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(29/04/2009 17:37:29)
Sun achève son parcours indépendant par un trimestre dans le rouge
Sun, en phase de rachat pour 7,4 Md$ par Oracle, achève son parcours indépendant sur un trimestre rouge carmin. Celui qui fut le champion des serveurs Unix à la belle époque de la "bulle Internet", creuse ses pertes à plus de 200 M$, dont 46 M$ de charges de restructurations, par rapport à une perte de 34 M$ un an auparavant. Le CA chute de 20%, tiré vers le bas par une baisse de 24% des ventes de produits (-24% à 1,5 Md$) tandis que les ventes de services baissent de 13% à 1 Md$. Les ventes en Europe (-24% à 849 M$) ont baissé davantage qu'aux Etats-Unis (-17% à 1,04 Md$). Ce sont les ventes de systèmes qui ont le plus diminué (-26% à 1,09 Md$). Sun a publié ses résultats sans faire de commentaires. Les dirigeants ne se sont pas pliés à l'exercice de la traditionnelle conférence téléphonique. Le Californien termine néanmoins le trimestre avec un cash flow de 178 M$ et près de 3 Md$ d'argent disponible. Cette cagnotte viendra automatiquement alléger la facture de plus de 7 Md$ qu'Oracle doit acquitter pour se l'offrir.
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Microsoft livre BizTalk 2009
Microsoft annonce la disponibilité pour le 1er mai de BizTalk Server 2009. L'éditeur insiste sur le fait que cette sixième version de son middleware est proposée au prix de la version précédente. Elle succède à la version 2006 R2 arrivée mi-septembre 2007. Amplement prédiffusée comme il est de coutume chez Microsoft, cette version du serveur de règles métier n'apporte que peu d'améliorations au niveau des fonctions internes. En revanche, elle le réaligne avec les autres logiciels de l'éditeur et engrange des connecteurs supplémentaires pour l'interfacer avec d'autres offres. Plusieurs de ces connecteurs sont destinés aux logiciels Oracle : E-Business Suite, Siebel et PeopleSoft. D'autres arrivent pour SAP et les dernières versions des logiciels DB2, CICS et IMS d'IBM. Biztalk est compatible avec les versions 2008 de Windows Server, de SQL Server et de Visual Studio dans sa mouture SP1. Il l'est aussi avec .NET Framework 3.5 SP1. Microsoft souligne également que cette version est prête à fonctionner sur Hyper-V, l'hyperviseur maison, dans autant d'instances que voulu. Biztalk sera livré en quatre versions : Enterprise, Standard, Branch, et Developer. (...)
(29/04/2009 16:49:15)SAP et ses utilisateurs trouvent un compromis sur les tarifs de maintenance
L'USF (club des Utilisateurs de SAP Francophones), le Sugen (le club des dirigeants de clubs d'utilisateurs de SAP dans le monde) et l'éditeur SAP ont communiqué ce 29 avril autour de l'accord « de compromis » entre l'éditeur et les structures représentant ses clients. Depuis pratiquement un an, l'éditeur doit en effet affronter le mécontentement de ses clients lié à l'augmentation du taux de rémunération de la maintenance (22% des licences acquises au lieu d'un choix entre un contrat à 17% et un autre à 22%) dans le cadre d'un nouveau contrat nommé Enterprise Support. Certes, le service lié à ce nouveau contrat est censé être plus élevé que dans les contrats précédents mais les clients ne voyaient pas l'utilité de cette évolution tout en constatant la croissance de la facture. L'accord « de compromis » qui vient d'être conclu entérine l'augmentation tarifaire mais celle-ci ne sera pas totalement effective avant 2015 (à la place de 2010) pour les clients actuels (les nouveaux clients sont automatiquement aux nouvelles conditions). Au lieu d'une augmentation tarifaire de 8% par an, celle-ci passe donc à 3,1%. Rappelons que, selon les dires de Jean Leroux, président de l'USF et DSI d'Aelia, la tendance globale est plutôt de demander des baisses de factures aux fournisseurs... SAP parvient donc à abuser de sa position pour imposer sa volonté à ses clients. En contrepartie, ceux-ci obtiennent, outre l'étalement de l'augmentation, des critères de qualité de service, les « indicateurs clés de performance (KPI) ». Si ces indicateurs ne sont pas bons, l'augmentation sera davantage étalée. Habituellement, avec des fournisseurs moins puissants, la logique est plutôt d'obtenir des ristournes lorsque la qualité n'est pas bonne et non pas une moindre augmentation. Ces KPI appartiennent à quatre catégories : continuité d'activité, amélioration des processus métier, protection de l'investissement et coût total de possession. « Nous sommes convaincus que SAP Enterprise Support offre une valeur inégalée à tous les clients [de SAP] et, comme démonstration de notre engagement, nous fournirons des réductions tangibles des coûts d'exploitation sur un calendrier défini », a déclaré Léo Apotheker, co-PDG de l'éditeur. Pour justifier l'augmentation obligatoire de la maintenance, SAP a en effet inclus dans le paquet « maintenance » une série de nouveaux services et produits annexes. La croissance du tarif est donc censée être compensée par une baisse du coût d'exploitation courant lié à ces nouveaux services qui permettent d'éviter des travaux réalisés actuellement soit en interne soit sous-traités auprès de SSII. Si tous les clients ne recouraient pas à de tels services, tous devront cependant accepter de les payer indirectement dans le cadre de l'Enterprise Support. (...)
