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(27/05/2008 18:05:00)
Bertrand Delanoë rappelle ses priorités sur l'innovation et le numérique
En ouverture de séance du Conseil de Paris qui s'est tenu hier, lundi 26 mai, Bertrand Delanoë, Maire de Paris, a fait un point sur l'ensemble des chantiers inclus dans le plan de développement que la Ville va consacrer à l'innovation, à la recherche et à l'enseignement supérieur. Un plan qui, rappelons-le, bénéficie d'un budget d'un milliard d'euros. Les projets numériques y tiennent une place importante. Soulignant l'enjeu stratégique que constitue la mise en place de réseaux « complets et performants de fibre optique » pour « l'attractivité scientifique et économique de Paris », le Maire a notamment rappelé que Paris soutiendrait la liaison expérimentale à très haut débit mise en place par le pôle de compétitivité Cap Digital avec la ville de San Francisco. Cette liaison doit favoriser l'éclosion de projets communs entre entreprises parisiennes et californiennes. 80% de parisiens connectés au très haut débit d'ici 2010 Sur le terrain, Bertrand Delanoë poursuit l'objectif de raccorder 80% des Parisiens au très haut débit (100 Mbit/s) d'ici 2010. Les bailleurs sociaux seront incités à proposer à leurs locataires des tarifs avantageux pour accéder à ce très haut débit (à l'instar de ce que l'OPAC vient de faire, a-t-il été précisé). Hier, l'élu a également évoqué le plan d'équipement des écoles et collèges (avec l'installation d'espaces numériques de travail), le développement des services municipaux (téléprocédures, paiement en ligne...) et les 400 points d'accès Wi-Fi gratuits dans les lieux publics, en précisant que la Municipalité restait attentive aux inquiétudes que ces technologies [NDLR : sans fil] pouvaient susciter. 100 000 m2 d'incubateurs et deux nouveaux pôles de compétitivité Pour favoriser le développement de projets innovants, Bertrand Delanoë a insisté sur le rôle joué par l'Agence Parisienne de l'Innovation. Deux missions essentielles lui sont confiées, avec le soutien d'un réseau d'experts et de structures spécialisées comme Oséo : d'une part « identifier les produits et services innovants », d'autre part, « nouer des partenariats avec les entreprises pour les expérimenter. » [[page]]La Ville prévoit de porter à 100 000 m2 la surface aménagée pour accueillir les jeunes pousses. Elle prévoit de créer 55 000 m2 supplémentaires de pépinières et d'incubateurs. Ces espaces viendront s'ajouter aux 44 000 déjà constitués, où l'on trouve notamment Biopark et ses 18 000 m2 réservés aux entreprises de biotechnologies, a rappelé Bertrand Delanoë. Le Maire a précisé par ailleurs que la programmation des activités économiques dans les zones d'aménagement immobilier donnerait « la priorité aux projets structurants portés par les filières de l'innovation, comme Cap Digital. » Deux nouveaux pôles de compétitivité Paris entend par ailleurs soutenir deux nouveaux pôles de compétitivité, l'un consacré aux métiers de la création, l'autre aux innovations urbaines. Ils viendront s'ajouter aux quatre pôles déjà en place. Outre Cap Digital axé sur les contenus numériques, rappelons que Medicen est spécialisé sur les biotechnologies, Systematic sur les logiciels et les systèmes embarqués et que Paris Finance Innovation, nouvellement mis sur pied, aidera les jeunes entreprises à décrocher leurs premières levées de fonds. (...)
(27/05/2008 18:03:05)Le Pacte PME remet un rapport d'activité très positif à Hervé Novelli
Le 27 mai, Oseo et le comité Richelieu ont remis le rapport d'activité 2007 du pacte PME à Hervé Novelli, secrétaire d'Etat chargé du commerce, de l'artisanat, des PME, du tourisme et des services. L'objectif du pacte PME lancé fin 2005 est de faciliter les relations entre les PME innovantes et les grands comptes. Une problématique générale qui touche tout particulièrement les petits éditeurs de logiciel français. Malgré une véritable compétence technologique, ils ne réussissent que rarement à transformer l'essai et disparaissent ou sont achetés par de plus grosses entreprises. Des grands comptes d'un coté, de petites structures de l'autre. Pour tenter de combler le vide entre les deux, une des solutions consiste à pousser les premiers à travailler davantage avec les seconds. Une démarche « gagnant-gagnant ». Inspiré du Small business act pratiqué depuis 50 ans aux Etats-Unis, mais avec une méthode moins contraignante, le Pacte PME incite justement les grands comptes en quête d'innovation à travailler avec les petites structures souvent très innovantes, qui restent pourtant la plupart du temps à la porte des services achats des grands. L'initiative pousse aussi les petites structures à se faire connaître des plus grands. 1 750 PME, 42 grands comptes et surtout 306 contrats signés Le Pacte propose plusieurs outils à ses signataires parmi lesquels des demi journées de présentation de PME à des grands comptes, une place de marché en ligne sur 36 thématiques différentes et un programme passerelle de financement de la R&D de la PME pris en charge pour un tiers chacun par cette dernière, Oseo et la grande entreprise (25 projets en cours). Nombre de thématiques traitées et qui intéressent les entreprises concernent directement les TIC. Il s'agit aussi bien de la simulation numérique, du Web sémantique, de la RFID, de l'interface homme machine, de la sécurité ou encore des technologies IP. Sous la double férule du comité Richelieu et d'Oseo, le pacte PME compte aujourd'hui 42 grands comptes signataires et 1 750 PME. Après une année 2006 consacrée à son lancement, il a clairement enclenché la vitesse supérieure en 2007. Les grands comptes signataires du Pacte ont réalisé 7,2 Mds d'euros d'achats à des PME contre 5,9 Mds d'euros en 2006. La part des PME dans leurs achats annuels passe de 19 à 20%. Et 306 contrats ont été signés entre grandes et petites entreprises à la suite des 37 journées de présentation organisées tout au long de l'année. Un résultat bien meilleur que l'année précédente qui n'avait vu que 73 signatures après 28 journées d'échange. Le numéro un français du logiciel, Dassault Systèmes, signe le Pacte PME [[page]]Dix nouvelles sociétés ont adhéré à la démarche dont trois publiques. Et à l'occasion de la remise du rapport d'activité, deux grands comptes ont rejoint l'initiative. L'AFP d'un coté, et de l'autre, - Dassault Systèmes, numéro un du logiciel français, chantre de l'innovation (la moitié des 8000 employés travaille en R&D) et de la collaboration avec les start ups innovantes. Pour l'avenir, le Président de la République, Nicolas Sarkozy, qui soutient cette initiative depuis ses débuts, avait souhaité qu'une seconde étape soit engagée rapidement afin d'accompagner les petites structures dans leur développement vers les marchés internationaux. C'est au programme de 2008 au travers entre autres de plans mutualisés de portage de PME à l'export par les grands comptes. Les initiateurs du Pacte PME aimeraient aussi l'étendre à d'autres acteurs comme les capitaux risqueurs, les laboratoires de recherche, les écoles, les universités, etc. Enfin, Hervé Novelli a rappelé que la France, à l'initiative du Président de la République, continuait de « demander à la Commission Européenne la possibilité d'une action préférentielle en faveur des PME. La Commission donnera sa réponse fin juin, avant même le démarrage de la présidence française de l'Union. Il devrait y avoir des dispositions intéressantes pour les PME européennes, de simplification des démarches, de soutien au financement, etc.» (...)
(27/05/2008 16:33:47)Le Syntec Informatique livre à Bruxelles sa vision du développement européen du logiciel
En livrant la première mouture d'un rapport d'orientation sur le développement de l'industrie européenne du logiciel, Syntec Informatique répond à une demande de la Commission européenne. C'est à l'occasion du palmarès Truffle 100 Europe, réalisé par IDC et le CXP en décembre dernier, que Viviane Reding, commissaire européen à la société de l'information, avait insisté sur la nécessité d'agir en faveur des éditeurs européens. Son ambition : bâtir une « European Software Strategy», une stratégie européenne du logiciel. Trois axes d'action prioritaires Pour ce faire, la feuille de route élaborée par le Syntec Informatique en collaboration avec ses homologues européens et les services de la Commission, propose trois grands domaines d'action : le développement du capital humain, le financement de l'innovation et l'unification du marché du logiciel. Pour attirer davantage de jeunes vers la filière logicielle, le rapport préconise de lancer une campagne paneuropéenne de valorisation de l'entrepreneuriat et des carrières. La création en parallèle d'un programme de formation continue en management, la Software Academy, associera les meilleures grandes écoles et universités de l'Union Européenne. Pour intensifier et sécuriser les nouveaux mécanismes de financement de la R&D et de l'innovation, le rapport conseille de capitaliser sur les dispositifs publics-privés existants en Europe, notamment en France, en s'inspirant de réussites exemplaires comme comme l'initiative Yozma en Israël (programme né en 1993 et destiné à développer des fonds de 'venture capital' pour stimuler l'industrie logicielle). Un statut particulier Enfin, en vue d'unifier le marché du logiciel européen et de libérer les énergies des acteurs, le Syntec informatique propose que les éditeurs bénéficient, au vu de leur rôle vis-à-vis de l'ensemble de l'économie numérique et de la société, d'un statut particulier autorisant les Etats membres à prendre des mesures de stimulation, notamment fiscales, en leur faveur. L'exemple de l'Inde, où les éditeurs bénéficient d'exonérations à partir d'un certain seuil de chiffre d'affaires réalisé à l'export, est notamment mis en avant. Ces orientations et pistes feront l'objet de discussions entre le Syntec informatique, ses confrères européens et la Commission Européenne, avant une prise de position définitive, qui sera publiée d'ici la fin de l'année. (...)
(27/05/2008 14:55:35)Virtualisation : pourquoi Hyper-V pourrait rattraper VMware
Le consultant indépendant Joe Clabby avance six raisons pour affirmer qu'Hyper-V, l'hyperviseur de Microsoft, va prendre le dessus sur l'offre de virtualisation de serveurs VMware. Le prix et le packaging, d'abord. Si VMware ne change pas ses tarifs, Microsoft disposera d'un atout évident lorsqu'il commencera à commercialiser Hyper-V. Ensuite, le fait de pouvoir livrer Hyper-V avec Windows Server 2008 est un avantage indéniable. Troisième point fort : le portefeuille des outils d'administration de Microsoft est amplement plus fourni et plus vaste que celui de VMware. Quatrièmement, Joe Clabby compare la puissance de Microsoft et ses 50 et quelques milliards de dollars de chiffre d'affaires, avec celle d'EMC (pour ne pas parler de sa filiale VMware) et ses 13 milliards de dollars de CA... Microsoft, note le consultant, a depuis longtemps fait la démonstration de son savoir-faire en matière de diffusion de ses technologies. Enfin, cinquième et sixième raisons avancées, le contrôle de Windows et l'importance de la base installée. Le fait d'avoir la main sur l'évolution de Windows Server est, dans un environnement système 100% Windows, un point fort. Quant aux quelque 100 000 utilisateurs revendiqués par VMware, ils ne pèsent pas lourd face aux millions de Windows Server. Pour fermer le ban, Joe Clabby reprend à son compte le constat communément admis selon lequel l'intérêt économique du marché de la virtualisation va se déplacer de la vente des hyperviseurs à celle des outils d'administration. Et là, des poids lourds comme IBM, HP et Computer Associates attendent le "pure player" de la virtualisation qu'est VMware. Eux disposent déjà des outils pour gérer des parcs physiques. (...)
(27/05/2008 12:41:18)Une école africaine accède à Internet grâce à l'énergie solaire
Bien que situé à quelques centaines de mètres d'une centrale électrique, le lycée Prince of Wales de Freetown en Sierra Leone (Afrique) n'est pas raccordé au réseau électrique. Qu'à cela ne tienne ! Des anciens élèves installés depuis aux Etats-Unis vont l'équiper en ordinateurs de bureau et en portables et alimenter le tout grâce à une trentaine de panneaux solaires alimentant le réseau électrique de l'école avec une puissance totale oscillant entre 5 et 6 kiloWatts. L'école bénéficiera ainsi également d'une connexion à Internet par satellite (seule méthode d'accès au haut débit disponible) et d'un environnement WiFi pour que les élèves et professeurs déjà équipés puissent se connecter sans aller dans la salle informatique. Alors que les premières machines arriveront la semaine prochaine, ce projet devrait coûter entre 60 000 et 70 000 dollars. (...)
(27/05/2008 12:27:07)L'opérateur télécoms Vanco vendu à l'indien Reliance
Un opérateur télécoms indien, Reliance Communications a acquis l'opérateur britannique Vanco, champion des infrastructures légères. Vanco est qualifié d'opérateur virtuel ou VNO (Virtual Network operator) lors du déploiement de réseaux VPN pour ses clients multinationaux puisqu'il combine les infrastructures des opérateurs locaux dans un réseau global. L'acquisition a été réalisée via la filiale Reliance Globalcom de Reliance. Vanco réalise l'essentiel de ses revenus aux Etats Unis, Grande Bretagne, Allemagne et France. Par ailleurs, Reliance Communications a annoncé lundi 26 mai, qu'il était en négociation avec le Group MTN en Afrique du Sud, afin de combiner leurs activités. L'année dernière Reliance Globalcom avait acquis l'opérateur de services Ethernet aux Etats Unis, Ypes. A la fin avril 2008, Reliance Communications avait acheté eWave World, un fournisseur de services 4G au standard Wimax. En conclusion, Reliance concrétise à marches forcées de formidables ambitions au niveau international. (...)
(27/05/2008 11:50:24)Index Freelance : les spécialistes de .Net reviennent au top 10
Après avoir occupé la tête du palmarès pendant quatre semaines, les spécialistes d'Oracle reculent très légèrement à la deuxième place du top 10, derrière les compétences Unix. Sur cette spécialité, les besoins des recruteurs s'orientent principalement vers des ingénieurs et des administrateurs.
Autre fait notable : le retour, en bas du classement, des spécialistes des environnements Microsoft .Net.
Les experts des logiciels de gestion (SAP essentiellement, mais aussi Oracle, Cognos ou encore Siebel) reprennent la tête du palmarès des spécialités les plus demandées sur des missions ponctuelles, devant les développeurs (Java, J2EE, PHP ou Ms Visual Basic ).
Enfin, l'index d'évolution de la rémunération des experts indépendants, basé sur le prix moyen des offres proposées par Freelance.com, reste stable depuis maintenant plusieurs semaines, à 475 €..
Méthodologie : les pourcentages indiquent la proportion des offres nécessitant la spécialité ou la compétence donnée dans l'ensemble des offres à pourvoir. Panel représentatif des 514 offres de projets informatiques disponibles au 26 05 2008 (pondération par rapport à l'importance de la demande);
(...)
Deutsche Telekom reconnait des écoutes illégales
L'opérateur télécoms allemand Deutsche Telekom a demandé l'ouverture d'une enquête officielle à Bonn sur le fait que des équipes internes aient utilisé des données relatives à des appels téléphoniques afin de suivre les contacts entre des membres du comité de direction et des journalistes. Les enregistrements incriminés sont relatifs à des appels effectués entre 2005 et 2006. Deutsche Telekom a été mis au courant pour la première fois de cette affaire au milieu de 2007. Une enquête interne avait mené à une réorganisation de l'équipe en charge de la sécurité, a déclaré l'opérateur, samedi 24 mai. Cependant, Deutsche Telekom declare que le 28 avril dernier, il a reçu une lettre contenant des allégations renouvelées et plus sérieuses, d'une personne extérieure à la société, indiquant qu'elle avait été impliquée dans ces incidents à la demande d'un membre de l'équipe chargée de la sécurité. Après avoir examiné ces déclarations, l'opérateur a déposé plainte le 14 mai. Le PDG actuel de Deutsche Telekom, René Obermann, a declaré que l'opérateur apporterait sa totale coopération à la justice. « Nous voulons assurer la plus totale transparence sur cette affaire et aider les enquêteurs à mener les coupables devant la justice, a-t-il déclaré. « Nous parlons d'incidents qui ont eu lieu en 2005 et 2006, sous l'ancienne direction,a conclu un porte-parole. (...)
(27/05/2008 09:48:01)Cisco offre un substitut à Soap pour l'interopérabilité applicative
A tous les développeurs qui ont pesté sur la lourdeur de Soap, Cisco dit apporter un ballon d'air frais avec Etch. Soap (Simple object access protocol) est un standard pour l'interopérabilité des services Web. Schématiquement, Soap est une enveloppe contenant un message XML, qui permet d'échanger des données entre des applications écrites dans n'importe quel langage et tournant sur n'importe quelle plateforme. Sa verbosité est un atout dans ce cadre... mais un handicap quand il s'agit de monter en charge. Les ingénieurs de Cisco ont mis au point un protocole, Etch, dans le cadre du CUAE, le Cisco Unified Application Environment, une plateforme d'interconnexion d'applications liées à la voix et/ou à la vidéo. Etch est destiné à la prochaine version du CUAE, la 2.5. Mais, explique Louis Marascio, responsable du développement de l'offre, Etch a été conçu de façon à pouvoir interconnecter des applications dans un cadre plus général... ce qui en fait un concurrent de Soap. Une licence Open Source pour encourager la diffusion d'Etch [[page]] Côté performances, Etch battrait Soap à plate couture. D'après des essais réalisés en interne, alors qu'un routeur traiterait 900 messages à la seconde, il pourrait gérer 50 000 messages ou 15 000 transactions Etch. En revanche, le protocole de Cisco n'est pas aussi universel que Soap. La version bêta, attendue cet été, supportera C# et Java, et pourra être directement intégrée dans Visual Studio et Eclipse ; Ruby, Python et C viendront plus tard. Soap bénéficie du soutien de tous les grands acteurs du secteur, ce qui laisse théoriquement peu de place à Etch. Toutefois, un protocole plus simple a déjà su émerger (la méthode Rest), et Cisco a choisi de jouer la carte de l'Open Source pour donner toutes ses chances à Etch : il sortira sous une licence de type Apache ou Mozilla, ce qui permettra à tous de l'utiliser, et à des industriels de l'intégrer à leurs propres développements même non Open Source. Etch sera aussi, à terme, rendu compatible avec Soap et Rest, afin de faciliter sa diffusion. Cisco n'a pas encore décidé, en revanche, si Etch serait présenté à un organisme de standardisation. (...)
(27/05/2008 09:45:02)La standardisation des applications sans contact préoccupe Luc Chatel
Le secrétaire d'Etat chargé de l'Industrie et de la Consommation, Luc Chatel, annonce la création d'un forum des services mobiles sans contact. L'objectif principal est de réunir autour de la table tous les acteurs du domaine des applications sans contact créées grâce aux technologies de type NFC (Near Field Communication). "Un tiers des téléphones mobiles vendus dans le monde sera équipé d'une puce sans contact en 2011," a souligné Luc Chatel, lors d'une conférence de presse. Il s'agit dès lors de faire coopérer, "des acteurs qui n'ont pas l'habitude de travailler ensemble," a-t-il poursuivi. La répartition des revenus issus des applications sans contact Sont notamment concernés les opérateurs mobiles, les banques, la grande distribution, les opérateurs de transport (SNCF, ...) et les industriels (cartes SIM, composants NFC, téléphones mobiles, ...) afin de définir des standards d'intéropérabilité. Les questions à résoudre seront tant techniques qu'économiques. Il s'agit d'éviter la situation japonaise dans laquelle il y a autant de solutions que d'acteurs. Tous les sujets doivent être abordés dans le cadre de ce forum, y compris la répartition de la fameuse création de valeur, c'est-à-dire les modèles économiques de répartition des revenus entre les opérateurs mobiles et les banques en particulier, chacun ayant tendance à tirer la couverture à lui. Des accords bi-latéraux La démarche du ministre montre une volonté d'accélérer les déploiements d'applications sans contact même s'il ne débloque qu'un très modeste million d'euros pour inciter à l'arrivée d'une application en île de France en 2009. Reste que les vrais enjeux se résoudront par des accords spécifiques entre chaque opérateur et chaque banque, par exemple, en ce qui concerne les applications de paiement sans contact, telles qu'elles sont expérimentées déjà depuis plusieurs mois dans le cadre du projet Pegasus. Par ailleurs, le Forum devra estimer les coûts d'investissements et les bénéfices pour les consommateurs. Les opérateurs mobiles et les banques devront définir une charte de déploiement rapide des services mobiles sans contact. (...)
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