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(31/03/2009 17:51:35)
BlueKiwi lance une version PME de son logiciel de réseaux sociaux professionnels
Déjà exploitée par une trentaine de grandes entreprises, la plateforme de réseaux sociaux professionnels de l'éditeur français blueKiwi Software bénéficie maintenant d'une tarification adaptée aux PME. Dans cette déclinaison, baptisée blueKiwi Pro Edition et réservée aux entreprises de moins de 500 personnes, le logiciel est exclusivement proposé en ligne, en mode SaaS (software as a service). L'outil permet aux utilisateurs de créer des groupes thématiques au sein desquels les collaborateurs inscrits et des intervenants extérieurs invités (partenaires, clients...) pourront s'échanger des informations. Pour constituer ces groupes, les utilisateurs ont à leur disposition tous les outils du Web 2.0 : blogs, wikis, forums, mots-clés, tags, flux RSS... Un moteur d'indexation et de recherche et un annuaire de profils facilitent l'identification des savoirs et des expertises. Un nombre d'invités illimités « Dans les PME, un des usages innovants du réseau social, c'est qu'il s'ouvre davantage aux partenaires que dans les grands groupes », souligne Arnaud Poujardieu, DG France de blueKiwi Software, en rappelant que la valeur du réseau est proportionnelle à sa fréquentation. Or, l'un des intérêts de l'offre pour PME est de proposer un nombre d'invités illimités, sans surcoût. Il est possible de construire des réseaux en conviant plusieurs centaines de personnes dans les groupes qui ont été créés. La tarification de blueKiwi Pro Edition s'établit suivant quatre formules packagées qui peuvent se combiner entre elles en fonction du nombre d'utilisateurs dans la PME, ce qui permet d'ajuster au mieux le coût d'abonnement au service. Pour dix utilisateurs dans l'entreprise pouvant créer et gérer des groupes, mais avec un nombre illimité d'invités à ces groupes, le tarif de la formule Basic démarre à 2 290 euros par an. Elle permet de créer 10 groupes et de stocker 5 Go de données (avec 50 Go de données échangées par an). Une version 2009 ouverte aux widgets Dans sa version 2009 mise à disposition en début d'année, la plateforme bluekiwi s'est ouverte aux widgets. Ces derniers permettent d'alimenter les groupes avec des flux d'informations puisés dans blueKiwi, dans le système d'information de l'entreprise ou récupérés sur Internet. L'éditeur a travaillé sur la facilité d'utilisation de son logiciel et ajouté une fonction permettant de mesurer le taux de fréquentation de la plateforme. « L'outil mesure le nombre de personnes actives, le nombre de billets et de commentaires sur une période donnée », explique Arnaud Poujardieu. Un outil qui a notamment permis de constater que la version 2009 avait fait progresser l'utilisation du logiciel chez les clients existants. En trois semaines, depuis le lancement de l'offre blueKiwi Pro Edition, huit PME de différentes tailles (10, 50, 100 personnes) ont déjà pris pied sur la plateforme. Parmi elles, le cabinet de recrutement Altaïde (10 personnes), spécialisé sur les start-up et les profils Web 2.0, en fait une utilisation originale. Ses groupes de collaboration sont ouverts à ses clients, chacun bénéficiant d'un espace protégé pour le suivi de ses dossiers. [mise à jour] Par ailleurs, sur le salon Web 2.0 Expo (San Francisco, 31 mars/3 avril), BlueKiwi vient de présenter une interface pour accéder à la plateforme de collaboration depuis un terminal mobile (Blackberry, iPhone ou smartphone sous Windows mobile). L'éditeur a également annoncé un kit de développement de widgets. (...)
(31/03/2009 16:30:54)Western Digital achète SiliconSystems pour ses SSD
Western Digital, numéro deux mondial des disques durs, achète SiliconSystems 65 M$, un spécialiste des SSD (Solid state disk). Cette acquisition marque l'entrée tardive de Western Digital (WD) sur un secteur en très forte croissance. Fondé en 2002, SiliconSystems fournit en SSD des clients sur des marchés verticaux et pour des solutions embarquées. Western Digital revendique au nom de SiliconSystems un tiers du marché des SSD en 2008, mais cette société ne compte aucun grand de l'informatique parmi ses clients. Ces derniers (EMC, HDS, Sun, HP et IBM) se fournissent en disques SSD pour les systèmes de stockage d'entreprise chez STEC, qui a annoncé un CA 2008 de 227 M$. SiliconSystems commercialise des disques SSD au format 2,5 et 1,8 pouces avec des interfaces Sata, EIDE, PC Card, USB et CF. On notera l'absence d'interface SAS et Fibre Channel. SiliconSystems a développé LifeEST et SiSMART, deux outils qui permettent de mesurer la longévité de ses SSD. (...)
(31/03/2009 16:09:21)Fujitsu veut doubler ses ventes de serveurs x86
Sur le marché des serveurs x86, Fujitsu ambitionne de faire deux fois mieux seul qu'associé avec Siemens. En novembre, le Japonais avait annoncé reprendre pour 450 M€ les 50% de Siemens dans leur co-entreprise Fujitsu Siemens Computers, fondée il y a 10 ans. La transaction donne naissance à partir de demain à Fujitsu Technology Solutions (FTS). Crédité d'une part d'environ 4% du marché mondial des serveurs x86 avec 270 000 unités, FTS compte doubler ses ventes en deux ans pour atteindre 500 000 unités, soit 7% de part de marché en 2010. L'objectif est d'atteindre 10% à plus long terme. FTS dispose d'une part du marché des serveurs x86 de 14% au Japon, où il a réalisé 50% de ses 6,6 Md€ de chiffre d'affaires pour l'exercice clos en avril 2008. A terme, il y vise 30% et la première place d'où il compte déloger NEC. En attendant, ce dernier est loin derrière les trois premiers acteurs du marché au niveau mondial. HP, Dell et IBM s'accaparant à eux trois près de 80% des ventes de serveurs x86. Pour réussir son pari, FTS table sur une réorganisation censée réduire ses coûts, et sur les synergies qui seront mises en place avec les autres ressources informatiques du groupe Fujitsu. Ce dernier est toujours actif sur le marché des grands systèmes. Il entretient aussi un partenariat très actif avec Sun sur les serveurs Sparc et dispose d'une offre de stockage. En Europe, FTS dément tout projet de licenciement et affirme qu'il restera sur le marché PC, mais en se concentrant sur le haut de gamme. La marque Fujitsu Siemens sera abandonnée pour celle de Fujitsu. FTS a annoncé que la R&D sur les serveurs lames se fera en Allemagne et que le site d'Augsburg sera, avec celui de Fukushima au Japon, une des deux seules usines de production de serveurs x86. (...)
(31/03/2009 15:24:09)L'encyclopédie Encarta mourra à l'automne
Encarta a vécu. L'encyclopédie de Microsoft cessera d'exister après le mois de juin, pour les versions destinées aux postes clients, et après le mois d'octobre, pour la déclinaison en ligne. Lancée en 1993, Encarta comptait quelque 36 500 articles mais semblait, selon Microsoft, ne plus correspondre aux canons de la connaissance du 21e siècle. « Nous ne recherchons plus aujourd'hui l'information dont nous avons besoin comme nous le faisions il y a seulement quelques années, souligne l'éditeur. L'un de nos objectifs est d'offrir à l'utilisateur d'aujourd'hui les ressources les plus efficaces et les plus pertinentes, et c'est pour cette raison que nous avons décidé de ne pas poursuivre le développement de la gamme Encarta. » L'ombre de Wikipedia se dessine clairement derrière les termes du communiqué du géant de Redmond. Avec ses 2,8 millions d'articles sur sa version anglaise (784 000 en français), l'encyclopédie libre est devenue, de fait, une référence sur le Web. Et même en dépit de quelques polémiques sur la pertinence du contenu publié, Wikipedia monopolise 97% des recherches encyclopédiques sur le Web, selon les chiffres publiés en janvier par Hitwise. Si Encarta se hisse à la deuxième position de ce classement, l'outil de Microsoft fait pâle figure avec seulement 1,27% de parts de marché. Après le 31 octobre prochain, il ne restera rien d'Encarta (sinon la version japonaise, qui vivra deux mois de plus). Les abonnés à l'offre Premium seront remboursés au prorata des mois restants. (...)
(31/03/2009 13:05:05)Documation 2009 : des projets pour la fin de l'année et de l'intérêt pour le Web 2.0
Les solutions de dématérialisation et de gestion de contenus d'entreprise (ECM) ont attiré 8% de visiteurs de plus que l'an dernier sur la 15e édition du salon Documation ( 25 et 26 mars, au Cnit de la Défense). Sur les deux jours, 5 585 personnes ont arpenté les allées, selon les organisateurs de la manifestation avec, qui plus est, des projets. « Les exposants ont été très surpris de la fréquentation, affirme Mélanie Huido, responsable commerciale du salon pour Reed Expositions. Le premier jour, les stands n'ont pas désempli, avec des visiteurs informés, conscients de leur problématique, ayant plutôt des projets pour la fin de l'année, et ayant déjà avancé sur le cahier des charges. » Sur les 112 exposants, on retrouvait les principaux acteurs présents l'an dernier, fournisseurs de solutions d'ECM, d'archivage, de collaboration, de moteurs de recherche, de périphériques et de services de numérisation et d'impression : Arisem, Bureau Van Dijk, CDC Arkhineo, Docubase, EMC, Ever Team, Euriware, Exalead, IBM, Jouve, Klee Group, Knowings, Locarchives, Oracle, Pertimm (choisi comme moteur de recherche pour le projet DoXa du pôle de compétitivité Cap Digital), ou encore PTC avec son offre ArborText, Sinequa, notamment. Parmi les acteurs de l'Open Source, on peut citer Nuxeo, Smile et Alfresco (représenté par ses partenaires). Cette édition de Documation comptait aussi 33 nouveaux venus parmi lesquels Digimind, éditeur de logiciels de veille stratégique, et Keynectis, spécialisé dans la sécurisation des échanges électroniques. Le Web 2.0 et ses applications font salle comble Parmi les nouveautés annoncées sur le salon, Open Text a notamment présenté deux modules pour le portail de Microsoft, permettant de gérer le cycle de vie des contenus sensibles (Open Text Storage Services pour SharePoint et Content Lifecycle Management Services pour SharePoint), ainsi qu'une application de dématérialisation des factures tirant parti de son rachat de la technologie OCR de Captaris, l'an dernier. De son côté, l'éditeur Mindjet présentait la version 8 de MindManager, logiciel de gestion et de visualisation de l'information, et Mindjet Connect, solution de travail collaboratif en mode SaaS (software as a service). Jalios a ajouté à son portail des espaces pour apporter à l'entreprise les outils du Web 2.0. Dans un autre domaine, VideoForever proposait une solution clé en main de gestion des archives vidéo et photo, la Box VideoForever, destinée à gérer le patrimoine audio-visuel des entreprises et collectivités locales. A noter, aussi, la présence sur le salon du groupe Fedaso, prestataire de services en traitement de document, intervenant dans l'externalisation des processus métiers (BPO) en nearshore (le groupe est installé à Paris, Bruxelles et Fès). Dans le domaine du BPO et des services, signalons aussi l'offre d'Athic. 2 750 auditeurs ont assisté aux conférences, réparties entre une soixantaine d'ateliers d'exposants et quatre événements associés animés par Microsoft, IBM, Sefas et Digimind. Les outils du Web 2.0 ont particulièrement suscité l'intérêt, faisant salle comble, avec 180 personnes pour la conférence de Microsoft consacrée à l'offre de collaboration SharePoint et aux réseaux sociaux mis au service de l'entreprise. Sensiblement autant d'auditeurs ont suivi la conférence sur la veille collaborative et mobile. Respectivement ciblées sur la gestion de contenus d'entreprise (ECM) et sur la chaîne de production du document, les présentations d'IBM et de Sefas ont réunit 134 et 100 personnes. Cryptolog, Archimed et Evodia reçoivent un Demat Awards [[page]] Cette année, Documation a inauguré une remise de trophées autour de solutions de dématérialisation, avec un jury présidé par Jean-Marc Rietsch, président de FedISA, la fédération de l'ILM, du stockage et de l'archivage. Le concours des Demat Awards 2009 s'ouvrait à l'ensemble des acteurs du secteur et le premier prix a ainsi été attribué à un éditeur qui n'exposait pas sur le salon, Cryptolog. Ce dernier a mis au point une solution de signature électronique de contrat qui s'opère à la fois en agence et sur Internet. Le 2e prix est revenu à l'éditeur Archimed et son portail d'archivage Noesys, notamment mis en oeuvre dans le cadre du système de gestion des ressources humaines Rh@psodie de la Marine Nationale. Enfin, le 3e Demat Awards a été remis à Evodia, éditeur du logiciel de saisie de données techniques Script&Go permettant de dessiner des schémas et des plans à main levée sur un Tablet PC. Parmi les nominés figuraient également Logica et son portail de dématérialisation des subventions, ainsi que MT Software, éditeur du logiciel MPI, « parapheur » de documents dématérialisés permettant une signature à distance, sur smartphone ou PDA, suivant des circuits de décision. (...)
(31/03/2009 11:30:03)Sun poursuit son plan de restructuration : 1 500 nouvelles suppressions de postes
1 500. C'est le nombre de postes que Sun Microsystems supprime cette semaine, en application d'un plan de restructuration annoncé il y a quelques mois. Parmi les emplois concernés figure une partie des équipes en relation avec la clientèle, dont celles en charge de la vente directe. Les licenciements devraient donc contribuer à rendre Sun davantage dépendant de son réseau de distributeurs pour écouler ses produits. Selon le cabinet d'analyse financière Wedge Partners, de 25% à 50% des effectifs en contact avec la clientèle pourraient faire les frais de cette restructuration. Une fourchette bien trop élevée, rétorque Sun, qui ne fournit cependant pas de taux officiel. En novembre 2008, Sun avait annoncé la préparation d'un plan de réorganisation censé aboutir à la suppression de 15% à 18% des effectifs totaux, soit environ 6 000 postes. En privant ainsi ces salariés de leur emploi, le fournisseur espère économiser entre 700 M$ et 800 M$ par an. En janvier dernier, une première vague de 1 300 départs était annoncée en application du plan, un 'effort' qui se poursuit donc cette semaine. Dans cette épreuve, Sun se veut généreux en affirmant que les suppressions de postes concernent tous les niveaux de hiérarchie, dont les vice-présidents et les directeurs. Parallèlement, Sun reste en contact officieux avec IBM, qui pourrait, selon les nombreux bruits de couloirs entourant ce dossier, débourser 6,5 Md$ pour se payer le fournisseur. (...)
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