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(02/10/2008 16:11:39)

Microsoft implante une partie de sa R&D pour la recherche sur Internet à Issy-les-Moulineaux

C'est finalement en région parisienne, à Londres et à Munich que Microsoft entend intensifier ses efforts de R&D en matière de recherche sur Internet. Steve Ballmer, CEO de Microsoft, avait déjà laissé entendre cet été que l'Europe accueillerait ce centre de R&D. Il a fait le déplacement à Paris pour le confirmer : un « centre technologique européen » viendra compléter le dispositif R&D de Microsoft en Europe, qui compterait déjà quelque 2000 ingénieurs et chercheurs. En France, c'est Issy-les-Moulineaux, déjà choisi par Microsoft France pour devenir son siège social (au premier semestre 2009), qui abritera logiquement les futurs ingénieurs. Dans sa présentation, Steve Ballmer a insisté sur les talents et les capacités d'innovation des sociétés européennes, rappelant que Microsoft en a racheté plusieurs ces dernières années - « ce qui est bien la preuve ». Le patron de Microsoft a aussi insisté sur l'importance du domaine de la recherche sur Internet, « un espace où Microsoft est un challenger, et où il y a beaucoup de place pour l'innovation ». Il y a quelques jours, Steve Ballmer expliquait qu'il se donnait 5 ans pour devenir concurrentiel dans ce domaine, quitte à perdre 5 à 10% de son revenu opérationnel. A terme, « plusieurs centaines d'ingénieurs et développeurs » Le but de ce centre de R&D sera de « fournir les résultats de recherche les plus pertinents, simplifier l'expérience utilisateur et développer de nouveaux modèles économiques ». Il sera dirigé par le Dr Jordi Ribas, auparavant directeur de la stratégie dans la division Microsoft Windows Digital Media, et accueillera, « dans les prochaines années, plusieurs centaines de personnes ». Il s'agit là du seul chiffre avancé, Steve Ballmer expliquant que « en matière de R&D, on ne mesure pas les investissements en coût pour les immeubles et les installations, mais en nombre de développeurs et d'ingénieurs. » Christine Lagarde heureuse que Microsoft vote pour la France [[page]] Par la suite, Christine Lagarde, ministre de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi, a évoqué le chiffre d'une centaine de chercheurs devant s'installer à Issy, une précision que Microsoft France s'est bien gardé de confirmer ou d'infirmer. Bien évidemment, Jose Manuel Barroso, président de la Commission européenne et Eric Besson, secrétaire d'Etat au Développement de l'économie numérique, se sont réjouis, par voie de communiqué, de cette annonce. De même que Christine Lagarde, qui a écrit : « C'est une bonne nouvelle pour l'Union européenne, qui a pris depuis longtemps, avec la stratégie de Lisbonne, le virage de l'économie de la connaissance. Et c'est une bonne nouvelle pour la France, qui s'est donné les moyens d'attirer et d'accueillir les activités à haute valeur ajoutée, notamment grâce à son système de crédit d'impôt-recherche parmi les plus avantageux au monde. » La ministre de l'Economie vante le système français de crédit impôt-recherche La ministre, qui doit assister ce jeudi après-midi aux journées parlementaires de l'UMP, a toutefois bousculé son agenda - Steve Ballmer l'a souligné en la remerciant - pour venir dire quelques mots de bienvenue. Christine Lagarde a à son tour remercié André Santini, maire d'Issy-les-Moulineaux et secrétaire d'Etat chargé de la Fonction publique, pour avoir fait le choix du numérique pour sa ville et su attirer Microsoft. La ministre a ensuite remercié Microsoft d'avoir choisi la France en dépit de sa prétendue mauvaise image auprès des entreprises : « L'image de notre pays est parfois associée à certains clichés, je suis heureuse que vous veniez démontrer le contraire », a-t-elle dit à Steve Ballmer, expliquant que « si la France est le 3e pays d'accueil des investissements étrangers », c'est entre autres parce que « les gens travaillent plus de 35 heures », les transports publics sont performants et le système de crédit impôt-recherche est très attractif : « L'Etat rembourse 30 quand l'entreprise investit 100. » Microsoft se dit plus attiré par les talents que par les incitations fiscales [[page]] Ni Steve Ballmer, ni Christine Lagarde - encore moins André Santini qui n'a pas eu droit à la parole - n'ont toutefois abordé explicitement la question des aides publiques accordées à l'éditeur. La ministre a simplement évoqué les efforts déployés par la France pour que Microsoft « effectue un choix judicieux », tandis que le CEO de Microsoft indiquait qu'il aurait choisi de venir ici « même sans incitation fiscale ». Dans une interview accordée après cette présentation, Jean-Philippe Courtois, ancien dirigeant de la filiale française et aujourd'hui président de Microsoft International, a confirmé que Microsoft a noué des partenariats étroits avec des établissements de recherche et d'enseignement en France, et que l'assurance de trouver des gens talentueux a nettement joué dans le choix d'y installer une partie de la R&D. L'autre grande raison est l'importance cruciale de la compréhension du langage pour le marché de la recherche sur Internet. « Il ne s'agit pas de juste traduire un menu, mais bien de linguistique. C'est pourquoi nous commençons par installer des centres dans les trois plus grands pays européens. » (...)

(02/10/2008 14:41:40)

Sun intègre OpenSSO à son offre

Sun annonce OpenSSO Enterprise 8.0, première version commerciale de la solution d'identification unique (Single Sign On) de la communauté Open source éponyme. Elle succèdera à l'actuel Sun Java System Access Manager 7.1 et à Sun Java System Federation Manager dont elle est issue. La nouvelle mouture se démarque en particulier en intégrant OpenDS, un gestionnaire d'annuaire Open Source. Sun propose deux versions. OpenSSO Express, qui évoluera tous les trois mois, et OpenSSO Enterprise, mise à jour une fois par ans. La première ne bénéficie pas du support de deuxième niveau (hotfix) contrairement à la seconde, vendue beaucoup plus cher. OpenSSO Express 6.0 sera là en novembre et sera suivi dès janvier par une version 7.0. C'est sur elle que reposera OpenSSO Enterprise 8.0. Une meilleure administration et le support des services Web [[page]]Les améliorations de la solution par rapport à Access Manager concerne surtout son administration, son ergonomie, sa capacité à gérer les services Web. OpenSSO se distingue aussi de ses concurrents en affirmant sa vocation fédératrice : il supporte les principaux standards : SAML 1.1 et 2.0 (Security Assertion Markup Language), XACML (Extensible Access Control Markup Language), WS-Federation, ID-FF, WS-Trust, WS-Security et WS-Policy. Toujours dans cette veine fédératrice, OpenSSO admet les jetons des suites de gestion d'accès de Siteminder de Computer Associates, d'Oracle Access Manager et Cleartrust de RSA. Le support de Tivoli Access Manager est en cours. Pour Sun, les nettes améliorations apportées à OpenSSO par rapport à ses produits précédents par le dynamisme d'une communauté, présentée comme riche de 700 membres. Mais on ignore combien sont des salariés du constructeur. (...)

(02/10/2008 14:36:27)

HP achète LeftHand, spécialiste du iSCSI et de la virtualisation

Hewlett-Packard achète cash 360 M$ LetfHand Networks, société privée réputée sur les secteurs du stockage en iSCSI et virtualisé pour les PME. Il ne fait aucun doute que cette acquisition, qui vient combler un vide dans son offre stockage entre l'entrée de gamme MSA et le haut de gamme EVA, est une réponse directe à l'offre EqualLogic de Dell. Les trois grands constructeurs de serveurs x86 ont, désormais, chacun, mis la main sur un spécialiste du stockage de dernière génération. Dell avait ouvert le feu fin 2006 en s'offrant EquaLogic, l'autre spécialiste de l'iSCSI, pour 1,4 Md$. Quoique surévaluée, l'opération lui a permis de se propulser à la première place de ce marché, devant EMC et NetApp, avec 32% des vente au deuxième trimestre selon IDC. IBM a suivi en janvier dernier avec l'acquisition de XIV, pour 300 M$, une société israélienne fondée par Moshe Yanai, qui contribua en son temps à bâtir la puissance d'EMC. Contrairement à Dell, IBM tarde à récolter un retour sur son investissement. L'iSCSI a le vent en poupe. Il a connu une croissance vertigineuse de 94% au deuxième trimestre. Cette l'interface qui monte face au Fiber Channel (FC) permet un ticket d'entrée beaucoup plus modique et dispense d'avoir à acheter des routeurs dédiés FC pour accompagner la croissance des besoins. De plus, le iSCSI semble mieux adapté pour évoluer vers FCoE (Fiber Channel over Ethernet) que le Fiber Channel. Parmi les points forts technologiques de LeftHand, trois émergent. Tout d'abord, et contrairement à EqualLogic, son offre SAN/iQ ne repose pas sur des matériels spécifiques. Ensuite, la société domine le thin provisionning (gestion dynamique de l'espace alloué) et le clonage des données. Les deux permettent de conséquents gains d'espace. Enfin, elle dispose d'un savoir-faire en matière de réplication. LeftHand a consacré beaucoup d'effort à optimiser ses produits pour l'environnement VMware. Fondé en 1999, LeftHand emploie 215 salariés, revendique un réseau mondial de distribution de plus de 500 partenaires et un parc installé de plus de 11 000 configurations chez 3000 clients. (...)

(02/10/2008 12:45:21)

Sondage flash : les copieurs multifonctions prennent le pas sur les imprimantes

A la question « Lors d'un renouvellement de parc d'imprimantes, votre entreprise achète-t-elle des imprimantes individuelles, des imprimantes individuelles partagées, des copieurs multifonction ?», une forte majorité (72,3%, soit 348 réponses sur un total de 481) des répondants ont choisi la dernière option. Deux constats s'imposent. D'une part, la possibilité d'imprimer, faxer, scanner et photocopier sur une seule et même machine séduit de plus en plus. D'autre part, l'impression devient, elle-aussi, une cible pour la réduction des coûts. Aujourd'hui, il est devenu financièrement déraisonnable d'installer une imprimante par personne. L'achat des périphériques n'est certes pas rédhibitoire, le prix d'une imprimante à jet d'encre dépassant à peine quelques centaines d'euros. Mais le coût des consommables est d'une toute autre importance. Encre et papier peuvent sensiblement peser sur un budget informatique. Enfin, si le copieur multifonction mutualise l'impression, il permet aussi de supprimer les scanners et autres fax. Des considérations principalement économiques, mais aussi écologiques A ces considérations purement économiques, s'associent parfois - même si cela reste rare - une préoccupation environnementale des entreprises. Celles-ci mettent en branle des procédures de tri et de recyclage du papier et de l'encre. Mais en amont, elles font aussi en sorte d'en limiter la consommation. La mutualisation de l'impression est un des moyens de le faire (en diminuant le nombre d'imprimantes). Le partage de copieurs multifonction par 20 ou 30 personnes par exemple, limite de fait les impressions et permet aussi d'affecter les coûts par service de façon très précise. Ce constat d'une volonté de réduire la quantité de périphériques d'impression par personne dans une entreprise est renforcé par le choix de 115 répondants de l'option « imprimantes partagées », alors que les imprimantes classiques n'obtiennent que 18 voix, soit 3,7% des suffrages. (...)

(02/10/2008 12:45:41)

Les salariés d'Alice manifestent contre les suppressions de postes

Les salariés du fournisseur d'accès Alice, ont décidé de se mobiliser en réaction au plan social annoncé il y a quelques semaines par la direction de Free. Les 340 employés menacés par des suppressions de postes défileront donc aujourd'hui, jeudi 2 Octobre, de 12h à 14h entre le siège social d'Alice (Paris 9e) et celui de Free, (Paris 8ème). Selon l'intersyndicale (CFTC, FO Com, CFE-CGC, CFDT), les dirigeants de Free refuseraient catégoriquement l'adoption de mesures d'accompagnement décentes dans le cadre de la mise en oeuvre imminente d'un plan social destiné à purger 90% des effectifs du site parisien d'Alice. (...)

(02/10/2008 12:00:19)

Le principe de précaution force Bouygues Télécom à démonter une antenne-relais

Entre fantasme et danger réel, les antennes-relais installées par les opérateurs de téléphonie mobile suscitent doutes et inquiétudes au point que certains administrés se tournent vers la justice pour les voir disparaître du pas de leur porte. C'est ce qu'ont fait trois couples de Tassin la Demi-Lune, une commune du Rhône, excédés par la présence d'un émetteur installé par Bouygues Télécom à proximité de leur domicile. Le tribunal de grande instance de Nanterre, saisi de l'affaire, a suivi les doléances des plaignants - qui avançaient souffrir d'exéma et de troubles du sommeil - et prononcé une injonction contraignant l'opérateur à démonter l'antenne incriminée. Nulle expertise médicale, aucun avis émanant d'un spécialiste des champs électromagnétique ne vient pourtant attester de la nocivité de l'engin honni. La cour s'est en effet basée sur le seul principe de précaution, estimant que « le risque certain » induit par l'antenne caractérise un trouble du voisinage. « L'exposition à un risque sanitaire » que Bouygues Télécom a contribué à mettre en place devra donc cesser : l'opérateur dispose de quatre mois pour remiser le relais et rassurer les râlants. Au-delà, une astreinte de 100 € par jour de retard alourdira d'autant la sanction. Bouygues Télécom devrait interjeter appel de cette décision. Pas de risque avéré, explique le ministère de la Santé Le concurrent de SFR et d'Orange pourra, pour sa défense, s'appuyer sur une jurisprudence certes peu fournie mais qui joue en sa faveur. Ainsi, après que le TGI de Toulon eut ordonné, en 2006, le démontage d'une antenne, cette décision fut annulée par la Cour d'appel d'Aix en Provence deux ans plus tard. En dépit des risques dénoncés par de nombreuses associations, la justice semble donc partager l'avis de la ministre de la Santé, tel qu'elle l'a exposé en réponse à un député : « S'agissant des stations de base de la téléphonie mobile, l'expertise nationale et internationale est convergente et a conclu qu'en l'état actuel des connaissances scientifiques, et compte tenu des faibles niveaux d'exposition aux champs électromagnétiques autour des stations relais, l'hypothèse d'un risque pour la santé des populations vivant à proximité de ces stations ne pouvait être retenue. » (...)

(02/10/2008 11:44:12)

Le plus gros centre européen de R&D de Microsoft s'installe à Issy-les-Moulineaux, Londres et Munich

C'est finalement entre Paris, Londres et Munich que Microsoft va déployer son tout nouveau Centre Technologique Européen. C'est Steve Ballmer en personne, PDG de Microsoft, qui est venu l'annoncer dans la capitale française en présence de Christine Lagarde, ministre de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi. Cette entité de R&D travaillera exclusivement sur les moteurs de recherche et sera dirigée par Jordi Ribas, ancien directeur de la stratégie dans la division Microsoft Windows Digital Media. Les locaux français seront situés tout près de la capitale, à Issy-les-Moulineaux, où l'éditeur inaugurera bientôt son nouveau siège. Le Centre Technologique Européen rejoint les 40 autres centres de R & D que Microsoft compte sur le Vieux Continent. Ceux-ci regroupent 2 000 chercheurs et ingénieurs avec un budget annuel supérieur à 600 M$ par an. Etudier les modèles économiques associés à la publicité sur les moteurs de recherche Parmi les travaux menés par ce Centre, Microsoft évoque l'étude de résultats de recherche plus pertinents, la simplification de l'expérience utilisateur et le développement de nouveaux modèles économiques. Il va s'agir, par exemple, d'adapter les requêtes en ligne en fonction des pays et des langues, d'intégrer des images, des vidéos, des sons ou la localisation géographique, ou encore d'étudier les modèles de publicité idoines. (...)

(02/10/2008 11:12:06)

Ares finalise trois cessions, sur fond de période d'observation

La cure d'amaigrissement d'Ares est maintenant achevée avec trois cessions. La SSII confirme en effet la vente d'Adequat (spécialisée dans les infrastructures IBM) à la société D.FI. Elle représente 64,7 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA) et compte 108 personnes. Databail spécialisée dans le financement, est repris pour a part par Econocom. C'est 51,8 ME de CA sur 15 mois. Enfin, Le pôle RMS part chez l'intégrateur Inéo (groupe Suez, 33,9 ME et 106 salariés). Ares est toujours en période d'observation auprès du Tribunal de commerce d'Evry, jusqu'au 21 janvier prochain. Ensuite, le tribunal décidera ou pas de reconduire la procédure de redressement judiciaire engagée à l'encontre d'Ares le 21 juillet dernier. (...)

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