Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 11031 à 11040.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(25/05/2009 17:44:46)

Les conditions du prêt de main d'oeuvre débattues au Parlement

C'est ce soir, lundi 25 mai 2009, à 21 h 30, que va débuter la discussion en séance publique de la proposition de loi visant à faciliter le maintien et la création d'emploi. Un projet présenté par Jean-Frédéric Poisson, député UMP-FRS de la 10e circonscription des Yvelines. Ce texte, qui définit les conditions de prêt de main d'oeuvre entre deux entreprises, concerne au premier chef les salariés prêtés d'une SSII à une autre. Tel qu'il se présente, « le projet de loi n'apparaît pas inquiétant et il peut même avoir des effets bénéfiques en retour, estime Régis Granarolo, président du Munci, association professionnelle des informaticiens [et par ailleurs vice-président du syndicat Specis/UNSa]. La proposition vient en effet préciser le cadre du prêt de main d'oeuvre à but non lucratif qui pouvait être jusqu'à présent une source d'incertitude juridique, car la frontière entre 'but lucratif' et 'but non lucratif mais à titre onéreux' n'est pas bien définie. » Un flou qui transparaît notamment dans la jurisprudence qui découle des jugements rendus en cours de cassation. « Des garanties sur le principe du volontariat » Dans un premier temps, pourtant, l'association professionnelle avait regretté que ce projet soit examiné avant que ne s'achève le volet d'expérimentation prévu par la loi du 30 décembre 2006. « L'article 47 de cette loi prévoit l'expérimentation, jusqu'à fin 2010, du prêt de main d'oeuvre dans les pôles de compétitivité, rappelle Régis Granarolo. Il apportait un certain nombre de garanties aux salariés, en particulier sur le point du volontariat, et nous avions trouvé dommage de ne pas en attendre l'issue. » Mais, entre temps, plusieurs amendements au projet de loi de Jean-François Poisson ont été déposés, certains apportant les garanties attendues. « L'un de ces amendements [n°35], accepté par la Commission des affaires sociales, prévoit qu'une convention de mise à disposition du collaborateur doit être signée entre l'entreprise prêteuse, l'entreprise emprunteuse et le salarié, et qu'elle doit être complétée d'un avenant au contrat de travail, détaille le président du Munci. Mais, surtout, il est précisé que le salarié ne peut pas être sanctionné s'il refuse la mission qu'on lui propose. » Il est également question que des accords de branche étendus viennent définir les modalités du prêt de main d'oeuvre, sur le modèle de ce qui s'est fait dans la métallurgie. Un projet non dénué de risques [[page]] Régis Granarolo espère le maintien de ces dispositions, qui sous-tendent la nécessité d'accords de branche étendus et, surtout, l'affirmation du principe du volontariat. Deux points que l'association professionnelle d'informaticiens juge très importants et qu'elle avait déjà soulignés auprès de Thomas Chaudron, chargé de remettre au ministre du Travail un rapport présentant des pistes d'assouplissement sur les prêts de main d'oeuvre. « Ce rapport, qui va dans le sens de la clarification, comporte tout un paragraphe sur le secteur informatique, rappelle Régis Granarolo. Et ces éléments ont d'ailleurs été repris dans le rapport du projet de loi de Jean-François Poisson. » Une aide à la mobilité géographique... si celle-ci est souhaitée Sous réserve de l'ajout des « garde-fous » ajoutés dans les amendements et tout particulièrement du principe du volontariat, le président du Munci juge que la proposition qui va être discutée par les députés peut contribuer à sauvegarder l'emploi et les compétences dans les entreprises, notamment dans le secteur informatique. « Cela peut favoriser une mobilité géographique et professionnelle acceptée par le salarié. » Il reconnaît toutefois qu'il y a des risques de détournement des clauses de mobilité. « Si le prêt de main d'oeuvre n'est pas accepté, nous nous trouvons dans le cas typique des clauses de mobilité imposées si fréquemment à des salariés des SSII transférés d'une région à l'autre. » Il évoque aussi le cas de la sous-traitance en cascade, qui peut déboucher sur le phénomène de marchandisation des ressources humaines. (...)

(25/05/2009 16:57:07)

Des chercheurs australiens stockent 1,6 To sur un DVD

1,6 To de données sur un disque qui généralement peut en contenir 4,7 Go... Tel est le résultat étonnant auquel sont parvenus trois chercheurs de l'Université Swinburne, à Melbourne en Australie. Ils expliquent, dans la revue scientifique Nature, avoir eu l'idée d'utiliser plusieurs des techniques actuelles permettant de stocker davantage de données dans des galettes de 12 cm (la taille des cédéroms). Ces techniques ont permis de développer le DVD jusqu'à ce qu'il puisse contenir 17 Go (pour le double-face double-couche), ou le Blu-Ray (50 Go pour le double-couche). Les chercheurs australiens ont décidé d'intégrer ces techniques en une seule, dite d'enregistrement optique multiplexé, en l'associant à un matériau spécifique, nanoscopique : des « nanotiges » d'or renvoyant la lumière avec des propriétés différentes selon l'angle et la longueur d'onde du faisceau laser venant les frapper. Ce qui donne la possibilité d'enregistrer des données plusieurs fois dans le même espace, sans interférence. Les scientifiques disent avoir ainsi réussi à créer un espace à cinq dimensions leur permettant de stocker plus de 10 puissance 12 bits par centimètre cube. Les chercheurs avouent qu'il risque d'être délicat de trouver un matériau en quantité suffisante qui soit capable de supporter des vitesses raisonnables d'écriture sur de tels disques. Néanmoins, ils estiment que leur invention pourrait conduire à des produits commercialisables dans les 5 à 10 ans à venir. (...)

(25/05/2009 15:42:14)

Prelytis donne accès à ses outils de tableaux de bord en ligne

L'éditeur de solutions décisionnelles Prelytis décline en version SaaS son logiciel de constitution de tableaux de bord. L'offre permet de construire en quelques jours les indicateurs pertinents pour l'entreprise (marge brute, chiffre d'affaires par produits ou par régions, etc.). « L'une des grandes tendances de la BI [Business Intelligence] en ce moment, ce sont les projets courts, rappelle Alexandre Schneider, président et fondateur de Prelitys. Les entreprises n'ont plus le temps d'investir dans des projets trop structurants, mais sans verser pour autant dans le 'Quick and dirty'. Elles veulent du 'Quick and Pretty' ».

Créée en 2002 par trois fondateurs issus de différentes sociétés de services, l'offre de reporting de Prelitys a été d'emblée développée en mode Web en privilégiant la facilité de déploiement, y compris vers des terminaux mobiles comme le BlackBerry. La nouvelle offre SaaS « est avant tout une déclinaison commerciale de notre solution, précise Alexandre Schneider. Si au bout d'un an, le client veut revenir à une offre classique, il retrouve exactement le même produit. »

En version SaaS, deux modes de chargement sont proposés pour alimenter LiveDashboard en données. Celles-ci peuvent d'abord être périodiquement téléchargées au format Excel dans la base de données de Prelytis. Ensuite, si les mises à jour sont plus fréquentes, l'éditeur propose un accès sécurisé à sa base. « Nous ouvrons sur notre serveur sécurisé [un VPN] une porte pour l'adresse IP du client qui nous envoie ses données avec l'ETL de son choix, explique le patron de Prelytis. Ce peut-être, par exemple, l'ETL de Talend avec lequel nous travaillons souvent. »

Un ballon d'essai avec LiveDashBoard 4Team

L'an dernier, Prelytis avait tâté le terrain du SaaS en proposant avec LiveDashBoard 4Team une offre d'essai en ligne, restreinte à cinq utilisateurs, mais sans limite de temps, à utiliser en conjonction avec le tableur en ligne de Google (une offre allégée, sans Balanced ScoreCard, ni mécanismes d'alerte, notamment). « En un peu moins d'un an, nous avons dépassé le millier d'utilisateurs sur ce produit, indique le président de Prelitys. Nous estimions jusqu'alors que le marché n'était pas mûr pour l'utilisation de solutions de BI sous cette forme. » Mais le contexte a changé. Les entreprises sont à la recherche de solutions légères, collaboratives et rapides à mettre en place pour un suivi tactique des données. Il n'est qu'à voir, par exemple, le récent succès d'un Qliktech.

Pendant sa phase de lancement, LiveDashBoard SaaS est proposé au tarif de 29 euros par utilisateur et par mois, pour les 1 000 premiers utilisateurs (quel que soit le profil : administrateur ou utilisateur). L'abonnement mensuel passera ensuite à 59 euros. L'offre concerne toute taille d'entreprise, PME comprises. A noter que, dans sa version licence, Live Dashboard est notamment exploitée dans de grands comptes sur plusieurs milliers de postes (15 000 chez Cofinoga, par exemple). (...)

(25/05/2009 15:33:01)

Oracle refuse le support de ses logiciels à d'autres hyperviseurs x64 que les siens

Oracle durcit sa position vis-à-vis des hyperviseurs x86 concurrents des siens (Oracle VM, Sun xVM et, désormais, Virtual Iron qu'il vient de racheter). Après avoir entr'ouvert la porte au support de ses applications sur ces hyperviseurs (ESX, Hyper-V, XenServer...), l'éditeur a fait brutalement machine arrière. Selon le Burton Group, qui suit cette "affaire" pas à pas, Oracle a, le 8 mai dernier, précisé que le support qu'il apporte à ses logiciels sur des hyperviseurs tiers exclut désormais formellement ceux sur plateforme x86/x64. Par ailleurs, selon le New York Times, Virtual Iron qui a levé plus de 65 M$ depuis sa création a réalisé en 2008 un CA de 3,4 M$, en hausse de 128% par rapport à l'exercice précédent. Mais au prix de près de 18 M$ de charges d'exploitation. Son exercice s'est donc soldé sur une perte nette de 15,3 M$. Oracle n'a donc pas acheté Virtual Iron pour la qualité de ses résultats financiers mais, probablement, pour des raisons tactiques ou technologiques. Et sans doute à bas prix. (...)

(25/05/2009 12:21:10)

NetApp s'offre les appliances de déduplication de Data Domain pour 1,5 Md$

Le ralentissement économique n'a pas d'impact sur la croissance exponentielle des données à stocker. NetApp a donc choisi de bien se positionner sur ce marché en rachetant - pour la coquette somme de 1,5 Md$ - Data Domain, qui vend des serveurs spécialisés dans la déduplication. Placées entre les baies de stockage et les solutions d'archivage, les appliances de Data Domain opèrent le tri dans les données à archiver afin de ne retenir que des informations uniques, limitant ainsi l'explosion du volume de données à conserver. NetApp possédait sa propre technologie de déduplication, qui ne sera plus désormais vendue en tant que telle, mais sera intégrée dans des solutions de stockage. L'offre de Data Domain constituera une nouvelle ligne de produits à part entière du fabricant d'appliances de stockage. NetApp, qui a annoncé en février dernier la suppression de 500 postes sur environ 8 000, vient de terminer son année fiscale 2009 sur un chiffre d'affaires étal (+3%) à 3,4 Md$, et un bénéfice net de 87 M$, en recul de 72%. Data Domain compte de son côté un peu plus de 800 personnes, et un chiffre d'affaires annuel de 274 M$. L'acquisition, réalisée en cash et en titres, a été approuvée par le conseil d'administration de Data Domain, et devrait être finalisée d'ici quatre mois maximum, indique NetApp. (...)

(25/05/2009 11:58:11)

Une campagne publicitaire rappelle qu'il ne faut pas jeter les vieux appareils électroniques

Eco-Systèmes, organisme agréé pour la collecte des déchets d'équipements électriques et électroniques (DEEE), lance une nouvelle campagne de sensibilisation à l'attention des consommateurs du 27 mai au 24 juin prochains. L'édition organisée l'an dernier a porté ses fruits puisqu'entre 78 et 85% du public a répondu qu'elle lui donnait envie de rapporter ses produits en magasin. Inciter le public à rapporter en magasin leur matériel électronique et électronique ancien lorsqu'il en achète un nouveau, ou qu'on lui en offre un neuf, est l'objectif que se fixe Eco-Systèmes pour cette nouvelle campagne. D'après une enquête réalisée par Sociovision en 2008 pour les éco-organismes agréés DEEE, seuls 9% des Français déclarent rapporter leurs appareils usagés en magasin contre 44% qui affirment les déposer en déchetterie. Pourtant, 72% de nos compatriotes jugent "très utile" la reprise des appareils par les enseignes de la distribution pour les recycler (sondage FCD-OpinionWay, mars 2009). Pour aider à passer des déclarations à l'action, l'éco-organisme diffusera des spots en radio et affichera des affiches dans la presse quotidienne régionale et la presse magazine, tous sur le slogan "La nature n'a pas besoin de vos vieux appareils". Deux affiches seront consacrées à la fête des mères et des pères, périodes propices à offrir des produits électroniques ou électriques. (...)

(25/05/2009 11:35:59)

La sortie de l'Itanium quadricoeur reportée au premier trimestre 2010

Intel retarde encore la sortie du premier processeur Itanium quadricoeur. Le Tukwila ne verra pas le jour avant le premier trimestre de l'an prochain. Difficile d'avoir des explications "objectives" à cet énième retard. Intel met, bien sûr, en avant les améliorations qu'il ne cesse d'apporter à la puce. Il évoque des performances multipliées par deux, l'exploitation de la technologie mémoire DDR3 et la mise au point d'un socket qui favorisera la migration vers la génération suivante. Tous ces arguments sont les mêmes qu'au mois de février, lorsque six mois de retard avaient déjà été annoncés. Mais à la décharge d'Intel, les concurrents directs de l'Itanium quadricoeur progressent aussi à la vitesse d'un escargot. Ni IBM, avec son Power 6+ anémique, ni Sun, empêtré dans un flottement stratégique qui a entraîné le départ du patron de sa R&D processeur le mois dernier, ne peuvent profiter des lenteurs d'Intel. Mais l'enthousiasme des adeptes de l'Itanium s'étiole au fil des retards et des progrès des processeurs Xeon, Ainsi Unisys a clairement montré en février dernier qu'il se focalisait désormais sur ces derniers. Seul HP n'a d'autre choix que de continuer à dépendre de l'Itanium pour faire migrer ses bases installées qui tournent encore sur processeurs HP PA-Risc et Alpha. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >