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(05/06/2008 15:57:04)

SQLI recrute cinquante consultants SAP

La société de services SQLI (1 700 collaborateurs) cherche à recruter une cinquantaine de consultants pour accompagner le développement de son pôle SAP, en France, en Belgique, aux Pays-Bas et au Luxembourg. Le groupe a créé ce pôle d'expertise de haut niveau grâce au rachat du cabinet EoZen, en décembre dernier. La condition sine qua non pour postuler : posséder une expertise d'un à deux ans minimum sur les outils de SAP en Business Intelligence (décisionnel) et CRM (gestion de la relation client), sur la plate-forme d'intégration NetWeaver, sur l'offre R/3, et également sur l'application dédiée à la gestion de la relation avec les fournisseurs, SAP SRM. Conscients de la nécessité d'assurer parallèlement une formation en interne, SQLI ouvrira un cursus spécialisé sur BW, le datawarehouse de SAP, ainsi que sur SAP CRM, dès cet été. Au début de l'année, la SSII avait annoncé 650 recrutements de spécialistes des technologies Internet (Java/J2EE, .net, PHP) et de SAP (R/3 et NetWeaver). (...)

(05/06/2008 15:45:59)

France Telecom justifie sa proposition de rachat de TeliaSonera

Didier Lombard, le PDG de France Télécom n'avait pas caché qu'il voulait faire des acquisitions. Mais alors que les marchés s'attendaient à des opérations dans les pays émergents, c'est au nord de l'Europe que le groupe français a jeté son dévolu. - Et plus précisément sur TeliaSonera, l'opérateur télécom né du mariage en 2002 du suédois Telia et du finlandais Sonera. Pour acquérir ce groupe de 36 millions d'abonnés et de 10 milliards d'euros de chiffre d'affaires (en 2007), France Télécom est prêt à mettre sur la table plus de 27 milliards d'euros. L'offre qui se répartit à 52% en « cash » et à 48% par actions a été immédiatement rejetée par Tom von Weymarn, le PDG de TeliaSonera qui la trouve insuffisante. Une réaction qui n'inquiète pas France Télécom Mais cette réaction n'inquiète pas Didier Lombard : « ce n'est pas un scoop pour moi. Je le savais parce que nous en avons discuté ensemble cette nuit. Mais les deux groupes se laissent 15 jours pour réfléchir. Et d'ici là, les points de vue ont le temps de se rapprocher». Quoiqu'il en soit, le PDG de France Télécom refuse de modifier la parité entre le cours des actions de chacun des deux groupes et qui a été retenue pour établir sa proposition financière. Il compte bien mener à terme cette opération qui si elle est finalement acceptée pourrait être bouclée au dernier trimestre 2008. Didier Lombard estime qu'il existe d'autres éléments non monétaires qui peuvent séduire TeliaSonera lors de la négociation. Des éléments qu'il a refusé de détailler, car "il ne s'agit pas de mener la négociation sous le feu des projecteurs". Le quatième opérateur mondial L'acquistion ferait du nouveau groupe le quatrième opérateur télécoms au monde derrière AT&T, Verizon et NTT. L'annonce de cette OPA fut-elle amicale n'a pas plu aux marchés. A la mi-journée, l'action France Télécom dévissait de 4,5% à 18,35 euros. Tous les investisseurs se demandent pourquoi France Télécom veut acquérir un opérateur dont une grande partie de l'activité se fait dans des pays matures (Suède, Finlande, Espagne...) à faible croissance et où la concurrence est très forte. [[page]]« Avec TeliaSonera, nous allons atteindre deux des trois objectifs que nous nous sommes fixés. A savoir, nous renforcer sur des actifs essentiels dans les pays matures et augmenter notre exposition dans les pays à forte croissance, répond Didier Lombard à ses détracteurs." De fait, TeliaSonera est particulièrement présent dans les pays émergents et notamment dans les pays baltes et les anciennes républiques soviétiques (Kazakhstan, Azerbaïdjan, Ukraine...). Il détient par ailleurs 44% de l'opérateur russe Megafon et 37% de l'opérateur turc, Turkcell. De son côté, l'opérateur français est très bien implanté en Afrique, mais encore peu présent dans les régions où TeliaSonera se développe. L'acquisition de TeliaSonera peut lui permettre de compléter sa couverture géographique et ainsi de contrer les offensives de Vodafone et autres Orascom qui n'ont pas caché leur appétit pour ces marchés. France Télécom veut grossir Mais il n'y a pas que le portefeuille de pays émergents qui semble avoir poussé France Télécom à se lancer dans cette aventure. « Dans les pays matures, il faut élargir le socle d'opérations des activités, a répété Didier Lombard. En clair, en grossissant, France Télécom a plus de poids vis-à-vis de ses fournisseurs. Ainsi l'ensemble des synergies découlant de la fusion se monterait à 1% du chiffre d'affaires du nouveau groupe. Mais surtout en devenant le quatrième opérateur mondial, France Télécom va pouvoir peser un peu plus face aux grands acteurs de l'Internet comme Google, Yahoo, YouTube... que Didier Lombard accuse régulièrement d'utiliser ses autoroutes (les câbles et les fibres) sans qu'il en tire profit. C'est d'ailleurs pour changer ces règles du jeu et récupérer une partie de la manne financière générée par les contenus que France Télécom se lance actuellement dans la production de nouveaux services (vidéo à la demande, Catch up TV, publicité...) tout en misant sur sa nouvelle force de frappe pour les imposer face à ceux des fournisseurs américains. (...)

(05/06/2008 15:05:07)

Intel condamné pour abus de position dominante en Corée

La Corée du Sud vient d'infliger une amende de 25 M$ à Intel en répression de son abus de position dominante sur le marché des processeurs. Le régulateur coréen reproche au fondeur d'avoir offert des ristournes sur ses produits aux constructeurs de PC - dont Samung et Trigrem - qui acceptaient de ne pas s'approvisionner auprès d'AMD. Une pratique, observée entre 2002 et 2005, réprouvée par les règles de concurrence du Pays du matin calme. Sans surprise, Intel désapprouve la décision du régulateur et indique qu'il interjettera appel. Le fondeur, par l'intermédiaire de Bruce Sewell, son responsable des affaires juridiques, estime que la commission de la concurrence coréenne n'a pas examiné avec suffisamment de diligence les pièces qu'il a fournies. A l'inverse, AMD, largement distancé par Intel en termes de parts de marché, boit du petit lait : « Ce n'est pas du tout une surprise pour moi, étant donné le comportement passé d'Intel et ce qui se passe dans plusieurs pays », commente ainsi Patrick Morehead, vice-président marketing du groupe. Le Japon et l'Europe ont déjà, elles aussi, accusé Intel Il fait ici référence aux actions intentées par d'autres régulateurs nationaux contre les agissements anticoncurrentiels d'Intel. En 2005, le Japon établissait que le fondeur s'était rendu coupable d'abus de position dominante pour les mêmes faits que ceux relevés en Corée. L'an dernier, c'est l'Union européenne, toujours prompte à combattre les pratiques antitrust, qui ouvrait une enquête sur les ristournes visant à évincer AMD. La défense d'Intel était, à l'époque, la même qu'aujourd'hui : ces remises sont légales et n'ont d'autre but que de profiter aux consommateurs. (...)

(05/06/2008 14:59:52)

IBM livre sa suite Symphony en version 1.0, toujours gratuite

En version bêta depuis septembre dernier, la suite bureautique Symphony d'IBM est maintenant livrée en version 1.0 et gratuitement téléchargeable. Cet ensemble de logiciels en Open Source, qui se compose de trois applications principales (Documents, Spreadsheets et presentations), s'inscrit clairement en concurrent de Microsoft Office. Symphony s'appuie sur la très populaire OpenOffice (livrée ces temps-ci avec nombre de portables à bas coût). Mais, surtout, la suite d'IBM exploite bien sûr le fameux ODF, format bureautique ouvert, grand rival de l'OOXML, mais que Microsoft lui-même vient de s'engager à intégrer à sa propre suite début 2009. Un million d'utilisateurs de la bêta, selon IBM A sa mise à disposition, à l'automne 2007, la version bêta de Symphony a suscité 100 000 téléchargements dès sa première semaine. Selon IBM, près d'un million d'utilisateurs l'auraient aujourd'hui testée (elle est disponible en 24 langues). Déjà Open Source, mais qui plus est très versée dans le Web 2.0, elle permet à ceux qui l'utilisent d'influencer les futurs développements. En janvier dernier, sur sa conférence utilisateurs Lotusphere, IBM avait annoncé des API (interfaces de programmation) pour ouvrir sa suite aux extensions et l'intégrer, dans l'entreprise, avec les autres applications du système d'information. IBM propose par ailleurs un kit de développement gratuit sur le site de Symphony pour que les développeurs indépendants puissent concevoir des plug-ins de toutes sortes et créer des applications composites. Les grandes entreprises pourront disposer d'un support payant IBM assortit cette version 1.0 d'une offre de support technique distant illimité (Elite Support). Destinée aux grandes entreprises, celle-ci est disponible sur la base d'un abonnement annuel associé aux programmes d'achat de licences en volume Passport Advantage ou Passport Advantage Express. Le support Elite revient à 25 dollars par personne pour 1 000 utilisateurs. En ligne, IBM se fait un plaisir de montrer la facilité avec laquelle on peut récupérer sur Symphony ses documents Word, Excel ou PowerPoint. (...)

(05/06/2008 13:24:25)

L'Europe autorise le Wimax sur les réseaux mobiles

La technologie Wimax vient de bénéficier d'un coup de pouce de la Commission européenne comme alternative aux évolutions des réseaux télécoms sans fil. Les instances européennes viennent de donner leur feu vert pour ouvrir les fréquences 3400 et 3800 MHz à des usages dits de "mobilité". Auparavant, elles n'étaient autorisées que pour des usages d'accès sans fil fixe ou nomade. La "mobilité" se définit par la possibiltié de conserver une connexion en déplacement, le réseau gérant le passage de cellule à cellule. C'est le cas pour les réseaux GSM. L'usage nomade ne permet que la connexion à une seule borne relai, perdue dès que l'on sort de sa zone de couverture. Un moyen de concurrencer la 3G A compter de 2012, la technologie Wimax, en version 802.16e-2005, sera donc exploitable sur des architectures réseau à même de concurrencer la 3G et ses éventuels successeurs. On ne peut que saluer la promesse d'une véritable concurrence comme ce fut le cas lorsque les FAI ont commencé à proposer de la téléphonie fixe. Aujourd'hui, les opérateurs de télécoms ne parviennent pas à faire décoller l'utilisation de la 3G pour des raisons évidentes de tarifs prohibitifs. On peut caresser l'espoir que Free, seule société en France à disposer d'une licence Wimax d'envergure nationale, vienne un jour stimuler l'agressivité commerciale de l'oligopole en place. (...)

(05/06/2008 13:13:55)

Pour IDC, XenDesktop est une bonne nouvelle malgré quelques défauts

IDC regarde d'un bon oeil l'arrivée de la solution de virtualisation des postes clients XenDesktop de Citrix. Associé à XenApp (virtualisation des applications), ce concurrent direct de Virtual Desktop Infrastructure (VDI) de VMWare devient un élément clé de l'offre de Citrix. XenDesktop illustre l'intégration réussie des technologies Xen de l'éditeur. Il trouve dans la virtualisation le second souffle qui pourrait le sortir de la niche des clients légers multiplateformes. XenDesktop se fait remarquer par son système de provisionnement qui permet de lancer jusqu'à 1000 machines virtuelles à partir d'une seule image disque. Un moyen d'e un gain d'espace de stockage et des réductions évidentes des coûts de maintenance applicative. De plus, XenDesktop et XenApp permettent un panachage des technologies pour virtualiser plus ou moins les postes clients. On appelle cela de la flexibilité. Les difficultés derrière les avantages économiques IDC, qui considère donc l'approche de Citrix attrayante, énumère toutefois les principales difficultés à surmonter. La première sera celle de la montée en puissance des compétences dans le domaine, tant du côté des revendeurs que des utilisateurs. Ensuite, les avantages économiques de XenDesktop ont un revers : la complexité. Son déploiement ajoute une couche supplémentaire à l'infrastructure des systèmes d'information. Cela peut à tout le moins susciter de l'appréhension chez les DSI et les pousser à différer leur décision. XenDesktop n'est pas non plus la panacée. On connaît les difficultés à transmettre à distance le graphique et la vidéo. Ces domaines d'applications lourdes sont d'ailleurs hors du champ de la virtualisation. Autrement dit, si les communications unifiées prennent leur essor dans des entreprises qui choisissent des postes multimédia, XenDesktop n'est pas pour elles (...)

(05/06/2008 12:40:27)

Un régime fiscal simplifié pour les entrepreneurs

L'article premier de la loi de modernisation de l'économie (LME), qui a été voté hier à l'Assemblée, devrait soulager les informaticiens qui ont décidé de se mettre à leur compte. Désormais, une déclaration succincte (papier ou Internet) suffit pour enregistrer son entreprise. La création d'un nouveau régime permettra aux retraités et aux salariés d'exercer une activité indépendante accessoire pour compléter leur revenu. Mais surtout, et pour la première fois, l'auto entrepreneur pourra acquitter forfaitairement ses charges sociales et impôts (13% pour une activité commerciale et 23 % pour une activité de services) uniquement sur ce qu'il gagne, au lieu de cotiser avant la réalisation du premier euro de chiffre d'affaires. Les plafonds des revenus définissant les micro entreprises ont été relevés, dans la foulée, par les députés : ils passent à 32 000 € dans les services (au lieu de 27 000) et seront indexes les années suivantes, sur l'inflation. (...)

(05/06/2008 10:46:47)

Bisbille épistolaire entre Carl Icahn et Yahoo

Carl Icahn ne décolère pas. Le milliardaire américain, plus remonté que jamais contre Jerry Yang, le PDG de Yahoo, continue son travail de sape pour convaincre les actionnaires du portail de fusionner ce dernier avec Microsoft. Après qu'il eut annoncé avoir sélectionné dix candidats pour remplacer les membres du conseil d'administration de Yahoo lors de sa prochaine réunion annuelle - qui vient d'être repoussée au 3 août -, Icahn se fend d'une lettre épicée adressée à Roy Bostock, le président du groupe, dans laquelle il s'en prend vertement à Jerry Yang. Selon l'investisseur, le co-fondateur de Yahoo se serait rendu coupable de sabotage, notamment en faisant adopter une mesure octroyant de juteuses indemnités à ses salariés en cas de vente du portail Internet. La facture qu'aurait à payer Microsoft pour mettre la main sur Yahoo s'en trouverait alors alourdie de quelque 2 Md$. Carl Icahn qualifie ce plan de « pilule empoisonnée », et accuse Jerry Yang et le conseil d'avoir manigancé ce stratagème pour « rendre pratiquement impossible le maintien de Microsoft à la table des négociations ». Le milliardaire appelle le conseil d'administration à abandonner le plan d'indemnisation des salariés. La meilleure méthode pour y parvenir consistant à débarquer Jerry Yang et les autres membres, puis à les remplacer par « un conseil qui négociera de bonne foi avec Microsoft et en lequel Microsoft pourra avoir confiance ». Réponse de Roy Bostock : le mécanisme de compensation mis en cause par Icahn n'a pour autre objet que de protéger les salariés du portail, dont la situation serait incertaine en cas d'acquisition par le géant de Redmond. Et le président de Yahoo de montrer que lui aussi sait se faire vindicatif, en notant que la lettre du frondeur déforme la réalité et « ne contient pas de plan crédible pour Yahoo ». (...)

(05/06/2008 10:18:23)

Paris offre un supercalculateur de 147 Tflop au Cines

La France et l'Europe fourbissent leurs armes pour devenir des acteurs de poids sur la scène des supercalculateurs. A l'occasion des journées Ter@tec sur le calcul haute performance, au Génocentre d'Evry, Valérie Pécresse, la ministre de la Recherche, a ainsi annoncé l'acquisition d'un cluster destiné au Cines, le Centre informatique national de l'enseignement supérieur, à Montpellier. D'une puissance de 147 teraflops - soit 147 000 milliards d'opérations en virgule flottante par seconde - le supercalculateur a coûté 9 M€ à l'Etat et devrait, selon la ministre, porter à 470 Tflop la capacité de calcul de la recherche académique. Une puissance atteinte notamment grâce aux améliorations apportées aux clusters installés au sein du CEA, du CCRT (Centre de calcul recherche technologie), de l'Idris (Institut du développement et des ressources en informatique scientifique) et du CNRS. Avec ses 147 Tflop, le supercalculateur du Cines se classe en 3e position du classement Top 500, qui recense les machines les plus puissantes du monde. Sur la première marche du podium, l'indéboulonnable Blue Gene d'IBM trône depuis 2004 et affiche une capacité de 478 Tflop. Ce chiffre risque cependant d'être prochainement balayé, après que Roadrunner aura pris son service. Lui aussi mis au point par IBM, ce cluster devrait être le premier de l'histoire à franchir le cap du petaflop. Une capacité impressionnante qui doit constituer, selon Valérie Pécresse, la prochaine étape à atteindre pour la France. Ou plutôt pour l'Europe, car un Etat isolé n'y parviendra pas. Une coopération internationale indispensable C'est pourquoi, 14 pays européens, dont la France, l'Allemagne, les Pays-Bas, l'Espagne et le Royaume-Uni, mettent en commun leurs efforts à travers le programme Prace (Partnership for advanced computing in Europe). Leur but : créer trois à cinq supercalculateurs d'une capacité minimum d'un petaflop en Europe. Doté par Bruxelles d'une enveloppe de 40 M€, Prace devra trouver d'importantes sources de financement pour atteindre ses fins. Les coûts de fonctionnement d'une installation petaflopique s'élèvent en effet entre 100 M€ et 200 M€ par an, selon Achim Bachem, du centre de recherche allemand de Jülich. Et il faut compter sur environ deux fois cette somme pour la construction. Le jeu en vaut la chandelle, si l'on s'en tient aux propos de Viviane Reding, la Commissaire à la Société de l'information, selon laquelle « les supercalculateurs sont les cathédrale de la science moderne, des outils essentiels pour repousser les frontières de la recherche au service de la prospérité et de la croissance européennes ». (...)

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