Flux RSS

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

108538 documents trouvés, affichage des résultats 15441 à 15450.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(14/04/2008 18:46:09)

Le Munci alerte les parlementaires sur le contrat de projet

C'est à partir de demain, mardi 15 avril, que les députés commenceront à examiner le projet de loi portant sur la modernisation du marché du travail. Rappelons qu'un accord a été conclu sur ce sujet le 11 janvier dernier par les partenaires sociaux et qu'il a été signé par trois organisations professionnelles (le Medef, la GPME et l'UPA) et quatre organisations syndicales (la CFDT, FO, la CFTC et la CFE-CGC). Ce projet aborde notamment, dans son article 6, « la création d'un contrat pour la réalisation d'un objet défini, destiné aux ingénieurs et cadres et d'une durée de 18 à 36 mois », article qui continue à inquiéter le Munci. Pour l'association professionnelle d'informaticiens, il y a « un risque très important d'incertitudes juridiques et de détournement » de l'utilisation normale de ce contrat avec « la possibilité de rupture à la date anniversaire de la conclusion du contrat par l'une ou l'autre partie pour un motif réel et sérieux » (alinéa 7 de l'article). A la veille de l'ouverture des débats à l'Assemblée Nationale, le Munci attire l'attention des parlementaires sur ce point en leur adressant une lettre argumentée. L'association requiert que l'article en question soit amendé afin d'interdire la rupture du CDD à objet défini (également appelé « contrat de projet ») pour un « motif réel et sérieux » avant la durée minimum de 18 ou 24 mois. Le Munci propose de supprimer la deuxième phrase de l'alinéa 7 de l'article 6 ou de la rédiger ainsi : « Sauf accord des parties, il ne peut être rompu avant l'échéance du terme qu'en cas de faute grave ou de force majeure ». (...)

(14/04/2008 17:46:58)

Citrix propose son poste de travail virtualisé, XenDesktop

Citrix présente sa virtualisation pour poste de travail, XenDesktop, annoncée en fin d'année dernière. Le produit est essentiellement issu de l'achat de XenSource en août et une version bêta est déjà disponible depuis novembre (elle a été téléchargée quelque 6000 fois). La virtualisation du poste de travail consiste à proposer à l'utilisateur final un environnement personnalisé à la demande. Où qu'il se trouve, depuis n'importe quel poste de travail (sa machine de bureau, son portable, le PC d'un collègue, etc.), il peut accéder grâce à son profil à tout son environnement depuis le serveur : système d'exploitation et applications. XenDesktop se distingue des autres environnements de virtualisation de bureau car pour un même utilisateur, il isole les applications et le système d'exploitation. Il ne les assemble qu'au moment de l'exécution, à la demande. Ainsi tous les utilisateurs démarrent-ils leurs machines à partir d'une seule et unique image pour un même système d'exploitation, par exemple. Pour l'éditeur, il s'agit là du meilleur moyen de faciliter le travail des administrateurs et de garantir aux utilisateurs une version à jour de leur environnement. D'autant que son protocole client léger ICA utilisé pour les téléchargements devrait garantir des temps de réponse rapides. Autre différenciateur de l'offre, il est possible d'utiliser un autre hyperviseur que XenServer. Hyper-V de Microsoft, partenaire de Citrix , mais aussi ESX de Vmware, grand concurrent des deux précédents. XenDesktop sera disponible à partir du 20 mai en trois versions , standard, enterprise et platinum, en fonction des tailles de parcs gérés. Il devrait coûter 75 $ par utilisateur concurrent. (...)

(14/04/2008 16:30:30)

Deloitte livre son Top 10 des tendances technologiques de 2008

Quelles seront les grandes tendances technologiques de 2008 ? Deloitte apporte ses réponses sous la forme d'un Top 10, publié dans un PDF gratuit d'une vingtaine de pages. L'analyse établie par le cabinet, « à partir de recherches et de l'expérience de ses 6000 experts, de ses clients, d'analystes et d'acteurs mondiaux du secteur », met notamment en avant trois thèmes qui impactent directement les entreprises. Deloitte rappelle d'abord que le format d'échange de données financières XBRL (Extensible Business Reporting Language) fêtera cette année son dixième anniversaire, et qu'il a une maturité telle qu'il devrait être largement déployé et rendu obligatoire par les principales grandes puissances économiques. Le cabinet appelle donc les entreprises à s'y préparer, car cela impactera non seulement leur système informatique, mais aussi les compétences en interne et les processus. Côté compétences, justement, Deloitte conseille aux grandes entreprises de se préoccuper de la formation des employés aux environnements mainframe. Dans un chapitre intitulé « Gérer les compétences lorsque l'héritage devient l'avenir », Deloitte explique que les mainframes continuent de très bien se porter. « Chaque jour en 2008, on s'attend à ce que les mainframes réalisent 30 milliards de transactions, représentant 70% des données d'entreprise dans le monde », écrit Deloitte. Et de noter que la base installée croît de 5% par an. Mieux, le marketing écologique, très tendance en ce moment, serait de leur côté : « la consommation d'énergie, mesurée en nombre de Watts par transaction, est plus faible que tout autre type de serveur ». En conséquence, il faut d'urgence former des administrateurs et des développeurs rompus à ces environnements. Et au besoin rappeler les anciens pour des emplois à temps partiel, préconise Deloitte. Pas de précipitation vers la virtualisation Deloitte cite encore la virtualisation comme une des grandes tendances de 2008. Toutefois, « alors que 2007 était caractérisé par une ruée pour tester ou déployer», Deloitte estime qu'un peu de prudence sera de mise cette année. Le cabinet appelle les entreprises à ne pas se précipiter, et à bien évaluer où la virtualisation peut leur être bénéfique, à la fois en termes de technologie mais aussi de coût. Sans cela, indique Deloitte, les clients risquent de mauvaises surprises lorsque les éditeurs leur présenteront la facture. De même, Deloitte prévient qu'il vaut mieux être sûr de pouvoir bien gérer un parc de serveurs virtualisés, en expliquant que ce n'est pas parce qu'ils sont virtuels que les serveurs n'existent pas. Autrement dit, il pourrait être simple, faute de processus d'administration suffisamment aguerris, de sombrer dans un chaos générateur de coûts inutiles. L'écologie et la sauvegarde de l'environnement font bien sûr aussi partie de ce Top 10 des tendances technologiques. Deloitte explique par exemple que 2008 pourrait être l'année où les diodes électro-luminescentes (LED) remplaceront les ampoules à incandescence classiques, qui présentent un faible ratio énergie consommée / lumière délivrée, et contiennent en outre du mercure. Deloitte note que dans la mesure où les LED font partie de la famille des semiconducteurs, elles devraient bénéficier de la loi de Moore, et voir leur prix de production divisé par deux tous les dix-huit mois. Les nanotechnologies, meilleures amies de l'environnement, selon Deloitte [[page]] Deloitte estime que 2008 pourrait aussi être l'année des nanotechnologies. Ou du moins l'année d'une meilleure compréhension si les fabricants se donnaient la peine de mieux informer le public, inquiet, note Deloitte, des risques de dissémination incontrôlée de nanoparticules, ou d'autres risques pour la santé. Or, précise Deloitte, les nanotechnologies peuvent être bénéfiques à l'environnement, lorsqu'elles sont employées pour purifier de l'eau, par exemple, ou pour remplacer les piles classiques par des batteries de longue durée. Développement durable toujours, Deloitte lance un appel aux fournisseurs de technologies face aux pénuries d'eau potable. Expliquant qu'il s'agit là d'un formidable défi - mais aussi d'une grande opportunité - Deloitte incite les industriels à trouver des moyens plus économes en énergie de désaliniser l'eau, et des moyens plus économes en eau de pratiquer l'agriculture. Deloitte s'intéresse aussi à l'internaute-consommateur, estimant que l'anonymat, naguère de règle sur Internet, devrait laisser de plus en plus la place à un environnement où chacun s'identifiera, pour une sécurité accrue. De même, un nouvel équilibre commercial devrait être trouvé pour la collecte d'informations personnelles par les sites gratuits. Enfin, l'explosion de la quantité de données créée et gérée par chacun va conduire, indique Deloitte à l'émergence de nouveaux services de protection et de récupération des données. Une opportunité, note le cabinet, pour les fabricants de PC aux marges déclinantes de proposer des services à valeur ajoutée. Green IT, réseaux sociaux et homme bionique en 2007 En 2007, le rapport de Deloitte (ou plus précisément, la branche Technology, Medias & Telecommunications de Deloitte Touche Tohmatsu) avait identifié : la prise de conscience écologique et la montée des solutions 'vertes' ; la progression d'interfaces utilisateurs recourant à la voix ou aux gestes ; la nécessité tant pour les entreprises que pour les particuliers de mettre en place des politiques de stockage en fonction du coût relatif des supports ; les déploiements de plus en plus fréquents de systèmes biométriques ; la prise de conscience chez les consommateurs que le gratuit n'est pas forcément le plus confortable ; la nécessité pour les industriels de se prémunir contre le vaste niveau de fraude à la TVA en Europe ; l'importance de se focaliser sur les besoins non comblés des consommateurs, les nouvelles technologies permettant tout et n'importe quoi ; l'attention à porter aux réseaux sociaux, afin de les rendre le plus rapidement possible générateurs de revenus ; le besoin de réduire la facture énergétique des appareils électroniques et de trouver des sources d'énergie alternatives ; et enfin le début d'un débat de société qui pourrait à terme déboucher sur « l'homme bionique ». (...)

(14/04/2008 16:15:22)

Les SSII indiennes sont victimes de la crise américaine

Le ralentissement économique engendré par la crise des subprimes (crise liée aux crédits immobiliers à taux variable) aux Etats-Unis fait également des victimes en Inde. Les SSII - même les plus grosses, comme Wipro ou Infosys - et les éditeurs revoient en effet leurs prévisions à la baisse. « Cette tendance n'est pas près de changer, du moins à moyen terme », détaille Harit Shah, analyste chez Angel Broking. Les SSII indiennes sont en effet fortement positionnées sur le marché américain de l'externalisation de processus métier, il n'y a donc rien d'étonnant à ce qu'elles souffrent de la récession qui frappe le pays. Infosys publiera demain ses résultats pour le quatrième trimestre de l'année. Le bénéfice net s'établirait à 316 M$, selon Businessweek, en hausse de 10,4% par rapport à l'an dernier, et de 2,6% par rapport au trimestre précédent. La croissance de Wipro serait de 2,2% et celle de Tata Consultancy Services de 17,2%. Ces chiffres sont toujours dans le vert, mais nettement inférieurs aux flambées du CA et du bénéfice net (parfois plus de 40%) il y a un an. D'après Frédéric Giron, directeur de PAC (Pierre Audoin Consultants), les SSII et éditeurs français ne devraient pas être touchés d'une manière aussi drastique par la crise américaine : « Infosys par exemple a de nombreux contrats avec des banques aux Etats-Unis, notamment avec la Bear Streams, l'une des dernières à avoir fait faillite, d'où un impact direct sur la société indienne », explique-t-il. De son côté, la direction de Tata a déclaré le mois dernier que deux de ses quinze plus grands clients avaient gelé des projets de grande envergure. En France, Frédéric Giron préfère parler de décélération, et non pas de récession : « les carnets de commande des éditeurs et des SSII sont bien remplis pour 2008. La problématique de ces sociétés est surtout de recruter des profils qualifiés, pas de trouver des projets ». Pour 2009, Frédéric Giron se montre toutefois plus prudent. « Si la crise américaine se poursuit, elle finira par avoir une incidence en France », prévient-il. (...)

(14/04/2008 16:02:28)

Un diplôme pour les référenceurs et rédacteurs Web

L'intégrateur Web Activis s'est associé à l'IUT de Mulhouse pour créer un diplôme pour les référenceurs et rédacteurs Web. Dès la rentrée prochaine, une quinzaine d'étudiants pourront donc suivre un cursus de 1 650 heures sur ce nouveau métier du marketing, en passant par les voies de l'apprentissage et de la formation continue. Il s'agit en effet d'un enseignement en alternance (IUT/Entreprise de 2 à 4 semaines) pour des élèves ayant un profil littéraire d'un niveau BAC +2 minimum. Comme le rappelle l'IUT de Mulhouse, le référenceur et rédacteur Web a une triple mission : analyser le marché et les concurrents, optimiser la visibilité des sites pour les moteurs de recherche, et mesurer l'efficacité de son action de référencement. Le programme de la formation comprend 16 semaines de cours à l'institut universitaire de technologie de Mulhouse, 150 heures de projets suivis et 29 semaines en entreprise. A l'issue, les étudiants se verront décerner une licence professionnelle (L3). Cette initiative a été en partie soutenue par Rhénatic, pôle de compétences Technologies de l'Information et de la Communication (TIC créé en octobre 2006 par les entreprises TIC alsaciennes. Une trentaine d'entreprises de la région mais également du reste de la France se sont déjà engagées à prendre des stagiaires. De fait, il apparaîtrait que le métier de référenceur et rédacteur Web soit en passe de se professionnaliser, épargnant ainsi aux entreprises une formation plutôt longue. Un poste qui reste souvent à créer en entreprise[[page]] Pour autant, bien peu d'entreprises ont des référenceurs à temps plein. La plupart d'entre elles admettent l'importance du référencement et reconnaissent qu'il repose sur un véritable savoir-faire comme le souligne Caroline Descure responsable de la Relation Client chez PhotWeb : « Il ne s'agit pas d'un poste à plein temps mais d'un travail récurrent de veille technologique sur les pratiques des moteurs, sur la concurrence sans oublier l'achat de mots clefs aux enchères qui prend beaucoup de temps ». Pour Caroline Lescure, l'enjeu est moins de trouver un collaborateur diplômé qu'une personne ayant de l'expérience, capable de jongler avec la donne du marché pour obtenir la meilleure campagne de mots clefs au meilleur prix. Aujourd'hui, elle cherche toujours ce profil idéal, difficile à trouver sur le marché et, en attendant, elle continue de cumuler cette fonction avec celle de responsable de la relation client. De fait, si les entreprises s'accordent sur l'aspect stratégique du référencement, une majorité préfère externaliser l'opération auprès de prestataires spécialisés quand elles ne cumulent pas simplement cette fonction avec d'autres dans un poste plus ou moins associé au Web. (...)

(14/04/2008 15:11:29)

Telecom Paris Tech récompense les patrons de Netvibes, SAP et France Telecom

Organisé par l'école Telecom Paris tech et l'association de ses anciens élèves ingénieurs (AIST), la dixième édition du Prix des Technologies de l'information a récompensé Tariq Krim, Leo Apotheker et Didier Lombard. Le premier des trois, entrepreneur du web français et fondateur du site Netvibes, a reçu le Prix du Créateur d'entreprise. Léo Apotheker, co-PDG de SAP AG, membre du conseil exécutif de SAP AG et président des opérations et solutions client au niveau mondial s'est vu décerner le Prix du Manager d'Entreprise. Enfin, Didier Lombard, PDG du Groupe France Télécom, a reçu le Prix du Promoteur de la Société de l'Information. Créé en 1998, le Prix des Technologies de l'Information a choisi de récompenser des acteurs et des projets qui ont marqué l'univers des technologies de l'information. Il s'agit plus de couronner une carrière ou un succès que d'accompagner une gloire naissante. Netvibes compte en effet déjà des millions d'utilisateurs et figure parmi les leaders du marché mondial du Web 2.0. Léo Apotheker, pour sa part, doit son prix à ses qualités humaines : chaleureux, à l'écoute des clients et parlant cinq langues, il aurait su, selon l'école, imposer son style managérial depuis 20 ans chez SAP. Quant à Didier Lombard, sa récompense honore sa contribution à l'essor du groupe France Telecom. (...)

(14/04/2008 13:53:39)

Les Google Apps à l'assaut du million d'utilisateurs de Salesforce

Un pas de plus vient d'être franchi par Salesforce et Google, grands zélateurs des logiciels en ligne, dans la mise en commun de leurs forces. En juin 2007, après plusieurs années de partenariats, une première offre combinée (centrée autour des Google AdWords) laissait augurer d'un pacte applicatif plus musclé dans les mois suivants. C'est chose faite. Cette fois, avec Salesforce for Google Apps, les deux éditeurs mettent les outils bureautiques de Google au sein même des applications de gestion de la relation client (GRC) de Salesforce, de façon librement accessible puisque la version de base des Google Apps est gratuite.

Ce faisant, le géant des moteurs de recherche entre en contact avec un million d'utilisateurs potentiels parmi lesquels certains, bien sûr, ont déjà recours à sa suite de productivité et de collaboration (traitement de texte, tableur, messagerie instantanée, agenda, calendrier...). Rappelons que l'un des intérêts des Google Apps, qui s'exploitent à partir d'une connexion Internet, est de permettre le partage de documents en temps réel entre plusieurs utilisateurs.

Un environnement pour développer des extensions

Les deux associés profitent de l'annonce pour brandir l'étendard du cloud computing qui caractérise une nouvelle façon de « consommer » du logiciel, en s'abonnant à un service sur Internet, avec la possibilité de l'interrompre dès qu'on le souhaite. Une sphère en plein développement avec une poignée d'acteurs emblématiques dans laquelle Gartner place effectivement Salesforce et Google. Le rapprochement des deux acteurs élargit aussi les possibilités des éditeurs indépendants qui conçoivent des applications sur Force.com, la plateforme de développement de Salesforce, et qui pourront désormais exploiter aussi les interfaces de programmation (API) liées aux Google Apps.

Les deux premiers à s'engager dans cette voie sont Appirio et Astadia en ajoutant des fonctions à Salesforce for Google Apps. Il s'agit, en l'occurrence, d'utiliser Google Calendar pour établir la chronologie des campagnes (Appirio Campaign Timeline), ou encore d'exporter des données de Salesforce vers Google Spreadsheets pour partager des rapports avec des utilisateurs n'accédant pas à Salesforce (Astadia Report Collaboration for Google Spreadsheets). L'été prochain, Salesforce deviendra aussi revendeur des Google Apps pour la version Premier, qui comprend des outils d'administration et de sécurité, et proposera aussi une offre de support téléphonique autour de la solution.

(...)

(14/04/2008 12:57:24)

IBM s'offre FilesX, spécialiste de la protection continue des données

L'éditeur israélien FilesX est tombé dans l'escarcelle d'IBM, pour un montant non communiqué. C'est la gamme Tivoli qui profitera du portefeuille technologique de FilesX, spécialisé dans la protection et la récupération des données des serveurs Windows. FilesX édite un catalogue de produits pour sauvegarder en arrière-plan les environnements Windows, et pour les restaurer selon plusieurs méthodes, qu'il s'agisse d'un seul fichier ou courriel, ou d'un serveur entier. FilesX, indique IBM, est donc aussi bien concerné par des récupérations d'erreurs ponctuelles que par des plans de continuité d'activité (PCA) ou de reprise d'activité (PRA) après désastre. HP proposait l'offre Xpress Restore de FilesX dans le cadre de sa stratégie « Adaptive data protection » (protection adaptative des données). Il pourra se tourner vers un des autres éditeurs distingués le mois dernier par Gartner comme « fournisseur cool » dans ce domaine : Diligent, ExaGrid Systems, Inmage, ou Sepaton. A propos de FilesX, l'analyste Dave Russell notait que le thème de la protection continue des données est surtout d'actualité dans les environnements Windows et Exchange, « exactement là où se concentre Xpress Restore ». Gartner a également apprécié la sauvegarde par incréments, « particulièrement efficace dans le cas de filiales distantes ». (...)

(14/04/2008 12:31:20)

La start-up française Iminent lève 2,4 millions d'euros

La start-up parisienne Iminent vient de réaliser un second tour de table d'un montant de 2,4 M€ auprès de son investisseur 360 Capital Partners, rejoint par I-Source, « séduit par le succès grandissant d'Iminent [NDLR : auprès de bêta-testeurs privés] », d'après Francis Cohen, président de la société. Iminent.com est une plateforme de services et d'extensions pour les utilisateurs de messagerie instantanée (comme celle de Windows ou de Yahoo). Elle leur permet d'enrichir leurs conversation et de créer du contenu (vidéo par exemple). La société, lancée en 2006 par les anciens fondateurs de Kiwee (un site de téléchargement d'avatars, d'émoticônes), avait déjà levé 3 M€ l'an dernier auprès de 360 Capital Partners. « Cette deuxième levée de fonds nous permettra de développer de nouveaux services, mais également de nous attaquer au marché américain », précise Francis Cohen. (...)

(14/04/2008 12:19:54)

Cisco transforme ses routeurs en serveurs d'application

Cisco se lance sur le marché des serveurs d'applications sous Linux avec sa Cisco Application eXtended Platform (AXP). Associant matériel et logiciel, celle-ci va transformer les routeurs ISR (Integrated Services Routers) et WAAS (Wide Area Applications Services) de Cisco en serveurs d'application. Il suffit de brancher le module AXP sur l'un des routeurs. Bien que le système d'exploitation au coeur d'AXP soit une distribution maison de Linux, Cisco Hardened Linux, cette plateforme propose un ensemble de librairies standard en C, Python ou Java pour accueillir presque n'importe quel type d'application. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >