Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 10951 à 10960.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(03/06/2009 15:13:13)

Google, Apple et Yahoo soupçonnés d'entente illicite sur leurs politiques de recrutement

Des géants de l'IT soupçonnés d'entente illicite sur plusieurs de leurs recrutements. C'est ce qu'indiquent nos confrères du Washington Post, qui rapporte que le DoJ (Department of Justice, l'équivalent américain de la Chancellerie) se penche sur d'éventuelles irrégularités dans les méthodes d'embauches mises en place par plusieurs grands noms de la sphère IT, dont Google, Yahoo et Apple. Le DoJ cherche en particulier à savoir si ces géants ont, ou non, enfreint les dispositions antitrust en s'entendant sur les personnes recrutées. Selon les éléments à disposition du Washington Post, les entreprises concernées pourraient avoir passé des accords informels visant à ce que l'une n'embauche pas les dirigeants de l'autre. Une telle démarche, nonobstant toute clause de non-concurrence, pourrait être considérée comme contraire aux lois antitrust. L'enquête du DoJ s'inscrit dans le cadre du renforcement de la lutte contre les pratiques anticoncurrentielles voulu par l'administration Obama. Le mois dernier, Christine Varney, responsable de la division Antitrust du DoJ, indiquait que son ministère devait fournir des efforts particuliers de surveillance à destination des entreprises de l'IT et d'Internet. (...)

(03/06/2009 12:29:48)

Le marché de l'infogérance épargné par la crise, pas par la guerre des prix

Avec 5% de croissance en 2008 par rapport à 2007, le marché français de l'infogérance a atteint 6,6 milliards d'euros. En 2007, il se montait à 5,6 milliards d'euros, en croissance de 5,9%. Ce marché affiche donc une progression légèrement supérieure à celle du marché des logiciels et services. « Le marché français de l'infogérance s'inscrit toujours dans une dynamique, mais loin de ce qu'on a connu et cette dynamique est écrasée par l'effet prix », observe Elisabeth de Maulde, présidente de Pierre Audoin Consultants. Effectivement, la crise n'atteint pas directement le marché de l'infogérance. Il subit un impact déjà observé les années précédente, celui de la guerre des prix. Un impact sensible surtout dans l'infogérance d'infrastructures. Une autre tendance forte apparaît, qui durcit également le marché : le changement d'attitude des clients. Ils renouvellent les contrats mais le plus souvent avec le même prestataire. Ce qui a un effet positif en pérennisant ce prestataire, mais au moins deux conséquences plus négatives en durcissant les conditions tarifaires et en bloquant la concurrence. Le périmètre de l'infogérance s'élargit Les clients élargissent de plus en plus volontiers le périmètre d'infrastructures ou d'applications infogérées. En 2008, l'offshore d'infrastructures (avec les serveurs restant en France mais la téléadministration à l'étranger), ou bien le help desk à distance se sont développés. C'est du "business" en plus. Parallèlement, de plus en plus d'entreprises y compris dans le midmarket songent à infogérer. Toutefois, les contrats mettent de plus en plus de temps à être signés. Effets positifs et effets négatifs se mélangent donc en permanence sur ce marché. Les acteurs de l'infogérance sont logiquement peu affectés par les changements d'un marché très stable. A deux exceptions près. Le rachat de EDS par HP fait passer cet ensemble à la troisième place au détriment de Cap. IBM et Atos restent, dans cet ordre, aux deux premières places. Autre observation, Orange fait une percée grâce à son réseau, ses capacités d'hébergement et le poids du groupe France Télécom en France. (...)

(03/06/2009 12:21:54)

Windows Seven arrive le 22 octobre

Après un long silence de Microsoft, propice à moult rumeurs, l'éditeur lève enfin le voile sur la date de lancement du tant attendu Windows Seven. C'est le 22 octobre prochain, comme l'avait annoncé Acer le mois dernier, que sera commercialisé le système d'exploitation sur lequel compte le géant de Redmond pour refermer l'amer chapitre Vista. Microsoft manquera donc la période de rentrée des classes mais sera largement dans les temps pour inonder le marché de son nouvel OS pour les fêtes de fin d'année. En annonçant cette date, Microsoft rompt avec les cycles d'un nouvel OS tous les trois ans qu'il présentait pourtant comme immuable lorsque, au cours des derniers mois, lui était posée la question de la date de sortie de Seven. Entre Vista et Seven, il ne se sera finalement écoulé que deux ans et demi. Pour accompagner son nouvel OS, l'éditeur s'appuiera sur un programme de mises à jour offertes aux acquéreurs d'un PC vendu avec Vista dans les mois précédents la commercialisation de Seven. Baptisée 'Windows Upgrade Option', cette démarche n'est guère une surprise : Microsoft avait proposé une initiative similaire avant le lancement de Vista (Vista Express Upgrade), et des blogs bien informés avaient révélé, dès le début d'année, qu'un tel programme serait réintroduit pour Seven. Si l'éditeur n'a pas encore communiqué la date à partir de laquelle les consommateurs pourront trouver des machines ouvrant droit à cette mise à jour, cela devrait être rendu possible dès le 1er juillet. La gratuité de la mise à jour n'est cependant pas certaine. Elle dépendra en réalité des OEM qui pourront, comme ils en avaient le droit pour le passage de XP à Vista, en fixer le prix. Ces partenaires devraient, selon le blog consacré à Seven par Microsoft, recevoir des copies de l'OS dans le courant de l'été, la version RTM (Release to manufaturing) étant prévu après la mi-juillet. Reste une inconnue dans l'équation Seven : son prix. Microsoft n'a encore communiqué aucune information à ce sujet et seul Dell a contribué à alimenter cette thématique. Selon le constructeur texan, le prix moyen des licences sera plus élevé qu'il ne l'était pour Vista, ce qui pourrait obérer les ventes, ou à tout le moins retarder l'adoption du nouveau système d'exploitation. (...)

(03/06/2009 10:44:13)

SAP France met en place un programme de benchmarking

SAP France attend 3 000 personnes sur deux jours (2-3 juin) à la Porte de Versailles pour son World Tour 2009, organisé trois semaines après sa conférence utilisateurs mondiale d'Orlando. Pour les clients français, c'est l'occasion notamment d'en savoir plus sur l'offre décisionnelle SAP Business Objects Explorer Accelerated dévoilée par l'éditeur sur Sapphire. En ouverture de la conférence, Pascal Rialland, directeur général de SAP France, a annoncé l'arrivée d'un programme gratuit de benchmarking qui permettra aux entreprises françaises de comparer leurs processus métiers à ceux des autres clients SAP de même taille ou évoluant dans le même secteur d'activité. Ce programme passe en revue 28 processus-clé. Il a été lancé il y a un an aux Etats-Unis et 4 000 entreprises américaines y ont déjà contribué. « Nous travaillons à sa mise en place en France avec l'USF [club des utilisateurs de SAP francophones] », a précisé Pascal Rialland.

Entre démonstrations d'applications et témoignages clients, SAP a programmé quelque 150 présentations dans le Hall 1 de la Porte de Versailles. Celles-ci sont réparties entre sept espaces suivant que les thématiques abordées s'adressent aux directions informatiques, aux directions financières, aux acteurs de la banque/assurance, au secteur public et au monde de la santé, aux autres secteurs industriels ou aux PME. Le dernier espace est consacré aux plus récentes évolutions de l'offre SAP : la Business Suite 7 qui unifie l'ERP avec les autres applications -en particulier avec la gestion de la relation client (CRM) et la gestion de la relation fournisseur (SRM), l'offre de maintenance Enterprise Support qui prévaut désormais et la solution décisionnelle Explorer Accelerated. Cette dernière sera d'abord livrée pour les utilisateurs de l'entrepôt de données SAP BW. Elle sortira plus tard pour les applications non SAP. Le nouveau produit associe l'interface de recherche intuitive de BO, jusque-là connue sous le nom de Polestar, et le logiciel SAP Netweaver BW Accelerator, qui exploite la technologie d'analyse en mémoire TREX de SAP et s'appuie sur une partie matérielle pour parcourir et indexer les données de BW. Elle a été conçue pour avoir la capacité d'explorer plusieurs téraoctets de données et délivrer une réponse en moins d'une seconde. Pour la partie matérielle, livrée sous forme de serveurs lames, SAP s'appuie sur des partenaires (HP, IBM, Sun et Siemens). Avec l'interface d'Explorer, l'affichage de la réponse livre aussi d'autres informations associées aux éléments de la requête, qui peuvent fournir un éclairage complémentaire pour prendre une décision.

En dépit des importants remous générés depuis un an par l'augmentation du tarif de la maintenance, la session qui a été consacrée hier aux services apportés par Enterprise Support n'a guère attiré les participants du SAP World Tour. Dans la grande salle plénière, une trentaine de personnes seulement y ont assisté, tandis qu'au même moment, à la mi-journée, les espaces thématiques faisaient le plein : une soixantaine de personnes sur le village Direction financière, par exemple, où l'on expliquait comment réduire les cycles de clôture, et une cinquantaine sur le village Direction informatique, où l'exposé portait sur l'industrialisation des tests logiciels.

Les limites des critères de performance

Plus tôt dans la matinée, en ouverture de la conférence, SAP avait convié des orateurs plus inhabituels. Les analyses de l'économiste Daniel Cohen et du philosophe et ancien ministre de l'Education nationale Luc Ferry ont montré les limites des critères de performances imposés aux entreprises. Le premier a rappelé les risques de la sous-traitance à outrance. « Quand on externalise tout, on n'a plus aucun contrôle de ce qu'on met sur le marché », a-t-il notamment argumenté au fil de son exposé. « L'immatériel pur ne peut pas se substituer à la chaîne de valeur traditionnelle de l'entreprise. Le curseur va revenir, on va sans doute réinternaliser un certain nombre de risques pour s'assurer de la qualité de cette chaîne de valeur. » Quant à Luc Ferry, il a rappelé que nous avancions à toute vitesse mais sans savoir où ni pourquoi. Poussées par la concurrence, « il faut que les entreprises tournent, sinon elles tomberont. Mais cela ne constitue pas un projet. Le monde nous échappe de toute part, mais comment reprendre la main et à quel niveau ? », interroge le politique, en précisant que ce ne peut certainement pas être au seul niveau national.

En proposant à ses utilisateurs une vision élargie par rapport aux problématiques de gestion qui les ont attirés sur cette conférence, SAP rappelle aussi sa nouvelle ligne. Depuis quelques semaines, l'éditeur met l'accent sur ses solutions de développement durable appliquées à la gestion des risques sanitaires et de l'environnement, ainsi que sur son propre engagement dans cette voie. A l'occasion de Sapphire Orlando, il a publié son rapport de développement durable pour l'année 2008. Il vient également de racheter l'éditeur Clear Standards qui a développé une solution en ligne de calcul des émissions de gaz à effet de serre. (...)

(02/06/2009 18:10:40)

L'Etat français met un pied dans le capital de Gemalto

Le Fonds stratégique d'investissement (FSI) créé en automne dernier par Nicolas Sarkozy entre dans le capital de Gemalto, le fabricant de cartes à puces issu de la fusion entre Axalto et Gemplus. Détenu à 49% par l'Etat français et à 51% par la Caisse des Dépôts, le FSI a été créé dans le but de soutenir des sociétés hexagonales jugées « stratégiques ». Gemalto est la sixième entreprise à en bénéficier, après plusieurs équipementiers du secteur automobile et aéronautique. Le FSI a déclaré qu'une soixantaine de dossiers étaient en attente, crise économique oblige. Le FSI a investi 160 M€ dans Gemalto, soit 8% du capital, et réclame un siège au sein du conseil d'administration. Grâce à cette prise de participation, le Fonds devient actionnaire principal de Gemalto et devance TPG Capital et ses 6,5% (contre 14,5% auparavant). Cet investisseur américain a longtemps été soupçonné de vouloir détourner la technologie de biométrie mise au point par Gemplus, voire même de délocaliser la société. Les autorités françaises ont toujours suivi le dossier de près, inquiètes de leur voir filer entre les doigts une technologie qu'elles estiment précieuse. L'annonce du FSI est donc un soulagement pour Gemalto qui a dû affronter la grogne de ses salariés à plusieurs reprises. Ils manifestaient notamment contre la fermeture de certains sites. Plus récemment, le fabricant français a essuyé une autre défaite en voyant Wavecom, spécialiste des technologies sans fil, lui échapper au profit de Sierra Wireless. (...)

(02/06/2009 17:14:07)

Antitrust : Bruxelles pourrait imposer la présence de plusieurs navigateurs dans Windows

Firefox dans Windows dès l'installation du système d'exploitation : si, aujourd'hui, cette idée semble farfelue, elle pourrait devenir réalité dans quelques mois. La Commission européenne, qui étudie les remèdes à apporter à l'abus de position dominante dont profiterait Internet Explorer de son inclusion dans Windows, s'orienterait vers une solution risquant de déplaire fortement à l'éditeur de Redmond, rapportent nos confrères du Wall Street Journal. Plutôt que d'imposer à Microsoft de livrer Windows sans aucun navigateur Internet, comme cela a été évoqué pendant l'enquête ouverte à la suite d'une plainte déposée par Opera, l'exécutif européen aurait choisi de contraindre l'éditeur de permettre aux utilisateurs d'opter pour le browser qu'ils préfèrent. Le WSJ décrit ainsi un écran d'accueil que trouveront les consommateurs lors de la première utilisation de leur OS, à travers lequel ils pourront cocher le ou les navigateurs qu'ils souhaitent installer et définir celui qu'ils désirent utiliser par défaut. Cette solution, si elle est retenue, ne surprendra pas Microsoft. L'éditeur l'avait en effet évoquée en janvier dernier, dans un document qu'il avait remis à la SEC, le gendarme des bourses américaines. En optant pour ce remède à la position anticoncurrentielle d'IE, Bruxelles adresse également un signe aux éditeurs de navigateurs tiers : ces derniers ont multiplié les initiatives pour qu'une telle solution soit retenue, plutôt que la simple suppression d'IE de Windows. Si l'information du WSJ était avérée, elle entraînerait néanmoins son lot de mécontentements. Outre Microsoft, forcément chagrin de voir des produits concurrents s'immiscer dans Windows, les constructeurs de PC pourraient eux aussi pâtir de cette décision. C'est ce que clame CompTIA (Computing technology industry association), un groupement de plusieurs fabricants allié à Microsoft dans ce dossier. Selon l'association, l'obligation de proposer plusieurs navigateurs aux utilisateurs pourrait aboutir à un cauchemar pour les OEM, et plus particulièrement pour les plus petits d'entre eux qui n'ont pas forcément les ressources nécessaires pour mettre en place un tel mécanisme. CompTIA déplore également que la décision de l'UE prive les constructeurs du choix des logiciels installés sur leurs PC et les oblige à livrer des configurations équipées de centaines de programmes imposés. Et le groupement d'endosser sans scrupule la robe d'avocat de Microsoft en réclamant de la Commission européenne qu'elle abandonne les pistes évoquées par le WSJ et qu'elle reprenne son enquête en tenant compte de l'impact de ses décisions sur les OEM. (...)

(02/06/2009 16:24:17)

La SSII Phoceis investit 2% de son chiffre d'affaires dans le microcrédit

La SSII lilloise Phoceis, spécialisé dans l'intégration d'ERP et la création de site de e-commerce, a décidé d'investir 2% de son chiffre d'affaires (qui s'élève à 200 000 €) dans des projets de microcrédit. Phoceis passe par une plateforme en ligne, Kiva.org, qui sert d'intermédiaire entre les prêteurs et les associations sur le terrain. Kiva se charge également de contacter les porteurs de projets, d'établir un protocole de prêt et d'assurer le recouvrement, mais Phoceis reste libre de choisir les projets qu'elle souhaite soutenir. « La plupart des micro-entreprises que nous finançons sont situées en Afrique. Tous les projets ont pour vocation de développer l'économie locale, mais si nous pouvons participer à un projet informatique, nous n'hésitons pas à le sélectionner », explique Julien Saumande, fondateur et directeur de Phoceis. La SSII a par exemple participé à la création d'un cybercafé au Sénégal. La cinquième édition de la semaine du microcrédit se déroule justement dans toute la France en ce moment (du 2 au 6 juin). Organisée par l'Adie (association pour le droit à l'initiative économique, fondée par Maria Nowak en 1989), cette manifestation a pour vocation de faire connaître le principe du microcrédit auprès du grand public, notamment auprès des créateurs et développeurs d'entreprise n'ayant pas accès au crédit bancaire traditionnel (RMIstes, chômeurs, travailleurs indépendants, salariés précaires...). En 2008, l'Adie a permis le micro-financement de 12 824 projets pour un montant de près de 40 M€. L'association est soutenue par les pouvoirs publics, des banques ainsi que des entreprises, notamment dans le secteur IT, par Microsoft, Logica ou encore HP. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >