre verte » est l'un des 16 prototypes lauréats de l'appel à projet du pôle de compétitivité parisien Cap Digital et financé par la Région Île-de-France. Télescope de réalité augmentée, Arc de triomphe Planté sur les hauteurs de l'Arc de triomphe, le "Télescope de réalité augmentée" permettra à tous d'observer la capitale parisienne sous un nouveau jour. Le dispositif traîte en temps réel les images capturées via une caméra afin d'apporter différents niveaux de lecture et d'interprétation du paysage. Ainsi, tout objet observé sera immédiatement enrichi d'éléments graphiques et textuels. Les visiteurs seront donc invités à découvrir les monuments et rues de Paris dans leurs moindres détails avec des commentaires tels que la date de construction, le nom de l'architecte, la hauteur, ...). Avec le "Télescope de réalité augmentée", il permettra également de se déplacer dans le temps pour découvrir les éléments disparus d'un paysage ou les projets de construction futurs. Paris en 3D, Le pavillon de l'Arsenal Après le lancement officiel de son service "Vue du Ciel" sur la Toile début mai, PagesJaunes présentera ses dernières innovations en matière de modélisation 3D en compagnie du groupe Archivideos. Les deux sociétés dévoileront au grand public trois de leurs dernières créations au Pavillon de l'Arsenal, les 30 et 31 mai. Les visiteurs seront notamment invités (re)découvrir Paris en 3D au travers d'un grand écran tactile, un film HD en relief ou encore une borne interactive. Robot Touriste, La Cité des Sciences et de l'Industrie A l'occasion de la première édition de "Futur en Seine", le Groupe Gostai invitera tous les technophiles et autres curieux du monde entier à prendre les commandes d'un robot touriste afin de se livrer à une visite virtuelle de la Cité des Sciences et de l'Industrie de la Villette. Les internautes pourront ainsi diriger en temps réel ce robot mobile par le biais d'une interface Web. Tout au long de la visite, des informations additionnelles sur les éléments de l'environnement agrémenteront cette visite à distance. Transports Amoureux, Ligne 3 du Tramway Last but not least, entre le 27 mai et le 7 juin, la technologie prouvera qu'elle peut rimer avec amour et poésie. Chaque voyageur muni d'un iPhone et de l'application "Transports Amoureux" sera invité à contribuer gratuitement à la création d'un cadavre exquis virtuel en lisant et en déposant des messages tout au long de son parcours sur la ligne de tramway T3 reliant le pont du Garigliano à la porte d'Ivry. Déclarations d'amour, joutes de slam, énigmes, poèmes ... Chacun sera libre de créer et de participer à son propre fil. Seule et unique contrainte, les SMS envoyés ne pourront être consultés que sur leur lieu d'émission. Tous les messages seront rassemblés en vue de générer une oeuvre visuelle et sonore diffusée en temps réel sur des écrans situés sur le trajet, à la Cité des Sciences et de l'Industrie ainsi qu'au Musée du CNAM. Une présentation de l'application aura lieu le samedi 6 juin à 16h30 à la Cité des Science (...)

(29/05/2009 18:17:45)

Microsoft fait les présentations officielles de Bing

Comme prévu, Microsoft a profité de la manifestation californienne All Things D pour montrer son nouveau moteur de recherche, avec un tout nouveau nom et des fonctions étendues, avant de le rendre disponible dès le 3 juin. C'est Steve Balmer en personne, le CEO de l'éditeur, qui a mené la première démonstration du remplaçant de Live Search. Après s'être appelé un temps Kumo, celui-ci porte le doux nom de Bing. Bien évidemment, Microsoft appuie sur les différences entre Bing et Google, le grand maître du jeu lorsque l'on parle de recherche sur le Web. Les algorithmes de Bing rangent ainsi les résultats de recherche en fonction de leur pertinence pour les internautes. Il exploite la technologie de recherche sémantique de l'entreprise Powerset qu'il a achetée en juillet 2008. Le moteur de Microsoft classe par ailleurs dynamiquement les résultats de recherche dans des catégories comme 'Web', 'cartes' ou 'images', dans une barre déroulante sur la gauche de l'écran. Pour résumer, Stefan Weitz, directeur de Live Search pour Microsoft, préfère parler de Bing comme d'un "moteur de décision" qui aidera l'internaute à explorer, chercher, et trouver ce qu'il souhaite. « Certaines de ces fonctions, prises une par une, donnent de meilleurs résultats que chez Google, constate Greg Sterling, analyste pour Sterling Market Intelligence, mais le changement n'est pas suffisamment drastique pour pousser les internautes à migrer massivement. C'est un premier pas important, ou une nouvelle salve, si l'on veut, pour Microsoft, mais cela ne va pas changer le marché tel qu'il existe aujourd'hui. Microsoft ne considère pas Bing comme une fin, mais comme un début." Si Bing ne fait pas courir un très grand risque à Google, il pourrait bien mettre en difficulté les moteurs d'AOL, Ask.com ou même Yahoo. Pour Allen Weiner, analyste du Gartner, Bing ne représente en effet pas une révolution dans la recherche sur le Web. Pour l'analyste, « Bing est surtout un moyen pour Microsoft de rattraper ses concurrents. » Mais le moteur semble avoir un nouvel atout de taille. Et c'est son nom. A l'occasion de la conférence, Steve Ballmer, le CEO de Microsoft a expliqué le choix de Bing. Un nom court, qui fonctionne pour un public assez large et n'a aucune connotation négative. Allen Weiner approuve. Pour lui, avec Bing, Microsoft tient enfin une marque, contrairement aux précédents MSN ou Live Search. « Bing peut faire l'objet de marketing, il se prononce facilement », il est identifiable... mais pas trop lié à la marque Microsoft non plus. « Ils bâtissent leur propre niche, comme avec la Xbox." Reste qu'à l'heure de cette annonce loin d'être majeure, Google a de son côté secoué le Web avec sa Wave, présentée lors de sa conférence développeurs, I/O, qui se tenait au même moment à San Francisco. "Google continue de rappeler qu'il dépense des sommes d'argent imposantes et beaucoup de temps pour imposer au monde le futur du moteur de recherche, continue Greg Sterling. En aucun cas, il ne laisse son imagination reposer !" (...)

