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(15/02/2008 16:52:56)

Externalisation : le niveau de satisfaction progresse, selon Deloitte

Selon l'enquête 2008 de Deloitte sur l'externalisation, 89% des contrats de ce genre génèrent un retour sur investissement de 25%. Cet impressionnant ratio devrait satisfaire 64% des responsables interrogés qui placent les réductions de coûts comme la priorité des priorités. L'autre grande motivation affichée se trouve dans la recherche d'une expertise technologique. Du coup, l'amélioration de la satisfaction client (37%) et les gains de compétitivité (27%) font figure de parent pauvre. C'est d'ailleurs ce qu'ont réalisé les dirigeants interrogés. Dans un second temps, ils déplorent le manque de réactivité de leur fournisseur. Seulement 34% déclarent avoir retiré un bénéfice d'une initiative intelligente de sa part. D'ailleurs, si le contrat était à refaire, 49% disent qu'ils se pencheraient minutieusement sur la définition des niveaux de service et l'adaptation des prestations à l'évolution de l'entreprise. Il est aussi à noter que près de 40% des entreprises interrogées déclarent avoir dénoncé au moins un contrat d'externalisation. La satisfaction exprimée dans 70% des réponses est donc le fruit d'une expérience durement acquise. Les défis à relever par les deux parties - Le manque de communication : près d'une société cliente sur trois s'en plaint ; - Le manque de préparation pour sélectionner le prestataire : 35% des dirigeants interrogés - font 55% de ceux qui se déclarent insatisfaits - déplore ne pas avoir pris suffisamment de temps pour évaluer les candidats ; - Côté prestataires : 75% d'entre eux déclarent que les clients ne se préparent pas à l'externalisation. Leurs processus manquent de maturité et ils sont souvent incapables de formuler leurs besoins et leurs objectifs ; - L'absence d'un business plan pour l'externalisation. Seulement à peine plus d'un tiers des clients ont pris la peine de simuler leur stratégie d'externalisation. (...)

(15/02/2008 15:35:03)

Bull redresse la barre et veut renforcer ses activités de services

Doucement mais sûrement, Bull renverse la tendance. Le groupe français, qui était quasiment moribond pour certains, renaît de ses cendres, et affiche des ambitions très précises. Le chiffre d'affaires est enfin en hausse, à 1,1 Md€ (+2,6% à périmètre retraité) et le groupe enterre surtout la dette très lourde qui ternissait sa réputation (-16,5 M€ en 2006) en engrangeant 9,9 M€, notamment grâce à sa cession d'activité au Portugal. Les ventes de produits, à 493,3 M€ (-5%), ont pesé 44,2% du chiffre d'affaires en 2007 (contre 47,1% l'an dernier). Les revenus de la maintenance se sont élevés à 237,6 M€ (+2% à périmètre retraité). Ils représentent 21,3% du CA. Quant aux prestations de services, avec un chiffre d'affaires de 386,1 M€, elles ont progressé de 14,7% (à périmètre retraité). Elles pèsent actuellement 34,6% du chiffre d'affaires et c'est une activité que Bull souhaite développer en Europe. 1 000 personnes recrutées en 2007 Le groupe a recruté plus de 1 000 personnes en 2007 (dont 395 en France), ce qui porte ses effectifs à 7 800 personnes. Pour 2008, les objectifs sont les mêmes, mais Didier Lamouche, PDG de Bull, observe avec attention le « spectre de la crise américaine ». Des embauches auront donc lieu, mais elles seront examinées à la loupe et Bull garde le frein sous le pied pour « réagir si les indicateurs virent à l'orange ». Dans une conférence téléphonique, Didier Lamouche a également évoqué la grosse épine dans le pied de Bull, à savoir le choix d'IBM pour équiper le CNRS en supercalculateur. « Notre société n'a même pas été contactée, a-t-il en effet déploré, alors que nous avons prouvé nos capacités en remportant de nombreux contrats dans d'autres pays, au Brésil notamment ». Bull souhaite accroître sa visibilité sur ce marché en 2008. (...)

(15/02/2008 14:19:03)

Dassault Systèmes : +9% en 2007, cap sur le PLM 2.0

Le Français Dassault Systèmes, spécialiste de la CAO et de la gestion du cycle de vie des produits (ou PLM, pour product lifecycle management) vient de communiquer ses résultats financiers pour l'année écoulée. Premier éditeur français, et numéro trois européen, derrière l'Allemand SAP et le Britannique Sage (selon le dernier classement Truffle), le fournisseur a réalisé en 2007 un chiffre d'affaires de 1,258 Md€, en progression de 9% à taux de change courant (+15% à taux de change constant). Le bénéfice net s'établit à 178,5 M€ contre 179,8 M€ l'an dernier. Ses ventes de logiciels se sont élevées à 1,063 Md€, dont 60% pour le chiffre d'affaires récurrent, c'est-à-dire principalement, la maintenance. Sur ce point, Dassault Systèmes souligne dans son communiqué la forte croissance de la maintenance, mais aussi des licences en location. Ses ventes de service, qui restent stables par rapport à 2006, ne représentent que 15,5% (195,5M€) du chiffre d'affaires total. La marge opérationnelle en normes US GAAP s'est élevée à 20,1%. +24% en Asie, +20% outre Atlantique Comme pour de nombreux éditeurs de logiciels en 2007, le chiffre d'affaires de Dassault Systèmes a bien progressé en Asie : +24% en normes non GAAP. Le Français a également vu ses ventes augmenter de 20% sur le continent américain. Sur l'Hexagone, la hausse n'est que de 6% (US GAAP). Pour 2008, Thibault de Tersant, directeur général adjoint de Dassault Systèmes, confirme un objectif de croissance de 12%, à taux de change constant, du chiffre d'affaires logiciel non GAAP. Version 6 de la plateforme de PLM et PLM 2.0 L'éditeur va livrer en mai prochain la version 6 de sa plateforme collaborative de PLM. Reposant sur une architecture orientée services (SOA), cette V6 permet de gérer l'ensemble des processus métiers liés à la gestion du cycle de vie des produits. Fin janvier, Dassault a déjà lancé le produit Enovia MatrixOne 10.8 qu'il présente comme le socle de cette plateforme, une solution « fédérant l'ensemble de la propriété intellectuelle liée au PLM » dans le cadre de l'entreprise étendue, c'est-à-dire en incluant dans la boucle les sous-traitants, partenaires et clients. L'éditeur a également annoncé ce qu'il appelle « le PLM 2.0 », un environnement 3D en ligne qui, à l'instar des applications Web 2.0, propose des interfaces intuitives pour faciliter la participation des communautés d'utilisateurs à l'élaboration d'un produit. Une offre qui, selon l'éditeur, va permettre « d'exploiter l'intelligence générée collectivement ». (...)

(15/02/2008 12:34:28)

SGI rachète les actifs de Linux Networx

SGI a annoncé hier avoir acheté par échange d'actions tous les actifs de Linux Networx - logiciels, brevets, technologies et expertise - dans le but de renforcer SGI sur le secteur du calcul haute performance (HPC). SGI est plus particulièrement intéressé par les logiciels d'administration de grappe que propose Linux Networx, ainsi que par certains de ses employés spécialisés dans l'optimisation des systèmes, la gestion des clusters ou le réglage des performances applicatifs. Cet achat, dont le coût total n'a pas été communiqué, relance l'activité de SGI après un passage à vide. La société n'est en effet sortie de son état de banqueroute fiscale qu'en 2006, et a terminé l'année 2007 sur des pertes financières de 30,8 M$ pour le dernier trimestre. Toutefois, la société affirme avoir engrangé pour 100 M$ de contrats. (...)

(15/02/2008 12:25:50)

Capgemini aurait été approché par l'Indien Reliance

Selon le quotidien anglais Times, Capgemini et l'Indien Reliance Communications auraient évoqué une éventuelle fusion. Times, qui cite des sources proches du dossier, explique que les sociétés avaient entamé il y a quelques mois des discussions préliminaires en vue d'un rachat de la SSII française par l'Indien. Mais que l'hypothétique transaction avait capoté, aucun accord n'ayant été trouvé sur le prix. Reliance Communications représente la branche télécoms et IT du groupe Reliance ADAG, détenu par Anil Ambani, le deuxième homme le plus riche d'Inde, derrière son frère. Le quotidien explique que ce rapprochement conforte l'intérêt d'Anil Ambani pour le marché des nouvelles technologies. Le mois dernier, une rumeur prédisait que Wipro, une des plus importantes SSII indienne, était intéressée par Capgemini. L'information avait été démentie par l'Indien. Pour son exercice fiscal 2007, la SSII française a publié un chiffre d'affaires de 8,7 Md€, en hausse de 13%, ainsi qu'un résultat net en progression de 50% à 440 M€. (...)

(15/02/2008 11:05:53)

Après AOL et Google, Yahoo se tourne vers News Corp

Bien décidés à ne pas se laisser avaler par Microsoft, les dirigeants de Yahoo ne savent plus vers qui se tourner. Après des rumeurs concernant Google, puis AOL et Time Warner, ils sont en discussion avec News Corp. La société détenue par le magnat des médias, Rupert Murdoch, prendrait une participation allant jusqu'à 20 % dans le capital de Yahoo. Et fusionnerait certaines de ses activités sur Internet, comme le réseau social MySpace, avec Yahoo. Celui-ci demeurerait indépendant. Pour autant, cette solution ne semble pas satisfaire certains actionnaires du groupe. L'un d'entre eux a ainsi affirmé au New York Times : « Aussi bien AOL que News Corps parlent depuis un an de fusionner AOL avec Yahoo ou MySpace avec Yahoo. Mais c'est trop tard. Ils ont laissé passer leur chance en n'agissant pas plus tôt. » Une réaction qui n'étonne pas les analystes financiers. Jordan Rohan, de RBC Capital estime en effet qu' « il est difficile d'imaginer que Rupert Murdoch veuille investir suffisamment d'argent dans cet accord pour la rendre intéressante pour les actionnaires de Yahoo ». Un avis que partage Mark Mahaney, de Citigroup : « Il semble que les options stratégiques de Yahoo soient relativement limitées. Il est dur d'entrevoir un scénario qui pourrait créer autant de valeur et aussi rapidement pour les actionnaires que l'offre de Microsoft. » Même s'il reconnaît que l'offre de News Corp pourrait booster la présence de Yahoo sur les réseaux sociaux, Haim Mendelson, professeur à la Standford Graduate School for Business, reconnaît que le montage financier sera difficile à réaliser. Pour lui, « Microsoft est dur à stopper à ce point des opérations. » D'autant que l'éditeur pourrait, selon certains analystes, relever son prix d'achat (actuellement à 31 $ par action) pour emporter l'affaire. (...)

(15/02/2008 09:52:39)

La justice américaine ordonne une médiation entre Oracle et SAP

Le différend qui oppose Oracle à SAP depuis mars 2007 semble tourner à l'avantage du second, la justice américaine venant d'ordonner la mise en place d'un processus de médiation. Au printemps dernier, Oracle poursuivait le groupe allemand pour le téléchargement illégal de milliers de documents confidentiels sur ses serveurs. Les faits auraient été commis par TommorowNow, une filiale américaine de SAP. Ce dernier reconnaissait l'existence de téléchargements maladroits par sa filiale, mais indiquait que des accords passés avec Oracle autorisaient néanmoins TomorrowNow à accéder dans certaines conditions aux serveurs de support clients du plaignant. En conséquence, estimait SAP en août 2007, un règlement judiciaire n'aurait guère de sens et un traitement du litige à l'amiable serait préférable. La décision prise le 12 février par le juge américain en charge de l'affaire semble donc être profitable au groupe d'outre-Rhin. « Notre préférence a toujours penché vers la médiation », confirme le porte-parole de SAP. Oracle, de son côté, n'a pas apporté de commentaire. Le 29 janvier dernier toutefois, le plaignant a versé une nouvelle pièce au dossier et en a profité pour souligner que la médiation ne garantirait pas une résolution rapide du problème. Surtout, Oracle a indiqué avoir découvert, pendant l'enquête, « un vaste programme de violation de copyright totalement différent du modèle mis en cause dans la plainte initiale ». Et Oracle d'expliquer qu'il étudie l'opportunité d'engager de nouvelles poursuites contre son concurrent. (...)

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