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(12/02/2008 17:46:31)
Outils de recherche : Exalead se renforce en Europe
L'éditeur français Exalead, spécialisé dans les outils d'accès à l'information dans l'entreprise et sur le Web, a doublé sa base installée en 2007, passant de 50 à 100 clients. Dans le même temps, son chiffre d'affaires a triplé, à 8,3 M€ (contre 2,6 M€ en 2006). La moitié des nouveaux clients a été gagnée hors de France, en particulier au Royaume-Uni, aux Etats-Unis et au Moyen-Orient. Et sur l'Hexagone, les solutions de recherche d'Exalead ont notamment été choisies par Coface, Sanofi Aventis, CEA, Lagardère Multimedia, ou encore 118218. Début 2007, Exalead a procédé à une augmentation de capital, à hauteur de 12 M€, pour soutenir son développement international. L'éditeur a ouvert des filiales en Allemagne et au Royaume-Uni. En 2008, il compte renforcer son implantation outre-Atlantique, avec la mise en place, dans la Silicon Valley, d'une équipe OEM (axée sur l'intégration de la technologie Exalead dans les applications d'autres fournisseurs). Fin novembre, le Français a justement livré la version OEM de son moteur de recherche pour entreprises, une offre conçue pour accéder à une variété de sources hétérogènes et supporter l'augmentation des volumes d'informations. Des outils notamment destinés aux éditeurs d'applications de gestion de contenus (ECM), de gestion de la relation client (GRC) ou de messagerie. Exalead vient de sortir la version 4.6 d'exalead one :enterprise, sa plateforme de recherche d'entreprise. Celle-ci dispose maintenant d'un kit d'extraction et de catégorisation des pages HTML adapté à la construction « industrielle » de moteurs destinés à des usages spécifiques : recherche de produits ou dans des annuaires, veille stratégique, application décisionnelle. (...)
(12/02/2008 15:11:10)Une lame quadri Itanium, fer de lance d'HP sur les serveurs d'entreprise
HP annonce la BL807c, une double lame qui peut embarquer jusqu'à quatre Itanium 9100 bi-coeur. Elle vient s'enficher dans un châssis C-Class, lequel peut recevoir indifféremment des lames animées par des processeurs x64. A défaut de pouvoir être plus révolutionnaire que son processeur Itanium, cette lame marque une tendance de fond : celle de la généralisation d'un format né dans le monde x64 dont les qualités sont à la mesure des changements qu'il engendre. Plus denses et plus économes, les serveurs en lames sont surtout mieux adaptés que ceux en rack à une administration centralisée pour une architecture systèmes qui mêle plus facilement virtualisation et granularité. HP, qui ne perd pas une occasion de promouvoir sa vision du datacenter de nouvelle génération, insiste sur les facilités d'administration des lames. Une facilité qui s'étend jusqu'au niveau prosaïque, mais coûteux, du câblage. Autant d'atouts induisent des inconvénients. Selon Benoît Maillard, chef produit de la division Business Critical Systems (BCS) d'HP France, la densité d'une configuration lame peut multiplier par 10 la consommation électrique au mètre carré. C'est une des raisons pour laquelle les responsables de datacenters construits aux alentours de l'an 2000 peuvent être réticents à déployer des lames. Ils craignent l'apparition de points chauds. L'autre grande raison est l'inertie des mentalités. L'exploitation du potentiel des lames en terme d'administration implique à la fois une formation et une remise en cause des compétences. Mais c'est à ce prix que l'on peut espérer des économies d'énergie de l'ordre de 25% et des gains considérables en temps de maintenance. Avec la lame BL807c, on atteint le niveau de performances des RX6600, serveurs de milieu de gamme, au bémol près d'une capacité mémoire maximale de 96 Go contre 192 Go. Pour les utilisateurs venant du monde des serveurs BCS, le choix d'un châssis, et de ses lames, se traduit par une baisse du prix du ticket d'entrée. Une démarche à l'inverse de celle que redoutent les utilisateurs de serveurs x64 en rack. Quant au processeur Itanium, il poursuit son bonhomme de chemin. Benoît Maillard précise que sur cent de ces processeurs Itanium livrés par HP, seulement la moitié d'entre eux ferait tourner Unix (et VMS) dans le cadre de l'évolution du parc de machines à base de processeurs PA-Risc ou Alpha. Trente accueilleraient Windows Server et vingt Linux. Une répartition qui vient à propos pour étayer l'idée d'un Itanium qui s'inscrirait sans à-coup dans la continuité des systèmes x64 pour accompagner la montée en charge. Une certitude, chez HP, il est au coeur des évolutions qui font converger l'ensemble des systèmes d'entreprise historiques vers une architecture harmonisée. Il participe ainsi à la baisse du coût des transactions. Là où, en 2004, un rx46400, capable d'atteindre 161 000 tpm, mettait la transaction Tpcc à 3,94$, un rx6600, qui atteint 372 000 tpm, a permis de baisser à 1,81$. (...)
(12/02/2008 15:01:20)Alex Türk rassure le Munci à propos de l'offshore
Alex Türk, président de la Cnil et sénateur du Nord, n'a pas tardé à envoyer sa réponse au Munci (association professionnelle française regroupant les membres des professions IT), à la suite du billet enflammé publié par le Munci à propos de la position de la Cnil vis à vis de l'offshore.
L'association a reproché en effet à Alex Türk des propos tenus au Maroc, qui semblaient encourager implicitement l'offshore. Le Munci a envoyé une lettre au président de la Cnil, en lui demandant des explications. La réponse est arrivée deux jours après. Alex Türk trouve les termes employés par le Munci « excessifs et infondés » pour qualifier le terme d'accompagnement qu'il a utilisé dans son discours. Selon lui, « accompagner l'offshore ne signifie pas en promouvoir le développement sur le plan économique. La Cnil n'a d'ailleurs pas de jugement de valeur à formuler concernant cette pratique, mais elle se doit d'informer les entreprises filiales ou sous-traitants des risques juridiques encourus (contrôles, voire sanctions, y compris pénales) si cette pratique s'opère sans respecter les règles de protection des données personnelles ».
Dans un but d'information et de prévention, la Cnil a créé un groupe de travail, présidé par Didier Grasse, commissaire en charge de ces questions et membre de la cour des comptes. Ce groupe devrait auditionner de nombreux professionnels, et proposer des solutions pour inciter les entreprises à une meilleure vigilance dans le respect des règles de protection des données. Alex Türk propose d'ailleurs aux responsables du Munci de les rencontrer, afin qu'ils puissent exposer leur vision de l'offshore.
Prise de conscience des pouvoirs publics
De son côté, le Munci a salué « cette réponse rapide et tout à fait rassurante ». Avec un bémol toutefois. « Nous avons certaines raisons de penser que les pouvoirs publics (nos trois derniers gouvernements notamment) ont souvent une attitude un peu trop favorable à l'offshore » a en effet répondu Régis Granarolo, président du Munci à Alex Türk, dans une lettre datée d'hier.
Le Munci déplore le fait que l'administration française elle-même a de plus en plus souvent recours à l'offshore pour réduire ses coûts, mais se félicite de la prise de conscience des pouvoirs publics à propos du laxisme de certains prestataires offshore en matière de protection des données. Le Munci a par ailleurs accepté l'invitation d'Alex Türk à participer au groupe de travail sur l'offshore.
En savoir plus :
Correspondance entre Alex Türk et le Munci
(12/02/2008 12:31:10)
Bill Gates en faveur de la programmation déclarative
A l'occasion de l'édition 2008 d'Office System developers conference, Bill Gates a souligné l'importance de réduire la part de code dans le développement d'applications. Et fort de ce constat, le futur retraité de Microsoft a la solution : un langage de programmation déclaratif, sur lequel l'éditeur confirme travailler. Sans indiquer où en est l'avancée des recherches, Bill Gates estime à 8 ou 10 ans la durée du projet. « La plupart du code aujourd'hui est du code procédural [ndlr, qui repose sur les étapes à franchir - des routines- comme par exemple le PHP]. Et il existe [ndlr, dans l'esprit des développeurs] le Saint Graal qui consiste à écrire moins de code. Nous investissons beaucoup pour pouvoir affirmer que l'adaptation des applications ne devrait prendre qu'un dixième du code produit aujourd'hui. » La programmation déclarative consiste à isoler le problème indépendamment du contexte. Selon Wikipédia, « en programmation déclarative, on décrit le quoi, c'est-à-dire le problème.[...] Alors qu'en programmation impérative (par exemple avec le C ou Java), on décrit le comment, c'est-à-dire le solution ». Citons à titre d'exemple Prolog. Ou, dans le cas de Microsoft, XAML, langage déclaratif basé sur XML servant à décrire des interfaces graphiques ; en l'occurrence, XAML fait ainsi le pont entre les outils de design (la suite Expression) et les outils de développement (Visual Studio). Ce projet s'inscrit sans doute dans le cadre d'Oslo, vaste initiative liée à la mise en oeuvre d'architectures orientées services (SOA). Le but de Microsoft dans ce cadre est de privilégier la modélisation, par le biais de DSL (Domain specific languages). Microsoft a également évoqué la possibilité d'utiliser un langage déclaratif, connu aujourd'hui sous le nom de code D. (...)
(12/02/2008 12:16:58)Microsoft s'offre Danger pour doper son OS mobile
Désireux de s'imposer sur le marché de la mobilité, Microsoft vient de s'offrir Danger, un éditeur spécialisé dans les applications dédiées au Web mobile, qui s'est notamment illustré à travers la suite logicielle équipant le Sidekick, un téléphone signé Sharp et distribué par T-Mobile. Danger met au point des OS et une large panoplie d'outils depuis l'accès au Web jusqu'aux jeux, en passant par les réseaux sociaux, la gestion des courriels et la messagerie instantanée. Microsoft n'a pas révélé les modalités financières de l'opération ni indiqué quel avenir il réserve à l'OS de Danger. Il semble peu probable que celui-ci bénéficie des plus grands soins de son nouveau propriétaire, tant le géant de Redmond est concentré sur la promotion de son propre système d'exploitation, Windows Mobile, à la peine face à Symbian et Linux. Selon Berg Insight, Symbian s'accaparera 44% du marché des OS mobiles en 2012, alors que Windows Mobile plafonnera à seulement 6%. C'est notamment pour contredire cette projection que Microsoft s'est offert Danger, dont les composantes devraient venir enrichir Windows Mobile. Toutefois, indique le géant de Redmond, les conséquences de l'acquisition ne se limiteront pas à la sphère de la téléphonie mobile mais sont susceptibles d'être combinées avec d'autres briques de l'univers Microsoft comme MSN, la Xbox, le Zune, etc. Pour la petite histoire, Danger a été fondé par Andy Rubin, qui a par la suite créé une entreprise nommée Android. Cette dernière a été rachetée par Google et a donné son nom à l'OS mobile récemment présenté par le pantagruélique acteur du Web. (...)
(12/02/2008 12:11:00)Microsoft pourrait lancer une OPA hostile sur Yahoo
Quelques heures après le rejet, hier par Yahoo, de l'offre de rachat à 44,6 milliards de dollars faite par Microsoft, ce dernier a indiqué dans une déclaration qu'il estimait pourtant avoir fait une proposition équitable ; il apparaît pour l'instant inflexible sur le montant arrêté. Ce faisant, l'éditeur de Windows sous-entend qu'il pourrait lancer une offre d'achat publique hostile contre le fournisseur de portail californien en s'adressant directement aux actionnaires de Yahoo. Rappelons que certains d'entre eux semblaient effectivement désapprouver les réticences de la direction de Yahoo à accepter l'offre de Redmond lancée le 1er février dernier à 31 dollars par action. A la clôture de lundi : Yahoo 29,87 $, Microsoft 28,21$ Microsoft déplore que sa proposition d'associer les deux entreprises n'ait pas été accueillie favorablement, mais sa conviction de l'intérêt stratégique et financier de son approche n'en est pas pour autant modifiée. L'entreprise de Bill Gates veut rattraper son retard sur le marché des services et de la publicité en ligne, dominé par Google, en associant ses capacités de recherche et développement avec celles de Yahoo. Le marché visé devrait passer de 40 Md$ à 80 Md$ d'ici 2010. La fusion avec le Californien permettrait à Microsoft de réaliser des économies d'échelle. L'éditeur pensait notamment réduire de 1 Md$ ses coûts grâce aux synergies possibles. Depuis le 1er février, le cours de l'action Microsoft a baissé tandis que celui de l'action Yahoo grimpait, conduisant le fournisseur de portail à rechercher une offre valorisant l'action à 40 $. A la clôture de lundi, cette dernière atteignait 29,87 $. Du côté de Microsoft, la journée se concluait sur un cours de 28,21 $. (...)
(12/02/2008 11:00:39)Facebook s'implique dans la protection des données personnelles, selon Chris Kelly
Chris Kelly, responsable de la sécurité chez Facebook, n'occupe pas un poste à envier. Depuis la sortie extrêmement controversée de Beacon, le système de publicité ciblée du réseau social, en novembre dernier, il doit en effet affronter les critiques et les interrogations des internautes ainsi que de diverses associations. Il a néanmoins accepté d'accorder une interview à IDG News Service, où il clame que Facebook prend très à coeur la problématique de la protection des données. Un discours pour le moins étrange venant de la part d'un site qui a décidé d'exploiter les données personnelles de ces utilisateurs à des fins publicitaires... Chris Kelly ne se laisse toutefois pas démonter. S'il admet que Facebook a « commis quelques erreurs au moment du lancement de Beacon », il n'hésite pas à affirmer qu'une des priorités de la société reste la protection de la vie privée des internautes. Chris Kelly a non seulement évoqué Beacon, mais également des thématiques d'actualité comme l'interopérabilité entre réseaux sociaux ou encore la protection des mineurs contre les « prédateurs sexuels ». En juillet dernier, des enquêteurs avaient demandé à Facebook de supprimer les profils d'individus déjà condamnés pour des délits sexuels. Facebook tente donc d'améliorer la sécurité du site. Selon le réseau communautaire, les informations concernant la pornographie ou le harcèlement sont traitées dans les 24 heures. Il est également possible de limiter certaines fonctionnalités de recherche pour les mineurs (la démarche doit venir des parents toutefois). Facebook soutient par ailleurs le projet de loi de lutte contre la délinquance sexuelle sur Internet, proposée par le procureur général de New York, Andrew Cuomo. Cette loi obligerait les délinquants sexuels déjà condamnés à fournir leurs identifiants Internet (adresses mail et de messagerie instantanée) aux autorités, afin de créer une « black liste » de personnes bannissables. Si l'initiative est louable, dans les faits elle semble assez utopique. Il paraît en effet assez difficile de vérifier avec certitude l'identité d'une personne avec une simple adresse e-mail. (...)
(12/02/2008 09:56:33)Forrester ne prédit plus qu'une croissance de 6% pour 2008
Pour la deuxième fois en moins de deux mois, Forrester Research révise à la baisse ses prévisions sur le marché des TIC. Et la révision est de taille ! Alors que le marché américain était crédité d'un taux de croissance de 4,6% en décembre, il ne devrait plus augmenter que de 2,8%. Cette dernière prévision reflèterait la dégradation des indicateurs sur l'économie américaine. Dans la foulée, les autres grandes régions économiques (Europe, Asie) montrent des signes d'essoufflement. Au global, Forrester, qui estime la croissance 2007 des TIC à 12%, prévoit désormais un chétif 6% pour cette année. La morosité qui affecte le marché américain (estimé à un tiers du marché mondial) explique en grande partie ce tassement. (...)
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