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(06/01/2009 16:25:24)
MAM part en guerre contre l'escroquerie sur le Web
Michèle Alliot-Marie, la ministre de l'Intérieur, tient à protéger ses concitoyens contre les escrocs. Elle vient ainsi de lancer une vaste campagne d'information visant à prévenir les escroqueries, une large part étant consacrée à celles réalisées sur le Web. Au cours d'une conférence de presse, la ministre a souligné que si la délinquance de proximité « a diminué dans de fortes proportions », les escroqueries « notamment sur Internet » sont en forte progression. Pour endiguer ces filouteries, la Place Beauvau a édité une plaquette compilant quelques conseils de prudence élémentaire (« je ne confie pas d'argent à un inconnu », « je ne réponds jamais à un courriel qui me demande de transmettre mes coordonnées bancaires », « l'appât du gain ne doit pas me détourner du bon sens », etc.). Le plan du ministère de l'Intérieur inclut également la mise en place d'une plateforme de signalement accessible par téléphone (0 811 02 02 17) ou sur Internet. Nous avions publié, en novembre 2008, un article présentant le site Web chargé de recevoir les signalements d'escroqueries par les internautes. (...)
(06/01/2009 16:06:25)Pour la Cnil, la RATP aime un peu trop les données personnelles
A quelques jours de l'arrêt définitif de la vente du coupon magnétique Carte Orange, la Cnil a procédé à une opération de test auprès de la RATP pour vérifier les possibilités de voyager anonymement. Et la Commission nationale de l'Informatique et des Libertés « constate que plusieurs incertitudes demeurent quant au respect, par la RATP, du droit de tous les usagers à la protection de leur vie privée et de leurs données personnelles ». Le « forfait mois » de la Carte Orange cessera d'exister le 20 janvier, et le « forfait semaine » le 30 janvier. Les usagers devront, s'ils souhaitent souscrire un abonnement, se tourner vers l'offre Navigo ou l'offre Navigo Découverte. Cette dernière, qui existe depuis septembre 2007, a été proposée par la RATP suite à un premier avis de la Cnil émis en 2004 : « Les usagers des transports publics ont le droit de voyager, de manière anonyme, sans avoir à payer un surcoût par rapport à ceux ayant choisi le passe nominatif 'Navigo'. En effet, dans le passe 'Navigo', les données de validation (dates, heure et lieu de passage) sont associées au numéro d'abonné ce qui le rend nominatif. Les données sont conservées durant 48 heures à des fins de lutte contre la fraude. » Le Stif (Syndicat des transports d'Ile-de-France) et la RATP avaient donc fait un geste, en proposant 'Navigo Découverte', un passe accompagné d'une carte nominative avec photo, mais, souligne la Cnil, « dont les données de validation ne sont pas associées à un numéro d'abonné (ce qui le rend anonyme) ». L'argument technique pour exclure les bénéficiaires de la tarification « solidarité transport » ne tient pas Toutefois, ce passe anonyme est soumis à un paiement forfaitaire de 5 euros alors que le Navigo est gratuit pour les Franciliens, et il n'est pas remplacé en cas de perte ou de vol alors que le Navigo l'est. En outre, la variante anonyme de ce titre de transport n'est pas franchement mise en avant dans la documentation de la RATP ou aux guichets. Désirant s'assurer de la mise en place concrète du dispositif, « la Cnil a procédé une opération de 'testing' auprès de 20 stations du métro parisien ». Afin de peser davantage sur les décisions de la RATP, la Cnil a décidé de rendre ses conclusions publiques : « Il en résulte que les conditions d'information et d'obtention du passe 'Navigo découverte' sont particulièrement médiocres, voire dissuasives (manque de sensibilisation du personnel concernant la vente de ce passe, absence régulière de documentation commerciale et difficultés pratiques à l'obtenir au guichet). » La Cnil souligne en outre que la RATP se cache derrière un argument technique qui n'a pas lieu d'être quand elle prétend avoir besoin des données personnelles des bénéficiaires de la tarification « solidarité transport » applicable aux titulaires du RMI ou de l'allocation spécifique de solidarité. L'organisme dit avoir reçu plusieurs plaintes : « Ces derniers protestaient contre la décision du STIF de leur imposer de souscrire au seul passe nominatif 'Navigo', donc à l'exclusion du passe 'Navigo découverte' anonyme, pour bénéficier de la tarification spéciale. La CNIL considère pourtant que rien ne justifie, sur le plan technique, une telle exigence. » (...)
(06/01/2009 15:59:26)IBM pourrait supprimer 16 000 emplois dans le monde
Ce n'est pour l'instant qu'une rumeur, mais IBM pourrait bien se préparer à supprimer des milliers d'emplois. D'après le syndicat Alliance IBM/ Communications Workers of America et un site indépendant de salariés d'IBM, 16 000 postes pourraient ainsi être supprimés au niveau mondial, soit 4% des effectifs du constructeur. Ces deux sources tablent sur l'annonce d'une restructuration d'ici quelques semaines, probablement le 23 janvier 2009, date de la publication des résultats du quatrième trimestre 2008 du groupe. Si la rumeur s'avère exacte, l'usine de semi-conducteurs d'IBM à Burlington (Vermont) serait la plus touchée. La direction d'IBM a déclaré hier que ces informations n'étaient que des spéculations. Les Etats-Unis, grands habitués des restructurations Un représentant du syndicat Alliance/IBM estime que Big Blue se prépare actuellement au pire. « Même si nous ne disposons pas d'informations concrètes sur le sujet des restructurations, nous savons qu'un grand nombre de rumeurs provenant de différentes sources s'avèrent généralement vraies, considère Lee Conrad, coordinateur national du syndicat Alliance et ancien employé d'IBM. Cela fait déjà plusieurs semaines qu'IBM supprime des emplois en petit nombre et en catimini, sauf que cette fois-ci, il s'agira d'un plan de grande envergure qui frappera surtout les Etats-Unis, IBM ayant pour habitude de tailler davantage en Amérique du Nord que dans les autres pays du monde. » (...)
(06/01/2009 12:54:40)Frédéric Lefebvre pourrait succéder à Eric Besson à l'Economie numérique
Il a « passé quelques bouts de nuits dans certaines caves du 18e arrondissement pour mettre en route des serveurs », il connaît « sans doute plus que d'autres le monde d'Internet », il a « commencé à communiquer sur Internet avant même la création de Wanadoo, parce que [son] frère qui vit aux Etats-Unis en est l'un des pionniers ». Frédéric Lefebvre, actuellement député et porte-parole de l'UMP, est pressenti pour remplacer Eric Besson au poste de secrétaire d'Etat chargé du développement de l'Economie numérique à la faveur du prochain remaniement gouvernemental. L'ancien socialiste prendrait alors la place de Brice Hortefeux au ministère de l'Immigration, lequel succèderait à Xavier Bertrand au Travail, parti diriger l'UMP. Si rien n'est pour l'heure officiel - Frédéric Lefebvre précise qu'aucune proposition ne lui a été formulée - la perspective de voir ce proche de Nicolas Sarkozy plancher sur les questions relatives à l'IT a de quoi susciter des inquiétudes. Fondateur et actionnaire de Pic conseil, une entreprise de lobbying qui compte notamment comme clients Alcatel et Bouygues, Frédéric Lefebvre s'est récemment illustré lors des débats parlementaires sur Hadopi et le nouveau service public de la télévision. Et les interventions de l'édile permettent de discerner une certaine logique dans sa probable entrée au gouvernement, dont beaucoup de ministres - de Nadine Morano à Michèle Alliot-Marie - ont montré combien ils étaient prompts à dégainer contre les périls du Web. Ainsi, selon Frédéric Lefebvre (débats parlementaires du 15 décembre 2008), Internet serait un « mode de communication moderne envahi par toutes les mafias du monde. » Le héraut de l'UMP s'est fait une spécialité de réclamer une régulation du Web, indispensable à ses yeux pour endiguer les fléaux portés par la Toile : « Combien faudra-t-il de jeunes filles violées pour que les autorités réagissent ? Combien faudra-t-il de morts suite à l'absorption de faux médicaments ? Combien faudra-t-il d'adolescents manipulés ? Combien faudra-t-il de créateurs ruinés par le pillage de leurs oeuvres ? », s'interroge celui qui se targue de connaître « parfaitement Internet ». L'homme, à l'origine d'un amendement - finalement rejeté - visant à taxer les sites collaboratifs pour financer France Télévisions, et partisan de la régulation du Web par le CSA, a beau faire étalage de sa culture Web, il n'en reste pas moins interdit quand on lui demande, sur BFM TV, ce qu'est le Web 2.0 (voir vidéo ci-dessous). Heureusement, il reste encore quelques jours à Frédéric Lefebvre pour réviser ses fondamentaux avant son éventuelle entrée au gouvernement. (...)
(06/01/2009 12:51:18)Les câbles sous-marins rompus en décembre, finalement réparés
Les trois câbles sous-marins de télécommunications rompus le 19 décembre dernier ont finalement tous été réparés hier matin. Propriété de France Telecom, ceux-ci se situaient entre la Sicile et la Tunisie et assuraient la liaison entre la France et la région Moyen-Orient / Asie. Après avoir été perturbés pendant plusieurs jours, les trafics Internet et téléphoniques ont repris leur cours normal. Une ancre de navire aurait été à l'origine de la première panne le 19 décembre dernier. L'un des câbles, réparé dès les 25 décembre, a pourtant été de nouveau rompu le jour suivant. Cette nouvelle avarie qui a eu lieu à 3000 m de profondeur serait, elle, « d'origine sismique, peut-être liée à un glissement de terrain local, » selon France Telecom. Le câble a finalement été réparé lundi matin, après que les deux autres aient été remis successivement en état de marche le 29 décembre et le 4 janvier. (...)
(06/01/2009 12:46:00)L'encodage de vidéos à la volée séduit les investisseurs : Ripcode lève 12,5 M$
Après avoir amassé 19,5 M$ sur 2006 et 2007, Ripcode vient de lever 12,5 M$ pour financer son développement à l'international. Cette start-up texane a mis au point une technologie d'encodage des vidéos à la volée, pour simplifier leur diffusion vers les mobiles. Début décembre, Ripcode signait ainsi un contrat avec MySpace. Dans son blog, Brendon Mills, le fondateur de Ripcode, explique qu'ainsi MySpace n'a plus à encoder ses vidéos dans plusieurs formats (flv, mp4, etc.) - ce que Brendon Mills appelle « des méthodes historiques pré-transcodage » - afin de pouvoir toucher le maximum de plateformes. De leur côté, les utilisateurs de la version mobile de MySpace n'ont pas à choisir le format vidéo qui leur convient, ils se contentent de cliquer sur la vidéo qu'ils veulent : la technologie de Ripcode encode automatiquement le contenu dans le format accepté par le mobile. Ripcode partage la conviction des grands acteurs des plateformes d'exécution, comme Microsoft, Adobe ou Sun : tant le contenu multimédia sur le Web que le nombre d'utilisateurs y accédant via des appareils mobiles vont exploser. En revanche, même si Ripcode s'affiche comme un partenaire, ils différent complètement sur la stratégie à adopter. La technologie de Ripcode (On-Demand and Real-Time Stream Transcoding) est à l'opposé de ce que proposent Microsoft, Adobe et Sun qui souhaitent, avec leurs offres respectives Silverlight, Flash et JavaFX que tous les producteurs de contenu et les fabricants de téléphones prennent leur format comme standard. (...)
(06/01/2009 11:31:51)Steve Jobs invoque un problème hormonal pour faire taire les rumeurs
Autant pour rassurer les fans que pour rasséréner les boursicoteurs, Steve Jobs a publié une lettre ouverte exposant les raisons pour lesquelles il n'a pas voulu assurer le discours d'ouverture de Macworld (la conférence a ouvert ses portes hier à San Francisco), et expliquant que malgré ses soucis de santé, il reste à la tête d'Apple. Fin décembre, de nouvelles rumeurs sur l'aggravation de son état de santé avaient temporairement fait chuter le cours de Bourse du constructeur. En 2004, Steve Jobs avait été opéré d'une forme rare de cancer du pancréas. Dans la mesure où il était apparu amaigri ces derniers temps, les spéculations avaient repris, chatouillant les poils à la sensibilité exacerbée des investisseurs. En 2007, le magazine spécialisé Barron avait signalé dans sa liste des CEO qui comptent qu'Apple sans Steve Jobs perdrait entre 16 et 20 Md$ de capitalisation boursière, soit pas loin du quart de sa valeur de l'époque. Steve Jobs restera le CEO d'Apple pendant sa convalescence Dans sa lettre ouverte (reproduite en VO ci-dessous), adressée à la communauté Apple, Steve Jobs explique avoir décidé de s'occuper sérieusement de sa santé, suite à sa perte de poids continue en 2008. Et après de nombreux tests infructueux, les médecins auraient enfin trouvé la cause du problème, un déséquilibre hormonal qui l'empêcherait d'assimiler les protéines dont son corps a besoin. Le traitement serait déjà en cours, et sa rémission prévue pour le printemps. Entre-temps, Steve Jobs entend rester à la tête d'Apple - une décision soutenue par le conseil d'administration, qui a publié un communiqué pour souligner ce point. Toutefois, loin d'étouffer les rumeurs, cette lettre n'a fait qu'alimenter de nouvelles spéculations : les détails sur la maladie qui frappe Steve Jobs sont suffisamment vagues pour donner lieu à de multiples interprétations. (...)
(06/01/2009 10:05:22)Le Web compte 186 millions de sites enregistrés
La Toile continue de grandir. Selon la société britannique Netcraft spécialisée dans l'analyse du trafic Internet, le Web comptait fin 2008 pas moins de 186 727 854 sites, soit environ 30 millions de plus qu'une année plus tôt. En termes d'augmentation, le Web fait toutefois moins bien que lors des années précédentes. La croissance du nombre de sites sur la Toile s'est élevée à 17% en 2008, contre plus de 40% en 2006 et 2007. Le cap des 100 millions de sites Internet avait été atteint en novembre 2006. En 1995, le Web, qui effectuait ses premiers pas, comptait à peine 19 000 sites. La barre du million avait été franchie en avril 1997. Il faut toutefois rappeler que Netcraft compte ainsi tous les noms de domaine enregistrés, et qu'un peu moins de la moitié sont en fait des sites Web actifs. Netcraft indique aussi qu'un bon nombre de sites n'ont en fait qu'un objectif : rediriger les internautes vers des sites à vocation pornographique et/ou malhonnête. (...)
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