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(26/05/2008 17:38:24)
Google Earth simule le réchauffement de la planète
Les scientifiques nous alertent régulièrement sur les dangers du réchauffement climatique mais il est parfois difficile de se rendre compte des conséquences de ce phénomène. Pour sensibiliser encore plus le grand public, les Anglais du Met Office (institut météorologique) et du centre de recherche britannique sur l'Antarctique ont développé deux extensions pour le logiciel Google Earth. Le premier se présente sous la forme d'un calque de dégradés de couleur qui représente les changements de température. Pour mieux comprendre l'impact à moyen terme, un curseur, situé en haut de la fenêtre du logiciel, simule les prévisions sur le réchauffement de la planète jusqu'en 2100. Si le pôle Nord apparaît comme le plus touché, les conséquences aux quatre coins du globe sont nombreuses : sécheresse, hausse des températures dans les grandes villes, végétation en péril... Le British Antartic Survey met, quant à lui, en lumière ce danger au travers du prisme de l'Antarctique, illustré par des photos (fonte des glaces, recul de la banquise, etc.). Malheureusement, les textes de ces deux extensions sont uniquement disponibles en anglais. (...)
(26/05/2008 17:20:41)Le LaserTouch transforme toute surface en écran interactif
Les centres de recherche de Microsoft ouvrent de temps en temps leurs portes aux journalistes. Cette fois, c'est le LaserTouch d'Andy Wilson, un des pères de Surface, qui a attiré l'attention. A l'aide d'une série de lasers de caméras infrarouges qui repèrent les gestes de l'utilisateur, ce dernier peut interagir avec l'écran, transformé ainsi en écran multi-point à la manière de l'écran de l'iPhone. Mais cela peut se faire désormais sur de grands écrans LCD, aux résolutions élevées. Mieux, toute surface peut être ainsi convertie, à condition d'être dûment équipée. Bill Gates en a fait la démonstration il y a une dizaine de jours, lors du CEO Summit (réunion annuelle au siège de Microsoft, à Redmond, de patrons de grandes entreprises). Plutôt que de faire défiler une présentation Powerpoint, a-t-il expliqué, on peut zoomer et faire bouger à la main l'affichage. Andy Wilson a pris soin de préciser qu'il n'y avait aucun plan de commercialisation prévu - contrairement au Surface, en test dans des magasins pilotes d'AT&T. Toutefois, a-t-il ajouté, la magie de la chose réside davantage dans le logiciel que dans l'équipement, dont le prix ne monterait qu'à quelques centaines de dollars. Pour mémoire, le Fraunhofer Institute a déjà fait la démonstration d'un écran LCD géant manipulable avec des gestes de la main : c'était au Cebit 2007, la démonstration est à suivre en vidéo sur LeMondeInformatique.fr. (...)
(26/05/2008 16:54:55)En 2008, Bull recrute plus d'un millier d'informaticiens
Bull a prévu de recruter entre 1 000 et 1 200 personnes sur toute l'année 2008. Il devrait déjà avoir rempli 50% de son objectif à ce jour, puisqu'il avait déjà embauché 500 personnes (dont 270 en France) fin avril. « Ces recrutements ont pour but de gérer notre croissance dans les services, en particulier dans l'intégration de système, explique Patrick Semtob, directeur général de Bull en charge des ressources humaines. Les services ont représenté 38% de notre activité en 2007 et nous visons 50% d'ici un ou deux ans. » Chez Bull, les campagnes de recrutement ont repris l'an dernier après une période de 6 ou 7 années « sans ». Sur le millier de postes proposés, au moins 500 concernent la France. La moitié seront situés en Ile de France et l'autre en province, principalement à Marseille, Bordeaux, Lyon, Grenoble, Montpellier, Nantes, Angers, Strasbourg. Les offres d'emploi pour l'étranger concernent surtout le Brésil, le Maroc, la Pologne, l'Espagne, le Royaume-Uni et l'Allemagne. Le Maroc pour les télécoms et l'e-gouvernement, la Pologne pour les télécoms, mais aussi la Chine pour les systèmes douaniers sont des pays de offshore pour Bull. Des experts pour de grands projets hautement technologiques Les postes à pourvoir concernent des ingénieurs en développement et conception pour le décisionnel, des développeurs J2EE, des consultants ERP sur SAP, Peoplesoft ou HR Access par exemple. « Nous recherchons aussi beaucoup de consultants en télécoms, ajoute Patrick Semtob. Si notre croissance dans les services est de 15%, elle est de 60% dans les télécoms. » Bull recherche également des architectes des nouvelles technologies, des experts en infrastructure, mais aussi des directeurs de projets spécialistes. Il faut dire que ce sont de grands chantiers et d'autres de taille moyenne, tous très sophistiqués, qui conduisent le Français à lancer cette campagne d'embauches. « Depuis l'an dernier, Bull emporte de nouveau beaucoup de grands projets, » explique justement Patrick Semtob, avant d'égrener une série d'exemples. Outre le supercalculateur du CEA et la refonte de l'infrastructure informatique du Ministère des finances, Bull affiche ainsi quelques belles réussites hors de nos frontières. Il a été choisi pour le système décisionnel de l'aide sociale Medicaid en Californie (après avoir gagné 6 autres états américains sur le même sujet), un système de reconnaissance automatique du courrier en Australie, le contrôle d'accès à l'ensemble du système informatique d'une entreprise allemande de 87 000 employés. Deux tiers de débutants et d'informaticiens avec une première expérience [[page]]Les deux tiers des embauches concerneront des débutants ou des informaticiens avec une première expérience. Les plus expérimentés seront appelés sur les postes de management de projet, mais aussi pour le décisionnel, les télécoms et l'expertise en infrastructure. Bull recherche des Bac+5 en informatique, issus aussi bien des universités que des grandes écoles. Plus que le diplôme, ce sont la personnalité du candidat et son potentiel qui importent. « Nous recrutons aussi pour l'avenir, » insiste Patrick Semtob. Les recrutements s'opèrent plutôt par le biais de contacts avec les écoles, et par cooptation. Bull utilise aussi beaucoup les stages et l'apprentissage pour les préembauches. « Nous pensions souffrir sur tous ces recrutements, comme le reste de la profession, note Patrick Semtob, mais finalement, cela a été moins difficile que prévu. Le niveau technologique élevé de Bull et des projets en cours attire visiblement les candidats. Il faut savoir qu'en tant que société de service nous avons un taux très faible de 6% de démissions. En général, pour les recrutements, il nous faut juste repréciser quels sont nos métiers. » L'autre attrait de Bull réside dans son envergure internationale, puisqu'il travaille dans le monde entier. Il gagne d'ailleurs de plus en plus de contrats pour lesquels plusieurs nationalités doivent se côtoyer. (...)
(26/05/2008 16:39:23)Une chaire de Business Intelligence à l'Ecole Centrale de Paris
L'éditeur Business Objects, spécialiste de l'informatique décisionnelle, s'est associé à l'Ecole Centrale de Paris pour créer une chaire de Business Intelligence. C'est un ancien de l'Ecole Centrale Paris, Hervé Couturier, aujourd'hui vice président produits pour l'éditeur français (racheté par SAP en 2007), qui est à l'origine de cette initiative. La chaire va s'appuyer sur les équipes de recherche et développement de Business Objects et sur l'ARC (Academic research center), créé par l'éditeur l'an dernier pour développer des contacts avec les centres de recherche académiques dans le monde. Elle profitera par ailleurs des compétences du laboratoire de Mathématiques Appliquées aux Systèmes de l'Ecole Centrale Paris. Avec cette chaire, l'éditeur cherche à susciter l'intérêt des étudiants pour les métiers et les technologies de l'informatique décisionnelle et à « transférer l'innovation issue du milieu universitaire vers les produits de Business Objects », précise-t-il dans un communiqué. Couvrir un spectre très large de la Business Intelligence « L'objectif de cette chaire de recherche et d'enseignement est de mener une recherche de haut niveau international, qui se traduira à court et moyen terme par des publications et le dépôt de plusieurs brevets, le but étant de développer des solutions innovantes pour l'entreprise, explique Frédéric Magoulès, co-directeur de la chaire de Business Intelligence à l'Ecole Centrale Paris. Dans le mois qui vient, un professeur et un maître de conférence vont être recrutés. La chaire devrait débuter le 1er septembre et une leçon inaugurale est prévue à l'automne 2008. » Frédéric Magoulès précise que l'enseignement associé à cette chaire sera dispensé aussi bien dans le tronc commun de l'école que dans les options, les filières spécialisées et dans le cadre de projets d'études. « Les étudiants bénéficieront d'un enseignement de pointe et d'un environnement d'accueil dans la chaire, l'objectif étant de couvrir un spectre très large de la Business Intelligence incluant la modélisation, le data-mining, l'interprétation des données, la visualisation de bases de données de très grande dimension, la modélisation de profils de comportement... » (...)
(26/05/2008 15:41:38)Citrix et Akamai s'associent pour accélérer les applications Web
Citrix et Akamai s'associent pour accélérer de bout en bout les applications Web. Le couplage du serveur Netscaler du premier et de l'infrastructure d'accélération WAA (web application acceleration) du second est déjà utilisé par les entreprises dans le cadre de la consolidation de leurs serveurs. L'optimisation qu'apporte Netscaler au niveau de l'application est relayée par l'infrastructure de cloud computing d'Akamai. Ce partenariat traduit l'importance que prend la performance et la fiabilité des réseaux étendus au moment où les architectures doivent s'adapter à la concentration des ressources serveur. (...)
(26/05/2008 14:18:29)Les chercheurs du CNRS en grève demain 27 mai
Les manifestations se multiplient dans la communauté scientifique. Après les informaticiens, c'est au tour des chercheurs du CNRS de cesser le travail. Demain, mardi 27 mai, SLR (Sauvons la recherche), SLU (Sauvons l'université) et les principaux syndicats de la recherche et de l'enseignement supérieur organisent « la marche de tous les savoirs » - baptisée l'Academic Pride - dans plusieurs villes de France. Le mouvement a été organisé en réaction à l'annonce, jugée prématurée, des grandes lignes de la réforme du centre de recherche par la ministre de la Recherche Valérie Pécresse. Pilotage conjoint pour l'informatique «Alors que le Ministère avait annoncé une concertation sur la réforme du CNRS et un vote au conseil d'administration du 19 juin, nous avons appris par le journal « Le Monde » (daté du 21 mai) que les décisions avaient déjà été arrêtées par la ministre, déplore le SNCS, le syndicat national des chercheurs scientifiques ». Le projet entraînera le découpage en six nouveaux instituts nationaux (mathématique, physique, chimie, sciences de l'ingénieur, sciences humaines et sociales, écologie et biodiversité). Cela exclut les sciences de la vie, qui seront dirigées par l'Inserm, avec l'Inra et le CEA, et cela exclut aussi l'informatique, qui devra désormais être pilotée conjointement avec l'Inria. Or, les syndicats estiment que cette réforme profonde de l'organisme préfigure sa disparition à terme. Dix villes mobilisées A Paris, le départ aura lieu à 14 h 00 devant la Maison des Sciences de l'Homme (54 bd Raspail). Des marches auront également lieu à Bordeaux, Lyon, Marseille, Montpellier, Nice, Orléans, Paris, Roscoff et Toulouse. Un premier rassemblement du personnel de recherche avait déjà réuni, jeudi 22 mai, environ 150 personnes devant le siège parisien du CNRS. (...)
(26/05/2008 13:56:38)Microsoft arrête les frais pour Live Search Book
Microsoft met un terme à ses projets Live Search Books et Live Search Academic, lancés en 2005. L'éditeur arrête la numérisation d'ouvrages censée alimenter ces deux services. Riche de 750 000 livres numérisés et de 80 millions d'articles, la base actuelle restera accessible dans les résultats fournis par le moteur Search. Microsoft reconnaît qu'il n'est pas parvenu à trouver un modèle économique rentable pour ce type de service. En 2005, le lancement de Google Book avait suscité beaucoup de réactions, dont celle de Microsoft qui avait réussi à convaincre des éditeurs et différentes bibliothèques, dont la British Library de s'associer avec lui. Yahoo et Amazon y étaient aussi allés de leurs annonces, mais sans résultats à la hauteur de Google Book. L'Europe, également en retrait En Europe aussi, le soufflet est tristement retombé. Jean-Noël Jeanneney, à l'époque encore président de la Bibliothèque nationale de France, avait écrit "Quand Google défie l'Europe : plaidoyer pour un sursaut" et appelé à une réaction à la mesure de la dimension culturelle de l'Europe en lançant l'idée d'une BNUE (Bibliothèque numérique de l'Union européenne). La Commission européenne a confié l'avenir de celle-ci à un comité de 20 experts créé en avril 2006. On y notait l'absence de Jean-Noël Jeanneney et la présence de Google. Depuis, le comité a abouti et mis un nom officiel sur le projet, Europeana, et promet une ouverture pour novembre 2008... De son côté, la BNF a confié fin 2007 la réalisation de son projet de numérisation franco-français à un "groupement de compétences" composé de Safig, Banctec, Spigraph, Isako et de Diadéis. On notera l'absence d'entreprises d'envergure multinationale. Intéressé un temps, IBM avait jeté l'éponge. Faute de concurrent sérieux, Google Book s'est finalement imposé sur ce créneau de la libraire numérique en ligne. (...)
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