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(12/09/2008 17:39:02)
HP/EDS : Les syndicats s'opposent à tout licenciement lié au rachat
Le 10 septembre, 40 représentants syndicaux provenant de neuf pays européens et de plus de quinze syndicats se sont réunis à l'appel de la Fédération européenne des métallurgistes (FEM) et d'Uni Europa (fédération européenne des services) dans le cadre du rachat d'EDS par HP. Les représentants syndicaux ont exprimé leurs préoccupations concernant les effets possibles du rachat sur l'emploi et les conditions de travail. Ils ont également exprimé leur mécontentement quant au manque d'informations fournies à ce jour par les directions respectives d'EDS et HP. 640 salariés d'Issy-Les-Moulineaux transférés aux Ulis Opposées à tout licenciement, les organisations souhaitent que la direction d'HP fournisse un plan détaillé pour le reclassement et la requalification des salariés pour combler et anticiper les pénuries de compétences. A la veille de l'annonce de la fusion avec EDS, les 640 salariés du site historique d'HP à Issy-Les-Moulineaux ont en outre appris qu'ils seraient bientôt déplacés vers le site d'HP aux Ulis, dans l'Essonne. Pour la CFDT, les raisons de ce déménagement sont purement financières. La direction s'est toutefois voulue rassurante, et a déclaré qu'aucun plan social ne serait envisagé dans le cadre de cette décision. (...)
(12/09/2008 17:24:44)Patrick Bertrand, président de l'Afdel, commente les propositions en faveur du logiciel en France
L'Afdel (Association française des éditeurs de logiciels) a rendu public, le 12 septembre, son document intitulé « Propositions en faveur du développement de l'industrie du logiciel en France » qu'il avait remis en juillet à Eric Besson. Patrick Bertrand, président de l'Afdel, détaille pour LeMondeInformatique.fr les points les plus saillants du document. (Retrouvez notre entretien avec Patrick Bertrand.) Ce texte de 20 pages contient une liste de propositions au gouvernement destinées à stimuler le secteur logiciel dans l'Hexagone.
L'association, souvent contestée en particulier pour ses positions en matière de brevet logiciel, s'engage ici plus particulièrement auprès des petits éditeurs. Après les rachats des deux fleurons Business Objects et Ilog (respectivement rachetés par SAP et IBM), le périmètre des éditeurs français se réduit comme peau de chagrin. Derrière un Dassault Systèmes intouchable et quelques exceptions telles que Cegid, que dirige Patrick Bertrand, une myriade de petites structures aux C.A. de quelques millions d'euros, se débattent pour survivre. (...)
Paris va rebrancher ses bornes WiFi au grand dam des syndicats
Rien ne va plus entre la Ville de Paris et six syndicats, fermement opposés sur le dossier du WiFi dans les bibliothèques municipales. A la fin 2007, plusieurs agents de la ville se plaignaient de céphalées et autres malaise suite à l'installation de points d'accès à Internet sans fil dans quatre bibliothèques. En conséquence, le Comité d'hygiène et de sécurité (CHS) a décidé en novembre, la désactivation des bornes incriminées. Puis, en juin 2008, l'Hôtel de Ville a lancé une enquête pour faire la lumière sur les dangers liés aux émissions électromagnétiques des hotspots. Hier, la Mairie de Paris, se faisant l'écho des conclusions des experts, a indiqué que les relevés effectués dans les quatre bibliothèques avaient « confirmé des niveaux de 80 à 400 fois inférieurs au seuil règlementaire ». Le rapport exposant l'ensemble des observations doit être présenté, le 18 septembre prochain, au CHS. Mais cette réunion pourrait ne pas se tenir : les syndicats CGT, CFTC, FO, SUPAP-FSU et UNSA menacent en effet de boycotter l'événement pour protester contre la façon dont les expertises ont été conduites. Les syndicats accusent la Mairie de délit d'entrave Ils reprochent notamment à la Ville de n'avoir pas entendu les spécialistes qu'ils avaient eux-mêmes mandatés, et s'inquiètent de la prochaine remise en marché des bornes WiFi « sans concertation ». Fort courroucée, l'intersyndicale estime que Bertrand Delanoe « escamote la vérité » et l'accuse de « délit d'entrave ». En guise de réponse, la Mairie de Paris rappelle que c'est à l'initiative de l'édile qu'un « voeu à été voté par le Conseil de Paris en juillet 2008 pour la mise en place d'une conférence citoyenne consacrée au thème des ondes électromagnétiques ». (...)
(12/09/2008 15:28:44)Seagull Software propose SmartDB pour migrer vers les applications Oracle
Spécialisée dans les solutions conçues pour moderniser les applications d'entreprise, Seagull Software propose maintenant en France l'outil de migration SmartDB, adapté à la conversion de données vers les progiciels de gestion du portefeuille d'Oracle, en particulier la E-Business Suite, PeopleSoft Enterprise et l'offre héritée de Siebel. En complément d'un ensemble d'outils intégrés pour préparer les données (notamment, réaliser la correspondance entre des données de plusieurs applications), l'offre SmartDB comporte des adaptateurs prédéfinis. Rappelons que le produit phare de Seagull Software, la plateforme LegaSuite, fournit un ensemble de solutions permettant d'exploiter les applications des mainframes IBM dans les environnements Web. (...)
(12/09/2008 17:50:56)Le salon de l'emploi Lesjeudis.com fête ses 10 bougies (vidéo)
Le reportage vidéo de la rédaction. Le salon de l'emploi informatique LesJeudis.com vient de fêter ses dix années d'existence. En mai 1998, la première édition avait réuni quai Eiffel Branly vingt-sept entreprises du secteur IT. Depuis, le salon a fait du chemin, à en juger par la présence de quelque 90 recruteurs - des SSII, et quelques entreprises clientes du secteur public, cosmétique et bancaire, rassemblés pour cette 100ème édition, au Palais des Congrès de Paris. Cette année encore, pas moins de 20 000 offres sont proposées sur le salon, dont une grande partie émane des SSII et éditeurs de logiciels. Ainsi, 2 200 postes sont à pourvoir chez Atos Origin, 1 800 chez Logica, 1 700 pour Sopra Group (dont 50% de jeunes diplômés) et 1 500 chez Capgemini (même si dans les faits, on le sait, les embauches n'atteignent pas le niveau affiché). Principale motivation : le contact humain A l'inverse, les intentions d'embauches des quelques entreprises clientes présentes sont nettement plus modestes : une trentaine à La Poste, une petite vingtaine au Crédit du Nord... Pourtant, les candidats sont toujours aussi nombreux à miser sur une visite pour décrocher un entretien ou menée une simple veille technologique : entre 3 000 et 5 000 visiteurs étaient attendus par les organisateurs. Preuve de son efficacité, le salon est un canal qui résiste bien aux outils de recrutement concurrents, actuellement très en vogue dans les SSII, comme le speed dating, salsa recruting et autres. Mais surtout, il a su faire la différence, face à Internet et sa déferlante d'outils du Web 2.0, comme les joboards et les réseaux sociaux . Sa principale qualité : le contact humain, mis en avant aussi bien par les recruteurs - qui parlent de 15% d'embauches réalisée sur les salons - que par les candidats. (...)
(12/09/2008 14:43:48)NEC, huitième à se rallier derrière IBM pour le 32 nm
NEC est la huitième société à rallier les rangs des partenaires d'IBM pour mettre au point et exploiter un procédé de gravure de semiconducteurs en technologie CMOS avec un pas de masque de 32 nm. Le constructeur japonais se place au douzième rang des fabricants de processeurs. L'objectif est d'entrer en production en 2010. L'industrie des semiconducteurs aborde actuellement la phase de montée en charge des chaînes de production en 45 nm. Et IBM se pose en chef de file d'un consortium qui unit ses forces face à Intel, le numéro un mondial qui fait seul la course technologique en tête. 1,5 Md$ supplémentaires investis en R&D Mi-juillet, IBM a annoncé investir 1,5 Md$ supplémentaire dans la recherche sur les semiconducteurs. Il a réuni autour de lui Chartered Semiconductor (Singapour), Freescale (Etats-Unis, ex-Motorola), Samsung Electronics (Corée, premier producteur mondial de mémoire) et les Européens Infineon Technologies et STMicroelectronics. Notons que Toshiba (Japon), qui avait été le septième à rallier IBM en décembre 2007, entretenait déjà des liens de partenariats avec NEC. Hitachi s'est aussi associé à IBM sur le 32 nm, mais sur des bases différentes. Quant à AMD, sa position, proche d'IBM puisqu'il lui sous-traite la fabrication de certains composants, manque de clarté sur le 32 nm. Pour donner une idée de la dimension d'un nanomètre, un milliardième de mètre, Reuters explique que c'est la croissance d'un ongle en une seconde... (...)
(12/09/2008 13:00:37)Virtualisation : Dell optimise deux serveurs lames et une baie SAN
Dell rénove lui aussi son offre adaptée aux environnements de virtualisation. Après une première vague de serveurs racks en mai dernier, le constructeur annonce deux serveurs lames et des baies de stockage SAN iSCSI. Les serveurs PowerEdge M805 et M905 sont équipés de processeurs AMD Opteron, l'un avec deux sockets, l'autre avec quatre sockets. Ils supportent les hyperviseurs XenServer de Citrix, ESX de VMWare et Hyper-V de Microsoft, et selon Dell, le modèle M905 peut supporter jusqu'à 66 machines virtuelles en même temps. Ces serveurs sont disponibles immédiatement : le PowerEdge M805 est vendu à 1 699 dollars et le M905 à 4 999 dollars. Des services autour d'Hyper-V Dell propose par ailleurs une nouvelle baie SAN iSCSI, l'Equalogic PS5500E, qui triple la capacité de stockage du PS5500E actuel pour atteindre 576 To virtualisés administrés par une même interface. Leur prix de vente démarre à 78 000 dollars. Le constructeur a également commencé à proposer ses serveurs PowerEdge avec Windows Server 2008 et Hyper-V préinstallés en option. Il propose désormais des offres de services (évaluation, conception et déploiement) autour d'Hyper-V à partir de 15 700 dollars. (...)
(12/09/2008 12:15:31)Stock options antidatés d'Apple : un gros chèque pour clore l'affaire
Steve Jobs et douze autres dirigeants d'Apple semblent sur le point de mettre un terme au scandale de stock options antidatés qui avait frappé le groupe à la fin 2006. Selon les informations du Wall Street Journal, c'est avec un gros chèque que les cadres visés par les poursuites de plusieurs actionnaires éteindront la procédure. Steve Jobs et ses collègues verseront ainsi 14 M$ à Apple, qui se chargera ensuite de répartir une partie de cette somme (8,85 M$) entre les plaignants et la justice américaine. Le groupe s'engage en outre à adopter des règles de gouvernance strictes en ce qui concerne l'attribution de stock options et à mettre en place un comité chargé de surveiller ce type de pratique. Steve Jobs, notamment, se serait vu octroyer pour 7,5 M$ En 2006, des actionnaires d'Apple avaient lancé des poursuites contre des dirigeants du groupe après que plusieurs d'entre eux eurent reçu des stock options antidatés. Steve Jobs, notamment, se serait vu octroyer pour 7,5 M$ de titres. Les plaintes ont par la suite été réunies au sein d'une seule procédure. Une enquête interne avait révélé que ces distributions de stocks options avaient couru de 1997 et 2002 et que les principaux cadres du groupe avaient connaissance de ces agissements. (...)
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