Flux RSS
108538 documents trouvés, affichage des résultats 14801 à 14810.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(04/06/2008 15:57:15)
Le CEO d'Unica dans les salles obscures aujourd'hui
Une aventure de jeunesse du cofondateur et patron d'Unica sort aujourd'hui dans les salles. Le film « Las Vegas 21 » raconte en effet comment un professeur (incarné par Kevin Spacey) et des étudiants du MIT (Massachusetts Institute of Technology) ont mis à profit leurs connaissances en mathématiques et en statistiques pour écumer les tables de Black Jack des casinos de Las Vegas. Parmi ces étudiants figurait Yuchun Lee, aujourd'hui CEO de l'éditeur de logiciels Unica. Unica, qui réalise un peu plus de 100 M$ de CA annuel, propose justement des programmes d'analyse statistique. Mais cette fois à destination des professionnels du marketing. (...)
(04/06/2008 15:27:08)Solucom vise 105 M€ de chiffre d'affaires l'année prochaine
Solucom termine l'exercice 2007/2008 avec des chiffres l'encourageant à poursuivre sa politique d'acquisitions en vue de devenir un des cinq premiers prestataires de conseil IT en France. Et de dépasser la barre des 100 M€ au cours de l'exercice 2008/2009. Solucom vise en effet 105 M€ de CA grâce à la consolidation avec Cosmosbay-Vectis. Le rachat de la SSII, annoncé début avril, lui rapporte un peu plus de 20 M€ de CA et environ 200 collaborateurs. Le chiffre d'affaires s'établit pour l'heure à 73 M€ et pas uniquement grâce aux rachats, précise le groupe : « Au cours de l'exercice, Solucom a affiché une croissance organique élevée, de 21%, et a bénéficié de la contribution, en année pleine, des sociétés New'Arch, KLC et Vistali. » Autres indicateurs encourageants, note Solucom, « la hausse sensible du prix de vente moyen, constatée à l'issue du premier semestre, s'est confirmée au cours de la seconde moitié de l'exercice. Le taux journalier moyen s'est ainsi établi à 726 € en 2007/2008, en progression de 5% par rapport à l'exercice précédent. Pour sa part, le taux d'activité est demeuré élevé et conforme à son niveau normatif, à 84% ». (...)
(04/06/2008 14:52:33)9 000 serveurs coupés sur ordre des pompiers texans
Au Texas, samedi dernier, en fin d'après-midi, le datacenter H1 de l'hébergeur The Planet a dû s'arrêter. A la suite de l'explosion d'un transformateur électrique et d'un début d'incendie, les pompiers ont exigé une coupure électrique générale. Bien qu'aucun des 9 000 serveurs installés n'ait été touché. Autrement dit, The Planet s'est vu interdire d'activer ses équipements redondants en raison du risque qu'auraient fait courir aux pompiers des équipements électriques en activité. Lundi matin, 6 000 serveurs avaient été réactivés et les 3 000 restants l'ont été à la fin de la journée. Cet incident montre que l'intervention des pompiers peut constituer un cas de force majeure puisqu'il interdit l'activation des systèmes de secours. Il semblerait toutefois qu'une autre faille soit apparue dans l'organisation de The Planet : l'absence de duplication des serveurs DNS. Une fois le système coupé, il faut une période de propagation pour que les informations permettent à nouveau un routage efficace. Autre souci évident : la localisation des équipements destinés à poursuivre l'activité dans un lieu unique. The Planet administre plus de 40 000 serveurs dans différents datacenters qui animent plus de 3 millions de sites Web. (...)
(04/06/2008 12:25:12)L'Europe investit plus de 11 Md€ par an dans la publicité en ligne
La publicité en ligne attire de plus en plus d'annonceurs sur le continent européen : l'année dernière, les dépenses publicitaires sur Internet ont bondi de 40%, à 11,2 Md€ en Europe, selon une étude publiée par l'Interactive Advertising Bureau (IAB), et analysée par le cabinet PricewaterhouseCoopers (PwC). Ainsi, le Vieux Continent paraît prêt à combler le retard pris sur les Etats-Unis qui affichait une progression de 26% à 14,5 Md€ au cours de la même année 2007. La France, la Grande-Bretagne et l'Allemagne représentent les deux tiers des budgets publicitaires. Mais c'est sur des marchés de moindre importance que la croissance a atteint des niveaux inégalés : + 91% en Grèce, + 55% en Espagne et + 49% en Slovénie. Les secteurs investissant le plus dans le média Internet sont, par ordre d'importance, l'industrie du divertissement et des loisirs, les télécoms, la finance et l'assurance. Au sein du premier secteur, les investissements publicitaires les plus importants ont bénéficié aux réseaux sociaux : les annonceurs des incontournables Facebook ou MySpace n'hésitent pas à dépenser lorsqu'il s'agit de promouvoir leurs produits et services auprès de centaines de millions d'internautes. (...)
(04/06/2008 11:40:40)Un comité pour instaurer le haut débit sur toute la France (MàJ)
Députés, experts et conseillers techniques en tout genre vont plancher sur « la couverture en haut débit fixe et mobile de 100% de la population à l'horizon 2012 ». Dans le cadre des Assises du numérique, et suivant la volonté du président de la République d'assurer la connexion en haut débit de tous les Français, a été instauré hier un « comité pour la couverture numérique des territoires ». Ce comité a été mis sur pied conjointement par trois membres du gouvernement, Luc Chatel, secrétaire d'Etat chargé de l'Industrie et de la Consommation, porte-parole du Gouvernement, Eric Besson, secrétaire d'Etat chargé de la Prospective, de l'Evaluation des Politiques publiques et du Développement de l'Economie numérique, et Hubert Falco, secrétaire d'Etat chargé de l'Aménagement du Territoire. Christian Paul et le président de l'Arcep invités au comité Parmi ce comité figurent plusieurs personnalités connues de ces colonnes, telles que Jean-Michel Hubert, président délégué du Conseil Stratégique des Technologies de l'Information (CSTI) et ancien président de l'ART (Autorité de régulation des télécoms, remplacée aujourd'hui par l'Arcep), Christian Paul, député de la Nièvre et vice-président de l'Assemblée des Régions de France (ARF), ou encore Paul Champsaur, président de l'Arcep (Autorité de régulation des communications électroniques et des postes). [[page]] Le rôle de ce comité sera de lancer « une concertation avec les représentants des collectivités territoriale et les parlementaires pour définir : - les priorités territoriales relatives à l'équipement numérique, - le rôle de chaque acteur public ou privé dans le déploiement des infrastructures, - les modèles économiques des projets contribuant à la couverture numérique du territoire national, - les modalités d'organisation de la solidarité entre les territoires. La mission de Coconut : assurer un pilotage au niveau de l'Etat Aucun calendrier n'a pour l'instant été défini en dehors de cet « horizon 2012 ». Néanmoins, Christian Paul nous a précisé que des auditions seraient menées d'ici à la mi-juillet, et qu'un premier rapport d'étape pourrait alors être rendu public. Instigateur, avec l'ARF, du projet de 27e région, réflexion sur les usages des TIC dans les collectivités publiques, Christian Paul explique avoir rejoint le comité « dans un souci de travail loyal pour le déploiement du très haut débit », et afin de participer à l'élaboration d'un plan national d'action. C'est pour l'heure la seule mission de ce que le député et son équipe ont rebaptisé Coconut (COmité pour la COuverture NUmérique des Territoires). « Il faut comprendre que le marché ne peut pas tout, explique Christian Paul. Au bout de deux ou trois ans, les capacités d'investissement des opérateurs se raréfient, et on se retrouve avec un taux de couverture trop faible. Il faut un pilote dans l'avion, de la même façon que cela s'est produit pour le déploiement du chemin de fer ou de la téléphonie fixe. L'Etat doit jouer un rôle de cohérence, de régulation et - même s'il ne le joue pas actuellement - de péréquation. » [[page]] Vous trouverez ci-dessous la liste des membres de ce comité (l'ordre et l'emphase sont du fait des cabinets ministériels).
| Membre | Fonctions |
|---|---|
| Hubert FALCO | Secrétaire d'Etat chargé de l'Aménagement du territoire |
| Vincent PIVETEAU | Directeur de Cabinet au Secrétariat d'Etat chargé de l'Aménagement du territoire |
| Brice SOCCOL | Directeur adjoint de Cabinet au Secrétariat d'Etat chargé de l'Aménagement du territoire |
| Fabrice ALVES | Conseiller technique chargé des nouvelles technologies de l'information |
| Luc CHATEL | Secrétaire d'Etat chargé de l'Industrie et de la Consommation, Porte Parole du Gouvernement |
| Nicolas TOURÉ | Conseiller technique Poste ' Télécommunication au Secrétariat d'Etat chargé de l'Industrie et de la Consommation |
| Eric BESSON | Secrétaire d'Etat chargé de la Prospective, de l'Evaluation des politiques publique et du Développement de l'économie numérique |
| Michel COMBOT | Conseiller à l'Economie numérique au Secrétariat d'Etat chargé de la Prospective, de l'Evaluation des politiques publiques et du développement de l'Economie numérique |
| Pierre HERISSON | Vice-Président de la Commission supérieure du service public des Postes et Télécommunications |
| Laure de la RAUDIERE | Députée et membre de la Commission supérieure du service public des Postes et Télécommunications |
| Jean GUY | Membre, expert de la Commission supérieure du service public des Postes et Télécommunications |
| Christian PAUL | Vice-Président de l'Assemblée des Régions de France |
| Véronique KLECK | Chargée des Technologies, de l'Information et de la Communication à l'Assemblée des Régions de France |
| Richard SOSPEDRA | Chargé de mission à l'Assemblée des Départements de France |
| Véronique PICARD | Chargée d'études au département administration et gestion communale de l'Association des Maires de France |
| Martial GABILLARD | Président de l'Association des Villes et Collectivités pour les communications électroniques et l'Audiovisuel |
| Patrick VUITTON | Délégué général de l'Association des Villes et Collectivités pour les communications électroniques et l'Audiovisuel |
| Paul CHAMPSAUR | Président de l'Autorité de Régulation des Communications électroniques et des Postes |
| Gabrielle GAUTHEY | Membre de l'Autorité de Régulation des Communications électroniques et des Postes |
| Renaud CHAPELLE | Chef de l'Unité collectivités locales à l'Autorité de Régulation des Communications électroniques et des Postes |
| Jean-Michel HUBERT | Président délégué du Comité stratégique pour le numérique |
| Philippe BRAIDY | Directeur du Développement territorial et du réseau à la Caisse des Dépôts et Consignations |
| Edward JOSSA | Directeur général de la Direction générale des Collectivités locales au Ministère de l'Intérieur |
| Marie-France BARTHET | Conseillère chargée de l'équipe Innovation/Compétitivité et du pôle TIC à la DIACT |
| Jerôme COUTANT | Responsable du pôle TIC à la DIACT |
| Emmanuel GABLA | Chef de service du STSI à la Direction générale des Entreprises au Ministère de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi |
| Luc ROUSSEAU | Directeur général de la Direction générale des Entreprises au Ministère de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi |
| Jean-Marc DESSAPT | Chef de bureau à la Direction générale des Entreprises au Ministère de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi |
Le Conseil constitutionnel circonspect sur les machines à voter
Le Conseil constitutionnel profite de la remise de ses observations sur les élections législatives de 2007 pour souligner les errements potentiellement inhérents aux machines à voter. Sans se poser en adversaire de principe des ordinateurs de vote, le juge suprême rappelle qu'il a été saisi d'un certain nombre de réclamations portant, notamment, sur l'impossibilité d'effectuer des tests de bon fonctionnement et d'imprimer des procès-verbaux. Aucun de ces dysfonctionnements n'a été examiné plus avant par le gardien de la Constitution car les écarts de voix entre les candidats, dans les circonscriptions litigieuses, ne souffraient d'aucune contestation. Néanmoins, les Sages ne se privent pas de faire partager leur circonspection face à un mécanisme électoral pouvant donner lieu à des incidents risquant d'accroître « la réticence psychologique » des citoyens en raison de la rupture du lien symbolique entre ces derniers et l'acte électoral. Certes, il « n'appartient pas [au Conseil constitutionnel] de remettre en cause le choix fait par le législateur d'autoriser l'utilisation de telles machines », mais cela n'empêche pas l'institution présidée par Jean-Louis Debré d'encourager les pouvoirs publics à faire en sorte que « ces défaillances, même minimes, ne contribuent pas à altérer la confiance des citoyens envers la sincérité du vote. » Dans un rapport rédigé par le Forum des droits sur Internet en décembre 2007, il apparaissait que les collectivités ayant mis en place des ordinateurs de vote étaient globalement satisfaites. Le FDI concluait que les réclamations formulées étaient « le fait de quelques personnes particulièrement hostiles au vote électronique et en opposition ». D'aucuns n'ont pas manqué de faire montre de la plus grande incrédulité face à ces conclusions, rappelant qu'on peut légitimement s'interroger sur la sincérité du scrutin lorsque les machines à voter sont utilisées, sans pour autant être taxé de technophobe. Nos lecteurs se sont exprimés dans ce sens, en se déclarant très majoritairement réticents à l'égard des moyens de vote électronique, à travers notre sondage flash organisé en mai 2007. (...)
(04/06/2008 10:08:22)Le marché du décisionnel continue sa croissance à deux chiffres, selon PAC
Le cabinet Pierre Audoin Consultants publie une synthèse du marché du décisionnel. Un marché qui restera pratiquement sur une croissance à deux chiffres, prévoit le cabinet, pour la période 2008/2011. En 2007, ce marché atteignait les 1,7 milliard d'euros en France. En 2008, il monterait à 1,89 MdE avant de passer à 2 MdE en 2009. « Aujourd'hui, le taux d'équipement des entreprises est assez élevé, relève Eric Menard, consultant chez PAC. Il y a une complétude de l'offre du fait des rachats successifs. SAP par exemple a repris Business Objects qui lui-même avait racheté Cartesis. » La même chose s'observe chez tous les grands acteurs comme Oracle et IBM. Les offres sont donc très intégrées. Seul indépendant, SAS reste à l'écart de la concentration tandis que Microsoft tisse sa toile autour de SQL server et de ses compléments. La concentration n'est pas achevée, elle pourrait se tourner vers des acteurs moins importants en taille mais avec une expertise technologique forte. Les intégrateurs eux-mêmes sont entraînés dans cette consolidation, dans la mesure où il reste en piste des généralistes comme Business &Decision, Keyrus ou Umanis. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |