Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 14471 à 14480.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(01/07/2008 18:17:00)
Intervention de Frédéric Pirat, Responsable Partenaires Europe du Sud, Iron Mountain Digital
Protéger vos données: la sauvegarde des données distribuées au travers de quelques expériences novatrices, par Frédéric Pirat, Responsable Partenaires Europe du Sud, Iron Mountain Digital (...)
(01/07/2008 18:10:00)Intervention de Christiane Féral-Schuhl, Avocat associé du cabinet Féral Schuhl Sainte-Marie
Environnement réglementaire et obligations légales de conservation du document, par Christiane Féral-Schuhl, Avocat associé du cabinet Féral Schuhl Sainte-Marie et Présidente du Conseil d'Administration (...)
(01/07/2008 18:05:00)Intervention d'Emmanuelle Olivié-Paul - Directeur Associé, Responsable de la Recherche, Markess
État des lieux de la dématérialisation des documents entrants, par Emmanuelle Olivié-Paul - Directeur Associé, Responsable de la Recherche, Markess (...)
(01/07/2008 18:01:00)Intervention de Pascal Colin, Vice-président de la FNTC & DG de Keynectis
Dématérialisation et tiers de confiance, par Pascal Colin, Vice-président de la FNTC & DG de Keynectis (...)
(01/07/2008 17:58:00)Intervention d'Alain Le Corre, Responsable de marché gestion de l'information, IBM
Document, Collaboration et Web 2.0 : une approche unifiée pour l'individu, le groupe et l'entreprise, par Alain Le Corre, Responsable de marché gestion de l'information, IBM (...)
(01/07/2008 17:51:00)Intervention de Jimmy Barens, Président de l'Aproged
Panorama des acteurs du marché et des processus, par Jimmy Barens, Président de l'Aproged (...)
(30/06/2008 18:42:40)Eric Besson clôture les assises du logiciel organisées par l'Afdel
L'Afdel, association française des éditeurs de logiciels, a clôturé cet après-midi, sous le patronage d'Eric Besson, secrétaire d'Etat à l'économie numérique, les « Assises du logiciel » qu'elle a ouvertes le 11 juin dernier. Ces débats se sont inscrits dans le cadre plus large des « Assises du numérique » qui aboutiront, fin juillet, au plan de développement de l'économie numérique demandé par la présidence de la république. « Lorsque le gouvernement a lancé cette réflexion, les éditeurs de logiciels se sont inquiétés de ne pas avoir été contactés, a rappelé Patrick Bertrand, président de l'Afdel et directeur général de l'éditeur Cegid. D'où l'organisation de ces « Assises du logiciel », constituées d'une série de tables rondes sur trois semaines, visant à sensibiliser le secrétaire d'Etat et son équipe aux préoccupations spécifiques de ce secteur. « Les différents intervenants commencent à comprendre qu'il y a une différence entre l'industrie du logiciel et l'activité de services informatiques », souligne Patrick Bertrand, qui mesure le chemin parcouru depuis la création de l'Afdel, il y a deux ans, et se félicite de l'esprit d'ouverture dans lequel se sont déroulées les « Assises du logiciel ». Les différents modèles de logiciels sont voués à cohabiter Le déplacement d'Eric Besson, cet après-midi au siège parisien de l'Afdel, attestait d'une première avancée dans ce sens. Le ministre a écouté les dirigeants de cinq éditeurs français lui soumettre les axes d'améliorations à engager pour aider les fournisseurs de logiciels à atteindre la taille critique leur permettant de se développer à l'international, mais également évoquer les différents modèles (ventes de licences, logiciel libre, SaaS...) voués à cohabiter. L'Afdel avait ainsi réuni, autour de Patrick Bertrand, le PDG de Sinequa, Jean Ferré, le DG de Berger Levrault, Pierre-Marie Lehucher, la présidente de Lefebvre Software, Viviane Ribeiro et le président de l'éditeur Open Source Talend, Bertrand Diard. Développer les formations pluridisciplinaires [[page]] Patrick Bertrand a rappelé les particularités de l'industrie française du logiciel et les difficultés qu'elle rencontre dans sa croissance à l'international, en dehors de quelques grands éditeurs comme Dassault Systèmes ou Business Objects (aujourd'hui racheté par SAP). « Il n'y a pas en Europe de marché unique du logiciel, a rappelé Patrick Bertrand, en raison de la barrière des langues et des contraintes réglementaires, ce qui nécessite de simplifier le dialogue entre un acteur privé d'un pays européen et une administration. » Le président de l'Afdel a énuméré également le besoin de développer le financement de proximité, de favoriser l'accès des PME aux marchés publics (cf le Small Business Act en cours) et, surtout, de renforcer considérablement la formation avec des cursus pluridisciplinaires. « Le secteur de l'informatique recrute mais sur les 200 000 à 300 000 personnes qui lui manquent, il n'y a pas seulement des profils d'ingénieurs. » Pour Patrick Bertrand, cette industrie a besoin de juristes et de spécialistes dans les domaines du marketing, de la levée de fonds, de la qualité, etc. Eric Besson évoque les efforts en e-administration « Cela suppose des évolutions des filières universitaires », a confirmé Eric Besson en réponse, en indiquant notamment que Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur, allait prochainement faire des annonces dans ce sens. Le secrétaire d'Etat a par ailleurs évoqué les efforts menés dans l'e-administration (secteur sur lequel Berger Levrault est impliqué) en rappelant le projet, qualifié d'ambitieux, mené par Eric Woerth, secrétaire d'Etat au Budget, pour ouvrir un portail de l'administration publique permettant à l'usager d'accéder en ligne « sans couture » d'une administration à l'autre. Une synthèse des débats menés pendant ces « Assises du logiciel » va être remise à Eric Besson avec l'objectif de lui voir inclure dans son plan les mesures indispensables au développement de l'industrie française du logiciel. (...)
(30/06/2008 18:25:46)Ebay condamné à verser 40 millions d'euros pour contrefaçon et vente illicite
Après deux années d'enquête et l'examen de milliers de pièces à conviction, le tribunal de commerce de Paris vient de trancher, en condamnant eBay à verser 40 M€ de dommages et intérêts à six marques du groupe de luxe LVMH (Vuitton, Dior et quatre célèbres marques de parfum). Le motif de cette décision est double. Le site de vente aux enchères est accusé d'avoir sciemment laissé des internautes vendre des produits contrefaits sur ses pages. Dans le cadre de la vente de produits authentiques, les plaignants reprochent à eBay de court-circuiter leur propre réseau de distribution, et de léser ainsi leurs revendeurs agréés. Ce n'est pas la première fois qu'eBay est attaqué par de grandes marques pour des raisons similaires. Au début du mois, le tribunal de grande instance de Troyes infligeait au site une sanction de 20 000 € pour contrefaçon de sacs Hermès - une bagatelle comparée aux 40 M€ demandés aujourd'hui. Selon l'avocat d'Hermès, le statut d'eBay ne se limite pas à celui d'hébergeur : il est responsable des produits qui sont vendus sur son site. Un avis que partage le Conseil de ventes volontaires aux enchères, une autorité française de régulation des enchères, qui a assigné eBay en justice en décembre 2007 pour infraction de la loi du 10 juillet 2000. Cette loi stipule que pour obtenir le statut de courtier aux enchères en ligne, un site doit respecter deux critères : l'absence d'adjudication, ainsi que l'absence d'intervention d'un tiers dans la conclusion de la vente. En d'autres termes, le site doit se contenter de mettre en relation vendeurs et acheteurs, sans s'immiscer dans les négociations. Plus qu'un hébergeur, «un véritable opérateur, rémunéré deux fois» [[page]]Au terme d'une enquête, le Conseil des ventes aux enchères a constaté qu'eBay bafouait ces deux conditions, et a donc porté l'affaire en justice. Demain aura lieu l'échange des mémoires rédigés par les avocats des deux partis, et le TGI de Paris devrait rendre son jugement en septembre ou en octobre prochain. « Ebay ne bénéficie pas du statut de simple hébergeur derrière lequel il se réfugie pour se défendre, explique Christian Eoche-Duval, secrétaire général du Conseil. Il s'agit d'un véritable opérateur qui se fait rémunérer à deux reprises, à la mise en vente ainsi qu'à la conclusion de la vente. Il doit donc respecter la loi et garantir à ses clients la conformité, l'origine et l'authenticité des objets qui sont vendus par son intermédiaire, au même titre que n'importe quel commerçant ». Ebay se défend en affirmant qu'il a développé des mesures de contrôle depuis 2006. Le Conseil des ventes aux enchères balaie immédiatement cet argument : « Contrairement à d'autres sites, eBay ne se soumet pas aux régulations d'enchères publiques et se contente de s'autocontrôler à sa guise, alors qu'il existe des outils de monitoring efficaces et reconnus », souligne Christian Eoche-Duval. Ebay a d'ores et déjà annoncé son intention de faire appel de la décision de justice du tribunal de commerce de Paris. (...)
(30/06/2008 15:40:46)L'UFC-Que Choisir bataille pour le droit d'acheter un PC nu
Le jugement rendu la semaine dernière par le TGI de Paris, qui condamnait Darty à afficher le prix des logiciels pré-installés sur les PC proposés à la vente, ne contente pas l'UFC-Que Choisir. L'association, qui était à l'origine des poursuites, déplore que le tribunal n'ait pas donné de suite favorable à son autre demande, concernant la possibilité d'acquérir une machine nue, c'est-à-dire sans logiciel ni système d'exploitation. Sur ce volet, le TGI a préféré suivre les conclusions d'une étude réalisée à la demande de Darty, qui concluait que « l'intérêt actuel des consommateurs est encore d'acheter des ordinateurs liés à un système d'exploitation, dans la pratique toujours le même, Windows ». Un argumentaire qui rappelle les propos tenus par Luc Chatel : le secrétaire d'Etat à la Consommation expliquait l'an dernier que si les juges n'appliquent pas strictement le code de la consommation réprouvant la vente liée, c'est avant tout pour garantir le bon fonctionnement de l'ordinateur. L'association de consommateur fait part de son intention d'interjeter appel de la décision du TGI de Paris. « Le véritable intérêt du consommateur réside dans son pouvoir de choisir entre un ordinateur préinstallé ou un ordinateur nu », assène Que Choisir. Cette semaine, la DGCCRF doit remettre les conclusions de son rapport sur ce sujet avant de réunir industriels et consommateurs pour tenter de trouver un terrain d'entente. (...)
(30/06/2008 15:05:44)France Telecom retire son offre sur TeliaSonera
C'est par un communiqué en date du lundi 30 juin que France Telecom annonce qu'il jette l'éponge dans sa tentative d'acquisition de TeliaSonera, initiée le 5 juin dernier. Il ne soumettra donc pas d'offre ferme aux actionnaires de l'opérateur télécoms scandinave. La proposition de l'opérateur français se sera heurtée aux exigences financières du Conseil d'Administration de TeliaSonera. France Télécom avait mis au départ plus de 27 milliards d'euros sur la table. L'offre se répartissait à 52% en « cash » et à 48% par actions. Elle avait été immédiatement rejetée par Tom von Weymarn, le PDG de TeliaSonera qui la trouvait insuffisante. France Telecom avait indiqué que s'ouvrait alors une période d'une quinzaine de jours afin de mener à bien des négociations sur d'autres aspects que financiers. Des rumeurs ont couru que l'opérateur hexagonal avait également accepté d'augmenter sa mise, sans succès donc. L'opérateur TeliaSonera est né du mariage en 2002 du suédois Telia et du finlandais Sonera. Ce groupe gère 36 millions d'abonnés et a réalisé 10 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2007. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |