Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 14631 à 14640.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(18/06/2008 18:33:54)
Julien Codorniou rejoint le programme Idées en version américaine
Après avoir ardemment défendu les start-up françaises, Julien Codorniou, responsable des partenariats avec les éditeurs innovants chez Microsoft France et en charge du programme Idees de soutien aux start-up lancé par la filiale, s'apprête à rejoindre Microsoft Corp. Il y prendra part, dès la fin juin, à un nouveau programme de partenariat mondial pour les start-up, avec le titre de "global startup program manager", et s'emploiera à déployer Idees, en particulier dans les pays à « fort potentiel » que sont la Chine, l'Inde ou encore le Brésil. C'est en octobre 2005 que Microsoft France a pris l'initiative de créer Idées avec l'objectif de soutenir les petites entreprises innovantes engagées dans le développement de logiciels. Marc Jalabert, directeur de la division Plateforme et Ecosystème de la filiale, et Julien Codorniou se sont, depuis, fortement impliqués dans ce projet ambitieux qui a même attiré l'attention de Microsoft Corp il y a déjà plusieurs mois. Les résultats obtenus dans l'Hexagone par le programme ont d'ailleurs convaincu Redmond de répliquer cette démarche dans d'autres pays, avec le Microsoft Startup Accelerator Programme. (...)
(18/06/2008 18:20:50)Le marché des logiciels de gestion du stockage trusté par 5 acteurs
Selon le cabinet Gartner, cinq fournisseurs détiennent 74% du marché des logiciels de gestion du stockage en 2007. Leurs parts de marché s'accroissent notamment via le rachat de petites sociétés. Ce sont toujours les mêmes aux places d'honneur. Cette fois-ci, la discipline considérée est « les logiciels de gestion du stockage » ou SMS (Storage Management Software) dans la terminologie du cabinet Gartner. Cela comprend énormément de sous-catégories : gestion des sauvegardes, de la réplication des données ainsi que l'archivage, de la déduplication ou de la virtualisation. Pour 2007, on trouve sur le podium : premier EMC (27% de parts de marché), deuxième Symantec (18%) et troisième IBM (13%). La plus forte croissance concerne Netapp, qui arrive en quatrième position avec 10% de parts de marché, et une croissance de 36% entre 2006 et 2007. HP est en cinquième place (6% de parts de marché). Forte croissance des solutions de sauvegarde et de réplication des données Le marché total a pesé 10,6 milliards de dollars en 2007, soit 12,2% d'augmentation par rapport à 2006. L'aiguillon est venu d'une forte croissance des solutions de sauvegarde et de réplication des données. La sauvegarde a crû de 11,4%, atteignant 2,6 milliards de dollars. Qu'est-ce qui explique une telle croissance pour des produits que l'on aurait pu croire déjà installés en nombre dans les entreprises ? « La migration vers la virtualisation a nécessité de sauvegarder les données. De plus, les entreprises ajoutent des options spécifiques par application, ainsi que la protection des sites distants. Enfin, la rénovation des architectures de sauvegarde des grandes entreprises a amené des achats dans ce domaine , affirme Alan Dayley, directeur de recherche, chez Gartner. En 2007, le top 5 des vendeurs détient 74% du marché des logiciels de gestion du stockage. Leurs parts de marché érodent lentement celles d'acteurs plus petits, essentiellement par le biais de rachats ou via l'extension de leurs offres vers l'archivage, la déduplication ou la virtualisation. La plus forte croissance pour le stockage hiérarchique Le segment technique qui a connu la croissance la plus forte est le HSM (stockage hiérarchique) et l'archivage, avec une percée de 30% en 2007. « Cela s'explique par le doublement des données stockées chaque année par beaucoup des grandes entreprises, qui réclame des outils ad hoc de gestion de grandes quantités de données, réparties entre plusieurs types d'unités de stockage, de différents coûts, conclut Alan Dayley. (...)
(18/06/2008 18:07:02)La loi Hadopi adoubée par le conseil des ministres
Le conseil des ministres a examiné ce matin le projet de loi Création et Internet, qui vise à combattre le téléchargement illégal sur le Web. Un texte qui répond, selon Christine Albanel, la ministre de la Culture, à une urgence née du « pillage grandissant des oeuvres sur les réseaux numériques ». Nicolas Sarkozy lui-même a adoubé le catalogue des mesures en expliquant qu'il « n'y a aucune raison qu'Internet soit une zone de non-droit ». Si Christine Albanel se réjouissait, la semaine dernière, de la validation par le Conseil d'Etat de l'ensemble des options proposées par le gouvernement, nos confrères des Echos révélaient dans la foulée que le juge administratif avait en réalité retoqué certaines dispositions. La riposte graduée validée De fait, il apparaît que certaines des réserves exprimées par le Conseil d'Etat semblent avoir été entendues par le gouvernement. Ainsi, le mécanisme de la riposte graduée, qui vise à sanctionner les auteurs de téléchargements illicites en suspendant leur abonnement à Internet pendant un an au maximum, est-il désormais explicitement détaillé dans le projet de loi. Le Juge suprême déplorait que le texte initial ne détaillât pas les différentes étapes de la riposte graduée, suggérant implicitement que la suspension de l'abonnement pouvait être prononcée sans qu'un avertissement n'ait nécessairement été adressé auparavant. Le projet de loi prévoit en outre que les internautes sanctionnés pourront voir la durée de suspension de leur abonnement réduite s'ils acceptent une transaction avec la Haute autorité pour la diffusion des oeuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi). En d'autres termes, une pénalité pourra être allégée à l'issue d'une négociation menée en dehors de toute sphère juridique. Cette privatisation du règlement des conflits ne constituera pas une grande surprise pour qui suit les prises de position exprimées depuis plusieurs mois par la ministre de la Culture, notamment sur le sujet de la riposte graduée. Néanmoins, et c'est là la deuxième admonestation exprimée par le Conseil d'Etat et suivie par le projet de loi, les sanctions prononcées par l'Hadopi pourront « faire l'objet d'un recours contentieux devant le juge judiciaire », et pas devant le tribunal administratif comme le prévoyait initialement le texte. Des questions encore sans réponse La présentation du projet tel qu'il a été examiné en conseil des ministres ne fait en revanche pas référence à d'autres points soulevés par le Conseil d'Etat, certains d'entre eux étant pourtant particulièrement importants. C'est notamment le cas du laps de temps qui séparera l'adoption de la loi et son entrée en vigueur. Le juge administratif se range aux côtés de l'Arcep pour exiger un délai d'application, arguant de ce que les nouvelles mesures feraient peser des obligations sur les FAI, pas nécessairement préparés à cela. Enfin, le Conseil d'Etat ne veut pas confier à l'Hadopi le pouvoir de mettre en place des mesures de filtrage, contrairement à ce que prévoyait initialement le projet de loi. Les commentaires du gouvernement à l'issue du conseil des ministres ne permettent cependant pas de savoir si cette réserve a été suivie. Un texte clairement inspiré par les industries culturelles Soucieuse de ne pas axer son discours sur le seul combat mené contre les internautes s'adonnant au téléchargement illégal, la ministre de la Culture a tenu à rappeler que son projet s'accompagne de promesses tenues par les industries culturelles. Celles-ci s'engagent notamment à « améliorer l'offre légale en mettant plus rapidement les films à disposition sur Internet [et à] retirer les dispositifs techniques de protection bloquant des productions musicales françaises ». Sanctions pour les internautes, simples engagements du côté des industriels, les mauvaises langues souligneront que la balance répressive penche essentiellement du côté des particuliers. Normal, rétorqueront d'autres mauvais esprits, le texte s'appuie sur les accords de l'Elysée, élaborés avec 47 organisations représentant les industries de la culture. (...)
(18/06/2008 17:07:55)Red Hat rend JBoss disponible sur Amazon EC2
Un peu plus de 6 mois après son Linux, Red Hat met désormais son serveur d'applications Java Open Source JBoss sur la grille en ligne d'Amazon, EC2. L'Elastic Compute Cloud d'Amazon est une offre d'informatique à la demande, permettant d'utiliser une infrastructure matérielle et logicielle pour une tarification à l'usage. Le serveur d'applications JBoss pourra ainsi être facturé 119$ par mois, ou bien à partir de 1,21$ par instance et par heure, en sus des frais facturés par Amazon pour l'utilisation de la bande passante et des capacités de stockage. Les clients actuels de JBoss pourront aussi choisir de payer leur licence et d'héberger l'application sur la grille d'Amazon. Côté tarifs, explique Sacha Labourey, directeur technique de la division middleware de Red Hat, « la facture sur un an est évidemment plus élevée que si on achetait tout soi-même, mais avec environ 15 000 dollars pour un an d'utilisation du matériel, de Linux et du serveur d'applications, nous restons dans des prix tout à fait abordables. » La promesse d'affecter souplement de nouvelles ressources à une application De toute façon, l'ambition de cette offre n'est absolument pas de remplacer tous les usages du middleware Java. « Nous n'avons pas encore complètement codifié tous les cas d'utilisation pour le 'cloud computing', mais il y en a déjà un certain nombre », avance Sacha Labourey. Qui cite « toutes les tâches limitées dans le temps comme, par exemple, la billetterie de l'Euro 2008. Cela dure quatre mois, donc est-il nécessaire d'investir ? Probablement pas. » [[page]] Les solutions d'informatique à la demande telles qu'EC2 permettent en effet de créer ce type d'application sans investir outre mesure. En outre, les capacités peuvent être étendues simplement pendant les heures où sont prévues les pics d'affluence. « On ne parle pas de milliseconde, précise Sacha Labourey, mais le provisioning [réservation des ressources, NDLR] est très rapide. » Plutôt pour des besoins précis et des applications autonomes L'offre est donc plutôt destinée à des applications autonomes, dans des start-up ou de grandes entreprises souhaitant tester un projet ou déployer rapidement une application pour un besoin précis. « Il serait vain d'imaginer pouvoir sauter dans le cloud avec des données qui resteraient à des milliers de kilomètres de là dans un progiciel », reconnaît le directeur technique de JBoss. Toutefois, l'application peut aussi être ouverte aux échanges de données : tout dépend, explique Sacha Labourey, d'une chose, le temps de latence. « Si c'est un élément critique, alors il sera probablement difficile de déployer l'application dans le 'cloud'. » Cette offre de JBoss à la demande est aujourd'hui en bêta. Cela dit, EC2 lui-même est un service proposé en bêta par Amazon. A noter, EC2 héberge un autre système d'exploitation Open Source que Red Hat : OpenSolaris de Sun. (...)
(18/06/2008 16:12:11)Bruxelles livre un blanc-seing aux 27 pour écarter Microsoft des appels d'offre
La Commission européenne continue de s'en prendre à Microsoft : après avoir annoncé que l'UE n'excluait pas une nouvelle procédure contre l'éditeur, Bruxelles adresse implicitement un blanc-seing aux Etats membres pour qu'ils écartent le géant de Redmond de leurs appels d'offres. Tout démarre par une question adressée à la Commission par les euro-députés Heide Rühle et Alain Lipietz. Les élus veulent savoir si Microsoft continue de remplir les conditions nécessaires pour participer aux procédures d'attribution des marchés en dépit de ses condamnations pour abus de position dominante prononcées par l'exécutif européen. Plus précisément, les édiles s'interrogent sur l'applicabilité de l'article 93 du règlement financier applicable au budget des Communautés européennes. Celui-ci liste les cas dans lesquels un candidat peut se voir exclu d'un marché. La réponse de Bruxelles tombe le 9 juin : si la Commission ne saurait exclure a priori Microsoft des appels d'offre sur la seule base des infractions qu'elle a elle-même constatées, elle laisse les Etats-membres libres d'écarter l'éditeur. C'est le troisième point évoqué par l'article 93 qui justifie la position de l'exécutif communautaire, en ce qu'il prévoit l'exclusion des acteurs ayant commis une « faute grave constatée par tout moyen que les pouvoirs abjudicateurs peuvent prononcer ». Dès lors, il incombe aux Etats membres de prendre leurs responsabilités et de choisir, ou non, d'évincer l'éditeur de Windows : « l'interprétation de cette disposition nécessiterait à présent une appréciation au cas par cas, qui ne peut avoir lieu que dans le cadre d'une procédure de passation de marché public en cours », précise Bruxelles. Une phrase qui semble signifier que, si la Commission n'a pas les moyens juridiques d'exclure, par principe, Microsoft, elle laisse le champ libre aux 27 et les appuiera le cas échéant s'ils décident d'écarter le géant du logiciel. Rappelons que la Commission a prononcé une amende de 497 M€ en 2004 pour abus de position dominante sur le marché des systèmes d'exploitation. Une sanction assortie de l'obligation de vendre une version de Windows allégée de Media Player, ainsi que de publier certains de ses protocoles en vue d'une plus grande interopérabilité dans les serveurs. En février 2008, nouvelle condamnation : l'éditeur écope cette fois d'une pénalité de 899 M€ pour ne s'être pas soumis aux obligations édictées en 2004. (...)
(18/06/2008 15:33:15)Pourquoi Microsoft soigne de plus en plus l'Open Source
Microsoft estime avoir changé, ou plutôt « évolué ». « Nous sommes passés par plusieurs phases d'expérimentation pour comprendre, nous positionner et tester les projets Open Source » explique Marc Gardette, responsable du groupe architectes de la division développeur et plateforme entreprise de Microsoft France. Certes, l'éditeur participe depuis ces deux dernières années au monde libre, ne serait-ce qu'avec Codeplex, sa plateforme d'hébergement de projets Open Source. Il multiplie les partenariats avec la communauté en travaillant avec Novell, Apache et même Mozilla. Enfin, il sponsorise cette année des organisations telles l'Open Source Census et l'Oscon (Open Source Convention) qui a lieu le mois prochain à Portland aux Etats-Unis. Microsoft reconnaît qu'il « ne peut se couper des stacks open source qui fonctionnent très bien sur Windows ». Objectif avoué : optimiser l'interopérabilité avec les plateformes Windows, les valoriser et être présent sur tous les marchés. Bref, rester compétitif. « Nous voulons travailler avec tous les acteurs de l'écosystème, y compris ceux de l'Open Source, précise Marc Gardette. Nous tenons à ce que les produits concurrents fonctionnent aussi bien sur Windows que sur d'autres systèmes. » Et même si le recensement actuel des applications Open Source installées par l'Open Source Census n'est pas du tout exhaustif, il donnera selon ce responsable, une idée de la popularité des produits Open Source installés. Toutes les occasions sont bonnes pour Microsoft de rallier le plus possible de produits libres à son univers. (...)
(18/06/2008 12:14:34)La lutte contre la guerre informatique déclarée priorité du gouvernement
« La guerre informatique est devenue une réalité » a mentionné le Chef de l'Etat hier, lors de la présentation du nouveau Livre blanc sur la Défense. Celui-ci redéfinit la stratégie nationale en termes de sécurité pour les quinze prochaines années. Le document de référence inclut une dizaine de volets, dont la sécurité informatique. Il prévoit une hausse du niveau technologique des trois armes du pays et une meilleure protection des systèmes informatiques. Les attaques informatiques sont ainsi considérées par Nicolas Sarkozy comme critiques, au même titre que les menaces terroristes, nucléaires et biologiques. Les cyberattaques identifiées dans le Livre blanc peuvent provenir de divers types d'acteurs (hackers, groupes terroristes, Etats...), utiliser diverses armes (virus, 'chevaux de Troie', blocages malveillants...) et viser plusieurs objectifs (terrorisme, espionnage militaire ou économique...). Le document pointe l'importance de la défense cybernétique, de la guerre de l'information dans un univers d'informatique quantique et le développement des nouveaux systèmes de renseignements satellitaires. Création d'une agence de la sécurité des systèmes d'information [[page]] Pour faire face aux menaces visant les systèmes informatiques vulnérables, le gouvernement décide de créer une agence de la sécurité des systèmes d'information. Elle sera constituée à partir de l'actuelle direction centrale de la sécurité des systèmes d'information créée en 2001. Son rôle consistera à « détecter et réagir au plus tôt, en cas d'attaque informatique ». Cette officine aura aussi vocation à développer « une offre industrielle de produits de très haute sécurité pour la protection des secrets de l'Etat ». Des produits cryptographiques seront notamment mis à la disposition des administrations concernées. L'état-major des armées et les services spécialisés devront piloter toutes ces « capacités » de lutte informatique (surveillance et détection des attaques entre autres). Cette nouvelle stratégie qualifiée d'offensive et défensive consistera à « riposter » en cas d'attaque, ne serait-ce que pour « neutraliser » les systèmes d'information et de commandement des adversaires. Enfin, cette agence devra informer le grand public par le biais du portail gouvernemental securite-informatique.gouv.fr. (...)
(18/06/2008 12:05:54)LinkedIn lève 53 M$ pour partir à la conquête de l'Europe
LinkedIn, le réseau social pour les professionnels, vient de conclure une quatrième levée de fonds d'un montant de 53 M$ auprès de quatre investisseurs, dont un nouvel arrivé, Bain Capital Venture (qui a déjà investi dans DoubleClick par exemple). L'un de ses associés, Jeffrey Glass, rejoint d'ailleurs le conseil d'administration de LinkedIn. Les trois autres fonds d'investissements sont Sequoia Capital, Greylocks Partners et Bessemer Venture Partners. Cet apport financier porte le montant total des levées de fonds réalisées par LinkedIn à 80 M$ en quatre ans, et valorise la société américaine à 1 Md$. Grâce à cette somme, LinkedIn souhaite développer des partenariats et asseoir sa présence en Europe, concurrençant ainsi frontalement des sites communautaires professionnels comme le Français Viadeo ou l'Allemand Xing. LinkedIn compte par ailleurs sur la robustesse de son modèle économique pour concrétiser ses ambitions. En effet, contrairement à des réseaux sociaux extrêmement populaires comme Facebook (dans lequel Microsoft a investi 240 M$ en octobre dernier, valorisant ainsi la société à 15 Md$) ou MySpace, la viabilité du site professionnel ne repose pas uniquement sur les gains publicitaires ou le taux d'audience, mais également sur une série de prestations payantes proposées à ses adhérents : recherche d'emploi personnalisée, abonnements premiums et services aux entreprises. Cette diversité de services et de sources de revenus devrait permettre à LinkedIn de dégager un chiffre d'affaires de 100 M$ en 2008. « LinkedIn est rentable depuis 18 mois, souligne Kevin Eyres, directeur général Europe de l'entreprise. Notre objectif est de créer de la valeur ajoutée pour notre base d'adhérents. Les fonds que nous venons de récolter nous permettront de déployer notre stratégie et de devenir l'outil business de référence, sans subir de pression financière », ajoute-t-il. LinkedIn revendique 23 millions de membres dans le monde, ainsi qu'une croissance des inscriptions de l'ordre de 108% chaque année. (...)
(18/06/2008 09:27:13)Adobe ajoute à LiveCycle la gestion de contenus d'Alfresco
Dans une mise à jour, prévue pour juillet, Adobe apporte de nouveaux composants à LiveCycle Enterprise Suite (ES). Cette suite de logiciels sert à créer des workflows documentaires complets circulant de façon sécurisée dans l'entreprise et au-delà du pare-feu. L'un des apports notables de cet « Upgrade 1 » réside dans l'ajout de services de gestion de contenus issus de l'offre Open Source de l'éditeur Alfresco. Ils permettront de créer et de gérer des contenus qui seront insérés dans les processus de circulation de documents générés avec LiveCycle ES. Rappelons qu'en décembre dernier, Adobe avait mis en Open Source certains outils d'échange de messages utilisés dans la brique Data Services de LiveCycle ES. Le développement rapide d'applications et l'intégration de données 2D et 3D L'Upgrade 1 dispose aussi de composants destinés au développement rapide d'applications Internet exploitant des contenus. Il apporte par ailleurs une intéressante fonction de conversion de fichiers 2D et 3D au format PDF. Un moyen de visionner ces données graphiques avec le lecteur gratuit Adobe Reader sans disposer de l'application ayant servi à les créer (plus de 40 formats sont supportés au total). L'an dernier, Adobe avait inclus le support de la technologie Flex dans sa suite LiveCycle ES. Un apport destiné à développer des interfaces plus attractives -en exploitant la technologie Flash- et surtout plus interactives pour les applications destinées à récupérer des données auprès de multiples destinataires. (...)
(18/06/2008 09:29:38)Seules 54% des PME estiment que leur informatique permet d'augmenter leur CA
Les 602 dirigeants de PME et responsables d'achats interrogés par l'Ifop (*) livrent une image très contrastée de l'utilité de leur informatique. Côté positif, on trouve le gain de temps, un meilleur suivi de l'activité, l'amélioration de la qualité de service rendu. En regard, les points à perfectionner paraissent flagrants. D'abord, l'impact sur le chiffre d'affaires, puisque 21% seulement des chefs d'entreprise sont d'accord pour dire que leur informatique permet d'améliorer ce CA. 33% se disent « tout à fait d'accord ». Un total de 54% estiment donc que leur informatique améliore leur business. D'autres bémols entrent en ligne de compte. L'informatique est « anxiogène » pour les salariés, 31% des chefs d'entreprise soulignant le stress ainsi généré dans leur entreprise. 81% trouvent également le sujet très, voire trop, technique. Et 63% jugent l'investissement trop cher. Le renouvellement du matériel en tête des motivations d'achat En terme de motivation d'achats, les PME interrogées sont claires. En tête des réponses vient le renouvellement de matériel devenu obsolète (62%). Une motivation sage, derrière laquelle on retrouve le remplacement d'un matériel défectueux (47%) et la réponse à un besoin nouveau (45%). Plus loin se bousculent la demande des salariés-utilisateurs (24%), le conseil d'un prestataire (20%), l'émergence d'un matériel nouveau (13%), une offre promotionnelle (10%) et une offre intégrée multi-services (7%). Seules 2% des personnes interrogées n'ont pas répondu. Une fois la décision d'achat prise, comment s'oriente le choix ? Là encore, des réponses très nettes, avec en tête trois critères de choix : la compatibilité avec les autres produits et services (65%), le coût (65%), la facilité d'usage (62%). Loin derrière se retrouvent : la sécurité (46%), la facilité d'entretien (27%), la notoriété du produit (25%), une offre intégrée (20%). Deux tiers des PME préfèrent un prestataire unique [[page]]Après avoir exploré l'aspect client final, l'étude scrute la relation des PME avec leurs prestataires et d'abord le nombre moyen de ces prestataires en PME. 96% d'entre elles en ont au moins un, 25% un seul et unique, 27% en ont deux. Seuls 9% en ont plus de 5. La moyenne se situe donc à trois. Voilà pour le constat. Quant aux attentes, elles sont sans ambiguïté : 66% préfèrent se fier à un prestataire unique. L'étude demande également aux PME si elles sont disposées à externaliser leur informatique. Pour l'activité logiciels et applications, elles sont 24% à souhaiter le faire en totalité, 29% en partie, mais 47% s'y refusent. 23% souhaitent avoir recours à un prestataire pour la protection, sécurité et données dans leur totalité. 52% n'en ont pas du tout l'envie. Côté support, technique, matériel informatique et serveurs, 58% penchent pour l'externalisation. Enfin, pour le stockage de données, les réponses sont voisines avec 64% de volontaires. (*) Etude commanditée par Risc Group et Panda Software (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |