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(03/12/2007 18:35:00)
LES RENCONTRES CIO DU DECISIONNEL 2007 - Les bases de données multidimensionnelles
Nouveaux outils pour faire face à l'explosion des bases de données (...)
(30/11/2007 18:11:37)Sage France réalise 50% de son CA dans les PME de + de 100 personnes
« Le mid market et les solutions verticales - qui concernent directement les entreprises de taille moyenne - représentent une part importante de notre chiffre d'affaires », a souligné hier Pascal Houillon, PDG de Sage France, à l'occasion de l'annonce des résultats annuels de l'éditeur britannique (1,713 Md€ de chiffre d'affaires pour Sage Group plc). Sur son année fiscale 2007, échue le 30 septembre dernier, la filiale française aura réalisé plus de 50% de ses 280 M€ de chiffre d'affaires dans les entreprises de plus de cent salariés. Ainsi, Sage France, dont l'image était jusque-là solidement rattachée au marché des petites PME, est enfin parvenue à orienter son activité de façon significative vers des entreprises plus importantes, une ambition poursuivie depuis le début des années 2000 (*). Sur l'exercice, la filiale française affiche une croissance organique légèrement inférieure à celle de sa maison mère (6% contre 7% pour Sage Group). Pascal Houillon l'impute à trois acquisitions importantes réalisées en 2005, en soulignant que cette croissance organique s'établit en fait à +4% pour le premier semestre fiscal et à +9% sur le second semestre. Sur les perspectives de l'exercice qui s'ouvre, le dirigeant est plutôt confiant : « Les changements réglementaires et les réformes dans le domaine social, par exemple sur le suivi des heures supplémentaires ou la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences, vont nécessiter la mise en place d'outils plus performants, incluant notamment des fonctions de pilotage avancées. » Le développement des activités d'exportation des entreprises françaises devrait par ailleurs favoriser la vente de solutions de GRC (gestion de la relation client), activité pour laquelle Sage a créé une division spécifique. Toucher 90% d'utilisateurs contre 10 à 15% actuellement Pascal Houillon mise beaucoup sur l'adoption des solutions décisionnelles. Il note que plus de 60% des ventes réalisées sur la gamme Sage 100 se font sur l'édition dite « pilotée », complétée de fonctions exploitant la technologie de Business Objects. « L'utilisation de ces outils se 'démocratise', note le dirigeant. C'est une tendance de fond. Les utilisateurs voudront accéder à des informations gérées dans les logiciels de gestion sans pour autant utiliser ceux-ci. Nous allons nous adresser à 90% des utilisateurs d'une entreprise au lieu des seuls 10 à 15% aujourd'hui concernés par les outils de gestion. » Sur ce terrain, Pascal Houillon table aussi sur l'engouement pour les outils du Web 2.0 qui permettent de personnaliser le poste client et de fournir certaines informations de gestion par l'intermédiaire de « widgets », applications gadgets accessibles sur le bureau du PC. Des « objets évolués » qui peuvent, en outre, être réutilisés par les équipes de développement d'une ligne de produit à l'autre. Rappelons que toutes les applications du catalogue de Sage France sont développées dans l'Hexagone et que la filiale française consacre 20% de ses effectifs (2 500 personnes) aux activités de R&D. Un soutien au recrutement pour ses partenaires[[page]] Sage France, dont le modèle commercial repose sur une distribution indirecte, renforce par ailleurs l'accompagnement de ses partenaires. Au cours des six derniers mois, il a formé et placé 80 personnes dans son réseau de distribution. Entre ses besoins propres et ceux de ses partenaires, la filiale aura besoin d'un millier de personnes dans les mois à venir, dont les deux tiers pour son réseau. « Nous avons lancé un programme d'accompagnement sur le recrutement », explique Pascal Houillon, en précisant que deux tiers des personnes sont recherchées pour des postes de consultants, les autres postes concernant plutôt des profils commerciaux. Sage France a par ailleurs signé deux partenariats, l'un avec le courtier d'assurance AON, pour permettre à son réseau de bénéficier d'une couverture de responsabilité civile, l'autre avec SVP pour fournir à ses partenaires (souvent des PME) des réponses sur les questions fiscales et légales. (*) Pour tirer son activité vers le mid-market, Sage France a successivement lancé le développement de la Ligne 1000, aujourd'hui Sage 1000, racheté Concept, acquis Adonix (fin 2005) et son PGI X3 pour entreprises de taille moyenne, puis recruté Christophe Letellier, ancien directeur général de PeopleSoft France, à la tête de sa division Moyennes et Grandes Entreprises. En septembre dernier, Sage a également pris 70% de l'éditeur de logiciels financiers XRT. (...)
(30/11/2007 18:10:16)L'UE donne son accord sur l'ouverture des fréquences GSM
Les ministres européens, suite à la proposition datée de juillet dernier de la Commission européenne, viennent de donner leur accord sur la libération de la bande de fréquence des 900 Mhz. Cette proposition devra bien entendu être votée par le Parlement européen avant que le projet ne prenne forme, mais il semble que les déclarations de juillet dernier de Viviane Reding aient enfin abouti sur du concret. Membre de la Commission chargée de la société de l'information et des médias, Viviane Reding estimait en effet que l'accès aux fréquences basses permettrait aux opérateurs de réduire de 40 % leurs coûts de déploiement sur les cinq prochaines années. Elle mettait également en avant le fait qu'elle favoriserait une meilleure concurrence et donc un accès plus facile aux services multimédias par les utilisateurs finaux. Si le Parlement vote en faveur de cette proposition, la commission prévoit une application dès la fin de l'année 2007. (...)
(30/11/2007 17:01:06)La France et les professionnels à l'honneur du Cebit 2008
Le Cebit 2008 sera un salon davantage tourné vers les professionnels, et il mettra les entreprises françaises à l'honneur. Les organisateurs de cet immense salon allemand de l'IT se sont déplacés à Paris aujourd'hui pour l'annoncer, en compagnie du Syntec et d'Ubifrance. Le représentant du Bitkom - équivalent allemand du Syntec avec plus de 800 membres pesant 120 MdE -, Bernhard Rohleder, a expliqué que le partenariat de 2007 avec la Russie constituait en fait « une tentative ». L'essai semble concluant, et le syndicat allemand a voulu s'associer avec un des partenaires « les plus importants » des entreprises allemandes du secteur, derrière l'Autriche et la Suisse. « Il s'agit d'un vaste programme, qui commence le 6 décembre avec la signature d'un contrat [de coopération entre la France et l'Allemagne] en présence d'officiels des deux gouvernements. » Le point d'orgue de cette « année franco-allemande des TIC » (technologies de l'information et de la communication) sera l'inauguration du Cebit de Hanovre le 4 mars 2008, par Nicolas Sarkozy et la chancelière allemande Angela Merkel. Le gouvernement français fera un autre geste, au travers d'Ubifrance, la structure qui aide les PME à conquérir des marchés à l'étranger. Laurent Barbet, chef du service TIC d'Ubifrance, a expliqué que « le Cebit est une porte d'entrée majeure non seulement sur le marché allemand, mais aussi sur le marché mondial », et annoncé que les subventions étaient plus que doublées, à 200 000 euros. L'objectif étant de permettre à une centaine d'adhérents d'exposer à Hanovre dans des pavillons français, contre cinquante l'année dernière. Un tour de France est en cours, en partenariat avec le Syntec, pour recruter des participants. « Nous avons 450 à 500 m² de réservés, ce qui représente 40 à 50 entreprises », a précisé Laurent Barbet. Qui a toutefois botté en touche sur les bénéfices retirés par les exposants lors des éditions précédentes de cette manifestation. « Ce que les entreprises peuvent en tirer de façon immédiate, je ne suis pas en mesure de le dire, nous a-t-il répondu. Mais elles reviennent, ce qui est un bon indicateur. » Ubifrance mettra également en place un village « Pôles de compétitivité ». Un salon raccourci et destiné avant tout aux professionnels Pierre Haren, le PDG d'Ilog, était venu apporter son soutien à l'initiative. D'abord parce qu'il aimerait que les Européens puissent se renforcer mutuellement, face aux acteurs américains. Ensuite parce qu'il considère que sur un marché décentralisé comme l'Allemagne, il s'agit d'une occasion exceptionnelle de croiser les gens qui comptent dans le secteur. « Les grandes entreprises allemandes déplacent leur conseil d'administration sur le salon pendant une semaine. C'est là que j'ai rencontré le plus de PDG allemands. » En privé, il avouait également que ce partenariat entre la France et l'Allemagne était ce qui l'avait décidé à exposer cette année encore au Cebit, alors que « le ratio qualité des contacts par rapport au temps perdu » n'était pas excellent. De fait, entre des halls remplis de tout et de n'importe quoi, du lecteur MP3 aux commutateurs de coeur de réseau, en passant par les solutions d'architectures orientées services et les PC pour fondus de jeux, le contenu du salon partait un peu à la dérive ces dernières années. Deutsche Messe, l'organisateur du salon, a pris des mesures pour, espère-t-il, y remédier en 2008. En premier lieu, le salon est un peu raccourci (du 4 au 9 mars), et s'il se terminera le dimanche soir pour que le grand public soit aussi de la fête, il sera avant tout consacré aux professionnels, promet Sven Prüser, commissaire général du Cebit. Des conférences et des guides cibleront plusieurs types de public (grandes entreprises, secteur public, etc.), et quelques thèmes seront particulièrement mis en avant, comme la télémédecine et la « Green IT », l'informatique verte. (...)
(30/11/2007 16:34:15)Steria cède sa filiale recrutement et intérim IT à Kobaltt
En s'offrant Sysinter, filiale de la SSII Steria spécialisée dans l'emploi informatique en CDI et intérim, Kobaltt, un autre acteur du recrutement pour les techniciens et les ingénieurs dans l'informatique, accroît sa présence sur le territoire national. Cette opération lui permettra de s'implanter dans plusieurs grandes villes de France, à Paris, mais aussi à Bordeaux, Nantes, Lyon, Marseille, Toulouse, Lille et Strasbourg. Grâce à cette acquisition, Kobaltt peut désormais compter sur seize implantations dans l'Hexagone, et disposer de la CVthèque de Sysinter, qui compte plus de 10 000 profils qualifiés et une centaine d'experts de la filière informatique. (...)
(30/11/2007 15:56:47)73 359 offres en octobre pour les informaticiens, selon l'Apec
L'indicateur mensuel Apec des offres d'emploi cadre montre, encore une fois, une hausse qui a profité aux informaticiens. En octobre 2007, la fonction informatique a confié 7 786 offres à l'association, ce qui porte à 73 359 le nombre d'offres cumulé sur les douze derniers mois. Dans cette filière, qui se situe toujours à un haut niveau de progression, le nombre d'offres a augmenté de 28% entre novembre 2006 et octobre 2007, par rapport à la même période de l'année précédente. Cet automne, la demande est toujours soutenue dans le domaine de l'informatique de gestion, avec 4 580 demandes déposées à l'Apec en octobre. Sur les douze mois écoulés, 44 647 offres ont été publiées dans ce domaine, soit une progression de 34%. La filière R&D progresse elle aussi à un rythme soutenu. En augmentation de 20% sur la période de novembre 2006 à octobre 2007, par rapport à la période de novembre 2005 à octobre 2006, elle concentre 28 846 offres en total cumulé sur douze mois, dont 3 173 demandes supplémentaires effectuées au mois d'octobre. Le domaine recherche et études techniques se détache très nettement en totalisant 1 870 offres en octobre, pour en cumuler 17 340 depuis novembre 2006. Suivent les projets/affaires, avec un peu plus de 1 000 postes à pourvoir en octobre, et un total de 8 730 offres. A l'inverse, les fonctions exploitation/maintenance ne représentent qu'une faible part du gâteau : 383 offres seulement ont été déposées à l'Apec en octobre, par cette filière qui concentre 3 186 postes cumulés sur un an. L'indice Apec de diffusion des offres sur Internet a également diminué légèrement le mois dernier, après avoir atteint un niveau record en septembre. (...)
(30/11/2007 15:29:19)Le volet industriel de Galileo adopté par Bruxelles
Après avoir trouvé, la semaine dernière, un terrain d'entente pour le financement sur le budget communautaire de Galileo - le pendant européen du GPS américain - les 27 viennent de se mettre d'accord sur le volet industriel du projet. Comme Jacques Barrot, le commissaire européen aux Transports, l'avait évoqué, six lots seront attribués sur appels d'offres pour un budget total de 3,4 Md€ : logiciels, lanceurs, satellites, relais terrestres, centres de contrôle, et gestion de l'ensemble. L'Allemagne, déjà opposée au financement sur les fonds communautaires - préférant des contributions directes des Etats participants à l'Agence spatiale européenne -, s'était inquiétée de ce que ses entreprises souffrent de peu de retombées par rapport aux groupes industriels des autres pays membres du projet, notamment la France. Pour atténuer ces craintes, le plan adopté prévoit qu'un même acteur ne pourra se voir attribuer qu'un seul lot et devra sous-traiter au minimum 40% des activités. L'Espagne a également fait entendre ses réticences et est, de fait, le seul pays à s'être prononcé contre le plan exposé par Jacques Barrot. Madrid estime ainsi que le centre chargé de traiter le signal dédié à la protection civile qui sera implanté sur son territoire ne répond pas à ses attentes. L'Espagne escomptait accueillir, au même titre que l'Allemagne et l'Italie, un centre de contrôle plus global, traitant l'ensemble des transmissions satellitaires. (...)
(30/11/2007 15:23:58)Statu quo autour des OS serveurs sur les cinq ans à venir
Certes, propulsés par l'excellent rapport prix/performances des serveurs x86, Windows et Linux gagnent du terrain dans les salles informatiques. Mais Gartner constate cependant, à l'occasion d'une conférence sur les centres de données, que les Unix propriétaires vont continuer à y jouer un rôle important pendant au moins cinq ans encore. D'ici à 2012, l'activité autour de ces Unix restera étal autour des 16 Md$ par an et, jusqu'à cette date, il n'y a pas d'inquiétude à avoir sur l'avenir des Unix de Sun, d'IBM et de HP. Pendant ce temps, Windows Server continuera de progresser, passant de 19,6 Md$ de CA cette année à 22,2 Md$ (+13,3%). Mais c'est à Linux que devrait revenir la palme de la plus forte croissance : +42% pour atteindre 12,2 Md$. Si l'on totalise l'activité autour des Unix propriétaires, de Windows et de Linux, on obtient plus de 83% du total du marché des systèmes d'exploitation pour serveurs. Les 9 Md$ restant sur répartissent sur d'autres Unix que ceux des trois leaders et sur Open VMS de DEC. Pour des raisons évidentes de facilité d'administration et d'économie, les DSI aspirent à réduire le nombre de systèmes d'exploitation supportés. Parmi les responsables informatiques présents à la conférence du Gartner, 80% ont déclaré vouloir soit réduire soit ne pas augmenter le nombre des systèmes d'exploitation qu'ils ont à gérer. Une aspiration qui relève le plus souvent du voeu pieu : c'est l'application qui détermine en fait la présence ou non d'un OS dans un datacenter. (...)
(30/11/2007 14:52:54)Le SP1 de Microsoft Exchange 2007 disponible
A peine quelques mois après sa sortie, la version 2007 d'Exchange, le serveur de messagerie de Microsoft, reçoit son premier Service pack. Ce SP1 contient à la fois des extensions fonctionnelles et des correctifs. Entre les deux, Microsoft glisse des améliorations sur la sécurisation des accès distants et l'administration du serveur. SP1 rend aussi Exchange 2007 compatible avec Windows Server 2008. Côté extensions, ce SP1 jette un pont vers Office Communication Server (OCS) et son client Office Communicator pour intégrer la gestion des messages vocaux. C'est avec ce SP1 que l'offre de « communication unifiée » de Microsoft commence à prendre tout son sens. Les extensions apportées par ce SP1 justifient l'important effort à consentir pour migrer d'une version précédente d'Exchange à celle-ci, beaucoup plus vorace en ressources. Certaines estimations évoquent un doublement des ressources nécessaires par rapport à Exchange 2003. (...)
(30/11/2007 12:47:21)SAP autorisé à lancer son offre d'achat sur BO
SAP a annoncé qu'il avait obtenu l'ensemble des approbations réglementaires pour lancer son offre de rachat sur Business Objects. Rappelons que l'éditeur allemand de progiciels de gestion intégrés a annoncé le 07 octobre dernier son intention d'acquérir, pour 4,8 Md€, l'éditeur français de solutions décisionnelles. Le 06 novembre dernier, les autorités antitrust américaines ont donné leur accord pour cette opération suivies, le 27 novembre, par les autorités antitrust européennes. L'éditeur a également reçu, le 22 novembre, l'approbation du ministère français des Finances, ainsi que celle de l'Autorité des marchés financiers (AMF), le 27 novembre. SAP s'apprête donc à lancer son offre de rachat de Business Objects le 04 décembre prochain, en France et aux Etats-Unis. Celle-ci doit se clore le 10 janvier 2008 en France et cinq jours plus tard aux Etats-Unis. L'Autorité des marchés financiers (AMF) et Euronext Paris doivent publier le calendrier des opérations. Dans son projet d'offre publique d'achat, l'éditeur allemand rappelle que Business Objects opérera en tant qu'entité distincte au sein du groupe SAP. Il est également précisé que ni SAP ni BO n'envisagent de restructuration significative à l'issue de cette offre. Sous réserve de sa réussite, John Schwarz, actuel dirigeant de BO, continuera d'exercer la fonction de directeur général de la société et devrait être nommé membre du directoire de SAP. L'éditeur allemand indique également que Doug Merritt, responsable des utilisateurs professionnels chez SAP, rejoindra la société, sous la responsabilité de John Schwarz. Comme SAP l'avait également annoncé en octobre dernier, son conseil de surveillance a l'intention de proposer la nomination de Bernard Liautaud, fondateur et président du conseil d'administration de BO, « en qualité de membre du conseil de surveillance de SAP AG lors de la prochaine assemblée générale des actionnaires de SAP AG ». D'ici là, Bernard Liautaud occupe une fonction de conseiller, sur les aspects de stratégie et d'intégration, auprès d'Henning Kagermann, président du directoire de SAP AG. (...)
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