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(03/06/2008 18:36:35)

Les jeunes diplômés peu représentés sur le salon Apec de l'ingénieur

Cette année, la 16ème édition du salon de recrutement des ingénieurs organisée par l'Apec était placée sous le signe de l'Europe. Un peu plus d'une centaine d'entreprises couvrant les métiers de la filière ingénieur, dont une cinquantaine de SSII et de sociétés de conseil en ingénierie, se sont rassemblées aujourd'hui mardi 3 juin, dans l'enceinte du Cnit de Paris La Défense. Avec à la clé, plus de 5 000 offres dans l'Hexagone et les autres pays européens dont 40% émanent des SSII, sociétés de conseil et éditeurs de logiciels, pour la France. « Les SSII embauchent plutôt à l'échelle nationale, précise Erwan Seznec, responsable des évènements à l'Apec et organisateur du salon. A l'inverse, les entreprises des autres secteurs, dont celles du conseil en ingénierie, ont une vision du recrutement transnationale. » L'organisateur estime le nombre de visiteurs à 4 500, sur les 9 000 candidats déjà pré-inscrits sur le salon. Du côté des intentions d'embauche, les volumes de recrutement annoncés par les SSII paraissent toujours aussi massifs. Même si, dans les faits, ils sont toutefois loin d'atteindre les niveaux affichés. [[page]] 2 500 postes à pourvoir chez Atos Origin, 2 000 offres chez Logica, 1 800 chez Steria, 600 chez Accenture, 500 pour T-Systems, 450 pour CS Communication et Systems. Avec une demande toujours orientée vers une vaste palette de métiers : ingénieurs en technologies de l'information, analystes programmeurs, administrateurs, consultants, architectes, chefs de projet, ingénieurs d'études et développement, ingénieurs systèmes, techniciens, etc. Signe du taux très élevé de placement des jeunes diplômés, ces derniers étaient peu nombreux sur le salon : « Nous avons reçu une majorité de candidats en poste, expérimentés pour la plupart, et un volume important de chefs de projet, relève Emmanuelle Navailles, chargée du recrutement chez CS Communication et Systèmes. A l'inverse, les jeunes diplômés et certains profils, comme les développeurs Java/J2EE, étaient beaucoup plus rares. » Certains signalent également des tensions sur des profils plus expérimentés : « Les candidats ayant entre 3 à 5 ans d'expérience se raréfient, observe Jean-Marc Belloncle, manager RH chez Logica. Les consultants ERP sont devenus quasi introuvables et cette tendance ne fait que s'accentuer depuis déjà deux ans. » (...)

(03/06/2008 18:08:12)

Acrobat 9 gère le Flash en natif et collabore en temps réel

Avec la version 9 d'Acrobat, tout juste annoncée, Adobe vient de présenter une série d'enrichissements sans précédent pour son outil de création de documents portables. Selon leur domaine d'applications, ces nouveautés, qui doivent beaucoup aux technologies Macromedia, visent les professionnels du graphisme et du marketing, les spécialistes de l'ingénierie et de la CAO, et même, dans une autre catégorie, les PME à la recherche d'une solution de gestion documentaire. Mais, plus globalement, la solution s'adresse [avec ses outils de partage et d'annotation de documents] à tous les professionnels amenés à collaborer autour d'un projet. L'offre Acrobat 9 se complète de nouveaux services hébergés (en bêta pour l'instant), accessibles gratuitement sur Acrobat.com, pour faciliter la collaboration à distance, en temps réel, autour d'un document PDF (voir illustration ci-dessus). Une collaboration (complétée d'un outil de chat) qui peut s'opérer à partir d'une connexion à faible débit, la synchronisation entre les différents fichiers PDF ouverts (lancement d'une animation vidéo, notamment) étant orchestrée par lecteurs Adobe Reader interposés. Acrobat Extended Pro, adapté au monde de la CAO Parmi les avancées d'Acrobat 9 figure le support du Flash en mode natif. Les fichiers vidéo, convertis au format Flash et intégrés dans un document PDF peuvent désormais être lancés depuis l'Adobe Reader, sans faire appel à un lecteur vidéo externe. A noter qu'en passant à la version 9, la gamme Acrobat s'est enrichie d'une édition supplémentaire, Acrobat Extended Pro. C'est maintenant la version la plus complète, celle qui, justement, permet de convertir les animations au format Flash, mais également celle qui intègre Acrobat 3D. Ce dernier permet d'agréger dans un document PDF des fichiers de CAO aux formats hétérogènes (grâce à la technologie Project Reviewer du Français TTF racheté il y a deux ans par Adobe). [[page]] C'est aussi en achetant la version Extended Pro que l'on disposera de l'outil Presenter avec lequel on peut ajouter des commentaires vidéos à une présentation PowerPoint. Enfin, toujours dans Extended Pro, signalons l'apparition d'une fonction de géolocalisation qui trouvera son application sur les plans d'architectes ou, encore, dans les collectivités locales. Le tout sera disponible fin juin prochain en français, pour 819 € HT. Parallèlement, Adobe livrera les versions Acrobat 9 Pro (559 € HT) et Standard (349 € HT). Des dossiers PDF constitués de formats divers Parmi les apports notables d'Acrobat 9 figure ce qu'Adobe nomme le porte-documents ou portfolios PDF. Il s'agit de la possibilité de constituer des dossiers de documents, par glisser-déposer de fichiers, en conservant l'arborescence créée sur le disque dur. L'intérêt est de pouvoir générer un fichier PDF compressé contenant ces fichiers de natures diverses (bureautiques, vidéos, sons, objets 3D), conservés lorsque c'est nécessaire dans leur format d'origine (Word, Excel...). L'utilisateur peut ensuite effectuer des recherches dans les textes ou les mots-clés associés au fichier, pré-visualiser les documents sans les applications d'origine ou encore les modifier (si l'application est présente sur le poste). Cette capacité de « porte-documents », bien vue pour les départements marketing notamment, est également présentée par Adobe comme une solution de gestion documentaire accessible aux PME. Collecte de formulaires Acrobat, rappelons-le, permet également de créer et gérer des formulaires. La nouvelle version s'appuie sur Acrobat.com pour automatiser la collecte des réponses. Pour tirer parti des nouveautés générées dans les fichiers PDF d'Acrobat 9, il faudra télécharger la mise à jour du lecteur gratuit Acrobat Reader. Depuis deux versions, celui-ci requiert quelque 200 Mo sur le disque dur de l'utilisateur, mais - tient à rappeler Adobe - comporte de nombreux plug-in (pour la signature électronique notamment) qui ne sont lancés que lorsqu'ils sont requis. Le Reader de base ne pèse que 19 Mo. (...)

(03/06/2008 17:51:11)

Le marché grand public nourrit la demande pour les semi-conducteurs

Le succès des terminaux GPS et la demande de mémoire flash pousse le Gartner Group à réviser à la hausse ses prévisions à propos du marché des semi-conducteurs. D'une hausse estimée à 3,4% en février, on passe à 4,6% pour l'ensemble de l'année 2008 qui devrait s'achever sur un CA de 287 Md$. Pour l'heure, la demande du grand public pour les produits numériques reste forte et ce en dépit du climat de crise économique aux Etats-Unis. Le Gartner tempère toutefois son regain d'optimisme en soulignant que les stocks ne cessent d'augmenter depuis la mi-2007, date à laquelle il situe le début de la crise économique aux Etats-Unis. (...)

(03/06/2008 16:16:26)

Bruxelles veut harmoniser les titres d'identité électroniques dans l'UE

La Commission européenne vient de présenter un programme visant à créer un système de reconnaissance transfrontalier des titres d'identité électroniques. Pour l'heure utilisés dans 13 Etats membres, les 30 millions de systèmes électroniques - mots de passe, cartes d'identité, codes PIN, etc. -devraient permettre à leur titulaire de s'identifier dans n'importe quel pays de l'UE. L'idée n'est pas de remplacer les titres déjà existants mais de les harmoniser et les rendre interopérables. Baptisé Stork (pour secure identity across borders linked), le projet pilote bénéficiera d'une enveloppe de 10 M€ octroyée par Bruxelles, et de la même contribution financée par les 13 pays participants, dont la France*. Selon l'UE, ce système permettra aux ressortissants des pays engagés de s'identifier par voie électronique et sécurisée afin de traiter avec les administrations publiques, d'accéder à un service public, que ce soit en ligne ou par l'intermédiaire d'un mobile. La France est partie prenante au projet même si les titres d'identité électroniques n'y sont pas encore disponibles. Certes, les passeports contiennent des puces RFID depuis 2001 et un décret du 30 avril 2008 autorise l'ajout des empreintes dactyloscopiques. Il est donc plus juste de parler de titres d'identité biométriques plutôt qu'électroniques. Les premières cartes d'identité numériques devraient entrer en circulation début 2009, soit plusieurs années après nos voisins belges. Selon Viviane Reding, la Commissaire à la Société de l'information, le projet Stork, « en tirant parti de l'évolution des systèmes nationaux (...) et en promouvant la reconnaissance mutuelle des identités électroniques entre les Etats membres », contribue à rapprocher les Etats de l'UE « d'une mobilité sans entrave (...). Voilà ce que les citoyens européens attendent d'un marché unique sans frontières. » * Allemagne, Autriche, Belgique, Espagne, Estonie, France, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Portugal, Royaume-Uni, Slovénie et Suède (...)

(03/06/2008 16:04:01)

Microsoft promet des éclaircissements sur son projet Oslo pour les SOA

Microsoft devrait donner quelques détails sur Oslo dans les heures qui viennent, à l'occasion de sa conférence développeurs américaine (TechEd Orlando). Oslo est une vaste initiative, annoncée en octobre dernier, destinée à orienter l'ensemble de l'offre de Microsoft en direction des architectures orientées services (SOA). D'après Jon Perera, un des responsables de la plateforme middleware de Microsoft, l'impact d'Oslo sur Visual Studio, l'atelier de développement de Microsoft, se concrétisera par l'apparition d'outils de modélisation à l'intention des architectes. L'éditeur a également indiqué qu'il donnerait des éclaircissements sur le langage de description des processus qu'il compte mettre en oeuvre : Microsoft avait formé la Business Process Alliance pour bien montrer son intention de faire les choses en concertation avec les partenaires, et pas seul dans son coin comme cela lui est souvent reproché. A noter que ce TechEd devrait donner lieu à l'un des derniers keynotes de Bill Gates dans ses fonctions officielles à Microsoft. (...)

(03/06/2008 15:58:01)

La morosité américaine pèse sur la croissance du marché des serveurs

Selon IDC, la croissance du marché mondial des serveurs au premier trimestre a continué de ralentir. Le CA total a presque atteint 13 Md$ (+ 3,5%). Toutefois, la croissance en volume (+ 7,8%, à plus de deux millions d'unités) reste forte. La responsabilité de ce tassement du marché revient aux machines X64, seulement en croissance de 4,4% à 7 Md$, le plus faible taux depuis sept trimestres. En valeur, le marché américain a même diminué pour la première fois depuis le début du siècle. L'Europe reste un marché très actif, surtout si on mesure son activité avec un dollar sous-évalué... Les volumes pour les machines X64 restent importants : 1,9 million d'unités (+ 8,5%). Les serveurs lames continuent de progresser à vitesse grand V : + 53,7% du CA à 1,2 Md$. Cette technologie, qui supporte tant les processeurs X64 que les autres types de CPU, pèse désormais 9,2% du CA total des serveurs. Les serveurs lames avec processeurs X64 constituent 95% des ventes. HP (49,9% du marché) et IBM (30%) ne laissent que 20% à leurs concurrents. Le créneau de la grosse centaine de milliers de serveurs "non X64", mais qui génère 6 Md$ de CA, voit ses ventes progresser de 2,5%. IBM s'arroge près de 42% du secteur, HP 22,7% et Sun 19,5%. La meilleure croissance depuis trois ans des ventes des IBM System z, à 1,1 Md$ (+ 10,4%), contribue beaucoup au maintien de la domination d'IBM sur ce marché. Le monde Unix continue de s'effriter - au profit de Linux [[page]] Le monde Unix continue de s'effriter. Le CA baisse de 0,8% à 4 Md$, malgré la forte demande pour les machines les plus puissantes (plus de 250 000$) qui, comme les System z, profitent des vastes projets de consolidation et de virtualisation. Si l'on se focalise sur les systèmes vendus entre 25 000 et 250 000 $, où l'on trouve les petites plateformes Unix et les AS/400 d'IBM, le CA chute de 7,2%. Windows Server progresse de 4,2% à 5,1 Md$. Ce qui fait gagner 0,2 point de part de marché à l'OS de Microsoft. La plateforme Linux continue de gagner du terrain avec une hausse du CA de 8,4% à 1,8 Md$. Linux doit donc plus cannibaliser les systèmes Unix ou traditionnels que les serveurs Windows. Au classement général d'IDC, HP passe devant IBM. Il le doit à une hausse de 4,2% de son CA total à 3,77 Md$. IBM, qui progresse moins vite que le marché, atteint 3,65 Md$ (+ 2%). Tous les autres fournisseurs progressent moins vite que le marché à deux exceptions : Dell bondit de 9,4% à 1,6 Md$ et Fujitsu Siemens de 7,8% à 821 M$. Sun est le seul des cinq premiers fournisseurs à voir son CA baisser. Il perd 1,8% à 1,3 Md$. (...)

(03/06/2008 14:04:31)

Index Freelance : retour des spécialistes de SQL au top 10

Les spécialistes de SQL apparaissent de nouveau au bas du tableau, après une absence de plus d'un mois au palmarès des compétences les plus demandées sur des missions ponctuelles. La demande en administrateurs AIX et développeurs ASP progresse parallèlement, ce qui permet à ces deux spécialités de monter respectivement à la cinquième et la sixième place du Top 10. Pas de changement notable en revanche concernant le trio de tête. Les profils Unix, Oracle et SAP restent les plus courtisés, et ce, depuis plusieurs semaines. Du côté des spécialités, les développeurs occupent désormais le haut du tableau, grâce à une augmentation sensible des besoins en spécialistes de Java. La demande en administrateurs de bases de données se maintient. Les autres spécialités (en systèmes d'exploitation, Internet, réseaux et hardware, notamment ) restent, elles, relativement stables. Méthodologie : les pourcentages indiquent la proportion des offres nécessitant la spécialité ou la compétence donnée dans l'ensemble des offres à pourvoir. Panel représentatif des 500 offres de projets informatiques disponibles au 02 06 2008 (pondération par rapport à l'importance de la demande). (...)

(03/06/2008 11:45:50)

Bull et APC s'associent sur des audits complets de datacenters

Bull et APC Schneider Electric se lancent ensemble dans des audits à 360° des datacenters de leurs clients afin d'en améliorer la performance globale. Les deux acteurs associeront leur savoir-faire pour proposer une analyse et une optimisation de l'infrastructure informatique mais aussi de la climatisation et de l'alimentation électrique. Des éléments que les entreprises continuent de gérer séparément la plupart du temps. « Pour nous, il est désormais indispensable d'avoir une approche globale des centres informatiques, confirme Bruno Pinna, directeur marketing de Bull. Et pour cela, nous nous sommes très vite rapprochés d'APC qui a la compétence matérielle et logicielle pour l'analyse thermique et énergétique. » Bull, maître d'oeuvre de ces audits, proposera ses prestations classiques d'analyse de charge applicative, de taux d'occupation des machines, etc. APC Schneider Electric, lui, déploiera ses compétences dans la mise en place et l'exploitation électrique et thermique de datacenters et ses connaissances des bonnes pratiques en la matière. Ainsi, mieux vaut que la climatisation soit installée au plus près des points chauds (pour éviter le réchauffement de l'air au cours de sa circulation dans la pièce). Il est aussi intéressant de définir des allées de confinement dans lesquelles on « enferme » en quelque sorte les dos des serveurs, gros émetteurs de chaleur. Des logiciels d'audit thermique et électrique « Le grand intérêt de cette prestation globale, précise Bruno Pinna, c'est bien de pouvoir mesurer la quantité d'électricité entrante mais aussi celle qui arrive au datacenter et la répartition électrique dans ce dernier, la transformation éventuelle du voltage, le passage de courant continu en discontinu et vice versa, etc. Ce que l'on appelle le ratio d'efficacité énergétique. » [[page]] Or, APC Schneider Electric dispose depuis l'an dernier de logiciels d'analyse et d'anticipation de la consommation thermique et énergétique d'un datacenter. Change Manager et Capacity Manager mesurent cette performance des éléments existants afin de l'optimiser et de savoir s'il faut désactiver une partie de la climatisation ou lui ajouter un économiseur d'énergie par exemple. L'industriel prépare également pour fin 2008 un outil qui simulera globalement l'évolution d'un centre informatique et son impact sur sa consommation. L'informatique ne consomme que 35% de l'énergie «Dans un datacenter, 40% de l'énergie est consommée par la climatisation et 25% par l'infrastructure électrique, rappelle Paul-François Cattier, vice-président France de APC Schneider Electric. Seuls les 35% restants concernent l'informatique. Sans compter que les conditions dans lesquelles le centre fonctionne changent en permanence : les conditions extérieures, la température entre le jour et la nuit, le pourcentage de la charge informatique, etc. » Et si la sensibilité au changement climatique n'est que rarement une motivation pour les entreprises, le coût croissant de la consommation des datacenters devrait les conduire vers des prestations comme celles de Bull et APC. « Un centre qui consomme 1 MW revient à 1,3 M€ par an, estime Paul-François Cattier. » Quant aux audits proposés, si l'on en croît Bruno Pinna, ils ne dépasseraient pas quelques jours-hommes. Le jeu en vaudrait donc la chandelle... Le prestataire français souhaite d'ailleurs proposer progressivement une gamme de prestations autour de l'efficacité énergétique du datacenter. Après la conception, l'audit et l'optimisation, il prépare pour fin 2008 des services d'exploitation de cette dernière. Ou comment faire en sorte qu'un centre informatique s'auto-gère pour rester dans une fourchette de consommation donnée, par exemple. (...)

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