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(28/04/2009 17:50:03)

La DMTF se lance à son tour dans la standardisation du cloud computing

C'est au tour de l'association professionnelle DMTF de se lancer dans un projet de "standardisation" du cloud computing. La très officielle Distributed Management Task Force (DMTF), qui regroupe tous les grands acteurs traditionnels de l'industrie, se propose d'utiliser ses travaux sur le format OVF (Open Virtual Machine) comme brique de base pour élaborer, à terme, une standardisation des interfaces entre les différentes offres de cloud computing. La DMTF vient d'achever la formalisation du format OVF 1.0, un conteneur XML qui permet de déplacer les VM (machines virtuelles) d'un hyperviseur à un autre avec ses principaux attributs. Mais Amazon, dont l'offre AWS de cloud computing est considérée comme la plus élaborée, n'est pas membre de la DMTF. Pour l'instant, il n'est pas question que les travaux de la DMTF sur l'Open Cloud se fassent en concertation avec ceux de l'Open Cloud Manifesto ou, pour ne citer qu'un autre groupement, ceux de l'Open Cloud Consortium. (...)

(28/04/2009 17:46:27)

Oracle-Sun : l'IOUG espère des systèmes optimisés

C'est avec un grand enthousiasme que Ian Abramson, président du club des utilisateurs américains d'Oracle, a accueilli l'annonce du rachat de Sun par Oracle. Pour lui, c'est la promesse de solutions intégrées - donc optimisées - du serveur à l'application, en passant par le système d'exploitation, le middleware et la base de données. Autre gain tout de suite mis en évidence par Ian Abramson, Oracle se pose désormais en concurrent direct d'IBM - avec même des petits plus, puisqu'il gère désormais Java et propose aussi toute une gamme de progiciels métier. Retrouvez l'interview de Ian Abramson dans notre dossier : Oracle-Sun : naissance d'un contrepoids à IBM ? (...)

(28/04/2009 17:27:05)

Facebook ouvre encore plus son univers aux développeurs

Lundi, Facebook a ouvert un peu plus son code aux développeurs tiers. Sur le modèle de son concurrent du moment, Twitter, Facebook permettra à ses membres, via des applications tierces, de changer leur statut, mettre en ligne leurs photos, indiquer les événements auxquels ils assisteront, en bref actualiser leurs profils sans même passer par la page d'accueil de Facebook. Seesmic et Adobe sont parmi les premiers partenaires intéressés pour créer leurs propres flux d'actualité sur Facebook. Adobe a d'ailleurs lancé son application Facebook Desktop AIR permettant aux membres d'actualiser leur statut et consulter l'actualité de leurs amis directement à partir de leur poste de travail ou de leur téléphone portable, grâce à un widget. (...)

(28/04/2009 16:37:58)

Lingway propose des services de R&D dans le domaine sémantique

L'éditeur de moteurs de recherche Lingway ouvre le potentiel de son laboratoire de recherche et développement à des projets de R&D externalisés. Dans le cadre de Lingway Labs, qui regroupe les douze ingénieurs et chercheurs de son équipe de R&D, la société française propose de mener des actions de recherche particulières dans les domaines linguistique et sémantique. Les entreprises pourront bénéficier sur ces services du crédit impôt recherche, mesure fiscale qui prévoit le remboursement d'une partie des dépenses qu'elles ont engagées en R&D.

« Nous avons obtenu pour trois ans un agrément au titre du crédit impôt recherche auprès du ministère de l'Enseignement supérieur », confirme Bernard Normier, PDG de Lingway. L'idée, avec Lingway Labs, c'est de faire profiter nos clients de la forte expertise que nous avons développée sur nos technologies. Il peut s'agir de grands comptes qui ont déjà des équipes de R&D mais pas de compétences dans les technologies linguistiques, ou bien de start-up avec des besoins spécifiques dans des domaines où nous n'avons pas encore de produits standards à leur proposer. Par exemple pour adapter une application à un métier. »

Projet Sire, pour créer un observatoire du marché du travail européen


Outre ces services externalisés et la mission de R&D directement liée aux activités d'édition de Lingway, le laboratoire participe également à des projets collaboratifs dans le domaine du traitement des langues. Ces initiatives sont conduites à l'échelle nationale ou européenne, conjointement avec des universités, des laboratoires publics et privés et d'autres entreprises. Lingway Labs est notamment le chef de file du projet Sire (sémantique, Internet, recrutement et emploi), labellisé par le pôle de compétitivité Cap Digital et financé par la région Ile de France dans le cadre du programme européen Feder.

L'objectif de Sire est de s'appuyer sur les technologies sémantiques pour constituer un observatoire du marché du travail, à partir de l'analyse automatique des offres d'emploi sur Internet. Cet observatoire permettra aux étudiants européens d'identifier les secteurs qui recrutent. La première réunion d'information sur le projet Sire se tiendra le 4 juin prochain à la Bourse du commerce de Paris (1er) dans le cadre de la manifestation Futur en Seine, consacrée aux NTIC. (...)

(28/04/2009 15:56:13)

Minix, un OS Open Source stable désormais financé par l'UE

Pourquoi est-on habitué à ce que les télévisions ou les téléphones fonctionnent sans souci des années durant, et à ce qu'il faille régulièrement réinitialiser des ordinateurs ? C'est avec cette question en tête que le professeur Andy Tanenbaum, qui enseigne au département des sciences informatiques de la Vrije Universiteit d'Amsterdam, a démarré la version 3 de Minix et obtenu pour ce faire une subvention de l'Union européenne de 2,4 M€. Pour Andy Tanenbaum, tout vient de l'instabilité du système d'exploitation. Windows, bien sûr, mais Linux n'est pas épargné, de par sa conception identique : des dizaines de pilotes logiciels - soit des bouts de code écrits par des centaines de développeurs - pour les périphériques sont chargés au sein du noyau, ce qui ouvre la porte à toutes sortes de problèmes. « C'est l'équivalent électronique de la personne qui accepterait d'emporter la valise d'un parfait inconnu à bord d'un avion », écrit Andy Tanenbaum dans son projet de recherche, R3S3 (Research on really reliable and secure system software). Le scientifique pointe en outre la complexité due à la taille, en nombre de lignes de code, des systèmes d'exploitation actuels. Non seulement leur taille les rend impossibles à appréhender pour un programmeur, mais en outre, statistiquement, ils accumulent les bugs potentiels. Andy Tanenbaum cite des études d'après lesquelles les logiciels disponibles aujourd'hui présentent des taux de 1 à 20 bugs pour 1 000 lignes de code. Or, Windows XP compte environ 50 millions de lignes de code, Windows Vista 70 millions... Un micro-noyau de 5 000 lignes de code, beaucoup plus facile à déboguer Pour éliminer ces deux principaux problèmes, Andy Tanenbaum propose un OS reposant sur un micro-noyau, et exécutant des processus utilisateurs dans un mode sécurisé. Ainsi, ces processus pourraient redémarrer sans impacter la stabilité du système. Et la taille du micro-noyau rendrait la détection de bugs aisée. « Le micro-noyau [de Minix 3] fait environ 5 000 lignes de code, soit moins de 0,1% de la taille du noyau de Windows, ou moins de 0,2% de la taille du noyau de Linux. Statistiquement, cela signifie que le noyau comporte entre 5 et 100 bugs, qui peuvent être détectés. Et puis 5 000 lignes de code, c'est un listing de 100 pages, quelque chose qu'un développeur peut lire et comprendre en l'espace d'une semaine. » Minix est loin d'être nouveau dans le domaine des systèmes d'exploitation. L'OS a même été au coeur d'une controverse sur le fait que Linux aurait embarqué du code Minix (Linus Torvalds et Andy Tanenbaum ont depuis expliqué qu'il n'en était rien). La version 3 date même de 2005. Mais alors que ce système Unix proposé sous licence BSD avait surtout jusqu'à présent vocation à être un objet pédagogique, il est devenu en novembre dernier un projet de recherche financé par l'Union européenne. Le département des sciences informatiques de la Vrije Universiteit se réunissait aujourd'hui pour célébrer le lancement officiel du projet, d'une durée de 5 ans. En parallèle, Andy Tanenbaum a aussi obtenu que des étudiants de son équipe obtiennent un financement de la part de Google, dans le cadre du Google Summer of Code. A terme, les concepteurs de Minix 3 aimeraient le voir s'imposer dans les PC à bas prix, et dans tout système électronique dont on attend qu'ils ne tombent jamais en panne. « Le travail sera fini, explique Andy Tanenbaum, quand l'utilisateur moyen n'aura jamais connu aucun plantage dans sa vie, et que les boutons 'reset' des ordinateurs seront tombés dans les oubliettes de l'histoire, comme les disquettes souples 5 pouces un quart. » (...)

(28/04/2009 15:00:39)

Hadopi : la majorité présidentielle revient avec un texte plus sévère

« On en a pris une, vous allez en recevoir deux ! » La formule, du député UMP Christian Vanneste, moque l'attitude du groupe majoritaire à l'Assemblée sur le dossier Hadopi. Fâché d'avoir essuyé l'affront du 9 avril - les députés avaient alors rejeté le texte de compromis élaboré par la commission mixte paritaire - le parti présidentiel revient à la charge et n'entend pas faire dans la demi-mesure. Réunis hier, les membres de la commission des lois se sont ainsi à nouveau penchés sur le projet de loi. Un réexamen qui prend pour point de départ le texte tel qu'il avait été adopté avant son passage devant la commission mixte paritaire (CMP). Cette séance a donné le ton de ce que devraient être les débats en deuxième lecture : la ligne suivie sera dure. « Le groupe UMP a décidé d'utiliser la situation politique pour faire passer le texte. On a transformé un débat intéressant en épreuve de force », résume Christian Vanneste. De fait, les amendements retenus par la commission des lois montrent que la majorité présidentielle n'a retenu du coup de théâtre du 9 avril que le coup politique des socialistes et pas l'opposition de nombreux députés aux mesures portées par le texte. La double peine réintroduite, l'amnistie oubliée Après que Nicolas Sarkozy eut vigoureusement sermonné ceux qu'il juge comme responsables de la débâcle - le secrétaire d'Etat chargé des relations avec le Parlement, Roger Karoutchi, et le président du groupe UMP à l'Assemblée, Jean-François Copé - ce dernier s'est empressé de sonner le tocsin pour rassembler ses troupes. Dans une missive adressée aux édiles UMP, il indique que « ce n'est désormais plus la teneur de ce texte qui est en cause. Ce qui importe c'est le problème politique créé par son rejet surprise et par le comportement absurde de l'opposition. » Disciplinés, les élus de la majorité ont entendu le message : « Tous les membres de la commission des lois étaient présents hier, rapporte Christian Vanneste. Y compris ceux qui ne connaissent rien au texte et qui ne s'y étaient jamais intéressés. » L'auguste aréopage s'est employé à réintroduire l'une des mesures les plus contestées du projet de loi, que les députés avaient abandonnée avant qu'elle ne soit réinscrite à la hussarde par la CMP : la double peine. Un internaute sanctionné par l'Hadopi pour des faits supposés de téléchargement illégal risque ainsi, non seulement de voir son abonnement à Internet suspendu, mais encore de devoir continuer à verser le prix de ce service interrompu à son fournisseur d'accès. Dans la même veine répressive, les députés ont rejeté l'idée d'amnistier les internautes susceptibles d'être condamnés en attendant l'application de la loi en gestation. La mesure aurait pourtant été empreinte de bon sens puisqu'elle mettrait un terme à une responsabilité pénale disproportionnée avec la faute commise : aujourd'hui, selon les termes de la loi Dadvsi, un internaute téléchargeur risque trois ans d'emprisonnement et 300 000 € d'amende. Selon nos informations, la commission des lois a néanmoins eu le bon goût de repousser un amendement soumis par Franck Riester, le rapporteur du projet de loi. Il prévoyait de mettre en place un système de surveillance des pièces jointes aux communications électroniques - typiquement, des courriels - au motif que les atteintes aux droits d'auteur peuvent être commises par cette voie. Heureusement pour les détracteurs de la loi Création et Internet, les amendements retenus par la commission des lois devront être discutés lors des séances prévues entre le 29 avril et le 14 mai. Le texte ira ensuite au Sénat avant de revenir, si besoin, à l'Assemblée à laquelle reviendra le dernier mot. (...)

(28/04/2009 12:34:55)

Laval Virtual 2009 : l'environnement au coeur des projets de réalité virtuelle (vidéo)

LeMondeInformatique.fr a promené sa caméra dans les allées animées de Laval Virtual 2009. Les 11e rencontres internationales de la réalité virtuelle se sont tenues entre le 22 et le 26 avril en Mayenne. Cette manifestation présente une particularité : outre les fournisseurs de technologies, elle convie aussi des étudiants du monde entier à présenter leurs projets. Résultat, dans les allées, non loin du robot Nexi venu tout droit du Massachussetts Institute of Technology (MIT), se côtoient des inventions toutes plus étonnantes les uns que les autres. Une thématique revenait très régulièrement sur les stands des futurs ingénieurs : la protection de la nature et de l'environnement. Certains se sont ainsi glissés dans la peau des abeilles pour mieux comprendre l'impact des activités agricoles sur le comportement de ces insectes. D'autres ont mis au point une incroyable console de jeu géante avec des objets récupérés, afin de débarrasser l'espace de ses déchets. Balade au coeur d'une réalité virtuelle très accessible. Notre reportage vidéo sur les projets grand public de Laval Virtual (...)

(28/04/2009 11:37:15)

Le gouvernement relance le RGI en mode allégé

Sur le site web officiel consacré à la modernisation de l'Etat, un article récent revient mettre le RGI (Référentiel Général d'Interopérabilité) à l'honneur. La sortie de cet ensemble de documents reste annoncée pour le second semestre 2009 là où les hypothèses précédentes le plaçait « pour l'été au mieux ». Les choses semblent donc se stabiliser. Le RGI vise à établir des règles tant techniques que procédurales dans la conception et la réalisation des SI d'Etat. En France, non seulement les marchés publics d'Etat informatiques sont très importants mais ces règles ne pourront qu'inspirer également les collectivités locales et le secteur privé. Ce référentiel sera donc extrêmement important pour tous les fournisseurs informatiques. Une version presque finalisée avait été publiée il y a près de deux ans qui donnait une large place aux formats ouverts normalisés (PDF/A, OpenDocument...), ouverture et normalisation étant des gages de pérennité et d'interopérabilité entre systèmes fournis par des éditeurs ou des concepteurs différents. Mais cet attachement à la concurrence n'avait guère plu à certains fournisseurs, parmi lesquels surtout Microsoft. Un intense lobbying avait alors abouti au gel du RGI. L'éditeur de Redmond, à l'époque, était en effet empêtré dans la normalisation de son propre format Office OpenXML. Finalement, l'adoption très controversée par l'ISO d'une norme Office OpenXML très différente du format d'origine, dont l'implémentation est prévue pour la prochaine version de Microsoft Office, et le support d'OpenDocument dans cette suite bureautique lèvent l'hypothèque de l'exclusion de Microsoft de tous les marchés publics... En termes choisis, l'article récent du site officiel consacré à la modernisation de l'Etat admet le lobbying important des fournisseurs, notamment par des formules comme « les acteurs du marché ont poursuivi leurs efforts de standardisation sur les formats d'échanges » pour expliquer que le RGI ait été bloqué dans un premier temps. Au final, « fin 2008, à la demande d'Eric Woerth [ministre du budget], la DGME [Direction Générale de la Modernisation de l'Etat] [a] relancé le projet de RGI sur de nouvelles bases. » Les bases ne satisfaisant pas les grands fournisseurs mais saluées comme servant la pérennité des SI d'Etat ont donc été abandonnées... Vers un RGI très peu contraignant L'article récent du site officiel consacré à la modernisation de l'Etat marque une inflexion par rapport à la version d'origine du RGI. Il mentionne ainsi : « Le RGI fixera un nombre limité de règles que les systèmes d'information devront respecter pour échanger avec l'extérieur. (...) Le RGI présentera aussi des recommandations et des standards en observation. Ces éléments sont là pour aider les responsables des systèmes d'information de l'administration à améliorer l'interopérabilité de leurs systèmes. Les moyens pour y parvenir seront à la discrétion des responsables, qui décideront librement en fonction de leurs propres enjeux, de leurs plannings et du rapport entre le coût de mise en oeuvre et les bénéfices attendus. » Le caractère obligatoire des normes ouvertes sera donc sans doute nettement moins impératif que dans la première version du RGI. (...)

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