(29/05/2009 17:12:31)

Les ventes mondiales de serveurs chutent de 24,5% au 1er trimestre selon IDC

Les livraisons mondiales de serveurs ont chuté de 26,5% sur les trois premiers mois de l'année, à 1,49 million de systèmes, par rapport au premier trimestre 2008, selon IDC. Le chiffre d'affaires résultant des ventes faites aux distributeurs recule quant à lui de 24,5%, à 9,9 milliards de dollars. Il s'agit du troisième trimestre consécutif enregistrant une baisse de ce marché (-12% sur les livraisons et -14% sur les revenus au dernier trimestre 2008). En tête des ventes, HP et IBM s'octroient chacun 29,3% des parts (2,9 Md$). Derrière eux arrivent Dell, avec 11% (1,09 Md$), Sun Microsystems, avec 10,3% (1 Md$), et Fujitsu/Fujitsu Siemens, avec 6,7% (667 M$). La compression des budgets IT a conduit les entreprises à ralentir le remplacement de leurs serveurs, constate IDC. Le marché s'est détérioré sur toutes les zones géographiques, note Matt Eastwood, vice président d'IDC, chargé des plateformes d'entreprise. La diminution du chiffre d'affaires s'explique aussi par le passage à la virtualisation et la consolidation de serveurs qui en découle, les entreprises cherchant à améliorer l'utilisation des machines déjà installées. Le cabinet d'études estime que la demande commencera à reprendre des couleurs au second semestre en prévision d'une reprise économique en 2010. Selon lui, la majorité des achats réalisés au premier trimestre ont été surtout le fait d'entreprises de taille moyenne, en quête de capacités serveurs plus importantes. Les ventes de serveurs x86 marquent davantage le pas Sur la période, la baisse des revenus est plus forte sur les plateformes x86, en recul de 28,8% (à 5,1 Md$, pour 1,4 million de systèmes livrés) que sur les systèmes à base d'autres processeurs dont les ventes s'établissent à 4,8 Md$ (-19,4%) pour quelque 64 450 machines vendues. Sur cette deuxième catégorie, IBM détient 42,8% de parts de marché, devant HP (21,8%) et Sun (18,2%). Le marché des serveurs Unix enregistre une baisse de 17,5% en valeur par rapport au premier trimestre 2008. Il pèse un tiers du marché (3,3 Md$). IBM détient 31% de ce segment, suivi de Sun et de HP, chacun d'eux en possédant 27,7%. Les ventes de systèmes sous z/OS d'IBM s'établissent à 889 M$ (9% du marché, en baisse de 18,9%). Celles des serveurs sous Windows baissent davantage. Elles se situent à 3,7 Md$ (-28,9%) et pèsent 37,3% du marché. Enfin, les livraisons de serveurs sous Linux (13,8% du marché) diminuent de 24,8% à 1,4 Md$, ce qui constituent leur niveau le plus bas depuis cinq ans. A noter que, pour la première fois, le segment des serveurs lames a également enregistré un repli : -14,4% en valeur (à 1,1 Md$, 11% du marché), -18,1% en volume par rapport au premier trimestre 2008. Un segment sur lequel HP dépasse les 52% de parts sur le trimestre. (...)

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