Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 10961 à 10970.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(02/06/2009 15:27:43)

Google veut se lancer dans l'édition de livres électronique à la fin de l'année

Amazon pourrait bientôt avoir un rival de poids dans le domaine des livres électroniques : Google. Le géant du Web, qui depuis de nombreuses années numérise des ouvrages tombés dans le domaine public, vient d'annoncer son intention d'éditer de nouveaux auteurs sous cette forme d'ici à la fin de l'année. Les livres édités par Google ne seraient pas liés à un support (comme le Kindle d'Amazon), mais lisibles à partir de n'importe quel appareil capable de se connecter à Internet, comme l'iPhone d'Apple, un PC ou l'eReader de Sony avec lequel Google a déjà noué un partenariat. Pour l'instant, les contours de « l'écosystème numérique » que Google veut créer autour du livre restent encore flous : combien coûtera un ouvrage, sera-t-il téléchargeable ou seulement consultable via une interface Web avec authentification, un même livre pourra-t-il être lu en même temps sur plusieurs plateformes ? Une seule chose est sûre : les éditeurs qui accepteraient la proposition de Google doivent lui fournir une version numérisée du livre que Google - et dans un deuxième temps ses partenaires, comme les sites utilisant Google Preview - se chargera de vendre aux internautes. Outre qu'il va falloir convaincre les internautes de passer aux livres électroniques, cette nouvelle décision de Google pourrait lui valoir les foudres de l'Union européenne. En effet, celle-ci s'inquiète déjà du système actuel Book Search, à travers lequel Google numérise d'abord les livres avant de demander la permission aux éventuels ayant-droits de les mettre en ligne. La délégation allemande à la Commission européenne y voit une violation du droit de la propriété intellectuelle européen. Elle précise également que cette numérisation a priori pourrait être considérée comme une pratique anticoncurrentielle, nuisant aux autres acteurs du Web, dont l'initiative Europeana de la Commission. Voir Google s'attaquer encore davantage au domaine de l'édition électronique pourrait donner plus de poids à ces inquiétudes. (...)

(02/06/2009 12:48:08)

Annuels : démembré, Arès atteint avec peine les 90 M€ de CA

Arès a publié un chiffre d'affaires en retrait de 9% (90,2 M€ contre 99,1 M€ en 2008). Si on prend en compte l'ancien périmètre du groupe, le CA s'écroule littéralement : il aurait du atteindre 329,1 M€ si Arès ne s'était pas, peu à peu, défait de certaines activités au cours des derniers mois. Le groupe s'est successivement débarrassé de SIS Ile-de-France (cédé à SCC), de SIS Régions (revendu en juillet 2008 à la SSII bordelaise Cheops Technology), d'Adequat (repris par D.FI), du pôle RMS (réseau, mobilité, sécurité) ainsi que de la société Databail. Ces différentes opérations ont valu à Arès un redressement judiciaire, entériné par le Tribunal de commerce d'Evry il y a deux mois seulement, après une longue période d'observation. Ces reventes ont provoqué une réduction drastique de la masse salariale d'Arès. En un an, elle est passée de 2 000 à 1 100 salariés. Par secteurs d'activités, c'est le pôle ITS (IT Services) qui permet à Arès d'engranger 68% de ses revenus. Vient ensuite le pôle SIT, qui distribue les solutions Autodesk (20% du chiffre d'affaires). La division ISA (Intégration de solutions applicatives) génère 12% du CA. Elle est chargée de distribuer et d'intégrer la gamme Arcole, une suite de progiciels (paie/RH) qu'Arès a lui-même développée mais qu'il a revendue à l'éditeur De Gamma pour 6 M€ en avril 2008. Pour 2010, le groupe entend mener à terme son redressement judiciaire et se concentrer sur des activités à valeur ajoutée, comme les services managés ou le PLM (gestion du cycle de vie du produit), et renforcer sa présence dans le secteur public, parapublic, la santé et le social. (...)

(02/06/2009 12:10:27)

HP poursuit ses coupes claires en Europe

HP a beau avoir publié un bénéfice net de 3,57 Md$ sur les six premiers mois de son exercice 2009, il poursuit sans relâche sa quête de réduction des coûts. Le numéro un mondial des PC vient ainsi d'annoncer la suppression de 5 700 postes en Europe, qui interviendra cette année et l'an prochain. Parmi les questions soulevées par cette information, la principale concerne le précédent plan de réduction des effectifs, annoncé il n'y a guère plus de deux semaines. Les 6 400 suppressions de postes dévoilées le 19 mai incluent-elles les 5 700 dont il est question depuis quelques jours, ou s'agit-il de deux plans distincts ? Dans le premier cas, la pilule serait dure à avaler pour les salariés européens, qui pourraient, à raison, estimer qu'ils sont les premières victimes des plans de délestage entrepris par le groupe. Au niveau européen, si l'on ajoute les 9 330 postes supprimés en septembre 2008, ce sont au total près de 15 000 emplois qui pourraient disparaître, soit 20% de ce que le vieux Continent compte comme salariés de HP. Dans l'autre cas - si les plans successifs de réduction des effectifs s'ajoutent les uns aux autres -, le total des emplois affectés serait très lourd puisque ces deux plans de suppressions de postes s'inscrivent dans la continuité des 25 000 emplois qui disparaîtront dans le cadre de l'intégration d'EDS à HP. Le groupe n'a pas communiqué la répartition par pays de ces coupes claires. De source syndicale, toutefois, quelque mille postes pourraient concerner pour la France. Par ailleurs, toujours dans un souci d'allégement des coûts, le constructeur chercherait à étendre à davantage de salariés français les baisses de salaire qu'il avait proposées en mars à ses dirigeants. Alors qu'une centaine de personnes s'étaient vu suggérer une diminution de 10% de leur rémunération, HP proposerait désormais de rogner de 5% le salaire des cadres et de 2,5% celui des autres catégories de salariés. Au total, quelques milliers de personnes seraient concernées, qui ne sont cependant pas tenues d'accepter cette modification de leur contrat de travail. Selon HP, le refus des salariés ne saurait constituer un motif de licenciement ultérieur. De son côté, la CFTC s'émeut de ces mesures et stigmatise le « manque de considération du monde du travail et les visions à court terme des entreprises comme HP qui sont en grande partie responsables de l'amplification de la crise ». (...)

(02/06/2009 11:13:56)

Red Hat annonce la fin des serveurs d'applications monolithiques avec JBoss Open Choice

Visiblement, l'annonce de la sortie de la version 5 du serveur d'applications Java de Red Hat n'avait pas suffi à convaincre que JBoss s'engageait dans la voie de la modularité. L'éditeur Open Source en rajoute donc une couche, en lançant l'initiative Open Choice : il s'agit de souligner que le middleware JBoss peut s'adapter à tous les besoins, du serveur d'applications basiques à la plateforme pour applications transactionnelles. Le nouveau directeur technique de JBoss, Mark Little, qui a repris le poste après le récent départ de Sacha Labourey, compare le middleware de JBoss aux Transformers, ces fameux robots (de fiction, hélas ?) capables de prendre la forme la plus adaptée à leur mission (c'est-à-dire combattre leurs ennemis, les Decepticons). Il écrit sur le blog de JBoss : "Cela fait quelques années que nous travaillons sur notre propre infrastructure adaptable, pas pour combattre les Decepticons, mais pour donner la possibilité d'utiliser les mêmes composants logiciels dans différents environnements sans passer par des phases de réécriture, des changements d'implémentation, des recompilations ou des mois et des mois de consulting. Nous voulons aussi supporter plusieurs modèles de composants et frameworks, tels que SCA, Ruby ou OSGi." Red Hat devrait proposer trois configurations de base associées à cette initiative : Basic Java Web Apps, Rich Java Apps et Enterprise transactional Java Apps. L'élément clé de ces offres sera le 'microcontainer', le socle sur lequel peuvent se greffer tous les services. (...)

(02/06/2009 09:32:47)

EMC surenchérit sur NetApp pour acheter Data Domain

L'acquisition de Data Domain par NetApp n'aura peut-être pas lieu. EMC a décidé de surenchérir sur l'offre proposée par NetApp et déjà acceptée fin mai par Data Domain : le numéro un mondial du stockage est prêt à mettre 1,8 Md$ sur la table, soit 300 M$ de plus que son rival. Joe Tucci, PDG d'EMC, a expliqué que les produits de déduplication de Data Domain sont les meilleurs du marché pour ce qui concerne les cibles d'archivage, et qu'ils complèteraient ainsi idéalement ceux d'EMC plutôt spécialisés sur la préparation des données à la source. La déduplication consiste à éliminer les données redondantes lors de leur archivage : au niveau de la source, ce qui réduit les besoins en bande passante, et au nieau de la cible, ce qui réduit les besoins en espace de stockage. Dans une lettre ouverte aux actionnaires de Data Domain, Joe Tucci dit regretter de ne pas avoir été consulté avant que le conseil d'administration approuve l'offre de NetApp, puisqu'il était de notoriété publique, écrit-il, qu'EMC s'intéressait à la société. Il fait également valoir que son offre est plus intéressante, dans la mesure où elle est est intégralement payable en cash, au contraire de celle de NetApp qui mixe cash et titres. Ni NetApp ni Data Domain n'ont voulu réagir pour l'instant à cette offre de Joe Tucci. (...)

(02/06/2009 10:26:53)

Un benchmarking pour évaluer la supply chain des industriels de la chimie

Les éditeurs Wam Systems et Ortems, spécialisés dans les solutions de planification de la chaîne logistique, proposent aux industriels de la chimie/pharmacie de réaliser gratuitement un benchmarking d'évaluation pour situer leur entreprise par rapport à d'autres groupes de leur secteur d'activité. Pour constituer les données de référence de ce benchmarking, Wam a évalué au cours des deux dernières années les pratiques de plus de 200 entreprises des industries de process (fabrication par recettes ou mélanges, par opposition à la production par assemblage, dite discrete). Les données recueillies portent sur quelque 150 processus métiers s'appliquant à la planification de la chaîne logistique. Elles concernent principalement les acteurs de la chimie spécialisée (34%), de la pétrochimie (16%), de la chimie lourde inorganique (10%) et des polymères (26%). Seuls 4% des groupes audités viennent de l'industrie pharmaceutique et 7% de l'agro-alimentaire. La participation à ce programme de benchmarking, proposé en Europe par l'intermédiaire d'Ortems, s'appuie sur un questionnaire. L'entreprise intéressée y répond par téléphone (pendant environ une heure) en dialoguant avec un expert de la chaîne logistique de Wam Systems. « Les réponses et l'identification de l'entreprise restent confidentiels », certifie Laïla Ladgham, directrice marketing et communication d'Ortems. Un rapport de vingt pages est ensuite envoyé à l'industriel participant ce qui lui permet de comparer en détail ses processus avec les pratiques des autres entreprises auditées. Un manque d'intégration avec l'ordonnancement tactique Le benchmark de Wams associe une note de maturité (de 1 à 5) aux différents processus métier examinés. Sur l'ensemble des 200 groupes déjà analysés, il apparaît d'abord, sans surprise, que ce sont les plus grandes entreprises qui ont investi le plus dans l'optimisation de leurs processus. Au total, 61% des entreprises n'ont engagé une planification industrielle et commerciale (S&OP) que sur les trois dernières années et 79% la réalisent encore à l'aide de tableurs. Dans 90% des cas, cette planification est surtout basée sur les volumes et ne comporte que peu d'analyse financière. 58% ont mis en place une S&OP transverse et active et la plupart l'utilisent pour piloter leur ordonnancement tactique. Enfin, il ressort que 50% des entreprises analysées sont très insatisfaites de plus de la moitié des capacités de leur outil industriel. Parmi les points d'insatisfaction, Wam Systems en a relevé plus particulièrement quatre : l'élaboration d'un plan mensuel exige trop de temps, les données sont souvent incohérentes par rapport aux ERP, il y a un manque de capacités de simulation et d'analyse financière et, enfin, il n'y a pas d'intégration avec l'ordonnancement tactique. Sur le terrain de la planification collaborative de la demande, Wam constate que les 2/3 des entreprises interrogées impliquent fortement leur force de vente dans l'élaboration des plans de la demande. Enfin, sur la définition des objectifs de stock, seules 40% des entreprises évaluées définissent et suivent leur politique de stock sur un mode analytique. « Ce premier benchmarking d'évaluation, très axé sur les industriels de la chimie, va se compléter prochainement par la mise en place de benchmarks davantage axés sur les industries de l'agro-alimentaire et de la métallurgie », indique Laïla Ladgham. Le Français Ortems et l'Américain Wam Systems ont récemment noué un partenariat pour proposer une solution globale de planification de la chaîne logistique allant de la prévision des ventes jusqu'à l'ordonnancement détaillé. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >