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(16/04/2008 17:30:08)
Computacenter recherche 300 collaborateurs
Après avoir procédé à 200 recrutements en 2007, la société de service et de distribution informatique Computacenter envisage de mettre la main sur 300 nouveaux collaborateurs d'ici la fin de l'année. 60% des postes sont à pourvoir en Ile-de-France, et 40% en province, principalement en Aquitaine, Bretagne, Midi-Pyrénées, Nord- Pas-de-Calais, Paca, Corse, et Rhône-Alpes. Côté profils, la SSDI recherche 150 techniciens et hotliners répartis sur toute la France ainsi qu'une soixantaine de commerciaux. Elle recrute aussi 20 chefs de projets en Ile-de-France, 15 responsables de contrats de service en Ile-de-France et à Lyon, une dizaine d'architectes en Ile-de-France, à Lyon et à Lille. Une trentaine d'offres sont également ouvertes aux fonctions de support (RH, finances, marketing, achats ...) en Ile-de-France, de même que 15 contrats d'alternance en région parisienne. Créé en Grande-Bretagne en 1981, le groupe est représenté par une cinquantaine d'agences en France, Allemagne, Benelux et réunit plus de 9 400 collaborateurs. La filiale française, lancée en 1992 et dirigée par Chris Webb, compte 1100 salariés répartis sur 16 agences sur tout le territoire. (...)
(16/04/2008 17:21:03)Trimestriels Intel : légère perte de vitesse
Intel a indiqué hier que son bénéfice net trimestriel était en baisse de 12% par rapport à l'an dernier (1,44 Md$). Le fondeur reste toutefois dans le vert, avec un chiffre d'affaire en hausse de 9% (9,67 Md$) par rapport au premier trimestre 2007. Ces chiffres sont toutefois en deçà des attentes des analystes. Pour rappel, Intel est également en proie à de nombreux procès depuis 2001. Pour le deuxième trimestre 2008, la société reste optimiste, et table sur un chiffre d'affaires stable, entre 9 et 9,6 Md$. Cette prudence tient compte d'une baisse significative des revenus rapportés par les mémoires flash NOR, en raison de la transaction portant sur la société Numonyx. (...)
(16/04/2008 15:46:37)Le Gartner invite les entreprises à se méfier du mariage entre SaaS et open source
D'après le Gartner, d'ici 2010 neuf prestataires SaaS (Software as a Service) sur dix s'appuieront sur l'offre open source afin de réaliser des économies. Systèmes d'exploitation, serveurs d'application, bases de données... tout serait bon dans le libre pour réduire les coûts d'infrastructure. Mais Robert Desisto, analyste au Gartner, apporte un important bémol. Les prestataires SaaS n'ont pas l'intention de faire bénéficier leurs clients de ces économies en logiciel, préférant réinvestir les bénéfices en R&D ou simplement... les garder. Pour mener à bien une telle stratégie, les prestataires SaaS chercheront à stimuler le développement Open Source, toujours selon le Gartner, de plusieurs manières. Ils pourraient par exemple adopter prématurément des solutions encore en test ou en bêta. Pour le cabinet de consultants, ce penchant pour l'open source pourrait, à terme, poser bien des problèmes aux utilisateurs finals. Il cite ainsi Salesforce et SugarCRM, deux prestataires qui permettent aux utilisateurs de développer des extensions de logiciels commerciaux du marché pour les partager ensuite. Ces exemples pourraient se répandre et à terme, les prestataires proposeraient des solutions qui ressembleraient à du logiciel libre, auraient le goût du logiciel libre, mais n'en seraient pas vraiment. Les développeurs qui conçoivent ces extensions peuvent en effet adopter une démarche lucrative et demander un paiement en échange de leur travail. La facturation du service d'application reposant sur un coeur payant et des briques diverses et variées, payantes ou non, risque d'engendrer des modèles hybrides complexes à gérer pour les prestataires SaaS. Des clients en infraction sans le savoir Pis encore, les clients pourraient utiliser du code payant sans le savoir et donc se trouver en infraction vis-à-vis des législations anti-piratage ! Pour le Gartner, une seule solution : les entreprises doivent s'impliquer, voire s'ingérer dans la manière dont leur prestataire travaille avec l'open source. Et ce d'autant plus que les directions informatiques perdent le contrôle et la visibilité quand les services ventes ou marketing décident seules d'utiliser une solution SaaS. Ces dernières ne sont pas forcément les mieux placées pour surveiller les ajouts de code et juger de leur qualité. Malheureusement, une fois l'application externalisée, les services informatiques auront bien du mal à récupérer le contrôle si l'entreprise n'est pas directement impliquée dans les choix effectués par son prestataire... (...)
(16/04/2008 14:56:13)Craig Mundie prend la tête de la division UPG de Microsoft
Créée il y a un peu plus d'un an et dirigée par le directeur général adjoint de Microsoft, Kevin Turner, la division Unlimited Potential Group (UPG) tente de combler le fossé numérique dans les pays en voie de développement. Craig Mundie, responsable recherche et stratégie, vient d'en prendre le contrôle. Selon Microsoft, la mission de l'UPG serait plus dans les attributions de Craig Mundie puisque ce dernier a en charge la stratégie et la recherche de Microsoft. Il serait donc mieux placé pour trouver de nouveaux modèles afin de poursuivre les efforts de Microsoft dans l'expansion de ses technologies dans les pays en voie de développement. Cette réorganisation annoncée mardi dernier prévoit également le départ au début l'automne de Will Poole, co-leader de la division. Il sera remplacé par Anoop Gupta qui échangera son poste actuel de vice président du groupe de collaboration en temps réel de Microsoft pour celui de vice président de l'UPG. Orlando Ayala, autre co-responsable de la division UPG, reste dans ses fonctions. Mais il assurera un rôle plus actif auprès de Kevin Turner et travaillera à l'international avec Jean-Philippe Courtois, Président de Microsoft International. La mission de l'UPG, pour sa part, reste inchangée : promouvoir les technologies de Microsoft dans les pays en voie de développement mais aussi soutenir des programmes pour aider les pays à entrer dans l'ère numérique. (...)
(16/04/2008 14:58:55)Vers une LCEN 2 pour prendre la mesure du Web 2.0
Près de quatre ans après l'adoption de la Loi pour la confiance dans l'économie numérique (LCEN), le législateur devrait plancher sur une nouvelle norme qui prendrait en compte l'apparition des modèles posés par le Web 2.0. C'est du moins ce que prônent les députés Jean Dionis du Séjour (Nouveau centre, déjà rapporteur de la LCEN en 2004) et Corinne Erhel (PS) dans un rapport, présenté ce 16 avril, censé faire le bilan de la LCEN. Selon les rapporteurs, « la loi a été mise en oeuvre de manière assez exhaustive, même si certains décrets n'ont pas été faciles à prendre ». Au-delà des questions relatives au droit de réponse sur Internet ou à la prospection automatique par automate, les deux députés déplorent que l'article 55 - qui prévoyait l'élargissement des numéros verts sociaux aux téléphones mobiles - ait été implicitement abrogé par la loi Chatel cet automne. Surtout, le document présenté aujourd'hui s'attarde sur la distinction entre les notions d'hébergeur et d'éditeur sur Internet, et sur la responsabilité afférente. La loi de 2004 est limpide : les hébergeurs ne sont pas responsables du contenu hébergé chez eux mais doivent agir promptement dès qu'ils ont le signalement d'un contenu manifestement illicite. Mais, précise Jean Dionis du Séjour, « on est frappés par le nombre de contentieux vis-à-vis d'une loi qu'on estime claire. La jurisprudence est variée, elle part dans tous les sens ». Des juges plus sévères avec les hébergeurs Cette application variable du texte adopté il y a quatre ans découle, selon les rapporteurs, de l'apparition récente du Web 2.0 : « L'essentiel du contenu est désormais déposé par les internautes. Le choix des Unes ou de la mise en page est de plus en plus automatisé », expliquent les édiles. De fait, la qualité d'éditeur se raréfie et incite les juges à se montrer plus sévères avec les hébergeurs. En témoigne la récente affaire ayant conduit à la condamnation d'Eric Dupin, le concepteur de Fuzz.fr, pour un billet publié par un internaute. [[page]]Pourtant, le mis en cause « n'a ni écrit le billet, ni mis en ligne, ni placé dans la rubrique où il apparaissait, observe Jean Dionis du Séjour. Nous considérons donc qu'Eric Dupin est un hébergeur et que le juge des référés a pris une décision qui n'est pas correcte. » La notion d'éditeur explose en vol En parallèle, la justice n'a pas hésité à relaxer Dailymotion, arguant justement de ce que le site n'était qu'hébergeur et n'avait pas à assumer la responsabilité d'un éditeur. Face à cette incertitude jurisprudentielle, « il va falloir légiférer, on n'y coupera pas car les contentieux vont se multiplier. La notion d'éditeur est en train d'exploser en vol. Je porterai le message auprès du secrétaire d'Etat à l'économie numérique [le fraîchement investi Eric Besson, NDLR] : l'architecture de 2000 doit être revue ». En d'autres termes, les rapporteurs appellent à une modification de la loi de 2004 pour que celle-ci redéfinisse plus sévèrement la responsabilité de l'hébergeur puisque celle de l'éditeur a tendance à disparaître. Une mesure qui ne doit pas exonérer les fournisseurs d'accès de prendre leur part dans la lutte contre les contenus illicites. Sur ce point, les députés sont formels : « les FAI ne se sont pas mobilisés, ils n'ont rien compris. On voit bien que le traitement des sites odieux a été sous-traité par les hébergeurs à leur association, l'AFA [Association des fournisseurs d'accès et de services Internet, NDLR]. » Ce transfert ne saurait perdurer, estiment Jean Dionis du Séjour et Corinne Erhel, qui proposent de « confier à une autorité administrative, telle que la Cnil ou l'Arcep, le soin de veiller à l'application par les hébergeurs de leurs obligations ». Enfin, le rapport adresse un carton rouge à la France pour sa lutte contre le spam, jugée « carrément insuffisante ». L'Hexagone serait ainsi « l'un des pays les moins organisés » pour combatte les pourriels, et le travail de la Cnil - à travers notamment la mise en place de Signal-Spam - est qualifié de « bricolage ». Les deux parlementaires préconisent alors d'élargir la définition du pourriel aux sujets politiques, associatifs et humanitaires, et de confier à l'Arcep le soin de mener la lutte anti-spam. (...)
(16/04/2008 13:06:27)Annuels Teamlog : la SSII progresse et recrute grâce au Web 2.0
La SSII française Teamlog a réalisé un chiffre d'affaires de 161,5 M€ en quasi conformité avec ses objectifs publiés en février dernier. Le résultat opérationnel courant bondit quant à lui de 59%, et représente 8,2% du chiffre d'affaires. En 2007, Teamlog a également créé une filiale en Ukraine et lancé une campagne de recrutement sur Second Life. Si les résultats sont encore difficiles à estimer, la SSII juge toutefois que cette stratégie n'est pas anodine : « le recrutement via ces nouveaux médias devient incontournable. Les SSII devront s'y adapter », note Guy Mamou-Mani, président du conseil de surveillance Teamlog et DG du groupe Open, qui détient 92,3% du capital de Teamlog. Pour 2008, la SSII envisage une stratégie très offensive, à renfort de plusieurs acquisitions. Prochain objectif : atteindre les 450 M€ de chiffre d'affaires en 2010. (...)
(16/04/2008 12:27:54)Indice Keljob.com : plus de 81 000 offres pour les informaticiens en mars
En mars dernier, l'indice de mesure des offres diffusées sur Internet et publié par le site d'emploi Keljob.com a gagné 43 points supplémentaires en l'espace de deux mois : le nombre d'annonces en ligne a ainsi doublé en un peu plus de trois ans, pour atteindre 464 000. Cette tendance à la hausse devrait vraisemblablement se poursuivre jusqu'en juillet prochain, estime le site d'emploi. Sans surprise, c'est encore une fois le secteur de l'informatique et des télécoms qui joue le premier rôle, en s'accaparant quelque 17,5% du marché, avec 81 200 postes à pourvoir sur la Toile. Le secteur R&D suit, mais de très loin, avec seulement 2,% des offres. En dressant une analyse de sites par catégorie, Keljob note que les offres déposées par les cabinets de recrutement ont très fortement augmenté (+40%) au cours du mois dernier. A l'inverse, le nombre d'annonces publiées sur les sites d'emploi spécialisés sont en légère baisse (- 4,5%), tandis que les propositions de stages continuent de reculer, mais de façon plus sensible (- 18,3%). (...)
(16/04/2008 12:22:27)Christine Lagarde autorise le rapprochement entre SFR et Neuf Cegetel
L'acquisition de Neuf Cegetel par SFR vient d'être validée par les autorités de surveillance de la concurrence. Dans un communiqué daté du 15 avril, Christine Lagarde, ministre de l'économie, de l'industrie et de l'emploi autorise en effet le rapprochement annoncé en décembre dernier . Le communiqué officiel du Ministère précise les exigences exprimées à l'encontre de la nouvelle entreprise. « Le ministre a veillé à ce que tous les risques d'atteinte à la concurrence soient neutralisés [...] En particulier, les parties se sont engagées à permettre aux distributeurs concurrents l'accès à 8 nouvelles chaînes, qui s'ajoutent aux 7 chaines déjà mises à disposition depuis l'opération de rachat de TPS. Neuf Cegetel accueillera à l'avenir, sur sa plate-forme ADSL, un distributeur indépendant de télévision sans exclusivité : cet engagement renforcera un éditeur de contenus en lui permettant d'accéder à une base d'abonnés substantielle et est de nature à susciter la création de nouvelles chaînes. En outre, Neuf Cegetel offrira à un fournisseur d'accès Internet un accès à la téléphonie mobile. » (...)
(16/04/2008 09:42:09)HP propose puissance et logiciels de calcul à la demande pour les PME
L'Essonne est un territoire de prédilection pour le calcul. Le département héberge le CEA et son gigantesque centre de calcul Ter@tec, mais aussi le Génopôle, une grande partie du pôle de compétitivité System@tic, le plateau de recherche Digiteo ou encore l'Ecole Polytechnique, etc. C'est donc tout naturellement à Evry que HP a installé la deuxième moitié de son nouveau centre de calcul à la demande. La première moitié a déjà trouvé place depuis mars dernier à Grenoble, non loin du pôle de compétitivité des nanotechnologies, Minalogic. Loin du Petaflop envisagé au CEA, le centre HP développera néanmoins une puissance supérieure à 8 Tflops. Une performance suffisante pour s'adresser aux PME, en particulier dans les mondes de l'industrie ou de l'image, auxquelles il offrira des services de calcul de simulation (résistance des matériaux, calculs de structure, images, etc.). Les PME et PMI n'ont en général ni les moyens de s'offrir de gros serveurs, ni ceux de se payer des logiciels dont les prix se chiffrent en dizaines voire centaines de milliers d'euros. Le constructeur leur proposera plusieurs types de services couplant puissance et location de logiciels de simulation du marché. Il a déjà des accords avec des grands du domaine tels que Ansys ou Fluent. La puissance gratuite pour les gazelles de l'Essonne [[page]]Pour les PME et les laboratoires de recherche membres de System@tic, de Medicen et du Génopôle, ainsi que pour les gazelles de l'Essonne, la puissance sera gratuite. Pour les autres, il n'en coûtera pas plus de 50 cents de l'heure. La location d'applications devrait, elle, être proposée à 20€ par jour. Les entreprises pourront aussi exécuter leurs propres applications sur le centre serveur. Dans ce cas, HP leur propose d'optimiser leur code pour accélérer les performances des traitements. « Nous avons par exemple recruté des experts de l'ENS Cachan pour paralléliser certains programmes, par exemple, détaille Sylvain Sadier, directeur de développement économique de HP, en charge du projet. » Pour la gestion de cette location applicative, HP s'appuie sur les compétences de son partenaire Oxalya. Cinq entreprises utilisent déjà la moitié grenobloise du calculateur et selon HP, les PME de l'Essonne s'intéressent de près à la moitié sise dans leur département. Ce nouveau cerveau HP a donc deux lobes quasi identiques, l'un à Grenoble et l'autre à Evry, reliés entre eux par une liaison à haut débit. Il compte un total de 73 serveurs lames bi-processeurs, des quadricoeurs Intel Xeon, 8 Go de mémoire par processeur et 2 disques de 46 Go par lame. Ces disques dédiés et rapides servent au calcul et non au stockage. Enfin, comme dans la plupart des centres de ce type, les connexions entre serveurs utilisent Infiniband. Du coté des systèmes d'exploitation, HP peut bien sûr exécuter son Unix, HP-UX et réfléchit même aux environnements Window. « Mais c'est Linux que les utilisateurs réclament dans ces environnements, » insiste Sylvain Sadier. HP propose donc une dizaine de distributions. Pour le téléchargement, Evry présente un avantage non négligeable sur Grenoble : il bénéficie du réseau Renater de la recherche et de la boucle Gigabit de l'Essonne. Enfin, qui dit centre de calcul dit forcément chasse au gaspi. HP s'est donc attaché à ce que les trois armoires de serveurs et leur système de climatisation ne nécessitent pas une alimentation supérieure à 50 kWatt. « A peine plus que la consommation de deux maisons particulières, » se réjouit Sylvain Sadier. (...)
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