(29/04/2009 16:40:09)Trimestriels SAP : baisse de 33% sur les ventes de logiciels, compensée par la maintenance
L'éditeur allemand SAP a réalisé des ventes mondiales de logiciels en retrait de 33% sur son premier trimestre 2009, à 418 M€, et un bénéfice net en baisse de 16%, à 204 M€, par rapport au premier trimestre 2008. En France, toutefois, les ventes de logiciels ont moins marqué le pas, reculant seulement de 18%. Malgré ce revers, prolongé par la baisse de son activité de services et conseil (-9% à 649 M€), le chiffre d'affaires mondial de l'éditeur d'ERP (progiciels de gestion intégrés) et de solutions décisionnelles ne recule que de 3%, à 2,397 Md€, sur le trimestre. SAP le doit aux revenus issus de sa maintenance logicielle (52% du total), naturellement alimentés par les contrats signés l'an dernier : ils ont progressé de 18%, à 1,25 Md€. A noter, dans ce domaine, qu'un accord a finalement été conclu entre l'éditeur et ses principaux clubs utilisateurs au sujet de l'augmentation de tarif de cette maintenance. La majoration du taux de support (qui passe de 17% à 22% du prix des licences achetées) ne sera plus échelonnée sur quatre ans, mais sur sept ans, jusqu'en 2015. Par ailleurs, elle sera associée à un système de critères permettant de mesurer la valeur qu'elle apporte effectivement aux clients. « Si les critères ne sont pas atteints, l'augmentation annuelle sera décalée », promet Pascal Rialland, DG de SAP France. 51 postes vont être supprimés en France L'éditeur allemand a engagé à la fin de l'année dernière un plan mondial de réduction de coûts. En janvier, il a indiqué vouloir supprimer 3 000 postes d'ici à la fin 2009 sur son effectif global de 51 500 personnes. Plus de la moitié de cet objectif est déjà atteint. A ce jour, 1 900 salariés ont déjà quitté l'entreprise, principalement aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. En France, la filiale supprime 51 postes (sur 1 600 salariés), notamment par le biais d'un plan de départs volontaires. « Dans une industrie comme la nôtre, l'attrition naturelle des effectifs est généralement de l'ordre de 10% et nos collaborateurs partent le plus souvent chez des partenaires intégrateurs ou bien chez des clients », tient à rappeler Pascal Rialland, PDG de SAP France. Sur le trimestre écoulé, SAP veut mettre surtout l'accent sur la préservation de sa marge opérationnelle. Celle-ci a certes subi l'impact de 160 M€ de charges de restructuration qui couvrent 2 200 suppressions de postes. Mais, note l'éditeur, elle recule de moins d'un point, à 13,9% du chiffre d'affaires, par rapport à celle de l'an dernier (qui était affectée par les investissements faits sur l'offre hébergée Business ByDesign). Sur l'année 2009, SAP maintient ses prévisions de marge opérationnelle située entre 24,5% et 25,5%. Le fournisseur souligne aussi qu'il dispose au 31 mars de 2,95 Md€ de liquidités qui lui permettent de réaliser des acquisitions s'il le souhaite. (...)
(29/04/2009 16:37:44)Hadopi : pour Attali, « le téléchargement gratuit n'est pas la piraterie »
Jacques Attali, qui avait déjà fait part de ses objections au projet de loi Création et Internet, se manifeste à nouveau sur son blog et se range clairement du côté des artistes et des partisans de la licence globale. Ce faisant, il prend à contre-pied le discours de la majorité présidentielle selon laquelle les opposants à la loi dite Hadopi agiraient contre les artistes. A mots à peine couverts, Jacques Attali fustige le modèle économique daté auquel s'accrochent les acteurs de l'industrie culturelle et le législateur et, plus généralement, leur frilosité face aux évolutions technologiques. « Les changements techniques n'ont jamais été et ne sont pas des ennemis des artistes : ils ont permis d'inventer de nouvelles façons de créer et [...] de faire connaître leurs oeuvres. A chaque fois, il fut dit par des experts que tout cela conduirait au désastre pour les artistes. A chaque fois, ils ont su en tirer le meilleur, pour créer autrement et se faire mieux connaître. » Pour faire avancer le débat, le fondateur de Planet Finance, suggère l'organisation d'une table ronde réunissant artistes, producteurs, consommateurs et fournisseurs d'accès, et livre dix pistes de réflexion. Il propose ainsi de partir du postulat que « la gratuité d'un service pour le consommateur n'entraîne pas nécessairement la non rémunération du producteur du service » et que « le téléchargement gratuit n'est pas la même chose que la piraterie ». En expliquant que l'art obéit à d'autres lois économiques que les échanges commerciaux traditionnels, il condamne les principes qui ont guidé les rédacteurs du projet de loi Création et Internet. Les tenants du texte, à commencer par le Président de la République, n'ont en effet cessé d'assimiler le téléchargement illégal à du vol à l'étalage et les internautes à des voleurs. Jacques Attali précise, du reste, que « ceux qui téléchargent ou écoutent le plus en streaming sont ceux qui, ensuite, achètent le plus de CD ou de DVD ». (...)
(29/04/2009 16:14:13)Les recrutements dans l'IT en baisse de 7% en 2009 selon le Pôle Emploi
Selon des estimations réalisées par le Pôle Emploi à la fin de l'année 2008 (mais présentées seulement maintenant), le secteur informatique devrait continuer à recruter en 2009. Le Pôle emploi - qui réunit désormais l'ANPE et les Assedic - table sur un peu plus de 36 700 recrutements, soit « seulement » 7% de moins que l'an dernier, alors que d'autres secteurs sont frappés beaucoup plus violemment par la crise. Ces embauches concerneront essentiellement les cadres et les ingénieurs. Du côté de la Dares (Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques du ministère de l'Emploi), impossible d'en savoir davantage puisque les deux derniers rapports ne mentionnent plus le nombre de demandeurs d'emploi par métier. On sait uniquement que la France compte désormais plus de 2 248 200 demandeurs d'emplois (+1,1%). Les derniers chiffres précis concernent le mois de janvier. Le chômage des informaticiens avait alors enregistré une hausse de 5% (21 821 personnes). La situation pourrait s'être aggravée depuis, vu les vagues de licenciements et les gels d'embauches auxquels on assiste depuis le début de l'année. Dernier coup dur pour les SSII, les négociations sur le chômage partiel entre le Syntec informatique et les syndicats ont échoué le 22 avril dernier, alors que le secteur en attendait beaucoup, notamment pour trouver une alternative à des licenciements massifs. (...)
(29/04/2009 12:34:39)Barack Obama choisit ses conseillers scientifiques chez Google et Microsoft
Barack Obama l'avait indiqué pendant la campagne présidentielle : l'accent serait mis, pendant son mandat, sur l'IT et, de façon plus générale, les sciences. Pour mener à bien ses desseins, le locataire de la Maison Blanche continue de constituer ses équipes. Il vient ainsi de nommer les membres du PCAST (President's council of advisors on science and technology), les conseillers présidentiels scientifiques et technologiques. Parmi les vingt membres de ce comité, Barack Obama a placé Eric Schmidt, le PDG de Google et fervent partisan du président lors de sa campagne électorale, et Craig Mundie, le patron de la recherche de Microsoft. Le président américain a également confirmé sa promesse de doper la recherche scientifique en affirmant, devant la National academy of sciences (NAS), son intention de porter les dépenses en R&D de son administration à 3% du PIB, contre 2,66% en 2007. Soit « l'engagement le plus important de l'histoire américaine pour la recherche scientifique et l'innovation », a expliqué le successeur de George W Bush. Barack Obama veut, par ailleurs, doubler le budget de trois institutions scientifiques au cours des dix prochaines années : la National science foundation, le Department of energy's office of science, et le National institute of standards and technology. « Nous n'allons pas seulement égaler [les dépenses] consenties [par les Etats-Unis] lors de la course à l'espace, nous allons les dépasser en mettant en place des politiques d'investissement en recherche fondamentale et appliquée, en créant de nouvelles incitations à l'innovation privée, en favorisant les avancées dans les domaines de l'énergie et de la médecine, et en améliorant l'enseignement des maths et des sciences », a détaillé le président. (...)
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